A la Chambre Le Canal de la Lys a l'Yperlée Les passages a niveau non gardés CONSGIL COMMUNAL Chronique religieuse Sociélé d'HorticuIture de rarrondissement d'Ypres Acles officiels Nécrologie &£kJtëm&%ÉmÈÊÊÊBÊÊ!ÈÊÊÊkB Huwelijksafkondigingen leurs s'il en existait, il n'y aurait aucun s moyen de les appliquer. Le Sultan actuel, au lieu d'imiter soa père qui parcourait le pays a la tête de sa méhalla pour faire ressentir élBcacement ■on autorité, ne sort presque jamais de son palais Uu nombre restreintde tribus recon- naissent son autorité. L'indigène roit dans l Européeu son plus cruel ennemi. C'est contre lui que s'exerce le plus rolontiers son activité belliqueuse. Le Musuiman au Maroc ne hait pas seule- ment l'Européenil déteste aussi son oeuvre. A Marakesch, il y a quelques mois, la populace avait été surexcitée par la vue d'un mat de pavilion quelle prenait pour un appareil de télégraphie sans fil. A Casa Blanca, ce sont les travaux du port qui ont provoquó la colère de plusieurs tribus du voisinage. La France, plus atteinte que les autres nations, demanda a debarquer un detache ment de matins pour la defense du consulat. Un piquet de garde du Galilée confiant dans la parole dn pacha de Casa-Blanca est descendu a terre. Alors coups de fusils, vive riposte, charge a la baïonnette, double bombardement, excuses du pacha, une ceDtaine de Marocains tués, occupation de la ville par les soldats francais et espagnols, tout cela s'est succédé en l'espace de quelques heures. Les marocains n'avaient probablement aucune illusion sur leurs chances de succès dans la lutte contre des navires de guerre et des troupes disciplinées. Le fanatisme musuiman dans ces moments ne cherche pas le résultat, il brave la mort parca que son idéal d'kéroïsme réclame ces sacrifices et il est a craindre que eet idéal fanatique pousse les Marocains a une resistance bien redoutable. Ils continueront de la sorte la lutte menée pendant dix siècles par l'islamisme contre Europe. La lutte n'est plus une lutte religieuse de la part de l'Europe elle 1'est de la part de rislam que les dernières audaces des Maro cains vont soulever j usque dans ses plus lointaines profondeurs. Et il n'est pas sans intérêt de constater comment Ia force des évéuements amène les nations chrótiennes la France en tête k continuer les luttes engagées a Poitiers et a Lépante contre le Croissant envahisseur. A la séance de la Chambre des Représen- tants, du 31 Juillet dernier, M. Colaert a présenté quelques observations au sujet des passages a niveau, et des dangers qui résul- tant du fait que certains passages ne sont plus gardés. Nousreproduisons ces observations,d'après les Annales parlementaires M. Colaert. Messieurs, un mot d'abord de la question des passages niveau qui a été traitée tout a l'heure par l'honorable M. Snoy, mais a un autre point de vue que le mien. Depuis quelque temps on suit le système préconisé par AlSnoy qui est la suppres sion des barrières et passages a niveau et l'on passé au-dessus des voies ferrées. C'est un progrès immense mais il y a des passa ges k niveau qui continuent a exister et l'on supprime les barrières. Je demande a M. le ministre de bien vouloir revenir a l'ancien système qui était de faire garder les passages k niveau. Nous avons eu, il y a 15 jours, un affreux accident a déplorer aux environs de la ville d Ypres. Un homme a été surpris au moment oü il s'engageait avec sa voiture sur le chenain de fer a un passage niveau. II a été écrasé et la mort a été instantanée. Je sais bien qu'il y a des écriteaux oü on lit let op faites attention. Af. Anseele.