Téléphone 52 Téléphone 52 Samedi 9 Mars 1907 10 centimes le N° 42 Am-née N° 4417 Etrennes Pontificates LETTRE Le travail dans les eouvents On s'abonne rue au Beurre, 36, k Ypres, et k tons les bureaux de poste du Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 C. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. royaume. Les annonces coütent i5 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal 3o centimes la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémentaires coütent 10 francs les cent exemplaires. Pour les annonces de France et de Belgique (excepté les deux Flandres) s'adresser a l'Agence Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse. Liste précédente Onbekend M. W. Voor de zegening van eene geheele familie 1593.64 2 00 20.00 de S. G Mgr Bourne, Ar chevêque de Westminster, a S. G. Mgr Mercier Archevêque de Malines, sur la question scolaire en Anglelerre. Monseigneur, Le projet présenté a la Chambre par M. Birell nest pas précisément une loi sur l'enseignement. II suffit, en effet, d'en lire le texte pour constater que le but principal du Ministro n'est pas de perfectioneer l'en seignement dans les écoles primaires sub ventionnées par l'Etat. Aussi est il a peine question dans ce projet de l'enseignement profane. Mais corame, depuis 19ü2, les sectes non-conformistes ne cesseut de répéter que 1 état de choses créé par cette loi violente leurs convictions religieuses et leur con science, le Ministre a surtout en vue de faire droit a ces reclamations D'autre part, lesautorités municipales chargées du con trole des écoles primaires subventionnées se plaignent de ce que cette loi ne leurperm'ette pas toujours de détermirier la nature de l'enseignement religieus, ni surtout de choi- sir les professeurs de cette branche. C'est le second grief dont M. Birell a voulu lenir compte. Si le Ministre avait réussi a atteindre cette double fin sans blesser les opinions reli gieuses d une autre portion de la population et sans mettre fiinstrection religieuso des •nfants pauvres a la merci d une municipalité tantot indifférente, tantot hostile, souvent partiale, il est a présumer que son projet n'eüt pas rencontré d'oppofition sérieuse. En réalité pouvait-il éviter ces écueils. Nous nous abstiendrons de nous prononcer sur ce point. Cc que nous constatons, c'est que, non seulement les catholiques, mais aussi les anglicans et les juifs sont unanimes pour affirmer qu'il n'a pas réussi. D'après eux, le projet de loi deM. Birell, loin de diminuer les inégaiités, les a encore augmentées seulement les victimes ont changé de camp. Le problême que le Ministre a prétendu résoudre, n'e.--t pas nouveau. Depuis quarante ans,tous lesMinistres, tousles hommes d Etat de l'Angleterre se le sont posé. Ce problême, le voiciComment pourvoir a l'instruction et a l'éducation des enfants de la classe popu laire sans blesser les consciences Comment donner l'ensoignement religieux dans les écoles subventionnées sans donner la prefe rence a une doctrine religieuse et sans priver les parents du droit de choisir la religion de leurs enfants Le divorce entre la religion et l'éducation pe satisferait qu'une minorité relativement peu nombreuse. La plupart des parents dé sirent que, dans l'éducation de leurs enfants, la religion trouve sa place. Mais nu moment oü l'on veut déterminer la forme et le carac- tère de l'enseignement religieux k donner, l'accord cesse d'exjster. La solution radicale, qu'on préconise de nosjours et qui consisted laiciser les écoles primaires publiques, ne satisfaisant presque personne, la solution la plus naturelle sem- blait être de chercher a contenter tout le monde en accordant, dans les limites du possible, a chacun ce qu'il désire. Ce serait, en sornme, le maiutien de ce que, avec des variantes, on a pratiqué depuis soixante ans en Angleterre. Dans ce pays, 1 Etat est resté longtemps sans rien faire pour l'éducation des enfants de la classe populaire. Les premiers efforts en ce sens ont été le fait de l'initiative privée. Jusqu en 1830, les écoles primaires n'ont existé que grace a l'activité du clergé et des diveisessocietés religieuses et a la générusité de pieux bieufaiteurs: l'Etat ne s en occupait pas. Mais a mesure que les bienfaits de l'in struction étaient mieux appréciés, on com- prenait davantage la nécessité de perfection- ner 1'organisation scolaire et de la mettre ainsi de plus en plus a la portée des enfants du peuple Une statistique de I860 avait établi que les écoles existantes manquaient de place pour recevoir les enfants qu'on eüt voulu y envoyer et, d'autre part, les diverses Eglises ou Associations religieuses n'étaient pas en mesure de fonder de nouveaux éta blissements scolaires, même en tenant compte des sub-ides octroyés par l'Etat. Celui-ci devait faire