A propos de nos êlections Elections Communales Causerie féminine Une plate-forme électorale Documents yprois a lire Becelaere Bixschote Boesinghe Brielen Eiverdinghe Gheluvell Hollebeke flouthem Kemmel Langemarck Coniines Croosbeke DickebuKch Dranoutro Locre Neuve-Eglise Oostvleteren Passchendaele Ploegstecrt Voormezeele Poelcapelle Poperinghe Proven Reninghelst Rousbrugge Vlamerlinghe Walou Wervicq Westouter Westvleteren Woesten Zandvoorde Zillebeke Zonnebeke Zuydschote Rapport sur les moyens i em ployer pour améliorer notre dis— tribution d'eau,par ME. Froidure, ingénieur principal des Fonts et j Ghaussées. Saint Jan Warneton Wulverghem Adjudication publique Comme si un seul des travaux publics qui sont commencés n avait pas été entrepris publiquement Comme si tous ceux qui sont annoncés et dont le coüt selevera a prés dun million ne devaient pas, d'après la loi, être adjugés publiquementQuelle ignorance du droit, Messieurs du Groupe Ne savez-vous pas du reste que, sous l'administration actuelle, l'adjudication pu blique est la règle Voulez-vous peut être que la ville fasse constamment appel aux entrepreneurs et fournisseurs étrangers pour toutes espèces de trayaux et de livraisons, pour la fourni- ture du pétrole, par exemple, dont l'un de vous est 1'unique fournisseur de l'llotel de ville Allocs, Messeurs les groupés, vos autres griefs, et votre programme, s'il vous plait. N'essayez pas de conquérir l'Hótel de Ville pour les libéraux, en faisant des pro- messes vagues et frustratoires. II faut au public des faits précis, des engagements qui puissent se traduire en acies. Si vous n'avez pas d'autres griefs que ceux que vous faites valoir dans votre mani feste, le public vous sifflera.On vous deman- de de critiquer, si vousle pouvez,l'adminis tration catholique, son programme, ses projets, ses travaux, ses actes, sa gestion financière. Or, dans tout cela, vous gardez du Progrès le silence prudent. En réalité, vous n'avez pas de griefs mais vous avez du ressentiment plein le coeur. Croyez nous, la rancuno est mauvaise conseillère vous l'expérimenterez bientot k vos dépens. Quoi qu'en disent certaines de mes «amies» dont les propos désobligeants sont parvenus kmon oreille,ce n'est pas un irresistible besoin de bavardage qui m'a poussée a faire ma partie dans le grand papotage préliminaire aux procbains cornices. La vérité, c'est que je meflatte d'avoir le cceur bien place et que je le laisse volontiers s'épancher quand la reconnaissance en déborde. Et quelle femme, quelle mère de familie surtout, ne serait reconnaissante k l'administration catholique de tout ce qu'elle a fait pour nous depuis son avènement J'ai signalé en passant le grand perfection- nement, la création, devrais-je dire, de notre éclairagc public. Qui que vous soyiez, Mes dames, dévotes ou mondaines, sortant de bonne hsure pour aller a l'église ou rentrant tard de soirees de tout genre, vous me saurez gré, n'est ce pas, de me faire votre interprète pour en exprimer notre vive gratitude a l'administration N'eüt-elle que ce seul extra a son actil, qu'elle aurait déja amplement mérité de voir le corps électoral luiconserver ses faveurs. Mais avant de passer en revue d'autres sujets de satisfaction quenous avons, je veux vous confier un tuyau que Je me suis procuré a votre intention et qui vous fera d'autant plus de plaisir qu'ils'agit du couron- nement d'une oeuvre qui est la votre. Je me suis laissé dire que ce joli monument que votre piété a érigé a la gloire de l'Immaculée Conception recevrait un entourage monu mental digne du monument même et qu'un luminaire de luxe rehausserait encore de son vif éclat eet ensemble