Bravo, les Yprois! «PPEIIT Surdi' isaR^ ■WA Pages a relire Pensées diverses L'élernelle question Un bilan Nuils blanches ïesi^ï Bibliographie Huwelijksafkondigingen HÉROS ET SAINTS Of ux enfants sauvés PILULES PINK f V MBSOLUiWEMT GMMTiS prof G-Keith-Iiarvey, 117, Holborn, Arr.782, Londres, E.G., AngSeterrs toujours le coup d'ceil, sur Tau-dela, et, par retour, le regard de pitié jeté sur notre misère. Le pied sur une tombe on tient moins b la terre L'horizon est plus vaste et l'ime, plus légère, Monte au Ciel avec moins d'efforts. Quand on songe aux chers disparus, on a beau s'efforcer de nier rimmortalité, l'amour est plus fort que la mort et il veut retrouver ceux qu'il chérissait ici bas, Quand l'être disparu est une mere, avec le souvenir de ses caresses et de son sourire reviennent a la pensee ses sages enseigne- ments ses conseils inceisants dictés unique- ment par l'amour, ses lefons appuyées par l'exemple, qui surent nous rendre heureux dans notre jeune age et qui le pourraient encore si nous y redevenions dociles. Est ce un enlant adore que l'on pleure, la blessure qui se rouvre a des vertus secrètes non moins bienfaisantes. L'enfant fut-il idolatre et élevé sans autre souci que celui de notre plaisir et de notre orgueil, rien ne saurait adoucir le regret de sa perte, et c'est alors le salutaire retour sur nous mêmes. Au contraire, le souci de ses destine'es immortelles nous domina-t-il dans les soins que nous lui prodiguSmes, quelle douceur de songer que nous avons assure son bon- heur a jamais et qu'il ne dépend que de nous d'aller le rejoindre un jour pour ne plus nous en séparer Et voila le sermon encore... Mais allez done visiter un cimetière sans y entendre la voix des tombes, les plus éloquentes de toutes les chaires de vérité 1 Rosette. La fête de Toussaint rend l'actualité a ce beau parallèle tracé par Donoso Cortes entre les héros et saints Les héros étaient des hommes qui, k l'aide d'une passion charnelleportée a sa plus haute puissance faisaient des choses extraordinai- res les Saints sont des hommes qui, ayant renonce a toutes les passions de la chair et dénués de tout appui charnel, opposent un coeur inébranlable a l'impétueux courant des douleurs. Les héros, réunissant toutes leurs forces dans une exaltation febrile, en accablaient quiconque leur faisait obstacle les Saints commencent toujours par mettre de cóté leurs propres forces et, ainsi désarmés et dépouillés, ils entrent en lutte avec tout ce qui exerce quelque empire en ce monde,avec les puissances infernales et avec eux-roêmes. Les héros se proposaient de monter dans la gloire et de se faire un nom fameux parmi les hommes les Saints regardent comme de peu de valeur la vainelouangedesgénérations humaines 5 ils oublient le soin de leur nom ils renoncent, comme a une chose vile,a leur volonté ils remettent tout et se mettent eux- mêmes entre les mains de Dieu convaincus que le grand bonheur de l'homme est de Le servir, que son plus grand honneur est de porter sa livrée glorieuse. Tels furent les héros et tels sont les Saints. Ils ont, les uns et les autres, le contraire de ce qu'ils cherchent. Les héros voulaient rem- plir la terre du bruit de leur renommée, et les multitudes n'ont pas gardé d eux le moindre souvenir les Saints ne tournaient leurs regards que vers le ciel et ils sont ici bas honorés, révérés, invoqués par les peu- ples et par leurs chefs les pontifes et les rois conduisent la foule au pied des autels pour leur rendre hommage. Que Dieu est merveil- leux dans ses desseins, qu'il est grand dans ses oeuvres L'homme croit se conduire et c'est Dieu qui le mène il croit arriver a une vallée et il se trouve, sans savoir comment, sur une montagne celui-ci imagine qu il acquiert la gloire et il tombe dans loubli celui la cherche un refuge et le repos dans l'oubli et, tout i coup, il est comme assourdi par la