MARIA WARLOMONT GRAND RABAIS 1I0L0!b11H§1 ÉLECTEURS CONFfCÏION POUR QfliES ENFiNTS -SU 1U. Hij Eiïiile Depuydt Bruxelles n'est pas Ypres Mandat impératif et programme Pensées diverses V I li A O P H A N I 'mm Vïi^, NETOUSSEZPLUS PRENEZ LES PASTILLES PECTORALES DE KEATING Bij CALLEWAERf-DE MEULENAERE, iliukker, Boterstraat, 86, Yper, vindt men eenegrootekeus van verschillige soorten doorschijnend, papier genaamd om op de ruiten te plakte i. 'i Is het beste namaaksel van geschilderde kerkvensters, en door zijnen gcé koopen prijs, vervangt h t plaatsen j van gordijnen of het mat maken der ruiten- Van r f 75" de meter tot 2.00 fr. ELLES GÜERISSENT LA TOUX LA PLUS GP1MIATRE w w M Al SON DE CONFIANCE i-ue des Cldens, 'X ÏAIGS YPRES, Marché au Bétail, n° 3, YPRES mmuMEEm funébaibes Gheminées en mafbfe ^a» C HA ^öoyls e» qui preside aux destinées de notre yille. Cependant, tel que nous le connaissons, il nous en youdrait de ne pas compléter notre pensée. En mettant ainsi en un juste relief l'habileté de sa gestion, nous établissions forcément un parallèle peu avantageux pour ses prédécesseurs. Mais, juste et géné- reux comme il l'est, il se plait rendre j étes en majonié des libéraux convaincus hommage a la bonne volonté de ceux qui l'ont précédé au pouvoir et a reconnaïtre que si cette bonne volonté, souvent doublée de réelles attitudes administratives, n'a pas été plus féconde en heurcux résultats, le fait est imputable en grande partie a i'incapacitó de beaucoup de leurs collaborateurs. Notre bourgmestre actuel au contraire, a l'avantage d'être secondé non seulement par des collègues sérieux et clairvoyants, mais encore par des fonctionnaires, communaux ou autres, dont la précieuse collaboration entre pour une grande part dans la largeur de yues, la hardiesse et la süreté de main avec lesquels il administre et fait prospérer les affaires communales. Nous avons cité déja le savant ingénieur- architecte de la ville M. Coomans Ce que celui-ci a contribué a faire en matière de restauration de monuments, d'embellisse- ment de notre ville par le souci de l'archi- tecture dans les constructions, etc., M. l'in- génieur principal des ponts et chaussées Donnez moi deux lignes de l'écriture d'un homme et je le fais pendre». Cet apho- risme a trouvé son application dans le mani feste des Intéressés communaux ou des Rancuneux, comme vous préférez. D'après eux, 1 e Journal de Bruxelles, paree que organe catholique, aurait dü crier aux e'lec teurs bruxellois Nous savons que vous c'est pourquoi, sans vous préoccuper de savoir si vos inte'rêts matériels sont bien gérés a l'hótel de ville, votez comme un seul homme pour les candidats catholiques qui se re'clament avant tout de leur souci des intéréts moraux et religieux Non, Btuxelles n'est pas Ypres; les affaires de la capitalc ne sont pas les nótres et ce qui est de bonne et legitime tactique pour un organe bruxellois ne doitpas être invoqué ici pour justifier une apposition prétendü- ment opprouvée par notre parti. Que nos adversaires pre'tendent que nous- sommes mal administrés, c'est leur droit mais qu'ils ne viennent done pas invoquer une approbation, d'ailleurs trés vague, de leur conduite qu'aucun journal de la capitale ou d'ailleurs n'ait qualifié pour leur donner en notre nom. Non,jamais nous ne dirons que les intéréts matériels de la commune doivent seuls préoccuper les électeurs et leurs mandataires. Un candidat pour la commune aussi bien sa profession de foi et son programme en matière d'intérêts religieux et moraux, d'en- seignement, etc. S'y dérober c'est fatalement se suicider, comme le font les Rancuneux de toute nuance dont le groupe, répudié la fois par les catholiques et par les libéraux, laché même par plusieurs de ses membres, jadis parmi les plus ardents.se rendra compte dans quelques jours qu'il eüt été mieux inspire' de retarder de quatre ans sa fin, pour mourir alors de sa belle mort, dans une glorieuse mêlée, son général en tête. Eugène Froidure l'a fait lui, en matière j qu'un candidat pour le Parlement nous doit d'études