artistique. Mais nos édiles ne se sont pas contentés de nous doter d'un éclairage nocturne intensif, ils ont, si j'ose dire, intensifïé l'éclairage diurne lui même ils ont becauérisé le soleil dans tous les quatiers qui ne connaissaient l'astre du jour que par d'hypothétiques reflets. a Ou le soleil n'entre jamais le médecin entre souvent dit un proverbe italien d'une profonde justesse. Si je ne me trompe, notre digne bourgmes- tre a longtemps séjourné en Italië. Et mani- festement, il en a rapporté au profit de ses administrés le précieux cadeau d'un vif amour du soleil. Nous, mères de familie, nous l'en bénis- sons doublement. N'est ce pas Michelet qui a écrit quelque part L'enfant est de toutes les fleurs celle qui a le plus besoin de soleil Et les enfants du peuple ne sont-ils pas vos petits protégés, Mesdames de la Provi dence 1 N'êtes vous pas un peu leur seconde mère Remerciez done, en leur nom, 1 ha bile administrateur qui sait trouver les ressources nécessaires pour réaliser des tra vaux d'hygiène aussi considérables que l'est, par exemple, l'assainissement par les grands moyens de tout le quartier de la rue aux Trèfles. Mais sans oublier les enfants du peuple,ne sommes nous pas directement intéressées nous mêmes, nous et nos propres enfants, aux mesures d'hygiène de toute nature f Dans ces agglomérations compactes qui con stituent une ville, il est rare que le fléau éclos dans quelque quartier insalubre s'y cantonne jusqua extinction. II convient done de louer hautement des administrateurs qui, non contents de réglementer les batisses au point de vue de l'hygiène et de faire observer rigoureusement les prescriptions de toute nature visant la salubrité publique, ont su, j sans pressurer le contribuable, aligner des kilomètres d'égoüts, percer des quartiers insalubres, subsidier des concours d'ordre et de propreté, changer des rues en avenues, transformer l'ancien bourbier de la place de la gare en un superbe square, etc. etc., tant et si bien que notre-ville est devenue l'une des plus saines du pays. Et si la mortalité infantile seule accuse encore une regression trop lente, il y a la une situation que l'on observe un peu partout chez le peuple, tant en villequ a la campagne. Pour remédiei a cela il y a une véritable guerre a livrer aux préjugés et aux pratiques erronées si répandus dans la classe populaire. Une réforme aussi profonde des notions et des usages courants est forcément une oeuvre lente et difficile. Les meilleurs efforts se brisent non seulement contre l'esprit de routine, mais encore, il faut bien le recon- naïtre, contre des difficultés quasi insurmon- tables provenant des conditions de vie même des ménages peu fortunés. Mettons que ce petit point noir de la sta- tistique sanitaire de notre ville soit une ombre au tableau qui lui donne du lustre et rendons gréce, sans autre réserve, a une édilité qui se montre si soucieuse de notre petite santé. ROSETTE. Et le dieu, poursuivant sa carrière, Verse des torrents de lumière Sur cesobscurs blaspbémateurs. Ges vers classiques vous reviennent natu- rellement a la mémoire en présence de ces can- didats, vraiment candides en leur naïveté, qui se sont avisés d'affïonter le scrutin en prenant pour plate forme la question du gaz La question du gazMais il n'y a plus de question du gaz, depuis que le gaz lui même s'est chargé de la résoudre en versant des tor rents de lumière sur ses obscurs blasphéma- teurs. 