— Tout le monde ne aait pas lire. Af. Daens. Et le soir que fait-on M. Colaert. Get homme savait lire, mais celui qui passe par un passage a niveau avec cheval et voiture ne voit pas toujours arriver les trains. C'est extrêmeinent dangereux il suffit d un instant de distraction pour être écrasé II arrive aussi qu'il y a des trains exprès ou extraordinaires qui surprennent les piétons ou les conducteurs de véhicules. Autrefois les passages k niveau étaient gardés. J'en- gage M. le ministre a revenir a l'ancien «ystème. Je voudrais dire encore un mot. Je serai d'autant plus bref que je me suis engagé k ne pas parler plus de deux minutes. Cette question est relative au personnel de la Flandre occideutale. Je voudrais demander a l'honorable miDistre, qui sera le titulaire de ces chemins de fer et qui aura le person nel sous sa direction, de bien vouloir s'inspirer de la discussion qui a eu lieu ici a eet égard et de tenir compte des recomman- dations faites en faveur du personnel. Af. Anseele. Et depri ver M. Gillès de Pelichy du privilège de la protection. M. Colaert.Nous ne demandons aucun privilège. Quelques observations ont été pré sentées au Sénat le jeudi 8 juillet au sujet du Canal d'Ypres a Comines. Nous les reproduisons d'après le compie-rendu analitique. M. Jules Fan denpeereboom, séaa- leur provincial pour la Flandre Occi dentale, ancien ministre des chemins de fer. Les habitants de l'arrondis- sement d'Ypres sont, a juste titre, mécontents. II y a trente ans, on a commencé la construction du canal de la Lys a l'Yperlée. Un effondrement s'est produit. On avait dépensé quatre millionset demi Vainement les pétitions et les discours parlementaires se sont entassés.Le comte de Smet de Naeyer m'avait fait de grandes promesses, mais jusqu'a présent elles ne sont pas réalisées Je suppiie M. le ministre de donner su te a l'exécution de ces travaux. Les habitants d'Ypres risquent de devenir furieux si on négligé plus longiemps la question. Si le ministre me donne satisfac tion, je voterai son budget avec un sourire. Sicon je lc voterai en mon- trant les dents—des dents flamandes {On ril). M.Delannoy. - Je vous avais pré- venu que le ministre ne ferait rien. Vous n'en avez pas moinsfait de cette question une p tite m mif.-sta ion électorale {Rites d gauche). M. Jules Fan den peer eboom. Men discours d'aujourd'hui n'est pasabso lamentétrangcr a des preoccupations éicctorales, car si je ne le faisa'is pas je risquerais de ne plu:; c re réélu. M. A. Ddbeke, ministre des travaux publics. M. Jules Vondenp'er eboom nous a entretenu de la question du c mal de la Lys a i'Yperió\ II a dit tfèssii.cè'oment qu'il avail des piéoc- cupatiöns élec'orales. Je n'ai pas, moi, de préccc pat ions electoral s. C'est pourquoi jesuisdiio q ie si ce canal était a rehire nous ne le referions pas* On a dépensé 5 millions pour ce canal, que nous sommes obligésaujourd'huide laisser a sec. La sagesse nous conseülerait d'pn reder la. Maisjrdois tenir compte ausd des vceux de l'opinion publique. Co canal travers une crète de par tage composée d'argde. Cet argile ne supporte pas l'humidité; il glisse lorsqu'il est en contact, avec l'eau. II fa ut remédier a eet inconvénient. Divers remèdes se présententfaire un soutènement contre ces glisse- meufs au moyen d'un sabieapproprié qu'on trouve dans le voisin ige du canal. Si ce reméde, qu'on va essayer, ré issit, ie canal pourra sins trop de frais être rendu praticable. M. Jules Fandenpeer eboom. Je ne m'y oppose pas. M. ADelbeke. Soit, mais la nature pourrait s'y opposer. Si Ia nature s'y oppose, on songe a fa.re d ux écluses de plus et dans le