préliaiinaires a la grande entreprhe de l'amélioration de notre distribution d'eau. Elle datede bien loin pourtant cette ques tion IA. Mais que d'interventions malheu- reuses avaient eu pour efïet de neutraliser plutót que de seconder la bonne volonté des dirigeants qui tentaient de résoudre cet important problème 1 Notre bourgmestre actuel, confiant dans la science technique de M.l'ingénieur princi pal Froidure, confiant non moins dans les qualités morales de ce fonctionnaire de l'Etat, le modèle des fonctionnaires con- sciencieux, impartiaux et incorruptibles, fit l'appel a son concours. Et M. Froidure aborda le problème d'une fagon si méthodique et si süre dans sa simplicité qu elle fait songer a l'oeuf de Colomb. II se dit que ce problème était agité ail- leurs qu'a Ypres, que c'est la question vitale d'une foule de villes, grandes et petites, du monde entier. Et, peu soucieux de chercher, comme tant d'autres, faire valoir avant tout sa compétence personnelle, il trouva qu'il n'y avait encore rien de tel que de concentrer sur les difficultés du problème j'prois les faisceaux de lumière d'une foule de projec- teurs étangers, mieux que cela, d'essayer de faire profiter notre ville des bètises eommi- ses ailleur3. L'étude iouillée qu'il fit ainsi lui permit d'aboutir a des conclusions formulées sans hésitation paree qu'elles s'en dégageaient avec force. La question du mandat impératif est rare- mentsoulevée, et plus rarement encore elle rallie assez de partisans pour ètre posée formellement, sans succes d'ailleurs. Les mandataires n'en veulent pas, cela su congoit, et les mandants n'éprouvent géné- ralement pas le besoin de le leur imposer. L'on se rend compte, en effet, que non seulement le mandat impératif est inutile puisqu'on n'accorde sa confiance qu'a celui qui en est. dignc, mais qu'en fait il est irtóalisable, étant donné les mille imprévus des circonstances, la multiplicité des questions susceptibles d'etre débattues, et les nécessités de la tactique politique. Mais s'il est indispensable de laisser la plus grande liberté d'action au mandataire, sauf a lui rappeler, dans certaines circons- U ne lui restait plus, dès lors, qu a élabo- tance3 graves, les desiderata des mandants, rer les conditions d'application qui répon- daient le mieux aux conclusions dégagées, en tenant compte de la topographie locale, il est par cela même indispensable aussi de ne jamais accorder ses suffrages a un candi dat qui n'ait révélé au préalable l'attitude et ce fut. semble t-il, pour ce cabulateur un i qU'ü prendra en face des intéréts primor- jeu d'enfant. diaux et sur la loyauté duquel on ne puisse Rien démnnant, dès lors, a ce que notre compter d'une manièrc absolue. Et cette M l'CYrvo OCT "A noffAtvinmf aaIaUa A n 1 i - C - t condition s'impoie non seub ment pour les éleclions legislatives mais non moins pour bourgmestre nettement éclairé,cette fois sur le problème, alors que ses prédécesseurs avaieot éte plutot dé. outés par la diversité les ections communales. En Belgique sur- es avis recuei is, rien détonnant, disons j tout oü l'indépendancc communalo n'est pas T1A110 O AA rtli'll oil mnnnkl J- 1'L f un vain mot, oh la piugrerie des libéraux et nous, a ce qu i! ait marché de l'avant comme aucun de ses devanciers n'avait osé le faire, tout autant, il faut lajouter, faute de res sources que faute de bons avis. M. Froidure peut revendiquer une large part dans le mérite d'une entreprise qui fêra bénir par les Yprois d'aujourd'hui ct par ceux de générations a venir le nom du grand bienfaiteur qui solutionea 1& question de l'eau sans ruiner la ville. leur evolution vers le combisme constituent une menace permanente pour la Religion et pour la liberté d'enseignement, il ne saurait plus être question dé candidatures neutres se réclamant uniquement du souci des inté réts matériels de la commune. Les intéréts de la Religion, de. Ja moralité, de la liberté d'enseignement sont tellement supérieurs a tous autres intéréts, ils sont d'ailleurs si souvent liés a des mesures adminstratives qui ne semblent