Bravo, les Yprois!
«PPEIIT
Surdi'
isaR^
■WA
Pages a relire
Pensées diverses
L'élernelle question
Un bilan
Nuils blanches ïesi^ï
Bibliographie
Huwelijksafkondigingen
HÉROS ET SAINTS
Of ux enfants sauvés
PILULES PINK
f V
MBSOLUiWEMT GMMTiS
prof G-Keith-Iiarvey, 117, Holborn, Arr.782, Londres, E.G., AngSeterrs
toujours le coup d'ceil, sur Tau-dela, et, par
retour, le regard de pitié jeté sur notre
misère.
Le pied sur une tombe on tient moins b la terre
L'horizon est plus vaste et l'ime, plus légère,
Monte au Ciel avec moins d'efforts.
Quand on songe aux chers disparus, on a
beau s'efforcer de nier rimmortalité, l'amour
est plus fort que la mort et il veut retrouver
ceux qu'il chérissait ici bas,
Quand l'être disparu est une mere, avec
le souvenir de ses caresses et de son sourire
reviennent a la pensee ses sages enseigne-
ments ses conseils inceisants dictés unique-
ment par l'amour, ses lefons appuyées par
l'exemple, qui surent nous rendre heureux
dans notre jeune age et qui le pourraient
encore si nous y redevenions dociles.
Est ce un enlant adore que l'on pleure, la
blessure qui se rouvre a des vertus secrètes
non moins bienfaisantes.
L'enfant fut-il idolatre et élevé sans autre
souci que celui de notre plaisir et de notre
orgueil, rien ne saurait adoucir le regret de
sa perte, et c'est alors le salutaire retour sur
nous mêmes.
Au contraire, le souci de ses destine'es
immortelles nous domina-t-il dans les soins
que nous lui prodiguSmes, quelle douceur
de songer que nous avons assure son bon-
heur a jamais et qu'il ne dépend que de nous
d'aller le rejoindre un jour pour ne plus
nous en séparer
Et voila le sermon encore... Mais allez
done visiter un cimetière sans y entendre la
voix des tombes, les plus éloquentes de
toutes les chaires de vérité 1
Rosette.
La fête de Toussaint rend l'actualité a ce
beau parallèle tracé par Donoso Cortes entre
les héros et saints
Les héros étaient des hommes qui, k l'aide
d'une passion charnelleportée a sa plus haute
puissance faisaient des choses extraordinai-
res les Saints sont des hommes qui, ayant
renonce a toutes les passions de la chair et
dénués de tout appui charnel, opposent un
coeur inébranlable a l'impétueux courant des
douleurs.
Les héros, réunissant toutes leurs forces
dans une exaltation febrile, en accablaient
quiconque leur faisait obstacle les Saints
commencent toujours par mettre de cóté
leurs propres forces et, ainsi désarmés et
dépouillés, ils entrent en lutte avec tout ce
qui exerce quelque empire en ce monde,avec
les puissances infernales et avec eux-roêmes.
Les héros se proposaient de monter dans
la gloire et de se faire un nom fameux parmi
les hommes les Saints regardent comme de
peu de valeur la vainelouangedesgénérations
humaines 5 ils oublient le soin de leur nom
ils renoncent, comme a une chose vile,a leur
volonté ils remettent tout et se mettent eux-
mêmes entre les mains de Dieu convaincus
que le grand bonheur de l'homme est de Le
servir, que son plus grand honneur est de
porter sa livrée glorieuse.
Tels furent les héros et tels sont les Saints.
Ils ont, les uns et les autres, le contraire de
ce qu'ils cherchent. Les héros voulaient rem-
plir la terre du bruit de leur renommée, et
les multitudes n'ont pas gardé d eux le
moindre souvenir les Saints ne tournaient
leurs regards que vers le ciel et ils sont ici
bas honorés, révérés, invoqués par les peu-
ples et par leurs chefs les pontifes et les rois
conduisent la foule au pied des autels pour
leur rendre hommage. Que Dieu est merveil-
leux dans ses desseins, qu'il est grand dans
ses oeuvres L'homme croit se conduire et
c'est Dieu qui le mène il croit arriver a une
vallée et il se trouve, sans savoir comment,
sur une montagne celui-ci imagine qu il
acquiert la gloire et il tombe dans loubli
celui la cherche un refuge et le repos dans
l'oubli et, tout i coup, il est comme assourdi
par la grande voix des peuples qui chantent
sa gloire les uns sacrifient tout a leur nom
et personne ne porte plus leur nom, qui finit
avec eux la première chose que les autres
déposent sur l'autel de leur sacrifice c'est le
nom qu'ils portent, ils l'effacent même de
leur mémoire, et ce nom oublié, sacrifié,
passant des pères aux fils, se transmet de
génération en génération comme un glorieux
titre et un riche héritage il n'y a point de
catholique qui se nomme du nom d'un Saint^
Ainsi s'accomplit chaque jour la divine
parole qui promet l'humiliation aux superbes
et 1'élévation aux humbles.