biel de partage d'éiever encore le plafond. J'ai donné l'ordre de pousser les essais le plus vite qu'il sera pos sible. M. Jules F andenpeer eboom. Je vous remercie de tout cceur. d'Ypres Séance du Samedi 3 Aoüt igoj La séance s'ouvre a cinq heures et demie. Présent: MM. Colaert, bourgmestre, Struye, Vandenboogaerde, échevins Fraeijs, Fiers, Vanderghote, d'Huvettere, Vandenpeere- boom, Bouquet, Sobry.Iweins d'Eeckhoutte, Lemahieu, conseillers. M. Gorrissen, secrétaire communal. Le proces-verbal de la séance précédente est adopt? sans observations. M. le bourgmestre communique une lettre de la Société nationale des chemins de fer vicinaux a propos de la ligne du tramway vicinal Ypres-Neuve-Eglise, vers Steenwerek (Nord). 11 en résulte que si le prolongement ne peut être construit, la faute n'en est pas a la société des vicinaux, mais provient du cóté francais. Ici, en Belgique, toutes les difficultés sont aplanies, tandis qu'en France six emprises devront encore être expropriées. Or, les expropriations sont retardées. II ne peut non plus être question de construire jusqu'a la frontière, la douane s'y opposant. onstructions d'habitations ouvrières M. D'huvettere demande au collége éche- vinal si une demande ne lui a pas été adres- sée en vue d'obtenir l'autorisation de con struire une série de 26 maisons ouvrières, formant un enclos dans un grand jardin particulier. Le collége échevinal n'a-t-il pas refusé cette autorisation, et pour quelles raisons Le bourgmestre répond qu'effectivement une demande pareille est parvenue et que le collége faisant usage de son droit, a refusé l'autorisation nécessaire. Déja, sous l'admi- nistration de M.Vanheule, il avait été décidé de ne plus permettre la construction d'enclos ces constructions étant souvent contraires a l'hygiène et presque toujours néfastes pour la moralité publique. Même a cette époque plusieurs enclos furent expropriés. Les habi tations ouvrières manqnent a l'intérieur de la ville pour y loger les ouvriers qu'il est désirable d'y conserver. Aussi serait-il sou- hailablë de voir e'difier des maisons ouvrières mais pas en forme d'enclos. M. D'huvettere insiste pour que le conseil communal examine ce cas spécial. M. le bourgmestre: Dans cette question, le collége n'a pas voulu créer de précédent. II maintient done la réglementation existante. Si le conseil est d un autre avis la question serait a examiner de nouveau. Propriétés communales C'est-è-dire qu'on ne le ref .srait pas d'après le trace actuel N. D. L. R.) VI. l'lugénieur Froidure qui est l'auteur d'un projet d'acbèvement du Canal de la Lys a l'Yperlée, a été char gé il y a quelques mois par Ie gou vernement de faire toutes ces études jpréliminaires n uue nouvelle adjudi cation de travrux. Nous so ra ra es en mesure d'annoncer que ces études noot fort avancéos el que immédiatement après le depót du rapport de Monsieur Froidure, des fouctiouuaires d». [/administration centrale seront euvoyés sur place pour prendre les dernières dispositions. On peut done espérer que trés prochaine ment les travaux seront mis en adju dication et executes en partie avant l'hiver. Nous rendons hommage a notre sympalbique et trés influent séna- teur Provincial Monsieur Jules Van den Peereboora, d'avoir si chaude- menl pris a cceur les intéréts Yprois. ..a population d'Ypres lui cn sera reconnaissant. Trois soummissions sont parvenues pour la construction djun mur au cimetière, celles de MM. Roose-Dael, 3,446 fr., Dehondt, 3,5oo fr., Godderis, 3,465 fr. M. Roose- Dael présentant la soumission la plus avan- tageuse, est déclaré adjudicataire. Distribution