LA SEMAINE Téléphone 52 Téléphone 52 Avis important OHMWQUS fPW/S e Samedi 31 g Aoutfj 1907 10 'centimes, ie N0 N° 4440 Pas de formation morale sans religion En Allemagne Au Ma roc L'entrevue de Noderney Dans Tofficine de Monsieur Homais A la Mariaschool On s'abonne rue au Beurre, 36, Ypres, et Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 C. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. A tons les bureaux de poste du royaume, Les annonces coütent 15 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal 3o centime» la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémentaires coütent 10 francs les cent exemplaires. Pour les annonces de France et de Belgique (excepté les deux Flandres) s'adresser a VA ge nee Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse. A parlir du 3 Septembre prochain les lisb s élt'dorales provisoires pour 4908-1909 serout déposées a ['inspec tion du public au secretariat et au commissariat de poüce de cbsque commune, ainsi qu'au bureau du com missariat de l'arrondissement (rue d'Elverdinghe a Ypres) Uu exem- plaireen sera aussi déposé an local de l'Association catholique, 46, rue de Menin a Ypres. Tous nos amis sout instammeut priés de bien vouloir verifier leur inscription sur les listes électorales et examiner s'il leur est atlrihué le nom bre de votes auquel ils ont droit. Les électeurs qui recoivent un avis de l'administration communale leur notifiant la radiation de leur nom des nouvelles listes électorales ou la reduc tion du nombre de leurs voix, sont priés de s'adresser au local précité munis de leurs pièces justificatives. Deux intéressants aveux de libres-penseurs Le premier est le prol'esseur suisse F. W. Förster, professeur de philosophie au poly" technicum de Munich. Ce savant est dans la force de l'üge. Issu d'une familie d'esprits forts son père est professeur d'astronomie l'université de Berlin F. W. Förster fut élevé dans la croyance que la science était appelée a remplacer la religion et que l'humanité n'avait plus besoin d'une foi, mais simplement d'une morale. Ses études furent orientées vers les disciplines philoso- phiques et se concentrèrent principalement snr 1 éthique. Une série de faits contribuè- rent a persuader F.W. Förster qu'en restant dans la libra pensée il était dans la bonne voie. L'affairo Dreyfus, qui a été pour tant d'intelligences et de consciences un fatal écueil, le fit conclure des errements de cer tains catholiques a la faillibilité de l'Eglise comme conductrice d'ames. Mais il a fait du chemin depuis lors. 11 a rendu hommage,il y a peu de temps,dans un écrit retentissant, a la mission éducatrice de l'Eglise. II proclame aujourd'hui sa convic tion qu'il n'y a pas de. vie morale possible pour l'humanité en dehors de celle fondée sur le dogme chrétien.Dans un ouvrage paru l'an dernier sous ce titre Méthode d'édu- c&tion de la jeuuesse, a l'usage des parents, des maitres et des ecclésiastiques »,M.Förs- ter a consigné ses idéés sur le role de la reli- j gion dans l'éducation. S'il admet que, dans l'état actuel des choses, étant donné le ter rain perdu par la religion dans lame des masses, Fenseignement religieux obligatoire a l'école ne pourra,a la longue,se maintenir, j en raison de la contrainte qu'il implique a l'égard des hétérodoxes ou non croyants, et qu'il faudra bien accourir a l'expédient de la legon de morale non confessionneile, il proteste d'avance.dans l'iutroduction.coiitre toute tentative qu'on lui prêterait de vouloir remplacer la religion, dans l'éducation et dans la conduite de la vie, par la simple mo rale. II affirme avec force que, bien loin de croire k la possibilité de cette substitution, il a la certitude absolue que la religion est un facteur irreinplagable en morale et en pédagogie.La conséquence de cette constata- tion, c'est qu'il y a urgence d'assurer a l'en- fance, en dehors de l'école,le complément et l'approfondissement de la formation morale par l'enseignement religieux. L'auteur se flatta même que son livre ouvrira les yeux des parents indifférents sur l'iminense déficit moral qu'ils font essuyer a leurs enfants en ies soustrayant a, 1'influenee de la religion. Un tel aveu, sous une telle plume, a une ltnPortance sur laquelle il est inutile d'in- sister. M.Förster, rappelons le, n'est pas ca- tholique.Le bruit avait couru il y a quelque temps qu'il s'était converti au Catholicisms:. II a pris soin de le démentir. II a déclaré qu'il n'appartenait a aucune Eglise. C'est levidence seule qui l'a amené a proclamer que la religion est un facteur indispensable pour la formation morale des individus. Ajoutons que M.Förster a développó.dans un grand nombre de