pas, au premier abord, les affecter d'aucune manière, que la prudence la plus élémentaire doit iuterdire aux catbo- j liques d'accorder leurs suffrages a aucun candidat qui ne se soit formellement eogagé a l'endroit de ces intéréts ou qui ne soit couvert par le patronage des chefs du parti catholique. Est-il besoin de rappeler a nos amis que c'est le cas aujourd'hui, en présence de la liste, dite des intéréts communaux, dont on annonce la présentatioii. Qu'il figure sur cette liste des candidats dont la prétendue neutralité ou la modéra- tion des opinions libórales un joli mythe flanquó d'un oiseau rare sont gé érale- ment acceptées, peu importe. L'estampille franchement catholique manque et rien ne saurait autoriser nos amis a égarer sur aucun de ces noins un vote qu'ils ont le devoir strict de réserver pour les défenseurs avoués de la cause catholique. Les opinions qu'on décore du nom de modérées sont commodes paree qu'elles sont toutes faites et que, pour trouver le point oü il faut s'arrêter, il suffit de se tenir a distance égale des deux autres.Les opinions modérées et qui ne sont que mitoyennes s'accommodent d'elles mêmes aux esprits moyens et médiocres comme les partis moyens aux caractères faibleb. Les bons esprits Osavent que la vérité est absolue, quelle n'est pas, comme une quantité, sus ceptible deplus ou de moins, quelle est ou quelle n'est pas, et quelle redoute moins les snnemis que les neutres. Vte de Bonald. Les gens fnbles sont une peste publique; ils grossissent le parti des méebants. Mme Riccoboni. L'idéal purement matérie], l'idéal pure- ment commercial, l'idéal des homines qui ont le labeur matériel pour pa trie est, dans son essence, degradant et avilissant. II est aussi vrai, aujour 1 hui que jamais, j qu'aucun homme et qu'aucune nation ne vit seulement de pain. Le tra>ail et ,'activité sont des vortus mdispensables mais a clles seuleselles sont insuffisantes.... Président Roosevelt. Nous serons bientot dans l'éternité, et noes verrons alors combien les affaires de ce monde étaieut peu de chose, et combien il importait peu qu'elles se fissent ou ne se fissent pas. S. Francois de Sales. Mr MEIER, chirurgiendentiste-spécaliste de COURTRAI, est toujours a consulter a YPRES, comme par le passé, trois jours par semaine, les Lundi, Jeudis et Samedis de 9 midi, chez Mme VAN KEMMEL, Grand'Place, 5. Maladies de la bouche et des dents arti- ficielles depuis 5 fr. dentiers complets depuis ioo fr. Garanties pour.laïvie. Aux Enrhumés. Si les accés de toux ou la géne de respiration vous empêchent de dor- mir, sucez une ou deux Pastilles pectorales du Dr Walthe'ry en vous mettant au lit et vous dormirez comme des bienheureux. i fr. Goüt exquis. Effet certain. De nom- breux cer- tificats de Médecins constatent qu'aucun remède n'est aussi efficace pour le traitement delaToux, de l'Asthme et de la Eronchite. Une seule pastille procure déja du soulagement. Elles guérissent le rhume, conservent la santé et peuvent étre prises par les personnes les plus délicates. 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S n-auf,,. ,t "e 1 ioile, le o,-ichet du Rropnélui .-e 77/ j''è It KA UNO, Chimiste tx l.uNÜ/( KS. 'Uo-x'^S Par suite, le priz de la boite est rédni» a Ir. 1.23 (au lieu de fr. 3.40), la qU .3 du produit restant absolumeut ia mètne .'.endues partoutclibbltesdeferbbiiH-'a r, 1 e; ^.3.50 Uuüs toutös les bonues plianijacios* CHEZ POUR (f - 5» Grand commerce de chaux, platre rW Ciments de Tournai, de Boulogne-sur-mer (garanti pur) et de Portland de Cronfestu (qualité supérieure). «§§5 SUCCESSEUR DE eSg. •SS» «SC-, Ats •St' «.-S •8SJ U "Sé S3 d? «Sg-Z de Mons, Fresnes, Braisettes, Francais et Anglais. Spécialité d'anthracites de charbons pour houblons. Tuiles, faitières, carreaux, briquettes de Boom en tous genres. Briques creuses. Briques refractaires. Carreaux pour fours, g Tuiles faitières rouges et vernies du Pottelberg, de Deu- 55 5 Iémont, etc. a Tuyaux de drainage. Tuyaux en grés. ft Ardoises anglaises autres. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 4