d'eau Une seule sommission est parvenue pour l'adjudication de la fourniture de charbons nécessaires au service de la distribution d'eau. C'est celle de M. Durein qui offre le prix de 2J,5o fr. les mille kilos. M. Durein est déclaré adjudicataire. Propriétés communales Diffe'rentes demandes sont parvenues pour la location de deux ilots du Majoorgracht. Le locataire actuèl s'était désisté, alléguant que les herbages étaient peu productifs il demande un nouveau bail a l'ancien prix. Un autre aartateur, qui a l'intention d'y faire paitre des moutons, s'est présenté également offrant les mêmes conditions. On decide de procéder a une adjudication publique avec 1 obligation d'y faire paitre des moutons paree que augmenteront l'esthétique du paysage. Vicinal Ypres-Gheluwe La ville a cédé pour l'établissement de la ligne Ypres-Gbeluwe diffe'rentes parcelles de terrain dont 2 ares 71 provenant du jardin Moncarey, 2 ares 90 de la pature Giller et ii ares occupés par diverses personnes pour leprixde333i fr. 5ocent., plus une somme de 3,469 fr. 54 pour indemnités diverses. M. D Huvettere. Nous avons approuvé une autre convention. Celle-ci portant sur une étendue de terrain plus grande, le prix a-t-il augmenté en proportion? M. le Bourgmestre. Evidemment. M. Sobry. Cette convention doit être approuvée par la deputation permanente je propose de convertir l'argent provenant de cette convention en fonds de l'Etat et de 1 inscrire au procés-verbal a envoyer a la deputation permanente. M. le Bourgmestre. Je fais une propo sition contraireces fonds extraordinaires devant être nécessaires pour des travaux extraordinaires urgents. M. Fraeys. N'inscrivons rien du tout quant a l'emploi de eet argent daps, le procés- verbal a envoyer a la dépütation et décidons quant a son usage lors de la discussion du prochain budget. M. D Huvettere. Je suis d'avis d'em- ployer les fonds provenant de terrains improductifj a des travaux extraordinaires et de convertir ceux provenant de terrains productifs en fonds de TEtat, mais il conviendrait de prendre une décigion plus tard sur cette seconde question. M Sobry. Je maintiens ma proposition. M. le Bourgmestre. Je propose de réserrer la décision k prendre jugqu'au pro- chain budget. La proposition du bourgmestre est adoptée et le conseil approuve également la conven tion conclue. L'enseignement primaire Le compte 1906 de l'écoie primaire payante portant en recettes 4.275 fr.,dépen- ses 4.045 fr. 50 et en excédent 239 fr. 50, est approuvé. M. Sobry fait remarquer que sur 55 élè- ves, 23 ne payent que la moitié. Les intéréts de la ville se trouvent done lésés d'euviron 700 francs. J'estime d'ailleurs que tous les citoyens doivent être mis sur le même pied d'égalitó. M. BouquetCes 23 enfauts sont ils tons des enfants de fonctiounaircs 1 M. le bourgmestre Parfaitemeut. M. Sobry les fonctionnaires sont trèsfbien payés et 11e devraient jouir d'aucun avantage. S ils »rou- vent la rétributiou de 5 francs par mois trop élevée, qu'ils choisissent l'écoie primaire gratuite tant communale que libre. M. le Bourgmestre. M. Sobry fait-il une proposition. M. Sobry. Non, je ma contente de signaler la chose. Les comptes 1905 des écoles primaires gratuites s'élevant en recettes a 36.055 fr.09 en dépenses a 35.862 fr. 43, en excédent 192 fr. 76, sont approuvés. Hospices civils On approuve la location de cbasse des propriétés dépendant du legs de feu Gods- kalk. Une demande de vente et introduite d'un terrain Nord-Est du legs Godskalk compre- nant ferme, terrain a labour, bois le tout d'une contenance de 11 hectares 78 ares, j estimés 51.450 francs. M. D'huvettere