grande voix des peuples qui chantent sa gloire les uns sacrifient tout a leur nom et personne ne porte plus leur nom, qui finit avec eux la première chose que les autres déposent sur l'autel de leur sacrifice c'est le nom qu'ils portent, ils l'effacent même de leur mémoire, et ce nom oublié, sacrifié, passant des pères aux fils, se transmet de génération en génération comme un glorieux titre et un riche héritage il n'y a point de catholique qui se nomme du nom d'un Saint^ Ainsi s'accomplit chaque jour la divine parole qui promet l'humiliation aux superbes et 1'élévation aux humbles. Un bon point aux enfants d'Tpres pour la sagesse qu'ils montrent de plus en plus en temps d'élections. Et, nous adressant tous, nous ne parions pas de la sagesse suprème dont ils font preuve en n'élisaut plus pour les adminis- trer que nos amis politiques. Mais comparez done le calme qui n'a cessé de régner avant, pendant et après les élections avec l'agitation, parfois agrémentée de coups de béton, voire de coups de feu ou de coups de couteau, qui a signalé les élections deci dela dans le pays, et même a nos portos. Quelques intempérances de langage dans les journaux et dans les placards, naturel- lement. En pareil temps, une prise de bec ne se concoit pas bien sans qu'on enfle la voix pour la galerie et sans qu'on se traite de turc a mavre sans grande convic tion, d'ailleurs, dès lors sans consequences sérieuses. De l'eau sur un canard, quoi 1 A part cola, tout le monde a été sage comme une image. Avant le scrutin, on n'a guère bu après le verdict, conformément a la chanson populaire, les uns ont bu du vin, les autres du thé, mais la police n'a dü coffrer personne. Mieux que cela. Tout le monde s'est montré enchanté de l'issue du scrutin les vainqueurs, comme de juste,... et les vaincus également. Les gaziers qui n'espéraient pas 500 voix, en ont vu B00 autres leur tombei' du ciel il y avait de quoi être satisfait. Les libéraux, eux, ont trouvé le moyen de célébrer une victoire morale en inscri- vant a leur profit toutes les voix qu un groupement occasionnel avait détachées, pour une fois de notre parti 1 Nous nous garderons bien de souffler sur leurs illusions. Battus et contents, que pourrions nous leur souhaiter mieux Bref, la paix n'a guère été troublée on a presque oublié les querelles d'un jour et notre petite ville n'a pas eu de peine a retrouver ce calme habituel dont elle n aime pas se départir. II ne faudrait pas cependant que la victoire morale des libéraux nous coüte la disparition de leur organe. De grace, Progrès, contiuuez de vivre S'il nous faut nous resigner a ne plus lire vos critiques que douze heures avant chaque scrutin, votre beau titre du moins et votre triom- phante devise seront toujours la pour nous stimuler a la lutte et nous empêcher de nous endormir dans les delices de Capoue. Yivez, Progrèsou sans cela nous mourons. En Belgique, ou succombera toujours quand on persécutera la Religion. Guillery, député libéral de Bruxelles. m «t Gnostique contre catholiqueNéo- platonicien contre catholiqueArien contre catholique Nestorien contre catholique Eutychien contre catholi que Pélagien contre catholique Albigeois contre catholique Hussite contre catholique Luthérien contre catholique; Calviniste contre catholique Jansé- niste contre catholique Voltairien contre catholique Rationaliste contre catholi que Libre-penseur contre catholique Libre-penseur contre catholique.... Grande lumière pour l'étude de l'histoire et la recherche de la vérité. Charaux. L'impartialité a l'égard des personnes est de la justicel'impartialité dans les opi nions est de 1'indifTérence pour la vérité ou de la faiblesse d'esprit. Bonald. II faut diminuer la peine de mettre cer- taines gens a la porte par le plaisir de les y laisser. Entile Souvestre. n Ce qui allège la souffrance.ee qui sanctifie le travail, ce qui fait l'homme