Choses et Autres EXTRAIT PSP™ Beurre Crème Repr ésenlants guérlson a ostende ëtwêm* Nécrologie La mort de l'abbé Daens Bruges Actes officiels Boesinglie REN ING (IE Grands vins de Bordeaux Promettre et tenir sont deux Taxe cycliste Le Bafomet Un congrès pour la petite bourgoisie La première colonie beige Alcool et folie Loteries exotiques Cri minalitö ft religion D'un Jugement rendu 1« 14. JTuiin 1 907, par le tribunal de première instance d'Ypres, düment enregisiréa et, signified entre Louise MONCARREY, de van duresse, Qontre Henri D'HONDf,son mari, cultivateur a Neuve-Eglise. II appert que la dite Louise MON- CARREY a été séparée do biens d'avec son prédit cp ux Henri D'HONDTet que ctluici a été condamné aux dé péns. Pour tx rait, certifié sincère et veritable par l'avoué siussigné con- stitué pour Louise AiONCARREY. (Rtjné) LEBBE FIRM IN, a0. D'un Jugerront rendu le 14 «Tuin 19G7, par la tribunal d première instance d'Ypus, dümenf enregistrée et sigoifiée entre Céline RUZERÉ, demanderesse, contre Au- guste D'HONDT, son mari, cultiva teur, domicilié a Neuve-Eglise. II appert que Ia dite Céline RUZE RÉ a été téparée de biens d'avec son prédit époux, Auguste D'HONDT et que celui ei a été condamné aux dépens. Pour extrait certifié sincère et véri table par t'avoué soussigné cor.stitué pour Céline RUZERÉ. (signe) LEBBE FIRMJN, av. Toujours les Pilules Pink Ch j eut. se prccuier i'cxcClent beurre crcmc de la grande iaitcr e St P ui toujours frais en pièccsd'un et d'un demi kilo chez M. MONCA REY CRIEM, Grand Place,25, a Ypres. Ecrire DUPIÏALU 57, rueMalbee, BORDEAUX- La situation nouvelle, remarque le Ma tin de Paris, peut se résumer de la facon suivante la France et l'Angleterre garan- tissent a l'Espagne l'intégrité de ges cótes et des possessions voisines de ses cótes. L'Espagne garantit a l'Angleterre Gibraltar et la route des lades. Elle garantit a la France la liberté de ces relations avec l'Algérie et le Sénégal, et la possibilité de pouvoir, en temps de guerre, faire commu- niquer ses escadres de la Méditerranée et de l'Atlantique. Suivant de prés la conclusion de l'accord lranco-japonais, co'incidant avec l'ouverture de la Conférence de la Paix.les deux accords peuvent être considére's comme un rouage utile, dans le mécanisme délicat des ententes internationales. S'y adaptera-t il sans peine I Le gouvernement francais donne a enten dre que ces ententes ont un caractère résolu- ment pacifique.Cela n'empêche pas le journal officieux cité plus haut de declarer qu il est done devgnu a peu prés impossible a l'Alle- magne de porter la guerre sur mer. La politi que de l'Europe ne se fait pas contre l'Alle- magne, elle se fait sans elle. om Le parti catholique yprois et les institu tions mutualistes de l'arrondissement d'Ypres viennent de faire une grande perte par la mort de Monsieur Auguste-Gustave Werbrouck, negociant et inspecteur d assu rances, décédé pieusement Dimanche dernier dans sa 57e année, a la suite d'une pémble maladie. Le regretté défunt appartenait a notre bourgeoisie vaillante et courageuse, qui malgré le souci des affaires trouve encore le temps de s'occuper des oeuvres et de se rendre utile a son procbain. Président des fédérations des sociétés de retraite et des mutualités contre la maladie, secrétaire du Comité de Patronage et des habitations ouvrières de 1'Arrondissement, trésorier de la société mutualiste Katho lieke Ziekentroost il fat la véritable cheville ouvrière de ces institutions aux quelles il sut donner une grande impulsion qui lui valut de la part du gouvernement de grandes marqués de confiance et diveises distinctions honorifiques. On peut diie que sa vie fut consacrée a la noble cause de la mutualité. Chretien sincère trés dévoué la cause de Dien et de l'Eglise il remplissait avec zèle et autorité les fonctions de secrétaire de la fabnque de l'église St Jacques, de secré taire du comité local électoral, de membie de la Commission du Cercle Catholique etc. Fils de ses oeuvres, excellent père de familie, M. A.