Un bon point aux enfants d'Tpres pour
la sagesse qu'ils montrent de plus en plus
en temps d'élections.
Et, nous adressant tous, nous ne parions
pas de la sagesse suprème dont ils font
preuve en n'élisaut plus pour les adminis-
trer que nos amis politiques.
Mais comparez done le calme qui n'a
cessé de régner avant, pendant et après les
élections avec l'agitation, parfois agrémentée
de coups de béton, voire de coups de feu ou
de coups de couteau, qui a signalé les
élections deci dela dans le pays, et même a
nos portos.
Quelques intempérances de langage dans
les journaux et dans les placards, naturel-
lement. En pareil temps, une prise de
bec ne se concoit pas bien sans qu'on enfle
la voix pour la galerie et sans qu'on se
traite de turc a mavre sans grande convic
tion, d'ailleurs, dès lors sans consequences
sérieuses. De l'eau sur un canard, quoi 1
A part cola, tout le monde a été sage
comme une image. Avant le scrutin, on n'a
guère bu après le verdict, conformément
a la chanson populaire, les uns ont bu du
vin, les autres du thé, mais la police n'a
dü coffrer personne.
Mieux que cela. Tout le monde s'est
montré enchanté de l'issue du scrutin les
vainqueurs, comme de juste,... et les
vaincus également.
Les gaziers qui n'espéraient pas 500 voix,
en ont vu B00 autres leur tombei' du ciel
il y avait de quoi être satisfait.
Les libéraux, eux, ont trouvé le moyen
de célébrer une victoire morale en inscri-
vant a leur profit toutes les voix qu un
groupement occasionnel avait détachées,
pour une fois de notre parti 1
Nous nous garderons bien de souffler sur
leurs illusions.
Battus et contents, que pourrions nous
leur souhaiter mieux
Bref, la paix n'a guère été troublée on a
presque oublié les querelles d'un jour et
notre petite ville n'a pas eu de peine a
retrouver ce calme habituel dont elle n aime
pas se départir.
II ne faudrait pas cependant que la
victoire morale des libéraux nous coüte la
disparition de leur organe. De grace,
Progrès, contiuuez de vivre S'il nous faut
nous resigner a ne plus lire vos critiques
que douze heures avant chaque scrutin,
votre beau titre du moins et votre triom-
phante devise seront toujours la pour nous
stimuler a la lutte et nous empêcher de nous
endormir dans les delices de Capoue.
Yivez, Progrèsou sans cela nous
mourons.
En Belgique, ou succombera toujours
quand on persécutera la Religion.
Guillery, député libéral de Bruxelles.
m «t
Gnostique contre catholiqueNéo-
platonicien contre catholiqueArien
contre catholique Nestorien contre
catholique Eutychien contre catholi
que Pélagien contre catholique
Albigeois contre catholique Hussite contre
catholique Luthérien contre catholique;
Calviniste contre catholique Jansé-
niste contre catholique Voltairien contre
catholique Rationaliste contre catholi
que Libre-penseur contre catholique
Libre-penseur contre catholique....
Grande lumière pour l'étude de l'histoire
et la recherche de la vérité.
Charaux.
L'impartialité a l'égard des personnes est
de la justicel'impartialité dans les opi
nions est de 1'indifTérence pour la vérité ou
de la faiblesse d'esprit.
Bonald.
II faut diminuer la peine de mettre cer-
taines gens a la porte par le plaisir de les y
laisser. Entile Souvestre.
n
Ce qui allège la souffrance.ee qui sanctifie
le travail, ce qui fait l'homme bon, fort,
sage, patient, bienveillant, juste, a la fois
humble et grand, digne de l'intelligence,
digne de la,liberté, o'est d'avoir devant soi
la perpétuelle vision d'un monde meilleur,
rayonnant a travers les ténèbres de cette
vie. Victor Hugo.
a a
Qu'on soit aigle, colombe ou linotte,
qu'importeL'important c'est d'avoir des
ailes et de sen servir pour tirer ses pieds
de boue terrestre, respirer l'air pur et
s'approcher du ciel. P. Bischoff.
