VI NS
INSTEL
Bouwgronden
MAISON DE RENTIER
J.FIERS-LOUWYCK
A. DECHIEVRE
YPRES
ENRI GHYSEL
Du Hoek van Holland
Huwelijksafkondigingen
La guérison d un Houilleur
Nécrolosie
Les petits trous
Twee groote en schoone
Lundi 14 Octobre 1907,
Lundi 28 du même mois,
AVIS IMPORTANT
Les pilules'Pink donnent
des forces pour le travail
Studiën van Meesters
RE SÉ FRAEIJS, notaris te Brugge
en ACHILLE D'HOORE, notaris
le Beernem.
Op Maandag 30 September 1907,
om 2 ure namiddag (om ten 3 ure te
beginnen), te Steenbrugge, in de Esta
mi net De Kalkoven, van
A.
dienstig voor koophandel
en nijverheidsgestichten, het eenc te
Oostcamp (Steenbrugge), den hoek
uitmakende van dekalsijde van Steen
brugge naar Oostcamp en van Steen
brugge naar LophemeD het andere
te St-Michiels (Steenbrugge) langs de
vajirt, tusschen de brug van Steen
brugge en de ijzerenbrug, dicht de
kerk der paters Benedictijnen, de
vaart en de statie van den ijzeren weg
en tram.
B.
te Steenbrugge tusschen de vaart
van Brugge naar Gent,en de kalsijde
van Steenbrugge naar Oesicamp.
Alles laatst gebruikt door Me We
D hoore-Ruose.
Aanstonds in genottreding.
Veideeld bij plakbrief in 35 koo-
pen.
Na (e zien alle dagen, zich te be
vragen voor de sleutels bij Prosper
Degersem, Nr 46, weinig over het
huis te Oostcamp.
en behoud
VENTE PÜBLIQUE
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Le Notaire EUGÈNE VAN DER
MEERSCH, résidant a Ypres,
exposera en vente pubüque rimmeu-
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presentées doivent être dressées parordre numérique.
Le bureau est ouvert de 9 a 12 A. dumatin.
il^^fiïïi Bilj^i^iTn] [iiij^f^fiïil [iïiï^^iiiji [iiü^^jTTn ijfij^^iiïïi liiii^^ïilli flïïi^j^Tiiïi nïïr^^TiTïl 11171^^11011 iTTTrjg^giïTTn [TïTiig^gjnTnlïïrségrnïï [iirri&tzififfl
cat
ques. Restreindre la quantité des occasions
est louable assurément, mais c# serait une
illusion, l'inBuccès de ces mesures l'a ample-
meat prouyé, que d'attendre d'elles seules
le salut, parce que l'alcoolisme est une
passion ayant ses racines dans le tempé
rament et la volonté de l'homme.
L'Etat ne peut presque rien dès lors sans
l'effort personnel et spontané des citoyens.
II a déjü assez de mal a triompher de maux
causés par des abus contre lesquels il trouve
*n concours absolu dans les cceurs révoltés
de leurs rictimes, comme les exces de tra
vail, comment pourrait il refrêner les pen
chants furieux de l'alcoolique ou du débau-
ché En vain monopoliserait-il l'alcool,
fournirait-il a chacun uu logis agréable, si
les iDdividus ne sont pas personnellement
oonvaincus du tort, qu'ils se font en buvant,
s'ils n'ont pas l'énergie morale de se sous
traire par une resolution inébranlable a
l'avidité d un plaisir. déja excité héréditaire-
ment et surtout aux habitudes sociales
d'offres incessantes du poison, si enfin la
religion ne lui donne pas la grace de se
dominer lui-même, il n'y a rien a faire.
C est a son education antialcoolique, sa
sauvegarde, surtout en prenant l'enfance
avant qu'elle ait subi les premières impres
sions de l'alcool, que les ligues antialcooli
ques se consacrent. Chacun de leurs succès
est un avantage pour vous. Semblables aux
sapeurs qui élèvent a la tête les retranche-
ments derrière lesquels le géaie édifiera ses
fortifications, elles sont indispensables a
l'armée de la réforme sociale.