bon, fort, sage, patient, bienveillant, juste, a la fois humble et grand, digne de l'intelligence, digne de la,liberté, o'est d'avoir devant soi la perpétuelle vision d'un monde meilleur, rayonnant a travers les ténèbres de cette vie. Victor Hugo. a a Qu'on soit aigle, colombe ou linotte, qu'importeL'important c'est d'avoir des ailes et de sen servir pour tirer ses pieds de boue terrestre, respirer l'air pur et s'approcher du ciel. P. Bischoff. Creature d'un jour qui t'agites une heure, Le quoi viens-tu te plaindre et qui le fait gémir Ton &me t'inquiète, et tu crois iliu'elle pleure Ton ame est immortelle et tes pleurs vont tarir Alfred de Musset. Rien ne vous sépare moins que la mort de ce que nous avons pieusement aimé. M'"' S wet chine. Allez voir au cimetière ce qu'on aime quand on aime son corps. Curé d'Ars. -N- La question scolaire restera longtemps encore a l'ordre du jour en Belgique, parce que la majorité des habitants est loin d'avoir obtenu satisfaction sous ce rapport, depuis que la loi de malheur de 1879 a jeté la per turbation dans ce régime. Malgré plus de 23 années de gouvernement catholique, il n'existe aucune égalité au point de vue des droits des partis. Les libéraux et socialistes ont, aux frais de tous, les écoles qui leur conviennentles catholiques sont forcés, s'ils veulent avoir des établissements a leur convenance, de les créer et les entretenir de eurs propres deniers. Ce fait est réellement étrange. Nous ne pouvons cesser de le dire dans les grauds centres, les droits des pères de familie ca tholique sont impitoyablements sacnfiés. L'école que nosadversaires ne rougissent pas d'appeler publique, ouvei'te a tous, y est nettement antireligieuse par l'oppositiun systématique contre tout ce qui de pres ou de Join semble a une croyance religieuse. II suffit qu'un livre renferme la moindre notion spiritualistes pour qu'il buscite im- médiatement des clameurs de proscription. Le Peuple ne vient il pas de demauder derayer de laliste desouvrages classiques,uu manuel oü les élèves apprenaient a ti aduire dans une langue étrangère une pensée sur l'infiuence moralisatrice de ia religion. Aux rancarts ce livre 1 Et l'organc de la démo cratie socialiste envoyait des ordres en conséquence, a l'administration communale visée Il n'entre pas dans notre intention de discuter eet ukasemais une réflexion s'impose cependantcomment enseignera- t-on 1 histoire dans ces écoles, quand il est défendu de parler du fait le plus transcen- dant, Taction bienfaisante de christianisine sur le développement de notre civilisation Si la pensée incriminée, mais incontesta- blement historique, gêne nos libres penseurs en herbe, quand ils la rencontrent dans un manuel de langues modernes, elle ne pourra non plus leur paraitre admissible dans un cours d'histoire. Si done les socialistes sont logiques et poussent ces principes-la jusque daus leurs dernières consequences,ils récla- meront des dictionnaires expurgés d'oü les notions troublantes Dieu, ame, création, j etc ont été soigneusement écaitées. L'acharnement que les chefs politiques I mettent a proscrire certaines notions,exerce sur Tesprit des instituteurs une dólétère influence qui se manifeste trés souvent d'une manière ridicule. Ainsi, par exemple, un instituteur d'Anvers s est avisé de faire, en flamand,un recueil de proverbes et ce brave homme a cru sans doute se rendre agréable et cher a ses maitres en banissant, avec un soin jaloux, tous les dictions ofile mot Dieu intervenait. Les plus beaux proverbes ont été écartés, ou bien, iinitant le fougueux Pergameni, il a préféré écriie cette sottise L'homme propose, mais le hasard dispose Le hasard, simple concept de l'entende- ment humain, s'abusant sur son ignorance, devient une cause officiente. Voila Tesprit qui anime Tinstituteur En peut il être autrement, et devons-nous nous étonner de leurs