Creature d'un jour qui t'agites une heure,
Le quoi viens-tu te plaindre et qui le fait gémir
Ton &me t'inquiète, et tu crois iliu'elle pleure
Ton ame est immortelle et tes pleurs vont tarir
Alfred de Musset.
Rien ne vous sépare moins que la mort
de ce que nous avons pieusement aimé.
M'"' S wet chine.
Allez voir au cimetière ce qu'on aime
quand on aime son corps. Curé d'Ars.
-N-
La question scolaire restera longtemps
encore a l'ordre du jour en Belgique, parce
que la majorité des habitants est loin d'avoir
obtenu satisfaction sous ce rapport, depuis
que la loi de malheur de 1879 a jeté la per
turbation dans ce régime. Malgré plus de 23
années de gouvernement catholique, il
n'existe aucune égalité au point de vue des
droits des partis. Les libéraux et socialistes
ont, aux frais de tous, les écoles qui leur
conviennentles catholiques sont forcés,
s'ils veulent avoir des établissements a leur
convenance, de les créer et les entretenir de
eurs propres deniers.
Ce fait est réellement étrange. Nous ne
pouvons cesser de le dire dans les grauds
centres, les droits des pères de familie ca
tholique sont impitoyablements sacnfiés.
L'école que nosadversaires ne rougissent pas
d'appeler publique, ouvei'te a tous, y est
nettement antireligieuse par l'oppositiun
systématique contre tout ce qui de pres ou
de Join semble a une croyance religieuse.
II suffit qu'un livre renferme la moindre
notion spiritualistes pour qu'il buscite im-
médiatement des clameurs de proscription.
Le Peuple ne vient il pas de demauder
derayer de laliste desouvrages classiques,uu
manuel oü les élèves apprenaient a ti aduire
dans une langue étrangère une pensée sur
l'infiuence moralisatrice de ia religion. Aux
rancarts ce livre 1 Et l'organc de la démo
cratie socialiste envoyait des ordres en
conséquence, a l'administration communale
visée
Il n'entre pas dans notre intention de
discuter eet ukasemais une réflexion
s'impose cependantcomment enseignera-
t-on 1 histoire dans ces écoles, quand il est
défendu de parler du fait le plus transcen-
dant, Taction bienfaisante de christianisine
sur le développement de notre civilisation
Si la pensée incriminée, mais incontesta-
blement historique, gêne nos libres penseurs
en herbe, quand ils la rencontrent dans un
manuel de langues modernes, elle ne pourra
non plus leur paraitre admissible dans un
cours d'histoire. Si done les socialistes sont
logiques et poussent ces principes-la jusque
daus leurs dernières consequences,ils récla-
meront des dictionnaires expurgés d'oü les
notions troublantes Dieu, ame, création, j
etc ont été soigneusement écaitées.
L'acharnement que les chefs politiques I
mettent a proscrire certaines notions,exerce
sur Tesprit des instituteurs une dólétère
influence qui se manifeste trés souvent d'une
manière ridicule. Ainsi, par exemple, un
instituteur d'Anvers s est avisé de faire, en
flamand,un recueil de proverbes et ce brave
homme a cru sans doute se rendre agréable
et cher a ses maitres en banissant, avec un
soin jaloux, tous les dictions ofile mot Dieu
intervenait. Les plus beaux proverbes ont
été écartés, ou bien, iinitant le fougueux
Pergameni, il a préféré écriie cette sottise
L'homme propose, mais le hasard dispose
Le hasard, simple concept de l'entende-
ment humain, s'abusant sur son ignorance,
devient une cause officiente.
Voila Tesprit qui anime Tinstituteur En
peut il être autrement, et devons-nous nous
étonner de leurs écarts, quand nous savons
que les chefs ne cessent de parler de leur
mission émancipatrice Ils ne doivent la
faveur de leur nomination qu'è leur titre
d'anticlérical. Ce titre leur tient lieu de
toutes les qualités que Ton devrait exiger du
pédagogue: connaissanceS, tact, dévouement,
etc. Pourquoi done la qualité qui les a fait
nommer, ne deviendrait-elle pas la cause de
leur promotion II faudra peut-être qu'il la
montrent, qu'ils Tétalent au grand jour,
qu'ils la manifestent par Tesprit de prosély-
tisme Et ils s'écrieront en pleine classe
A bas la calotte 1
L'intolérance qui se traduit si tristement a
l'égard du livre, se fait jour vis-i-vis des
instituteurs. La proscription est la même
Tant que je serai échevin de l'instruction
publique, pas un instituteur clérical n'entrera
dans le corps enseignant s'écrie M. Mori-
char, a Saint-Gilles.