Mais a qui done cette oeuvre convient elle
mieux qua des catLoliques L'alcool ruine
les ménages, et la charité vous presse de
secouiir votre prochain il tue les corps, et
le soin des malades est un8 oeuvre de
miséricorde surtout il retarde toujours et
paralyse souvent l essor des Ames, et leur
perfectionnement eat le but suprème du
christianisme.
Enfin le moyen de combattre le fléau,c'est
ce renoncemeDt, cette mortification pour
soi-même, et mieux pour exercer vis a-vis
des autres, l'influence de l'exemple seule
efficace en cette matière, qui est une des
vertus essentielies de notre religion, surtout
quand elle prend ainsi sa source dans la
charité. C'est vous dire, qu'il est indispen.
sable aux catholiques d'avoir leur ligue a
eux, proclamant leurs convictions comme le
font les protestants.
Ces dernitr8 ne négligent pas ce moyen
d'assurer a leurs doctriaes le prestige d'uu
bienfait social. Pouvons-nous faire moins et
refuser a notre foi le témoign ge de notre
zèle a terrasser un mal si contraire a toutes
ses inspirations.
Et cela était le bonheur.
Seulement, voila le Breton de Ker-
inaria connaissait un pays qui gagnait
150 francs a perc.-r des petits trous dans les
petits cartons qui servent de tickets au
Métro... uu Breton pas plus bachelier que
lui, mais qui avait eu le nez de venir a
Paris
50 fraucs de plus par mois 600 frs.
par an!... Vois-tu ga, Anne-Marie... Un
billet bleu, chaque mois, de cöté dans ton
bahut...
Et Anne Marie, sous sa coiffe plate,
ouvrait des yeux ronds.
Le Breton ne dormais plus... Ca biliet de
50 francs s était mis entre son bonbeur et
lui, comme une feuille de salade qui se colle
sur la paroi de votre estomac...
II en paria a Piostituteur, au maire, au
consedler général, au député, k la femme du
8énateur!.. II fit des lettres, des suppliques
apostiilées, réapostillés, il attendit, s'impa-
tienta, demanda un congé de vingt quatre
heures pour aller a la ville chauffer l'affaire,
celte superbe affaire, oü l'on gagnait 150 fr.
par mois a faire de tout petits trous dans les
tout petits cartons du Métropolitain
II en arriva a déteindre sur les plus ras-
sis de ses camarades et souvent les autres
cantouniers se rangeaient en cercle autour
de lui, sur la grand'route,et l'interrogeaient
en fumant leur pipe.
Ce n'est pas posïible... il doit y avoir
autre chose
Pas autre chose I
Alors comme ga, toute la journée, il
fait des petits trous
Oui...
Dans des petits cartons...
Dans des petits cartons...
Et 150 francs...
Et 150 francs
lis le regardaient alors avec de J'envie au
fond des yeux, les pauvre3 gens aux mains
callouses, car, eux, ils faisaiont toute la
journée des grands trous dans la lande gra-
nitique, etils ne gagnaient que 100 francs
par mois
Bienheureux, pensaient-ils en se disper
sant, ceux qui font des tout petits trous,
dans des tout petits cartons
Portifié par cette vision, il se dit que dans
quelques années, apprès avoir tourné et
tourné des milliers de fois encore, s'il n a
pas le «tournis» comme les moutons malades
de son pays, il arrivera enfin k percer, lui
aussi 1...
Et ayant percé dans l'Administration, il
percera a son tour de tout petits tious dans
de tout petits cartons a quarante pieds sous
terre...
Et alors... oh alors II... ilgagnera i5o frs
par mois
Mais il n'y a qu'un malheur, c'est que,
avec sa femme, ses six enfants et la vie de
Paris, il en dépense déjè... 160...
La photographic ci-dessous reptéseDte l'hötel
Amerika - A Hoek van Holland, bien connu
pour les soins dévoués qu'y ont trouvés les nau-
fragés du navire réce'frïmerit éclioué «la Berlin».