périodiques, avec une éloquence et une force de raisonnement qui sont le produit d'une conviction fondée sur l'expérience, ses principes en matière d'édu- cation. Le pivot de sa méthode, c'est la for mation de la volonté. Assóuplir et tremper !sa volonté, voila le secret de l'éducation hu- maine. Il tient en outre que c'est un prin- cipe laux et pernicieux que de vouloir as- j seoir l'éducation sur la liberté en suppri- mant le joug d'autorité. C'est une des idéés mattresses de son enseiguement. I Deuxième aveu 1 On sait quels efforts ont été faits, en France, par les autorités officielles.pour la'i- r eiser la morale,pour rendre la morale ensei- 1 gnée a l'école, indépendante de toute idéé j religieuse. Or voici qu'un groupe d'institu- j teurs frangais.sentant les lacunes de leur en- seignement moral,vient d'appeler a son aide I un pasteur protestant, M. Charles Wagner. Celui ci est pródicateur de son état. 11 aré- I pondu a la demande des maitres d'école en écrivant un livre Pour les petits et poun I les grands O'est un recueil de causeries, j Elles parurent d'abord dans le Manuel gé I néral d'instruction primaire, journal prin cipal des instituteur3 de France.Elles eurent un tel succès qu'on pria l'auteur de conti- nuer, puis de les réunir en volume. Or ces j Causeries ont un caractère religieux net- tement accentué. L'auteur ne cache pas ses convictions chrétiennes. II ne se gêne pas pour prononcer le nom de Dieu ni pour citer 1'Evangile. Le Journal de Genève tire de ce fait la conclusion suivante La morale enseignée par les hommes sans culture religieuse préalable manque d'autorité et de puissance pénétrante. Voila le fait que vingt ans d'enseignement la'ique commencent a mettre en évidence. Ce n'est pas le caractère laïque de la morale qui l'affaiblit, mais bien plutöt le caractère irréligieux ou religieux de l'esprit qui l'en seigne. C'est la France anticléricale qui a mis a la mode l'enseignement neutre et la morale sans Dieu. Mais elle commence manifester sa lattitude. Des instituteurs de M. Briand, constatant la faillite de la morale la'ique, appellent, non pas encore le curé, mais le pasteur protestant. C'est a Dieu lui-même qu'ils demandent secours. En vérité, tous les esprits éclairés se ren- dent compte aujourd'hui que la moralité générale, loin de suivre le mouvement de progrès qui emporte l'activité humaine dans tous les autres domaines, est au contraire en état de déclin. Beaucoup, qui ne sont pas catholiques, sont amenés par cette constatation a venir roder sur le seuil de l'Eglise. Ils regardent, üs étudient, ils examinent le role rempli par l'Eglise dans le passe et son action actuelle. Leurs yeux s'ouvrent, leur esprit se délivre de tel ou tel préjugé ils sont en route vers la vérité et la lumière. Rien de plus réconl'ortant pour les catho liques. Les Congrès se suiventheureusement ils ne se ressemblent pas. i Tandis que le Congiès socialiste se ter-- 1 mine a Stuttgart, le Congrès des catholiques allemands ouvre ses assises a Wurzbourg. Déja dans toutes les séancos le Congrès socialiste avait donné le spectacle d'un parti vouó un inépuisable désaccord et a une perpétuelle stérilité. La séance de cloture n'a fait que confir- mer cette impression. Le clou de la séance était la déclaration a faire par le congrès sur la conduite a tenir par les socialistes en cas de conflits internationaux. De laborieux travaux en sous-commission avaient élaboró un texte qui coustitue un véritable triomphe de l'équivoque. Les com pagnons Jaurès, Vandervelde et consorts avaient travaillé des mains et des pieds pour faire admettre la grève générale en cas de guerre. Seulement Guesde, Bebel et les allemands faisaient bonne garde. Finalement le Congrès declare Au cas oü la guerre éclaterait néanmoins ils (les représentants socialistes) ont le devoir de s'entremettre pour la faire cesser prompte- ment et d'utiliser de tous leurs efforts la crise économique et la politique générale créées par la guerre pour agiter les couches populaires les plus profondes et précipiter la chute de la domination capitaliste. A ce prix tout le monde y trouva son compte, Jaurès applaudit, Guesde rayonne. C'est bien le cas de se demander qui dans cette affaire a été rouló. Tout autre est le spectacle du Congrès de Wurzbourg. Les eongressistes après avoir vu, l'année passée, a Essen, la cité du roi des canons se trouvent maintenant réussi dans la vieil- lotte et tranquille capitale d'une ex princi- pauté episcopale bavaroise. L'ordonnancement des congrès est désor- mais fixéil ne varie pas d'une année a l'autre. Le premier jour, le programme consiste invariablement en un cortege d'as- sociations ouvrières et une