Libéraux et socialistes lui tressent a l'envi
des couronnes. L'échevin de l'instruction
publique de Saint-Gilles, dit Le Peuple
a parfaitement raison de ne pas vouloir des
cléricaux pour instruire des enfants...
Conclusion évidente De telles écoles oü
règne pareille atmosphere ne sauraient con-
venir a des pères de families catholiques.
ANDRÉ.
Nos adversaires fondaient de grandes
espérances sur les élections communales. Ils
se flattaient de remporter quelques succès qui
leur eussent permis de recommencer l'agita
tion de i857. la menace a été faite. Leur
effondrement sera d'autant plus grand.
Nous pouvons véritablement nous glorifier
de la journée d hier, car si nous avons a
regretter quelques pertes légères, elles sont
plus que compensées par de nombreuses et
vaillantes victoires. Loin que le libéralisme
soit en regain dans les grands centres comme
il s'en vantait, nous Ir voyons en baisse dans
beaucoup de villages. II voit ses forces dimi
nuer a Bruges, a Hasselt, a Termonde, a
Ypres, 4 Louvain, a Nivelles,a Philippeville,
a Stavelot, a Virton,a Ecaussines-d'Enghein.
Dans l'agglomération bruxelloise même,nous
constatons de grands progiès a Schaerbeek
nous gagnons plusieurs sièges et a Saint-
Gillis, sans le cartel, la minorité catholique
eüt été aussi renforcée, car les voix de son
amis passent de 3185 a 5.000.
De nombreuses administrations libérales,
au pouvoir parfois depuis de longues années,
sont renversées. II en est ainsi, pour ne citer
que les principaux centres a Phüippeville, a
Fosse, a Gesve, a Chapion (l'Entre Sambre
et Meuse marche admirablement a Beau-
raing, k Bastogne mais Laeken, Tournai
et Diest sont les plus beaux triomphes de la
journée ils auront un profond retentisse-
ment dans tout le pays.
A Laeken, oü l'omnipotence de M. Bock-
stael se croyait indestructible et grace a qui
cette commune de Tagglomératioa était la
plus endettée.
A Tournai, l'ancien fief de M. Bara, les
libéraux étaient au pouvoir depuis 1869. lis
tenaient véritablement la ville sous leur joug,
se servant sans vergogne, pour assurer leur
domination, de toutes les influences que
donne le pouvoir. Le favoritisme le plus
éhonté régnait dans Tadministration, et les
abus les plus criants étaient couverts avec
cynisme par une majorité anticléricale
décidée a tout. lis y ajoulaient 1 incapacité.
A la veille même du scrutin un scandale
bruyant faisait éclater a tous les yeux le
manque de controle exercé sur les services
publics. Mardi matin on apprenait la fuite
du receveur du bureau de bienfaisance, lais-
sant un déficit qui dépassera 200 000 francs.
Les Tournaisiens ont définilivement se-
coué le joug de cette coterie sectaire. Honneur
a eux Ils ont attendu longtemps la victoire,
luttant sans se lasser pendant quarante ans
et souvent sans la moindre chance de succès,
pour Thonneur du drapeau I Leur persévé-
rance est récompense'e. lis ont donné un
grand exemple au pays catholique qui tout
entier applaudira a leur triomphe.
A Diest, la situation était a peu prés la
même. La également, les libéraux re-
gaguaient depuis cii qucnte-neuf ans ct se
croyaient pour toujours maïtres de la ville.
honDeur aussi a uos amis de Diest 1
Les journaux libéraux out dit que les
élections communales seraient la préface
des élections législatives de l a:i proókain.
Nous en acceptons 1 augure. La victoire
de Diest et de Tournai nous permettent
uue nouvelle moisson de lauriers. Dès a
présent nous avo: s l'assurance que le scru
tin de mai prochain nous fortifiera encore
et que nous pourrions en 1909 cé'ébrer
joyeusement le 25° anniversaire de Tarri-
vée du gouvernement catholique au pou
voir. Ce qui ne s'est vu encore dans aucun
pays de gouvernement parlementaire.