11 n'y a plus de question du gaz paree que le peuple, simpliste mais non sim plot, n'a pas l'babitude de chercher midi k quatorze heures. Toutcomme un philosophe célèbre résolvait la question du mouvement en se mettant a mar cher, le peuple, pour résoudre la question du gaz,se plantedevant un réverbèreet se contente d'ouvrir les yeux. Aussi la plate-forme des candidats du gaz fait elle songer k la nacelle du ballon oü s'installe l'imprudent aéronaute. Gonfiant dans le gaz qui la soutiept dans les airs, il monte plus haul que tous les hö'els de ville, plus haut que tous les Capitoies justju'k ce que, parvenu dans la région des nuages, une simple étiucelle électri- que vient crever son aérostat. Et aussitót le m dbeureux navigateur aérien, culbuté de sa plate forme renversée, vient s'abimer lamenta- blement sur quelque ruche tarpéienne. C'est l'histoire d'une fouie de conquérants de 1'airce sera demain celle de ces candidats nouveau geure, qui rêvent de monter a l'hótel de ville... en ballon. La période électorale, époque d'invenlaires' remet au premier plan de l'actualité deux bro chures des plus utiles k consulter en vue de l'étabiissement d'un bon bilan. Aujourd'bui surtout qu'avec un a propos vraiment stupéflant un groupe de candidats a l'aplumb de se réclamer uniquement du souci des intéréts matérielsde la commune,il importe de procurer a l'électeur sérieux les documents de nature a éclairer sa religion. C'est ce qui nous engage k signaler a ceux qui ne les con naitraient pas encore deux brochures du plus vif intérêt, dont l'une.pai ue il y a unan environ, se compléte par une autre parue il y a cinqans, ainsique par une note complémentaire parueen 1906. La premiere c'est le Rapport sur les Finances communales présenté par M. le Bourgmestre dans la séance du Conseii communal dn 10 novembre 1906. Depuis la publication des Ypriana d'Alphon. e Vanden Peereboom, nous ne croyons pas qu'il ait paru un ouvrage quelconque relalif k la ville d'Ypres plus intéressant que la petite bro chure susdite, ou du moins une publication dont les Yprois aient lieu d'être plus fiers et plus réjouis. Ah sans doute, les Ypriana constiluent un superbe mémoriai de gloires de noire antique cité, un commentaire descriptif attachant de tout ce que nous monlrons avec fierté aux visi teurs de notre ville. Mais, le livre fermé el les regards jetés sur tous ces monuments si juste- ment célèbres, quel amer désrnchantement Quelle piteuse attitude même est la notre lors- que, après avoir appelé l'étranger dans nos murs pour lui montrer, comme une femme coquette, tous nos joyaux, nous devons com- mencer par le prévenir charitablement de ne pas y regarder de trop prés de peur d'être légè rement désillusionné et, ce qui serait pire, d'altraper ces lourds joyaux sur la lêle. La pelitc brochure en question nous délivre enfindel'uffreux cauchemar qui nousopprrssait depuis si longtemps. Elle nous apprend, elle nous prouve qu'ils sont passés les temps oü, faute de ressources, la ville devait se résigner a imitcr les vieilies coquettes qui ne savenl plus k quel fard recourir pour réparer des ans l'irréparable outrage. Passé-- les tetnprbfTpöur se décider a quelque dépense extraordinaire devenue indispensable, it ne restait a choisir qu'eutre de nouvelles impositions el les écono- mies de bouts de chandelles,voire les economies blkmables faites sur le nécessaire. Aujourd'bui, sans demander un centime k l'impót,sans sup- primerou réduireun service quelconque, notre caissier est k mème de faire supporter par nos recettes ordinaires l'intérêt d'un emprunt de... 860,000 fr. excusez dn peu 1 Et malgré d ia, i( il resteraii èiicóré des excédeifls a "ordinaire supérieurs de prés de 4000 fr. a ceux ivievés pour 1880 k 1890, en supposant ce qui ne sera pas le cas que la somme a euïpruhter doive être réaüsée immédialement. Bref, gikce k l'habileié de noire