propose d'émettre un avis dófavorable concernant cette vente, car la propriété Godskalk diminera de va'eur. Le Conseil approuve néanmoins par buit voix contre deux et deux abstontions. Le prix de la journée d'entretien a l'hópital Notre-Dame s'éievant a 2 fr. 22 par jour est approuvé. Avis lavorab'e est émis sur un partage de biens a Woesten entre les Hospices et un particu ier, partage nécessité par une déli- mitation de propriétés réciproques. Bureau de bienfaisance Le procés-verbal de biens immeubles est approuvé. Ces biens qui rapportaient piimi- tivement 11 175 fr., rapporteront actuelle- ment 11.777 francs, soit done 700 francs en plus. La séance est levée a six heures et demie. Jubilé de Lourdes j Les pèlerins de Lourdes et les serviteurs de Marie en général apprendront avec plaisir la prochaine sortie des presses de M. Calle waert-De Meulenaere, a Ypres, d'un recueil de poésies intitulé GERBE A L'IMMACULÉE qu'ils seront heureux de lire et soucieux de répandre. Quiconque, en effet, a goüté les joies pures de Lourdes en emporte un si délicieux sou venir qu'il recherche avidement tout ce qui peut l'entretenir, le ravirer, afin de revivre en quelque sor te les heures exquises et toujours trop brèves du vallon be'ni. II se soucie également, après avoir joui lui même des réconfortantes impressions du grand pèlerinage marial, de rapporter un souvenir de la Grotte immortelle pour les amis qui n'ont pas eu le même bonheur. A ce double titre la Gerbe a VImmacülée répondra a un vrai besoin, et tout serviteur de Marie non seulement le lira avec fruit et jouissance de l'avis de Sa Grandeur Mgr Waffelaert, mais s'en servira pour offrir a 1 Immacülée un témoignage d'amour et de reconnaissance en le répandant autour de lui. Le prix modique de l'ouvrage lui permettra de le faire, tout en contribuant a une oeuvre recommandable entre toutes celle des congrégations-patronages de jeunes gens. L ouvrage est honoré de la haute approba tion de Sa Grandeur Mgr l-'Evêque de Bruges. Des personnes dontlapiété est plus grande que la discretion soccüpent en différentes villes, et aussi a Ypres a propager sous forme de boule de neigeune prière, qui en elle-même n'a rien de répréhensible, mais a la quelle ellesattachent une promesse absolu- ment superstitieuse, avec recommandation pressante de ne pas interrompre la chaine. Toute personne instruite s'empressera au contraire a interrompre net cette chaine si malencontreusement commencée. Les demandes d'inscriptions aux concours de visite des jardins, de balcons, facades et fenêtres garnis de fleurs naturelles peuvent encore être adressées a Monsieur Mommens, Chaussée de Bruges, n° 2, a Ypres, jusqu'au 14 Aoüt 1907, dernier délai. Des formules de demande sont a la disposition des intéresséi au siège de la société Aux Lions Appri- voisés Vieux Marché au Beurre, a Ypres. Un arrêté royal du i5 Juillet 1907 approu- ve une deliberation de la dépütation permanente de la Flandre Occidentale sup- primant le service public et régulier de transport en commun par terre de Pope. ringhe a Rousbrugge par Watou, exploité par le sieur L. Dehuyser. Un arrêté royal du 20 juillet alloue i 1» commune de Dranoutre un subside de 14783 francs pour l'exécution de voirie vicinale. Par arrêté royal du i5 juillet 1907 M. Emile De Caestecker, inspecteur vétérinaire du gouvernement a Ypres, est nommé membre adjoint de la commission médicale provinciale de Courtrai. Tableau comparatif des recettes effectuées pendant les mois de Mai 1906 et 1907 et du ir janvier au 3i Mai 1906 et 1907 par les chemins de fer vicinaux qui suivent Furnes-Ypres