-ö. Werbrouck laisse la mémoire d'un homme remarquablo pai la supériorité de son intelligence, par son inlassable activitó, par la fermeté de ses convictions et le dévouement aux ceuvies multiples dont il s'occupait. Les funérailles ont eu lieu Jeudi a 9 1/2 heures, en l'église paroissiale de St Martin au milieu d'une affluence considérable. Toutes les sociétés mutualistes d'Ypres et de l'arrondissement étaient représentées par de nombreuses délégations. L'école communale des gargons, 1 école communale des filles ainsi que 1 Orpbelinat des gartjons étaient représentés par un groupe d'élèves délégués de leurs sections de retraite. Les coins du poêle étaient tenus par M. l'échevin Struye, président du comité local électoral,M. leconseiller provincial Fraeijs, président de 1'Association, du Cercle Catholique et du «Katholieke Ziekentroost», M. le conseiller provincial Iweins d'Eeck- houtte président de la fabrique de l'église St Jacques M. Louis Desagher, président du Comité de Patronage de 1'Arrondissement d'Ypres M. Ie conseiller D'Huvetterre, président de la societé des habitations ouvrières Eigen Heerd M. Hallaert, secrétaire de fédération des Sociétés de retraite et Mutualités contre la Maladie, de l'arrondisBement. Au cimetière, deux discours ont été prononcés par M. Louis Desagher et M. Hal laert au milieu de l'émotion générale. Nous présentons a sa digne Plpouse et a ses enfants si douloureusement éprouvés,nos chrétiennes condoléances, et nousoffrons a la mémoire du regretté défunt l'hommage de notre Souvenir pieux et de nos profonds regrets. Que son Ame repose en paix dans le sein de Dieu. Par suite de l'abondance des matières les deux discours flamands prononcés sur la tombe de notre regretté ami M. Werbrouck paraltront en francais dans notre proohain numéro. Donnons une pensée et une prière a l'abbé Daens, dont l'agonie vient de se ter miner. II a commis des fautes. Des humbles et des ignorants se sont égarés a sa suite. Le beau mouvement de démocratie chrétienne, suscité par l'Encyclique, faillit échouer au cours de la longue discorde dont il porta la jesponsabilité. MaiB, en face de la mort, l'abbé Daens s'est ressaisiil est rentré dans l'obéissance il a reconnu ses erreurs, ne souhaitant la guéiison que pour les réparer. S'il fut coupable, le souci de la vérité oblige a reconnaitre que plus d'une fois cer tains de ses a'dversaires dépassèrent a son égard, les limites tracées par la charité. Nous en times la remarque, en un temps oü divers indices permettaient d'espérer son retour. Loin de nous la pensée de vouloir ranimer d'anciennes querelles Mais cette heure oü chacun apprécie l'homme qui vient de mourir, et les luttes oü il fut engage, tachons d'expliquer, par les faiblesses de la nature humaine, les fautes dont il se ren- dit coupable, et qui ont eu de si tristes con- séquences. Parmi les malheureux que l'ignorance et la chimère out jetés dans la schismocratie, il en est qui furent des hommes de foi, sim ples et bons, avant que la contagion déma- gogique ne les affolat. Puissent-ils méditer l'exemple que leur a donne l'abbé Daens en mourant. comme ils ont suivi ses conseils a l'époque oü il était plein de vie et de santé Soubaitons, surtout, qu'ils n'attendent