II nous faut dire un mot des succès du
parti libéral, car il eu compte, mais co
sont des victoires a la Pyrrhus. Le parti
libéral n'est plus capable de vaincre par ses
seules forces, il ne triomphe plus que grace
a l'appui du socialisme. Les victoires libé
rales sont des victimes du cartel. Les socia
listes peuvent en revendiquer leur part
autant que les libéraux elles consacreut en
réalité la déchéance du vieux parti libéral,
réduit a se mettre a la remorque de
Marianne.
En se prêtant a ces louches compromis-
sions, le parti libéral, jadis si fier, acbève
de se déconsidérer. Ilse flatta.it d'avoir un
ideal il n'étale plus que des appétits et
accepte de ramassor daus la boue le peu de
mandats qu'il obtient encore.
Tel est le bilan de la journée du 20 Octo-
bre nous pouvons nous en réjouit' sans
arrière-pensée et remercier Dieu.
LE THERMOGÈNE. Bronchites, Lambagos
A de gorge ou 1 oppres
sion vous empechent de dormir, sucez 1 ou
Pastilles Pectorales Walthéry en vous cou-
chant, et dormirez comme un loir. 1 fr. la
grosse boite partout. (Ne pas confondre cette
pastille avec la pilule purgative Walthéry).
Le Traducteur, journal bimensuel pour
l'étude des langues allemande et francaise est
une publication que nous pouvons recom-
mander en toute confiance a ceux de nos
lecteurs qui veulent faire une étude a la fois
utile et attrayante des langues francaise et
allemande. C'est» un moyen trés pratique et
peu coüteux de se perfectionner dans ces
deux langues qu'aujourd'hui il n'est permis
a personne de ne pas connaitre au moins
grosso modo. Nous recommandons done
aux intéressés de demander un numéro
specimen gratuit a Tadministration du Tra
dueteur, a La Chaux-de-Fonas (Suisse).
f-
ijl L'enfant
pour gran-
dir, l'homme
iptsam poursesoute-
uirle vieiliard
pour ne pas
d-épérir man
gent. Si vous
n'avez pas
es pllulesPink.
ïeront de Tap-
Vous digérez
pilules Pink
bien digérer
UOj
Si
les
feron
us souïfrez de l'es-
les pilules Pink
iimeront un non-
vei estomae. Elles sont
souv cysmics contre la
pauvreté da sang, la fai
blesse des nerfs.
guérissenl anemie, chlorose,
nem'astliénie, maux d'usto-
mac,rbumatisnies,migraines,
névralgies,sciatiquc.
Toules pli'08 et plii0
Derneville, CC,
Bd de Waterloo
Bruxelles. 3.150
la bolle,
17.80 les
6 boites,
franco.
Mr. Louis Vereist habite Mooldnk n°. 39-(«
Ce Monsieur a eu lo bonbeur rare de sauvim
lui-meme ses propres enl'ar.fs. Volei les faifs
tels que nous les avons reeiu illis de sa boueh«
merneuulue
Depuis sa naissance mon (Ls Francois souf-
rrait d'angoisses de poitrine. qui émpiraieut
au fur et a mesure qu'il a va 115ait en a'o.
A la fin ces angoisses dégenéróror.t °en
pbtisie. I! faiblissail. it maigrissait, il no
mangeait plus il fut atteint d'attaques de
chaud et froid, et n'avait quasi plus de sang
dans les lèvres. Sa couleur était c.-lle. jolie
mais malsaine des phtisiques Son état devint
tel que je craignais Ie voir mourir au bout
de deux jours Alors je lus dans la Gazet
van Antwerpen que lè Si-op de l'Abbaye
du Couvent Sancta Paulo était un remède
remarquahle je m'empressai de me lo pro
curer. L'emplr.j du Sirop de l'Abbaye fit
du bien au malade. Peu a peu ses forces
revinrent. les accès de toux, les sueurs, les
douleurs de la poitrine diminuèrent. II per-
severa dans Temploi du Sirop de l'Abbaye
et maintenant il est complètement guéri. Un
autre de mes enfants était atteint d'inflam-
mation pulmonaire les pelits remèdes babi-
tuels n'y firent rien. Je lui fis prendre le
Sirop do l'Abbaye, et pour la deuxième
fois le Sirop de l'Abbaye, ramena la joie
mon foyer mon deuxième enfant était égale
ment guéri.
Attention procurez vous le même Sirop
de l'Abbaye que celui employé par Mr.