i5 078 fr. 78 15.040 fr. 90 75.525 fr. 83 70.392 fr. 11 Ypres Neuve Eglise Warneton 6.242 fr. 62 7.927 fr. 57 34.178 fr. 95 37.263 fr. 14 Poperinghe-Furnes-La Panne 5.854 fr. 41 n.5i8fr. 54 27.719 fr. 84 49.690 fr. 49 Ypres Gheluwe 2.624 fr. 34 2.749 fr. 36 3.266 fr. 38 3.6oo fr. 93 Dixmude-Ypres Poperinghe Mai 1907 5.582 fr. 52 du 25 Semptembre 1906 au 31 Mai 1907 39.278 fr. 31 Par arrêté royal du 29 Juillet, la médaille civique de 2' classe est décernée a Me E. Persyn, sage-femme attachée au bureau de bienfaisance de Kemmel. Par arrêté royale du 14 Juillet la recon naissance légale de la fédération mutualiste Provinciale Herverzekeringskas tegen de sterfte van de landbouwpaarden établie a Ypres est maintenuea la suite des modifica tions apportées aux statuts. Une pension de i486 fr. est accordée a M. F. Deleu, aucien instituteur communal en chef a Messines et une pension de 1006 fr. a l'ancien instituteur communal a Hollebeke. Le Moniteur du 9 Aoüt publie les listes des primes remportées dans le concours musi cal institué lois dés fêtes de 1905, a l'effet de rénnir les matériaux destines a former un Recueil de chants patriotiques pour les Ecoles. Nous y relevons les noms de primes de 5o fr. MM. A. Diericx a Pope ringhe et R. Ghesquiere a Gheluwe. Primes de 25 fr. MM. R. Ghesquiere a Gheluwe et A. Van Eegroo a Ypres. Dimanche dernier est décédée en notre ville Madame Jules Antony née Hélène Creton. Chrétienne de forte trempe,épouse etmère exemplaire, la regrettée défunte jouissait de l'estime universelle. Elle laissera de vifs regrets non seulement au sein de sa familie dévouée mais encore chez les nombreux amis qui durant les phases de sa longue maladie nourissaient l'espoir de voir leurs voeux exaucés et de la conserver encore longtemps. II a plu a la divine Providence d'en décider autrement et mercredi une nombreuse assis tance se pressait en l'église St Martin pour apporter un religieux souvenir a la défunte et un hommage de sympathie a la familie si douloureusement éprouvée. Nous nous faisons un devoir d'exprimer a notre tour nos chrétiennes condoléances. Emiel Gardya, vuurstoker te Wytschaete en Maria ILievrouw, dienstmeid te Gulle^hem, roorg. te Yper. Robert Vanacker.werkman aan den telefoon te Sint-Joost-ten-Noode, voorg. te Yper en Celine Gallet, dienstmeid te Sint-Joost-ten-Noode. Joseph Lusschentier, letterzetter te Yper, verbl.te Toerkonje en Fiorina Belpeer,strijkster te Toerkonje. Arthur Pardoen, bakkersgast te Komen (Fr.) en Eulalie Mollez, z. b. te Yper. Uustaaf Descamps, langzager te Antoing, voorg. te Yper, en Alix Coffyn, buishoudster to Antoing. Georges Bras, drukker te Yper en Alix Ta- vernier, z. b. te Deinze. BURGERSTAND VAN YPER van den 2 Augustus lot den 9 Augustus 1907 Geboorten Slosse Maurits, De Haernestraat. Vandermeersch Andreas. Zonnebeke steenw. Platevoet Roger, Kaai (Oost). Depuydt Ivonna, Meenensteenweg. Dassonneville Maurits, Dickebuseh steenweg. Debel Maurits, Kalfvaart. Vinkeu Bertha, Rousselaerestraat. Huwelijken Craye Henri, steenhouwer Wed. Warlop Leonia Coene, Irma, kleermaakster, beiden te Y per. Soenen Armand, schoenmakersgast Van- haste Emma, kantenwerkster, beiden te Yper. Baratto Leopold, zeepziedersgast A Morel Leonia, werkvrouw, beiden te Yper. Mulle Marcel,schoenmakersgast Vandamme Maria, kantenwerkster, beiden te Yper. Jacques Henri, leurder Seys Celina, z. b. beiden te Yper. Beun Maurits, kasseilegger Maerten Maria, kantenwerkster, beiden te Yper. Hoornaert Ludovic, kasseilegger Deruyter Alida, z. b., beiden te Yper. 1858-1908 —v 11 naa

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 2