pas leur dernière heure pour rentrer dans la voie qu'ils ont quittée. Et dans la mesure de nos moyens, aplanissons le chemin devant eux, en nous dévouant de plus en plus k la cause de tous ceux qui souffrent. Le pa- rallèle qui s établira dans leur esprit entre les chrótiens qu'ils comhattent et les mé- créants qu'ils servent, contribuera peut-être a leur ouvrir les yeux. Dieu qui a donné a l'abbé Daens la grace de se repentir, ne lui a pas laissé le temps de redresser comme il l'eüt voulu, le mal qu'iPa fait. Assumons pour lui cette té,che réparatricece sera la meilleure laqon de faire l'aumóne de charité au défunt. (Bien Public). Bruges, depuis quelque temps, n'a que des raisons de joie, des causes d'allegiesse. Tout lui sourit, et les éloges lui arrivent nombreux avec les louages flatteuses et les felicitations Le Peuple lui-même, farouche et hirsute d'ordinaire, oublie son apre colère et vaate nos fètes prochaines Le3 clous du programme, dit il, seront, outre l'exposition de la Toision d'Or unique en son genre comme cello des Pri- mitifs flamands qui obtint un succes mondial un cortège bistorique et un tournoi organisés les 24 et 28 juillet. GiAce au concours d'hommes de talent, arcbéologues et artistes-peintres, ces repré- sentations seront de pures merveilles au point de vue de l'histoire et de l'ait, sans compter que l'on verra défiler dans le cortège les reines de Bruges, et on sait si elles sont nombreuses, dont le comité s'est assuré le concours. C'est gentil, n'est-ce pas et du dernier galant. Notons encore que le Temps de Paris, qui annonce a ses lecteurs les fêtes prochaines de Bruges dont il proclamedéjala splendeur, intitule son entrefilet Bruges la Vivante.D [La Patrie) Par arrêté royal du i Juin, le conseil com munal de Rousbrugghe Haringhe est auto- risé a percevoir une taxe pour la construc tion et l'entretien des trottoirs et pour l'éta- blissement de rigoles destinéeskl'écoulement des eaux. Un arrêté du Ministre de la Justice en date du 4 Juin 1907 autorise la commission administrative des hospices civils de Watou a effectuer, par voie de régie, a son hospice des veillards, en la dite localité, divers travaux de restauration. Le devis des dits travaux s'élève a la somme de i,5oo francs. En Juin 1906 du haut de la tribune fran- caise, M. Jaurès a solennellement promis, pour le mois de Décembre suivant, le dépot d'un projet de loi sur la transformation collective de la société. Six mois II ne fallait que six mois au grand génie, au grand pontife, au grand dentiste du socialisme, pour montrer, non des chevaux dressés en liberté, mais une société adoptée a la tyran- née collectiviste.Plus d'utopies des réalités. L'échéance est passée depuis longtemps, et M. Jaurès n'a rien déposé du tout. Pas mêmel'ombre du plus mince projet collecti- viste. Bien. Que conclure M. Jaurès a-t-il trop présumé de ses forces Ou bien le socialiste le plus intelligent du monde ne saurait il exposer d'une facon pratique la transforma tion rêvée et promise Ce qui n'empêchera pas les socialistes de próner comme régime d'une société idéale le collectivisme, qu'ils ne sont même pas capables de définir.Oh, les sinislres farceurs! Les cyclistes beiges qui voyagent en Fran ce, comme d'ailleurs les cyclistes francais, qui voyagent en Belgique, ne doivent pas payer de droit d'entréemais depuis un certain temps la France a ctabli sur les vélos une taxe qui doit être payée par tout cycliste, qu'il soit francais ou étranger. Qu'est ce que ce personnage Mais un saint ma^onnique 1 II, occupait la première place aux funérailles du poète italien Cardu- cu organisées par la ma^onnerie