écarts, quand nous savons que les chefs ne cessent de parler de leur mission émancipatrice Ils ne doivent la faveur de leur nomination qu'è leur titre d'anticlérical. Ce titre leur tient lieu de toutes les qualités que Ton devrait exiger du pédagogue: connaissanceS, tact, dévouement, etc. Pourquoi done la qualité qui les a fait nommer, ne deviendrait-elle pas la cause de leur promotion II faudra peut-être qu'il la montrent, qu'ils Tétalent au grand jour, qu'ils la manifestent par Tesprit de prosély- tisme Et ils s'écrieront en pleine classe A bas la calotte 1 L'intolérance qui se traduit si tristement a l'égard du livre, se fait jour vis-i-vis des instituteurs. La proscription est la même Tant que je serai échevin de l'instruction publique, pas un instituteur clérical n'entrera dans le corps enseignant s'écrie M. Mori- char, a Saint-Gilles. Libéraux et socialistes lui tressent a l'envi des couronnes. L'échevin de l'instruction publique de Saint-Gilles, dit Le Peuple a parfaitement raison de ne pas vouloir des cléricaux pour instruire des enfants... Conclusion évidente De telles écoles oü règne pareille atmosphere ne sauraient con- venir a des pères de families catholiques. ANDRÉ. Nos adversaires fondaient de grandes espérances sur les élections communales. Ils se flattaient de remporter quelques succès qui leur eussent permis de recommencer l'agita tion de i857. la menace a été faite. Leur effondrement sera d'autant plus grand. Nous pouvons véritablement nous glorifier de la journée d hier, car si nous avons a regretter quelques pertes légères, elles sont plus que compensées par de nombreuses et vaillantes victoires. Loin que le libéralisme soit en regain dans les grands centres comme il s'en vantait, nous Ir voyons en baisse dans beaucoup de villages. II voit ses forces dimi nuer a Bruges, a Hasselt, a Termonde, a Ypres, 4 Louvain, a Nivelles,a Philippeville, a Stavelot, a Virton,a Ecaussines-d'Enghein. Dans l'agglomération bruxelloise même,nous constatons de grands progiès a Schaerbeek nous gagnons plusieurs sièges et a Saint- Gillis, sans le cartel, la minorité catholique eüt été aussi renforcée, car les voix de son amis passent de 3185 a 5.000. De nombreuses administrations libérales, au pouvoir parfois depuis de longues années, sont renversées. II en est ainsi, pour ne citer que les principaux centres a Phüippeville, a Fosse, a Gesve, a Chapion (l'Entre Sambre et Meuse marche admirablement a Beau- raing, k Bastogne mais Laeken, Tournai et Diest sont les plus beaux triomphes de la journée ils auront un profond retentisse- ment dans tout le pays. A Laeken, oü l'omnipotence de M. Bock- stael se croyait indestructible et grace a qui cette commune de Tagglomératioa était la plus endettée. A Tournai, l'ancien fief de M. Bara, les libéraux étaient au pouvoir depuis 1869. lis tenaient véritablement la ville sous leur joug, se servant sans vergogne, pour assurer leur domination, de toutes les influences que donne le pouvoir. Le favoritisme le plus éhonté régnait dans Tadministration, et les abus les plus criants étaient couverts avec cynisme par une majorité anticléricale décidée a tout. lis y ajoulaient 1 incapacité. A la veille même du scrutin un scandale bruyant faisait éclater a tous les yeux le manque de controle exercé sur les services publics. Mardi matin on apprenait la fuite du receveur du bureau de bienfaisance, lais- sant un déficit qui dépassera 200 000 francs. Les Tournaisiens ont définilivement se- coué le joug de cette coterie sectaire. Honneur a eux Ils ont attendu longtemps la victoire, luttant sans se lasser pendant quarante ans et souvent sans la moindre chance de succès, pour Thonneur du drapeau I Leur persévé- rance est récompense'e. lis ont donné un grand exemple au pays catholique qui tout entier applaudira a leur triomphe. A Diest, la situation était a peu prés la même. La également, les