Louis Vereist seul celui-ci guérit, et se
reconnait une bande rouge autour de la
bouteille et portant la signature de Tagent
généralL. I. Akker, Rotterdam. Tout autre
produit n'est qu'une imitation et ne guérit
jamais 1
Le Sirop de l'Abbaye du Couvent Sancta
Paulo guérit infailliblement ie froid le plus
rebelle, les rhumes anciens, Tastinne, les cra-
cbements de sang et toutes les affections de la
poitrine et des poumons.
Prix 2, 4 et 7 fr. le flacon.
Dépót góoéral L. I. Akker, Rotterdam.
Dépót principal pour Ia Belgique O. de Beul,
Longue Rue Neuve 57, Anvers. En vente 4
YPRES L. Aertsens, pharmacie Bécuwe,
Marché au «eurre, 7 Pharm. Centrale Cb. May'
Grand'Place, 35 C. Libotte, rue du Verger-
A. Donck, rue de Lille, POPERINGHE a'.
Monteyne, Grand'Place, 48,COMINES F. Van
Windekens, et dans toutes les bonnes pharmacies.
La fpmmp La femme Teste alerte, forte,
Lid leiiiiue vigoureuse) p]eine de vie et
de santé, si elle a soin de se purifier de temps
en temps le corps avec la Pilule purgative
antiglaireuse du Dr Walthéry. 1 fr. une boite
suffit pour un an.
Dépot a Ypres, pharmacie C. LIBOTTE a
Poperingho, pharmacie MONTEYNE.
Cyriel Vanlerberghe, landwerker te Zon-
nebeke en Irma Robaeys, z. b. te Yper.
Robert Velghe,timmermansgast en Martha
Delbecque, kantenwerkster, beiden te Yper.
Urbaan Degroote, opzichter bij 's staats-
weldadigheidsschool te Yper en Maria Van
Renterghem, kamermeid te Gent.
August Lemmens, hoefsmid te Yper,
voorg. te Schaffen en Valentine Dubois, z. b.
te Yper, voorg. te Etterbeek.
BURGERSTAND VAN YPER
van den 25 lot den 3l October 1907
Geboorten
Rabau Antonia, Lange Meerschstraat.
Mousson Blanche. Hoornwerk.
Delvoyé Alfred, Rqseistraat.
Ameloot Ludovica, Kiaverstraat.
Van Labeke Gaston, Eplanade.
Ghys Roger, Beluikstraat.
Gillioen Renata, Dickebuscbsteenweg.
Litiere Oscar, Meenensteenweg.
Tahon Raymond, Veurnesteenweg.
Baert Camiel, Grimminckstraat.
Spotbeen Antonia, Meenensteenweg.
Huweljjk
Vandenberghe Theophiel, aardewerker wed».
Sckoonheere Febronia, en Bruneel Judania,
>yinkelferster wed6. Dewancker Auguste, beiden
te Yper,
Sterfgevallen
Gequire Camiel, 2 j Kanonstraat.
De SerretZoé. 78 j. wed' van denHoogwelge-
boren Heer de Florisone Alfred, Elverdingbe-
slraat.
Drinckebier Camiel, z. b. 41 j. ongeh. Lange
Thouroutstraat.
Menu Luciaan, 10 dagen, Rfjselsteenweg.
Vandevyver Jules, 13 dagen,Dickebuscbsteen
weg.
Deleye Leo, 8 maanden, Zonnebekesteenweg.
Delbecque Catherine, 72 j. baker, ongehuwd,
Oude Houtmarkt.
Billiet Maria, 83 j. z b. ongeh.Rjjkè Klarenstr.
MON LIVRE
Bnstmsiotïf
sur la
Ces lignes s'adressent a toutes les personnes atteïntes d
SLRDITE COMPLE1H ou PARTÏELLH ou qui soufTrent ül" u
bourdonnements d'oreilles. Spécialiste dans cette matière, j'as,
après de longues années d'études, écrit un livre dont j'envoie mi
exemplaire GRATIS et FRANCO a quiconque m'en fait la de- 1
mande. Ce livre est un message de joie pour tous ceux dont
1 ouïe laisse a désireril leur apprend comment, par les moyens p;
de la Science d'aujourd'hui, ils peuvent, en quelques semaines,
se traiter chez soi, sans payer d'honoraires au médecin.
Domanüen co BSvre SmmédSatotneni
Une carte postale de io centimes est suffisante.