italienne. C'est une sorte de bouc, a poitrine humaine, aux cornes énormes et aux épaules agrémen- tées d'ailes bizarres sa tête est surmontée d'une torche qui symbolise sans doute la lumière du troisième appartement. Quelles fortes têtes que ces Francs Ma sons 1 Comme ils sont dégagés de toute superstition Un Congrès, convoqué par l'Associatien pour l'étude et la defense des intéréts de la petite bourgeoisie, aura lieu a St Trond, au commencement du mois d'aoüt. Ce Congrès comprendra 4 sections La première section examiners les voeux proposés par la Commission nationale de la petite bourgeoisie et recherchera les moyens den assurer la réalisation. La second section discutera l'organisation générale de la petite bourgeoisie. La troisième s'occupera du problème de l'abus des paiements différés pour achats et fournitures de toute espèce. La quatrième section examinera la ques tion du recouvrement des petites créances, ainsi que celle de la juridiction des conseils de prud'hommes. Beaucoup de personnes se figurent que 1 Etat indépendant du Congo est la première colonie de création beige. C'est une erreur car, sous le règne de Leopold I, une tentati ve de colonisation fut faite a Santo-Tomas, dans le Guatemala, pays de l'Amérique, centrale. Des terres furent aohetées par une. société soutenue par le Roi, mais le climat, étant malsain et les fièvres pa'.udéennes y sévissanten permanence, toute acclimatation des Beiges y était considérée comme impos sible. Seulement, il y a a noter que ses ter rains ne furent jamais cédés a la Belgique, mais restèrent sous le pouvoir de la petite république américaine. Ce fut done plutöt un essai d'exploitation fait pardes Beiges en pays étrangers. Ces terrains étaient situés dans la partie oriëntale de l'état de Guatémala dont Verapaz était le chef-lieu, lis touchaient a l'est, au goile du Honduras, et aux nord au Yucatan. Le sol. y est fort marécageux et partant insalubre. Les capitaines Swarts, Schockeel, Van Haverbeeck, Petit père, de notre ancienne marine de guerre,se rendirent souvent, avec les corvettes Louise-Marie et due de Brabant a Verapaz. Le capitaine Swarts y fit plusieurs voyages avec 1 'Emma nuel. De la vient la fameuse chanson popu laire, dont les refrains, un tantinet réalistes, se chantent parfois encore au quartier mari time, en les appliquant au Congo. Wij gaan naar Verapaz. Daar moeten wij niet werken, etc., etc. Le tableau suivant est une preuve certaine que le nombre des fons est en raison directe de la consommation de l akooi. La France comptait en 1845 14 000 alié- nés pour une consommation totale de 873.000 hectolitres d'alcool. En 1875 pour i.oig.o52 hectolitres, 21.962 aliénés. En i885 pour 1.444.342 hectolitres, 51.207 aliénés. En 1890 pour 1 662.801 hectolitres, 56,965 aliénés. En 1892 pour 1.735.367 hectolitres 58-753 aliénés. etc. Le pays est de nouveau inondé de circulai res de maisons de banques annoncant des tirages prochains de loteries publiques dont les dites maisons mettent, moyennant paie- ment, les chances k la disposition du public. Ces circulaires prospectus et les accompa gnent sont généralement con^us en termes équivoques de fa<jon a faire croire au public que ces souscriptions donnent droit a parti- ciper a un certain nombre de tirages avec le multiples chances d'obtenir un des gros lots. On n'y spécifie surtout pas clairement le nombre des participants aux lots qui pour- raient échoir aux numéros attribués aux souscripteurs. Nous croyons de notre devoir de mettre nos lecteurs en garde contre cette exploita tion. Les loteries sont par elles-mêmes une operation désavantageuse pour le