Nous avon.® eu le plaisir d causer k Made
moiselle Tuyn, la fille du patron de l'hötel
«Amerika la même personnequi par ses soins
Représentants demandés par
première Maison. Lorendeau
242 Cours d'Espagne, Bordeaux.
Emiel Duran, aardewerker te Yper en Felicie
Demey, dienstmeid te VlamertiDghe.
Emiel Declercq, landwerker te Waasten en
Germans Landtshee/e, z b. te Yper.
Ernest Gouwy,bakker te Ypor en Felicie Bae-
len, strijkster te Zonnebeke.
Henri Knoekaert, meubelmakersgas en Joan
na Dobbelaere, z. b. beiden te Yp3r.
S WB
«Je vous autorise cortainement k publier le
rócit de ma guérison par les pilules Pink.Je suig
trop heureux d'être débarrassó de tons mes ma
laises pour vous refuser de faire connaitre que
c'est aux Pilules Pink que je dois cela- Et puis,
cette attesta.ion óclairera peut-être des camara-
d'squi souffreut comme j'ai souffert, sur ce qui
leur reste k faire. Ainsi s'exprimait dans une
lettre adressée k M. Derneville, le pharmaeien
bien connu, dépositaire k Bruxelles des Pilules
Pink, Evence Deleuve, houilleur a Haine-St-
Paul, iue Houssy, n° 8.
Dimanche dernier est décedé en notre
ville Monsieur Prosper Hauwspie enlevé a
l'offection de sa familie après une courle
maladie a l'age de 51 ans.
Le regretté défunt était un homme dévoué
la bonne cause, d'un caractcre franc et
loyal. II était membre supp'éant du conseil
des Prud'hommes et Maréchal des logis chef
au corp3 des Sapeurs Pompiers.
En cette dernière qualité il a rendu des
services inappréciables lors de la reorgani
sation de ce corps communal distingue.
Aussi ses chefs l'avaient-ils en haute estime.
Ses funérailles ont eu lieu Mardi au milieu
d'une affluence cousidérable, comprenant
outre le familie et de nombreux amis, le
Conseil des Prud'hommes,le Corp? des Pom
piers et 1 Harmonie Communale, qui ren-
daient les honneurs, une députation du 3'
Rgt de ligne et plusieurs délégations de
sociétés avcc drapeau.
Nous adressons k sa mémoire notre pieux
souvenir, et a sa familie nos ehrétiennes
condoléances.
A ceux qui sont a camps et qui veulent
venir en ville.
Cétait une jolie petite chaumine,
comme on en rencontre a chaque pas en
Bretagne...
Elle s'appelait Kermaria la maison
de Marie et, pour un beau Ker, c'éiait uu
beau Ker,aux silex durs, dentelés de ciment,
piqué comme un joujou gris sur la lande
verte, coiffé k la diable d'uu bonnet de
chaume, que le vent de la mer hérissait on
brosse, comme la moustache d'un vieux
brave 1...
La dedans un cantonnier, sa femme et
six enfants.
Le cantonnier 100 fraucs par mois
sec et dur comme un nerf de bceuf.
La femme, petite et large comme un
cargo boat, avec des robes froncées qui lui
faisaient des promenoirs autour des han-
ches. i
Les enfants, ronds comme des boules,
rouges comme des pommes d'amour.
Sur le tout, l'immensité du ciel oü galo
pent les nuages... En bordure, l'Océan, qui
vous emplit lespoumons d'air et vous inonde
lts yeux de son e'ternelle couleur d'espoir.
Un jour, le Breton revint dans d'exalta-
tion de la jubilation suprème, en brandissant
une iettre de Paris: Administration générale
du Métropolitain. Service du personnel.
Enfin 1 il était admis 1
On vendit, a la hate, la pauvre chaumine;
on bazarda les vieux meubles, ou eotassa la
liteiie sur une charrette, on payé ure tour-
née aux amiset, toute la familie, père,
mère et six enfants, s'achemina vers la gare
oü elle se buta contre M. le recteur qui
venait retirer un colis.