davantage en vue de généraliser l'instruction dans les classes populaires. Ce fut dans ce but que le Bill de 1870 créa, a cöté des écoles existantes, une nouvelle ca*égorie d'écoles, qu'on désigna sous le nom de Board Schools. Dans la pensée du législateur, ces nou- velles écoles ne devaient, en général, être établies que la oh les écoles préexistantes ne sufffsaient pas elles étaient placées sous la surveillance d'un School Boardsorte d'un conseil scolaire, élu dans chaque ville ou paroisse. Comme moyens d'existence, la loi leur assurait d'abord les mêmes allocations qu'aux autres écoles, et, en outre, le produit d un impot a prélever a eet effet daDS la région qu'elles étaient appelées a dessservir. Cette organisation ótait, a première vue, satisfaisaute et semblait devoir alléger no- tablement le fardeau qui jusqu'alors avait si lourdement pesé sur les écoles préexistantes. Toutefois, elie avait un défaut grave celui de mettre les anciennes écoles dans un état d'infóriorité manifeste. Les Board Schools se multiplièrent rapidement grace aux res sources en quelque sorte illimitées que pro- curait l'impöt. Or,plus leurnoinbre augmen- tait, plus le dommage causé aux anciennes écoles de la région se faisait sentir. Déja leurs ressources plus abondantes donDaient aux Board Schools line facile supériorité sur leurs rivales. En outre, l'entretien des écoles confessionnelles devint plus pénible par le fait que les bienfaiteurs de celles ci, astreints comme tous les contnbuables a l'impöt en faveur des Board Schools, portaient désor- mais une double charge. La difficulté religieusea laquelle il a été fait allusion plus haut, date également de la lot de 1870. Un article de cette loi, devenu fameux sous le nom do Cowper Temple Clause, défendait dans les Board Schools j tout enseignement religieux, caractéristique d une secte quelconque. Seuls, les dogmes londamentaux, c'est a-dire communs a toutes les lormas de christianisme, pouvaient être enseigné3 dans ces écoles-laet encore devait ou y éviter toute explication, tout commentaire, qui, en complétant eet ensei gnement, eut pu le rendre plus net, plus précis et, par la même, plus sujet a contro verse. Eu un mot, il fallait rester dans le vague, et pratiquement, se borner a lire la Bible aux enfants, en laissant a chacun d eux le soin de l'interpréter a son gré. Vu les privilèges que la loi accordait aux Board Schools, eet article avait pour effet de sub- ventionner une doctrine qui n'est autre chose que le protestantisme pur et simple. Les protestations se prolongèrent pendant trente-deux années, sans que ie fameux artic e eüt été rapporté et sans que la situa tion eüt été sérieusement moditiêe. Enfin, en 1902, s'ouvrit une ère nouvelle. Le gouvernement conservateur de M. Balfour voulut alléger les charges qui pesaient sur les écoles confessionnelles. Alors, la difficulté re.igieuse changea d'aspect. La loi votée en 1902 fit participer les écoles confessionnelles au produit de limpöt. Saus doute, les lrais de construction et de repara tion de ces écoles demeuraient a la charge des fondateurs et bienfaiteurs. Mais les frais d entretien et les dépeuses courantes, spé- cialemeut les traitements des maitres, in- combaient aux municipalités. qui rempia- gaient désormais les anciens School Boards ou comités scolaires. Dans le but de conserver a ces écoles leur caractère confessionnel, la loi de 1902 en a confié la direction a six Managers (direc teurs), dont quatre sont nommés par les propriétaires (e'est-a-dire, pour les écoles catholiques, par l'autorité épiscopale) et deux par la municipalité. Quant aux Board Schools, qui désormais prennent le nom de Council Schools, elles ont aussi leurs six Managers, mais nommés tous par la muni cipalité. Les Managers de chaque espèce d'écoles dócident quelle sorte d'instruction religieuse sera donnée aux enfants de l'école dont ils ont la direction, et ils choisisseut eux-mêmes les instituteurs Sans doute, leur choix doit être soumis k l'approbation de la municipalité. Mais celle-ci ne peut refuser les candidats proposés que lorsque leur compétence en matière profane laisse a désirer. Done la loi de 1902 assure aux écoles confessionnelles des instituteurs professant la religion voulue par les propriétaires ou bienfaiteurs de ces établissements. Les Managers ont égale ment le droit de renvoyer les instituteurs pour des motifs concernant l'instruction religieuse, sans qu'il soit besoin pour cela du consentement de l'autorité municipale. Mais en dehors de la question religieuse, 1 emseignement dans une école subventiou- née, même confessionnelle, est entièrement sous la dépendance de la municipalité. En somme, si la loi do 1902 a diminué, même dans une notable memre, l'inégalité de condition des écoles confessionnelles par rapport