public il est évident que ceux qui y participent par l'intermédiaire d'agents d'affaires doivent supporter en plus des mauvaises chances, les frais considérables de publicité de ces agents et les bénéfices qu'ils tondent sur le dos de leurs dupes. Pages détachées L'Evangile Je pourrais Vappeler le livre de l'ouvrierEt non pas seulement l'Evangile, mais tout ce Testament nouveau qui, depuis dix-huit cents ans, nourrit les ames, de vérité, d'espérance et d'amour 1 Qu'est-ce que c'est que l'Evangile, sin®n 1 histoire et la prédication vivante de eet ouvrier, fils d'ouvrier, qui a nom Je'sus- Christ Nonne hie est faber? N'est-il pas charpentier j Cherchez les signatures au bas de ces 2 pages... Mathieu, Marc, Luc, Jean, Pierre, Paul, Jacques, Jude... Des ouvriers, et un petit employé des douanes Mathieu J'ai beau cbercher parmi eux, je ne décou- vre que deux lettrés Paul et Luc... Mais ils n'en ont pas moins un métier qui durcit les mains Paul coud des tentes et des voiles de navire... Luc est un petit médecin d'Antioche, et vous devinez le rang des empiriques de ce temps-la, tous les autres sont des pêcheurs cótiers du lac de Généza- reth. VAN TRICHT, Conférences, IV, .58. Socialisme et Slrli, ion Quel est le but des socialistes qui veulent conférer aux femmes le dioit de suffiage. Voici la réponse du Peuple C'est le droit de suffrage qui f. ra l'édu- cation politique de la femme, comme il a fait celle des ouvriers. C'est par le droit de suffrage que nous l'arracherons a Ia domina tion du prêtre et au cléricalisme. La marche du socialisme subira-t-elle un arrêt, un ralentissement Peut-être, mais momentané- ment et pour subir bientót après une impul sion plus vive et plus irrésistible que jamais. Par le droit de suffrage, les femmes vont s'intéresser aux graves questions sociales auxquelles on les croyait indifférentes, paree qu'on ne leur permettait pas d'élever le voix. Nous allons pouvoir leur parler directement et disputer leur cerveau et leur coeur au cléricalisme, Les journaux parisiens annoncent Vendredi dernier, la Chambre correc- tionnelle de Rodez n'a pas eu a siéger faute de clients, ce qui n'était pas arrivé depuis plus de cinq ans. On se rappelle déja que la session des assises pour ie premier trimestre 1899 n'a pas eu lieu l'année dernière, aucune affaire n'ayant été inscrite au róle, chose qui ne s'était point vue depuis plus de cinquante ans. La Vérité dit a ce sujet Ce pays de Rodez,oü la justice criminelle, par une exception presque unique en France, arrive a chömer quelqueiois, est aussi celui qui fournit le plus de prêtres, de mission- naires, de religieux et de religieuses a l'Egli se. N y a-t-il pas la une corrélation saisissan- te C'est aussi un des pays oü les lois du mariage sont les mieux observées,les families plus nombreuses, les divorces, les suïcides moins fréquents. Tout cela se tient évidem- ment. II y a dans le Rouergue, malgré les influences mauvaises qui y règnent comme ailleurs, une somme supérieure de vertu. Le Samedi 29 Juin aura lieu a Boesinghe, l'installaüon de M. Ernest de Thibault da Boesinghe, coi.seiller provincial, en sa qua- lité de Bourgme8tre de cette commune. Ses concitoyens se préparent avec ardeur a recevoir brillamment le nouveau magistrat. Fédération des Jeunes-Gardes Catholi- ques. La section de la Flandre Occidentale de la Fédération des Jeunes Gardes Catho- liques de Belgiqu9 tiendra son ass mblée générale annuelle a Reninghe, le dimanche 14 Juillet procbain avec ie programme suivanta 10 heures, raesse solennelle a 11 heures, assemblée générale. Rapports a) Fédérations d'arrondissement par M. K. Smis, président