Ah 1 mon pauvre Jean-Marie 1... ta as
fait une boulette 1
Vous croyez, Monsieur le curé
Sijele crois 1... Voyons... pourquoi
n'es-tu pas venu me consulter..?
Pas de danger 1... j'étais sür de se que
vous m'auriez dit...
Et il partit sans retourner Ja tête.
D'abord, ce fut Ia lande... puis la petite
ville... puis des plaines qu'il ne connaissait
pas... Et enfin, après des heures et des heu
res, surgirent peu a peu, les usines, les
cheminées, les maisons lépreuses, les fau
bourgs pelés, et la ville, la fouraaise, oü
l'on percait de tout petits trous dans de
tout petits cartons pour 150 frs. par mois
BURGERSTAND VAN YPER
van den 6 tot den 13 September 1907
Geboorten
Best Joseph, St Janstraat.
Wylleman Maria, Rjjselstraa'.
Heughebaart Augusta, Almoezenierstraat.
Burggraeve Maria, Zaalhof'.
Declercq Gelioe, Bukkerstraat.
Deconinck Martha, Rijselsteenweg.
Libois Ivan, Rjjselstraat.
Vandamme Julia, Brugge steenweg.
D'haene Juliaen, Bukkerstraat.
Huwelijken
Wyckhuis Karei, winkelier wdr. Verhelst
ElisaA Verhelst Octavie, z. b. beiden te Yper.
Dumortier Camiel, drukker en Herreman
Leontine, z. b. beiden te Yper.
Sterfgevallen
Gabriel Maria, li m. Sehuttelaerestr.
Swyngedouw Karei, 71 j.plafonneerden ecbtgt
De Groote Florence, Rijselstraat.
Hauwspie Prosper,51 j.timmerman,echtg.Lou-
wyck Eveline, L. Tüouroutstraat.
Verleure Maria, 6 m. Patteelstraat.
Blomme Maurits, 2 j. Zonnebekesteenweg
Vandaele Maria, 74 j. huishoudster, wwe Du-
flou Juliaan, Klaverstraat.
Merveiilie August, 33j.vischverkooper,echtgt
Maerten Sylvie, Almoezenierstraat.
Pontus Etnilie, 42 j. z. b. echtgte Begerem
Georges, Cartonstraat.
Glissoux Nestor,72j.z.b,wdr Nevelstyn Lncie,
ecbtgt Louf Ludovica, Rjjselstraat.
Vanüove Albert, 5 m. Poperinghe steenweg.
De Meester Therese, 66 j. kloosterlinge, We-
ninckstraat.
L'hótel Amerika a Hoek van Holland
admirables mérita la reconnaissance des naufra-
gés sauvé.ï et a qui le capilaine G.W. Parkinson,
sauvé le premier, remit une bague avec incrip-
tion ebmoise comme gage de gratitude. Mile
Tuyn nous autorisa a declarer ce qui suit De-
puis mon enfance j'ai souffert de la poitrine. je
toussais beaucoup, mes glaires étaier.t striées
de sar g L'emploi régulier du Sirop de l'Abbaye
m'a beaucoup soulagé. Je recommanderai tou
jours loSi:op de l'Abbaye aux j ersonnes souf-
frant de la poitrine.
Le Sirnp do l'Abbaye du Gouvent Sancta Paulo
tonifle les voies re.-piratoires et les poumons; il
guérit la oü les autres remèdes ont échoué.
N'bésistez plus 1 Si vous toussez, si vous êtes
oppressé, si vous souffrez de la gorge ou des
poumons, si vos er.fants ont Ia eoqueluche Votre
salut, c'est le célèbre Sirop de l'Abbaye du Gou
vent Sancta Paulo.
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les bonnes pharmacies.
M.
sa.
MEvence Deleuve
(Cl O. Warder, La Louvière)
Evence Deleuve, qui nous a communiqué
Maintenant, il y est 1..