libéraux re- gaguaient depuis cii qucnte-neuf ans ct se croyaient pour toujours maïtres de la ville. honDeur aussi a uos amis de Diest 1 Les journaux libéraux out dit que les élections communales seraient la préface des élections législatives de l a:i proókain. Nous en acceptons 1 augure. La victoire de Diest et de Tournai nous permettent uue nouvelle moisson de lauriers. Dès a présent nous avo: s l'assurance que le scru tin de mai prochain nous fortifiera encore et que nous pourrions en 1909 cé'ébrer joyeusement le 25° anniversaire de Tarri- vée du gouvernement catholique au pou voir. Ce qui ne s'est vu encore dans aucun pays de gouvernement parlementaire. II nous faut dire un mot des succès du parti libéral, car il eu compte, mais co sont des victoires a la Pyrrhus. Le parti libéral n'est plus capable de vaincre par ses seules forces, il ne triomphe plus que grace a l'appui du socialisme. Les victoires libé rales sont des victimes du cartel. Les socia listes peuvent en revendiquer leur part autant que les libéraux elles consacreut en réalité la déchéance du vieux parti libéral, réduit a se mettre a la remorque de Marianne. En se prêtant a ces louches compromis- sions, le parti libéral, jadis si fier, acbève de se déconsidérer. Ilse flatta.it d'avoir un ideal il n'étale plus que des appétits et accepte de ramassor daus la boue le peu de mandats qu'il obtient encore. Tel est le bilan de la journée du 20 Octo- bre nous pouvons nous en réjouit' sans arrière-pensée et remercier Dieu. LE THERMOGÈNE. 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Sa couleur était c.-lle. jolie mais malsaine des phtisiques Son état devint tel que je craignais Ie voir mourir au bout de deux jours Alors je lus dans la Gazet van Antwerpen que lè Si-op de l'Abbaye du Couvent Sancta Paulo était un remède remarquahle je m'empressai de me lo pro curer. L'emplr.j du Sirop de l'Abbaye fit du bien au malade. Peu a peu ses forces revinrent. les accès de toux, les sueurs, les douleurs de la poitrine diminuèrent. II per- severa dans Temploi du Sirop de l'Abbaye et maintenant il est complètement guéri. Un autre de mes enfants était atteint d'inflam- mation pulmonaire les pelits remèdes babi- tuels n'y firent rien. Je lui fis prendre le Sirop do l'Abbaye, et pour la deuxième fois le Sirop de l'Abbaye, ramena la joie mon foyer mon deuxième enfant était égale ment guéri. 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Litiere Oscar, Meenensteenweg. Tahon Raymond, Veurnesteenweg. Baert Camiel, Grimminckstraat. Spotbeen Antonia, Meenensteenweg. Huweljjk Vandenberghe Theophiel, aardewerker wed». Sckoonheere Febronia, en Bruneel Judania, >yinkelferster wed6. Dewancker Auguste, beiden te Yper, Sterfgevallen Gequire Camiel, 2 j Kanonstraat. De SerretZoé. 78 j. wed' van denHoogwelge- boren Heer de Florisone Alfred, Elverdingbe- slraat. Drinckebier Camiel, z. b. 41 j. ongeh. Lange Thouroutstraat. Menu Luciaan, 10 dagen, Rfjselsteenweg. Vandevyver Jules, 13 dagen,Dickebuscbsteen weg. Deleye Leo, 8 maanden, Zonnebekesteenweg. Delbecque Catherine, 72 j. baker, ongehuwd, Oude Houtmarkt. Billiet Maria, 83 j. z b. ongeh.Rjjkè Klarenstr. MON LIVRE Bnstmsiotïf sur la Ces lignes s'adressent a toutes les personnes atteïntes d SLRDITE COMPLE1H ou PARTÏELLH ou qui soufTrent ül" u bourdonnements d'oreilles. Spécialiste dans cette matière, j'as, après de longues années d'études, écrit un livre dont j'envoie mi exemplaire GRATIS et FRANCO a quiconque m'en fait la de- 1 mande. Ce livre est un message de joie pour tous ceux dont 1 ouïe laisse a désireril leur apprend comment, par les moyens p; de la Science d'aujourd'hui, ils peuvent, en quelques semaines, se traiter chez soi, sans payer d'honoraires au médecin. Domanüen co BSvre SmmédSatotneni Une carte postale de io centimes est suffisante.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 2