aux Board Schools, elle ne l'a cependant pas faitcomplètementdisparalt.e. Eu effet, une fois l'école bütie et mise en état a leurs frais, les propriétaires ont encore la charge des grosses réparations, ainsi que les frais considerables de la location du terrain. Les Council Schools sont done toujours dans une situation privilégiée. Malgré cela, la loi de 1902 souleva l'oppio- sition des protestants non-conformistes, sur tout dans le Pays de Galles. Ils déclarèrent lie pouvoir en conscience payer des impóts, destinés en partie a l'entretien d'écoles anglicanes ou catholiques. II y en eut qui poussèrent la resistance passive a la loi jusqu'è refuser positivoment de payer l'im pöt, s exposant pour cela a la saisi de leurs biens et même a la prison. Aussitöt formé, Ie ministère actuel mani- festa son intention de présenter un Bill pour corriger les défauts de la loi de 1902. L'article premier supprime le droit qu'a- vaient jusqu'a ce jour les propriétaires a la direction des écoles ci-devant confessiou- delles. Désormais une école ne pourrait recevoir de subvention qua la condition d'appartenir, ou du moins d'être louée k la municipalité, laquelle doit en prendre com- plètement la direction. Pour continuer a profiter des subventions de l'Etat, les écoles confessionnelles devraient être tranférées aux municipalités avant le 1" Janvier 1900. Les conditions du transfert seraient réglées par les deux parties intéressées, les munici palités demeurant fibres de ne pas accepter les e'coles dont elles jugeraient ne pas avoir besoin. II est entendu que les clauses du contrat n'entameraient en rien les droits absolus que le Bill confère a la municipalité: néaumoins les propriétaires pourraient, dans certains cas, exiger que l'enseignement reli gieux, qui a leurs préférences, füt donné deux fois par semaine dans l'école par eux trausmise. uais, dans ce cas, les instituteurs ne pourraient pas se charger eux-mêmes de eet enseignement. Les autres jours, 1 ensei gnement religieux ne pourrait être que celui préconisé par M. Cowper Temple, les insti tuteurs demeurant fibres de le donner ou Don. Dans aucun cas, ou ne pourrait exiger d'eux, lors de leur nomination, la signature d'un formulaire religieux ou l'engagement de pratiquer une religion quelconque. Cependant M. Birell a pris iui-même l'initiative d insérer dans son projet un article spécial, par lequel il croyait faire droit aux revendications des minorités catholiques et juives. L'article 4 en effet, décide que si, dans une ville de cinq mille ames, les parents des quatre cinquièmes des enfants fréquentant une école transmise a la municipalité, demandent un enseignement religieux spécial, et si, d'ailleurs, il y a dans les écoles du voisinage assez de place pour les enfants de ceux qui ne veulent pas du dit enseignement, l'autorité municipale pourra, si bon lui semble, permettre que cette sorte d'enseignement religieux soit donné elle pourra même autoriser les instituteurs a le donner eux-mêmes. M Birell prétendait que eet article sauve- garderait l'existence des écoles catholiques. En réalité, ilnyaque les trois cinquièmes de ces écoles qui pourraient bénéfleier de eet article. Encore serai en t-elles toujours a la merci d'un refus de la municipalité. D'autre part, rien ne garantit que les instituteurs seront catholiques or, a défaut de cette condition, toutes les concessions offertes deviennent illusoires. Les débats dans les deux Chambres se sont prolongés jusqu'ü maintenant. A la Chambre des Communes, oü le Ministère dispose d'une grande majorité, le Bill a été voté sans concession de nature a calmer nos craintes. La Chambre des Lords, oü les représentants de l'Eglise anglicane sont nombreux, l'a profondément moditié. Mais, outre que ces modifications ne sauraient être acceptables aux libéraux, elles o-t le défaut, capital a nos yeux, de ne pas sauve garder la religion de nos écoles. La ense est aiguëcependant une entente est encore possible a la dernière heure, et c'est dans lespoir que tous s'y prêteront que nous attendons la décision du Gouvernement. Votre bien dévoué en N. S., T bRANCors, Archevêque de Westminster. Londres, le 15 Décembre 1006. La concurrence désastreuse que les couvents font aux travailleurs fibres vient d'être mise une fois de plus en évidence dans une publication de notre clerical gouvernement. C'est par cette phrase triomphante que le Progrès né malin, toujours a l'affüt des bonnes trouvailles exhibe une perle qu'il vient dedécouvrir. Nous ne nous attarderons pas a demander au Progrès ce qu'il entend par travail leurs fibres et pourquoi les religieux ne seraient plus des travailleurs fibres. Admettons que les religieux sont des travailleurs et espérons que le Progrès voudra biep le dire a ceux qui traitent les religieux de fainéants. Ceci