hourgmes Ire, grace k la haute competence de notre savant ingénieur-architecte, M. Jules Coomans, grace un peu aussi, convenons-en, a ce que nous sommes des enfants sages, bien choyés et bien gatés par nos grand'mamans de Bruxelleset de Bruges, nous pouvons enfin respirer k l'aise, après l'horrible vision de la ruine irrémédiable de nos incomparables monuments. Mieux que cela, nous pouvons enfin éeartcr i'affreuse perspective de mourir bieritót de soifde même que nou? nc devons plus voir i'iudustrie hésister a s'installer chez nous, laute d'eau pour aiimenter ses machines. Que dis-je Sans jouer pour cela auprodigue, paree que nous avons mainlcnant Ie goüsset bien garni, nous pourrons même nous payer des dépenses de luxe qui ne s'imposent pas précisémeut a l'égal de la restauratie!) dc nos monumeuls: un stand en règle, un théktre. que sais je encore Avions nous raison ae dire que ia pelite brochure des Finances communales mérite, mieux encore que les Ypriana, les honneurs de l'exposition sur la table de salon de tout Yprois qui aime sa ville natale Figurerait avec honneur a la même place et parferait dignement le trio patriotique avec le Rapport sur les Finances communales et les Ypriana, le Rapport de notre ingénieur prin cipal des pontset chaussées,M.Euïcue Froidure. Sur les moyens a employer pour améliorer notre distribution d'eau. I j En parlant du Rapport sur les Finances Communales, nous avons été amené a louer comme il convenait l'Labile administrateur Deux listes en présence. Série sortant le i Janvier 1916 Lis te N' 1 Liste N° 2 Deboutte Charles Covemaker Servais Deprez Charles Devlies Alois Samain Jules Lameire Henri Soenen Brunon Lampaert Louis Talpe Florentin Serroen Henri Série sortant le 1 Janvier 1912. Liste N' 1 Liste N" 2 Vandenbulcke Louis Ingelbeen Pierre Trois listes en présence. Liste N' 1 Liste N' 2 Liste N° 3 Charles Desmadril Pierre Lebbe Isidore Thery Arthur Peene Hippolyte Warlop Série sortant le 1 Janvier 1916. Liste N' 1 Liste N° 2 Liste N° 3 Pacceu Angebert Vandenputte Jules Vandenbussche Alois Plamon Henri Debacker Leonard Coppin Mellon Vandenberghe Jean Série sortant le Janvier 1918. Snick Arthur, élu sans lutte. Alleman Seraphin, Deconinck Jules, Lelieur Emeric, Yan Eecke Gustave, catholiques élus sans lutte. MM. Ghesquière Henri, Six Edinond, D'haene Joseph, sortants et Beyls Alois, nouveau caudidat, élus sans lutte. Goudezeune D., Garain B., Descamps J., catholiques élus sans lutte. Série sortant le 1 Janvier 1912. Liste N° 1 Breyne Alexandre Clarebout Henri Cousin Louis Maes Edouard. Liste N° 2 Bartier Ju'ien Dévelter Victor Descamps Henri, Dochy Frédéric, Gryson Félix, Huys Everard, catholiques élus sans lutte. Liste N° 3 Liste N° 2 Clarisse Pierre Vercaigne Xavier Liste N° 1 Carpentier Désiré Dekervel Théophile Yandeputte Théophile Lutte entre une liste patronnée par le bourgmestre, la liste des catholiques sincères et un candidat socialiste isolé, Liste N° 1 Liste N" 2 Liste N° 3 d'Ennetières Béague Gryson Morel Dumont Soete Roussel Taillieu Vandermersch Van Elslande Vandoolaeghe Liste N" 2 libéraux Delanote Achille Vaudromme Benoit Liste N° 1 catholiques Caene Pierre Debacker Arsène Derycke Henri Resteman César. Cannaert Charle8, Depuydt Jules, Desmarets Henri, Spenninck Jules, catholiques élus sans lutte. D'Hoine Henri, Geloen Jérémie, Ingelbeea Joseph, Louf Jean, catholiques élus saus lutte. Liste N" 1 Liste N° 2 Section Langemarck Section Langemarck Pattyn Frédéric Carette J. Vandenbulcke C. Vandeputte H. Vandermeersch C. Soete H. Vulsteke Henri Vaudenbroucke Section St Julien Section St Julien Planckeel Ch.