séance de bien- venue dans la Festhalle Au cortege, exactement 29 associations ouvrières étalent représentées dans ce cor tege. Elles ont défilés de 2 a 4 heures, ban- nières au vent, au son de pas redoublés joués par de nombreuses fanfares. La fan fare qui ouvrait la marché était celle du 9* régiment d'infanterie, qui a prêté aussi sou concours a la séance de bienvenue le soir. La salie oü avait lieu celle-ci peut conte- nir 8.000 personnes. Elles y étaient süre- ment ce soir la. Ces 8.000 catholiques se pressant, pleins de cordialité et d'enthou- siasme, dans cette belle salie, pour enten dre, sous le patronage de la Vierge, des paroles de foi et de patriotisme, quel magni fique spectacle Bieutót les nobles discours feront déborder leur enthousiasme en accla mations et en ovations. L'ardeur du premier jour n'a pas diminué. Ce qui n'a pas empêché les congressistes de s'occuper de détails pratiques avec une union parfaite. Comme ses devanciers.le Congrès de 1907 a voulu être ce que le Saint-Père a daigué appeler un lumineux exemp'e pour les catholiques d'autres pays On ne semble pas avoir pris fort au sé- rieux, tout d'abord, la nouvelle de la procla mation d'un nouveau sultan au Maroc. De fait on se trouve bel et bien en presence de deux sultansAbdul Aziz, jugé indigne d'occuper encore le trone, coupable d'avoir mis en pe'ril la cause de l'Islam au Maroc et son frère, Mouley Hafid, vice-roi du Maroc meridional, décidé parait-il a inaugurer une nouvelle ere dans l'empire des Maurs. Dans l'opinion du correspondant du «Ti mes» l'ave'nement de Mouley Hafid est de nature a assurer au Maroc un gouvernement fort et une tranquilité relative. Le nouveau sultan s'efforcera de prote'ger les Européens de facon a rendre inutile tout nouveau débarquement de troupes étrangères. II cherchera a calmer les tribus en proposant de négocier avec le gouvernement francais l'évacuation de Casa-Blanca. Ce programme est rassurant. Mais la situation n'est point simplifiée: "au contraire. Mouley Hafid a écrit au sultan lui ordonnant de quitter le tröne. Abdul Aziz se soumettra- t-il S'il réussit a se maintenir, il devra déclarer la guerre a l'usurpateur. Cela ouvre une ére de troubles, qui peuvent avoir pour effet d'écartei une action offensive contre les troupes étrangères mais dont les réiidents européens n'auront guère a se réjouir. Et n'oublions pas qu'il existe encore un préten- dant, dans Ie Nord.., Si le nouveau sultan réussit a débarquer son frère, quelle sera son attitude a l'égard de l'acte d'Algésiras Nous trouvons la réponse a cette question dans les déclarations faitespar Mouley Hafid dans le courant du mois de mai car il se préparait a son role dès cette époque au correspondant d'un autre anglais Nous observerons, dit-il, les anciens traités. Nous désirons le maintien de relations amicales avec toutes les puissances et la prospérité du commerce marocain et européen. Qjant a l'acte d'Algésiras nous n'avons pas été consulté a ce sujet. Maintenant, l'anarchie marocaine n'a pas dit son dernier mot. La note dominante de l'année 1906 fut la méfiance entre 1'Allemagne et la France. On peut dire que la réunion de la conférence internationale d'Algésiras en fut la résultante. En 1907, a l'heure oü la question marocaine semble se compliquer, un raprochement s'établit entre les deux nations. Dans ces conditions l'entrevue du chance- lier de Bülow avec M.Cambon,ambassadeur de France ne pouvait passer inappergue. Son importance d'ailleurs a été mise en relief par deux notes officieuses transmises simultané- ment aux journaux a Paris et a Berlin. De part et d'autre on reconnait la trés grande cordialité de la réception faite a M. Gambon. Si les entretiens de Noderney n'ont donné lieu a aucun traité, du moins toutes les ques tions pendantes entre la Franceetl'Allemagne oni été sérieusement abordées par les deux hommes d'Etat unis depuis nombre d'années par des relations personnelles. Cette entrevue écrit un journal allemand, peut-être un nouvel anneau dans la chaine des efforts réciproques qui tendent a donner une couleur amicale aux relations concilian- tes entre Ia France et l'Allemagne. Ce n'est plus au temps, trés peu éloigné, oü l'empereur Guillaume II, opposait ces relations en tant que simplement correctes, aux relations «amicales» de l'Empire avec certaines autres puissances. Monsieur Homais, dont l'esprit éclairé favorise toutes les idéés neuves susceptibles de nuire au néfaste obscurantisme cléiical, M. Homais est devenu socialiste. Sa suffisante nullité ne parvenant pas a s'imposer a ce parti clérical dont jadis il fit partie, trouva plus ingénieux de former un groupe d'opposition, dont il serait