dit, de quoi s'agit-il Voici le crime dans toute sa hideur Deqx vieifies filles de 45 et de 60 ansp installées dans une chambre de la rue Haute k Bruxelles, déclarent que le magasin pour lequel elles confectionnaient de3 chemises leur a retiré tout travail depuis quun couvent s est offert a confectionner ces cuemises pour fr. 0 25 au lieu de fr. 0.30. Maintenant elles s'occupent de travaux de couture et de raccommodage ou s engagent a la journée. Si le Progrès veut conclure de la a la rapacité des couvents il va vite en besogne. Sait-il seulement a qui ont profité les salaires qu'il considère comme acquis par une concurrence exagérée 1 Nous ne le savons pas davantage, mais nous savons a qui profitent d'ordinaire les biens des congrégations. M. Leroy-Beaulieu ne l'ignorait pas et se permettait de le dire L'anticlérical s'en prend d'abord aux biens des pauvres. Car il est malaisé de le contester, ces biens des congrégations si vous regardez qui en a d'habitude la jouissance.ce sont les pauvres, les vieillards, les orphelins, les déshéritéi de la vie. (Les doctrines de la haine p. 425). Malgré toute l'autorité que, d accord avec le i) Progrès nous attachons a une publi cation de notre clérical gouvernement nous ne voyons pas pourquei le Progrès est allé si loin a la recherche d'uu modeste argument. Cela dénote quelque peu sa pénurie. Alors que la ville d'Ypres était considérée par certaines gens comme une proie vive pour les communautós frangaises, pourquoi le Piogrès ne cite t il pas un exemple pris sous la main, avec noms et preuves a l'appui Lui serait-il done si difficile de moiitrer un cas de concurrence exercée par une communauté établie k Ypres Journeliement les fabricants de drogues ont recours au témoignage d'un habitant de la localité pour corser les annonces. Si le Progrès leur emboitait le pas ce ne serait pas le seul point que ses polémiques auraient de commun avec les réclames des char latans.. Si nous voulions exposer complètement les avantages économiques procures par les com nunautés religieuses nous pourrions déja trouver des éléments dans la monogra phic citée par le Progrès. x Le confrère, né malin n'aurait-il par hasard pas remar- qué les localités citées oü l'influence cléricale a introduit et développé en faveur de la population la broderie sur linge et les tra vaux analogues Tout cela nous amènerait bien loin. Mais puisque le Progrès veut bien nous servir une citation, nous avons été également en quête d'une trouvaille. La citation ne vient pas d'«une publication de notre clérical gouvernement Nous citons le R. P. Vermeersch, et laissons au Progrèsl'occasion de contester ses affirmations. On nous perm' ttra d'apporter un exemple a l'appui de ces assertions. Nous le prenons a Enghien, chez les Pères Jésuites l'rangais. Passé quinze ans, en 1887, cette bonne petite ville possédait un immeuble, ancien couvent d'Augustins, qui servit quelque temps de collége. 11 était vide et hors d'emploi. Le bourg- mestre d'alors 1 appelait un éléphant inutile et coütant cher a nourrir. En efiet, deux a trois mille francs sortaient chaque année de la caisse communale pour l'entretien des bütiments. Mais voici que des Jésuites frangais, „obligés de déplacer leur maison d'études supérieures, acquièrent l'immeuble au prix de 80 OoO francs. Cette somme per met a la ville divers travaux d'utilité publi- que, notamment la construction d'égouts. Depuis lors, l'État, la province et la ville lèvent sur eet édifice, auparavant onéreux, une contribution annuelle d'environ 1U00 fr. Reconnaissons que ce ne fut pas la pour Enghien une mauvaise opération financière. L'adaptation des bütiments a leur nou velle destination exigea des travaux consi- dérables. Les Pères eurent la délicatesse d'y employer les ouvriers de la localité, fort en peine, cette année-la, de trouver de l'ouvra- ge. Ces ouvriers furent au nombre de cent. Jugez si les nouveaux hötes furent les bien- venus 1 Cette maison d'études a, depuis, compté en moyenne une centaine d'babitants. Leur vie est celle des prêtres honnêtes. Nous n'exagérons pas, en fixant a plus de 100.000 fr. les dépenses annuelles faites en Belgique et a plus de 75.000, la part qui profite k Enghien. Voilé, done,pour le commerce et l'industrie de cette petite ville, un accroissement de recettes régulière d environ 75.000 fr.chaque année. soit, au bout de 15 aus, plus de 1.100.000 fr. 1 11 faudrait encore interroger les hoteliers sur les centaines, de clients que tous les ana ils doivent a la présence des Pères. La poste, a son tour, y a tant gagaé, que le bureau a dü être relevé d'un degré. Nous savons également que de larges secours sont distribués aux indigents. JOURNA ©rgane Satholique TPRES de I'Rrrondissement

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 1