-L. Bril Charles. Liste N° 2 Gouwy Gustave Liste N° 1 Covemaker Jules Dekeuwer Henri Leroy Justin. Mandats expirant le 1 Janvier 1916. Liste catholique Lisle libérale Deschilder Désiré Boulet Ernest Lahousse Désiré Lamaire Adolphe Louf Liévin Vandenberghe Emile Therry Prosper Waels Léon Mandat expirant le 1 Janvier 1912. Liste catholique Liste libérale Ollivier Jules Lahousse Gaston. Tebergh Henri, Garmyn Achiel, Leuridan Pierre, Vandenberghe Charle3, catholiques élus sans lutte. Série sortant le 1 Janvier 1916, I.iste N" 1 Bayart Charles Bossaert Pierre Decoster Pierre Depoorter Frédéric Raes Charles Liste N° 2 Baccarne Henri Vandecandelaere Emile Vanneste René Vercruysse Adhemar Veraavel Brunon Liste N" 1 Noyez Justin Liste N" 2 Masschelein Emile Série sortant le 1 Janvier 1916. Liste N° 1 Liste N° 2 Liste N" 3 Ducroquet Vandenberghe Leuridan Charles Leuridan Florimond l'otié Werquin Augustin Charlet Fourez Leterme Henri Vandenboogaerde Werquin Jules Série sortant le 1 Janvier 1912. Liste N° 1 Bailleul Jules De Maeght Désiré Paret Emile Simoen Henri Liste N" 2 Boudry Fidéle de Gheus Léon Forceville Jacques Leterme Damas Verbeke Liste N° 1 Demoor Dewulf Parrein Sohier Liste N° 2 Baelde Goussement Pauwelyn Vulsteke Liste catholique Liste libérale Beck Henri Cambron Charles Lava Aimé Carton Aimé Lebbe Georges Masschelyn Valero Quaghebeur Pierre Roelens Eugène Vancaeyseele Emeric Valcke Emile Van Merris Félix Vandooren Julien Bossaert Charles, Delauote Alois, Verhille Henri, Vulsteke Pierre, catholiques élus sans lutte pour la série sortant le 1 Janvier 1916. Série sortant le 1 Janvier 1912. Liste N° 1 Liste N° 2 Haghebaert Honoré Keirsbilck Charles Liste N° x Jacob Cyrille Lefebvre Henri Vandermarlière Emile Verdonck Auguste Liste N° 2 Deramaut Remi Lamerant Casimir Vancayzeele Elle Verdonck Basile Liste N° 1 Cambron Jules Delanote Henri Derycke Jules Mostaert Julien Liste N" 2 Bustraen Pierre Leys Honoré Top Charles Vandenberghe Désiré Deraedt Henri, Dochy Camille, Donck Théophile, catholiques élus sans lutte pour la série sortant le 1 Jan vier 1916. Série sortant le 1 Janvier 1912. Liste N" 1 Liste N° 2 Vermeulen Benoni Buyse Aimé Beuve Louis,Decat Charles, Delanote Jules,Verdonck Constant, Vereecke Henri pour la série de huit ans, Vandelanoitte Evarist pour la série de quatre ans, catholiques élus sans lutte. Cappelle Charles, Gesquière Louis, Godin Jules, Messiaen Henri, Six Emile, catholiques élus sans lutte. Brutsaert Charles, Cordonnier Frangois, Huys Henri, Vanoost Pierre, Werquin Henri, catholiques élus sans lutte. Liste catholique Liste socialiste Liste libérale Delva Léon Croymans Gust. Degroote Richard Devos Arthur Debacker Hilaire Franchomme Jules Mulhé Léon Ramault Jules Liste N° 1 Becuwe Henri Descamps Jean Rouseré Remi Specenier Camille Liste N' 2 Bebrabauder Henri Logie Auguste Plancqueel Henri Verhaeghe Jules Demolder Charles; Demuys FrangoisjVanbeveren Jean; Vandenbusche Charles, catholiques élus sans lutte. Liste N' 2 Adriaen Jules Dochy Cyrille Hoorelbeke Henri Noppe Edouard Liste N" 1 Logie Henri Ramon Polydore Vandevoorde Emile Vanneste Florimond Lisle N" 1 Delfortrie Denturck Lignel Liste N° 2 Lemahieu Liste N" 3 Delfosse Liste N° 1 Liste N° 2 Laumosnier Jean-Baptiste Nuytten Louis Legrand Henri Vandermarlière Emery Baron Gaston de Vinck Capoen Edouard Braem Charles Dierynck Henri Vaadenbroucke Désiré Sercu Hector,catholiques élus sans lutte. Callens Alois, Desmedt Emile, Gekiere Cbarles-L», Priem Emile, Vandenbulcke Auguste, catholiques élus saus lutte. Derycke Charles, Soenen Henri, Huyghe Charles, Vieren Placide, catholiques élus san3 lutte.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 3