le porte- parole, Ie directeur et le bailleur de fonds. II trouva dans la population étrange et vagabonde des frontières c'est Wervicq que cela se passé,parmi les ouvriers no- mades travaillant dans les fabriques fran- 9aises, des éléments suffisamment dociles pour lui donner 1'illusion d'avoir fondé un parti. Sa vanité se complut dans ce poste glo- rieux. Derrière son officine, il installa une coopérative dont le principal luxe fut un café. II y a quelques jours, ce brave M. Homais ouvrit son établissement a tous venants et a la hampe de la maison il arbora un drapeau dont la couleur rouge pouvait aussi bien symboliser la joie ressentie par son proprié- taire en cette glorieuse journée, que la honte d'un passé clérical qui devait le poursuivre comme un remords 1 Ce cléricalisme fut sans doute la grande faiblesse de sa vie,et ses déclarations les plus solennelles ne lui rendront la confiance ni des uns ni des autres. Et si beaucoup vinrent sedésaltérer chez lui, cela tint surtout a ce qu'il fit trés chaud ce jour la et que la ker- messe traditionnelle de Wervicq avait attiré beaucoup du monde étrar.ger qui ignorait M. Homais. Quant aux Wervicquois,qui le connaissent davantage, pour la plupart ils s'abstinrent. Ce n'est done pas a proprement parler un groupe socialiste qui s'est formé a 11 Wervicq, et"ce brave M. Homais qui, avec ses recettes contre les rhumes, ses ventouses ou ses sina- pismes.débitedes idéés révolutionnaires.nous fait l'effet d'un pitre qui veut, a l'aide du socialisme,se hisser sur le tréteau du succès. Et voila la raison de eet entrefilet oü le Peuple annonce pompeusement a ses lecteurs la fondation d'encore une nouvelle maison qui se dressera devant la réaction. Pour ceux qui connaissent le langage bableur et vantard du journal socialiste et qui maintes fois ont pu controuver ses infor mations exagérées, erronées,— pour ne rien dire de plussur les progrès^du parti rouge en Flandre, ils]jcomprendront qu'en l'occur- rence il ne s'agit que d'une nouvelle galéjade? Dieu sait pourtant quels efforts n'ont pas tentés ces bons apötres pour attirer des re- crues, ne reculant devant rien, pas même devant une grève forcée de plus de cinq mois dont le résultat fut de'eevant "pour les socia listes. Sans doute les idéés syndicates ont fait des progrès a Wervicq comme ailleurs, mais c'est le syndicat chrétien qui gagne de plus en plus d'adhérents. Or done, si nos amis catholiques veulent s'y mettre et, sans nul doute, ils y sont déci- dés, ce soi disant triomphe des socialistes n'aura pas de lendemain a Wervicq. Le dra peau rouge, délayé par les pluies, pêlira peu a peu comme le succès de M. Homais qui, desséchant derrière les bocauxde son officine, prononcera devant eux seuls de grands dis cours inemployés. {La Patrie) Comme dans le grand moDde dep ais les noces de Cana, nos écoles fibres avaient réservé la bonne bouteille pour la fin de ce vrai festin de noces que constitue Ia série de leurs distributions de prix. C'est la Mariaschool qui s'est chargée, Mardi et Mercredi derniers, de clóturer dignement le festival littéraire, artistique, musical, etc. qui vient se greffer annuelle- ment sur les festivités officielles organisées en l'honneur de la Patronne d'Ypres. Car noblesse oblige. Si la Mariaschool n'est, il est vrai, qu'une riche parvenue, capable et soucieuse de faire comme dans le grand monde scolaire, son ambition est de bon aloi et surtout éclectique et, loin de rougir de son humble origine et de répudier 8es ancêtres, elle entend rester peuple pour relever et ennoblir sa classe a l'aide de ces véritables titres de noblesse qui constituent toute sa richesse et toute sa gloire et qu'elle fait remonter jusqu'au sublime Roturier de Bethléem. La Mariaschool L'Ecole de Marie Mais son nom seul déja annon Qant une école cboisie, une école modèle, lui impose l'obligation de briller entre toutes les écoles de filles. Mais hélas en ce siècle de progrès, la bril jante étiquette couvre si souvent un produit frelaté, que la méfiance devient une vertu et que la circouspection s'impose désormais en toutes matières. Aussi avon3 nous tenu y aller voir de prés. Nous nous empressonsde dire qu'en l'espèce le produit répond parfai- tement aux promesses de l'étiquette, car dans tout ce qu'on y voit et entend se révèle la protection de Marie et se reflète l'esprit de l'auguste Temple de laSagesse.Amabilité, zèle et dévoüment du directeur et des mai- tresses, piété et vertu des élèves, prudence et sagesse caractérisant l'éducation, l'ensei- gnement des oeuvresscolaires deprévoyance, JOURNAL ©rgane Gatholique de 1'Arrondissement 4

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 1