11 ne perce pas encore les petits trous au
contróle des gares, ui même dans les wagons
de le... Oh 1 ce ne sera que dans plusieurs
années Car surtout ici, il faut le temps de
percer avant de perser...
II se borne a ouvrir et fermer les portes
d une prolétaire voiture de seconde classe,
oü le peuple francais tout entier lui monte
■ur les pieds...
Et le train lemporte, et le fait tourner
sempiternellement entre les mêmes stations,
dans le noir, dans la buée chaude, dans
l'étouffement, l'écrasement, le tohu bohu de
laloule,jusqu'a une heure du matin. line
sait même pas si c'est de droite h gauche,
ou de gauche a droite, mais il tourne en
core... il tourne toujours dans ce cercle
d enfer que Dante n'avait pas prévu.
A certainB jours, le dimanche surtout, oü
il tourne, plus étonffé que jamais, il pense
du fond de son souterain au petit Kermaria,
aux silex durs, dentelés de ciment, posé
comme uu joujou gris sur la lande verte,
coiffé a la diable d'un bonnet de chaume,
que le vent hérisse ea brosse comme la
moustache d un vieux brave...
Instinctivement alors il gonfle plus large
sa poitrine haletaute mais il ne trouve pas
plus les grands souffles de l'Océan, que sa
femme ne trouve, a fa fin du mois, le billet
de 50 frs. dans le fond de ?on bahut.
II lui reste pourtaïit une consolation...
car, eu tournant, i( aperqoit souvent, dans
les gares, le «pays» a 150 frs qui, moite et
saus pensée, perce, d'un mouvement auto-
matique, toujours et toujours ses petits
trous...
Bumvoonmn
i/s 1NSTELPENNING TE WINNEN
d'une belle
photographio, (lont uous donuoris ici une re
production est un Iiommo dans toute la force de
1 age, 32 ans. Host grand, fort et cep-nidaot la
maladie 1 avait terrassé et de eet homcue puissant
elle avait fait un homme aussi faible qu'un en
fant. Pendant un an et demi, il a étó aiiémique
ila souffert de manque d'appétit. de maux dé
tête, de mauvaisos digestions, de mmaue de
sommeil. Sa respiration était courte, il était con-
tinuellement oppressé. Si vous aviez pris sa
main, vous auriez été étonnó de la trouver si
froide. Tout son corps était aiusi glaeé, et il
semblait qu il n'avait plusde sang dans los veines
pour réchauffer son corps.
Effectivement.il n'avait plus beaucoup de sang
et celui qui lui restait n'était pas de bien bonne
qualité. II était pauvre en globules rouges, il
ressemblait k de l'eau. Un tel sang ne peut pas
faire vivre un homme, ne peut pas uourrir ses
organes, ne peut pas lui donner des forces pour
le travail. Les Pilules Pink, par contre, donne-
ront a ce sang tout ce qui lui manque, elles le
rendront chaud, riche, rouge, elles lui readront
la composition normale sans laquelle il ne peut
existerde bonne santé.
Ne 1 oublions pas, notre corps tire sa nourri-
ture, sa force, du sang. Dès que ie sang n'est
pluscequ"il doit être, il y a maladie, mais dès
que l'on suit le traitement des Pilules Pink, le
sang, redevient ce qu'il doit être et la maladie
est obligée de disparaitre. Les Pilules Pink
donnent du sang, donnent de forces.de I'appótit,
de bonnes digestions. Eiles sont souveraines
contre 1 anémie, la chlorose, la neurasthénie, la
faiblesse générale, les maux d'estomac, migrai
nes, névralgies, sciatique, rhumatismes.
Elles sont en vente dans toutes les pharmacies
et au dépót: Pharmacie Derneville,66,Boulevard
de Waterloo. Bruxelles3.50 fr. la boite, 17.50
les 6 boites, franco.
Dépot a Ypres, pharmacie G. LIBOTTE A
Poperinghe, pharmacie MONTEYNE.
Ex-élèva de l'Acaddmie Royale de BrnxellM
lil
Téléphono '2<i
Maison fondée en 1873