de la Jeune-GarJe, d'Ou- denburgb) Oercles d etudes et de confé renciers, par M Joseph Vandenberghe, président de la Jeune-Garde de Courtrai. A midi Banquet. A 2 heures, Cortège. Saint Solerxnel et bénédiction du drapeau de la Jeune Garde de Reninghe. Assemblée générale plénière. a) Discours de bienvenue par M. Victor Pieters, président delaJeune Garde de Reninghe. b) Allocution par M. l'avocat Claeys, de Courtrai, vice-présideut de la Fédération provinciale, cRapport sur les travaux de Ia Jeune Garde de Reninghe, par M. Van Belleghem, secrétaire, d) Rap port sur les travaux de l'assemblée de la matinée. e) Manifestation en l'honneur du Gouverneur Baron Ruzette,ancien piésident de la Fédération provinciale, f) Conférence par M. Eugène Degroote, député. Après l'assemblée générale fête musicale sur la Place. La Fanfare royale d'Ypres et l'tlarmonie de Svvevegbem ont déjü promis leur concours. La charmante jeune fllle dont nous donnons ci-dessous le portrait est M»° Sidonie Tomme- k in, qui habitea Ostende ehez ses parents, 8 rue de l'Hippodrome, et travaille chez une com-' merqant? do la même rue Nous avons eu le pl-bir de causer avec M"« Tomme'ein qui nous nous a dit eorabien l'usajre des Pilules Pink lui MlXt Sidonie Tommelein (01. Kelst Ostende) avait été favorable. Eile avait beaucoup souffert d ariémie. de pauvreté du sang, et les pilules Pink l'avaient parfaitement guérie. Toutes les pessonnrs que nous avons interrogées ont été d'accord pour affirmer quo les effets produits a Mile Tommelein par les pilules Pink avaient été visibles, e'est-a-dire qu'è sa mauvaise mine tout lemond; avait pu voirsuccéier sous l'effet du traitement des pilules Pink un bel air de santé. II nous a ótédonné devoir aussi M. Francois Vandamne, 23, rue de la Fortune. Mm' Vandam- ne nous a dit combien les pilules Pink avaient fait du bien a sa fllle Bertha ag§e do 20 ans. Nous avons vu également a Ostende M. Henri Naert, employé aux chemins de fer vlcinaux, demli ra nt 41, rue des Briquetiers. Sa Alette Mile Clai- rette s'était bien trouvée du trailemaut des pilules Pink qui lui avait rendu un appétit, des forces et de bonnes couleurs. Les pilules Pink sont un excellent médicameut qui donne toujours d'excellents résultats. Elles donnent dus ng, réveillent l'appétit, favorisent les digestions, donnent des forces. Les pilules Pink guérissent i'anémie, la ehlo- rose, la neurastbénie, la faiblesse générale, les maux d'estomac, migraines,névralgies,sciatiqua, rhumatismes. Elles sout en vente dans toutes les pharmacies etau dépot: Pbarmacie Derneville,66,Boulevard de Waterloo, Biuxelles 3.50 fr. la boite, 17.50 les 6 boites, franco. Depót a Ypres, harmacie C. LIBOTTE k Poperingb", pbarmacie MONfEYNE. BURGERSTAND VAN YPER van den 14 lot den 21 Juni 1907 Geboorten Sybrands Rachel, St Ghristoffelstraat. Gadoyne Adrienne, Neêrstraat. C ivelier Adeline, Rijselsteenweg. Flon Cyriel, Poperingbe steenweg. Huwelijken Vanmulem Simeon, tolaeamte te Adinkerke Ryckeiynck Julia, naaistor te Yper. Debouek Kichard, brigadier der gendarmerie te Dendormonde Geirnaert Maria, z.b.te Yper Overlijdens DAbecque August, 57 j kuiper, wdr Depuydt Sophie, Pennes'raat. De Breyer Martin, 75j. metser, echtgt Kieser Julia, Scbuttelaeresiraat. Werbrouck August, 57 wisselagent, echtgt Vynckier Maria, Rijselstraat Coffyn Juliaan, I j. Neêrstraat. Van Elslande Clemence, 63 j. bantenwerkster ongeti. St Jacobstraat. Coffyn Roger, I j. Zaa.bof, Wallaert Jacob, 7 m. Diksmuidestraat. Vanbrabant Maria, 28 j. z.b. ongeb. St Maar tensklooster. Maison ler ordre demande

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 2