Au Sénal Téléphone 52 Téléphone 52 A la Chambre Samedi 18 Ayril 1908 10 centimes le N° !V° 448)78 L'Agriculture 43 A«»kie On s'abonne rue au Beurre, 36, A Ypres, et A tous les bureaux de poste du royaume. Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine. I Les annonces coütent i5 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal 3o centimes Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 C. par an pour tout le pays g la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémenliires coütent pour l'étranger le port en sus. I 10 francs les cent exemplaires. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. j Pour les annonces de France et de Belgique (excepté les deux Flandres) s'adresser a YAeenc* Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. |j g Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse, Du discours que M. Schollaert, chef du cabinet, a prononcé jeudi pour répondre aux obstructionnistes de gauche, nous extrayons le passage suivaut d api ès le Coinpte-rendu aualitique Ces paroles exposeut exc-'lleinment le point de vue auquel il faut se placer dans le débat Congolais. Nous avoas l'intime conviction d'avoir avec nous lltarnense majorité du pays, tous les citoyens qui veulent le bonheur, la grandeur matérielle et morale de la Belgique. De quoi s'agit-il en effet La première période de la colonisation est close. Une ère nouvelle va commencer. II s'agit de recevoir des mains du Roi- Fondateur un empire colonial que nous n'aurions pas même il y a quelque trente ans osé entrevoir dans nos rê*es les plus hardis un territoire ayant quatre-vingts fois l'éteadue de la Belgique, dont les ricbes-es végétale» otminéralesapparaissent immeuses. Nous allons entrer en possession d'un domaine colonial déj» organisé et que nou» gouvernerons d'après les principes constitu- tionnels de liberté et de controle parle mentaire qui out présidé a son propre développement. II s'agit d'atteindre enfin ces horizons coloniaux dont le mirage a si vivement séduit nos pères et qui, dans le domaine du commerce et de l'industrie, doit grandir encore et dans quelles proportions la place déjA si belle que notre patrie occupe dans le monde. II s'agit enfin de permettre a la Belgique de dépenser sur une terre qui lui appartien- dra les trésors de dévouement qu'elle dépense depuis de» siècles sur tous les continents et sous tous les climats pour l'éducation et la civilisation des races inférieures. C'est pour moi, Messieurs, le coté le plus beau de cette noble entreprise. Sans doute, si ces conséquences pouvaient nuire aux intéréts beige», peut-être pourrait-on héiiter. Mai» quand ces intéréts apparaissent comme devant être garantis, comment ré- sister a la seduction du role qui s'offre a nousêtre les rédempteurs de la race africaiue, des millions de nègres qui atten- dent de nous le salut pavilion. C'est ainsi que M. Vandervelde, qui avait maintes fois défendu 1 idéé de la représentation proportionnelle.l'acombattue a la Chambre le jour oü elle a été proposée. La même aventure se reproduit A propos de la reprise. Les violents du parti, pour lesquels les gros mots et les injures tieunent lieu d'arguments et dont la violence n'est d'ailleurs égalée que par la courte vue, parviendront sans doute A imposer leur tactique a des hommes qui ont assez le sens des situations pour comprendre qu'il serait honteux et absurde, de la part de la Belgique d'abandonner le Congo a l'heure oü elle doit décider sur le sort de sa colonie. Les intellectuels suivronf probablement les é.iergumènes, paree que ceux-ci ont ou croient avoir derrière eux les groupes électoraux du parti. Et déja on fait entre voir a i'M. Picard et Grimard que' leur réélectioa dépendra de leur soumission aux ukaseB du parti Pepin. II est permis d'accepter de la même manière la violence de mauvais ton avec laquelle, M. Destrée, dés le débat sur l'ordre du jour, a cru devoir s'associer aux clameurs pépinesques. Au surplus, que les chefs socialistes se laisseut en cette affaire comme en taint d'autres imposer une décision par quelques groupes sans respousabiiité plutót que par le sentiment de leur respousabiiité person nel le, ce sera taut pis pour eux. Bien de plus. Dès maintenant il sera intéressant de collectionner les déelarations de nos hom mes politiques qui se prorionceront coDtre la coloDisation. On les leur opposera dans queiques années comme ön l'a fait jadis pour lés politiciens A vue étroite qui cotn- battirent i'établissement des premiers che- min8 de fer. Gouverneurs Le moniteur du 9 avril publie un arrêté royal acceptant la démisBion offerte par M. Pety de Thozée de ses fonctions de gouverneur de la province de Liège et l'autorisant a conserver le titre honorifique des dites fonctions. En même temps, le journal officiel publie un autre arrêté royal nommant M. Henri Delvaux, membre de la Chambre des repré- sentants, gouverneur de la province de Liége. M. H. Delvaux sera remplacé A la Chambre comme député de l'arrondissement d'Arlon-Marche-Bastogne par M. Léon du Bus de Warnaffe, second suppléant de la liste catholique. Les pouvoirs de celui-ci viennent d'être validés par la Chambre. Les socialisteset la reprise du Congo A plus d'une reprise déji nous avons assisté a des conflits trés significatits dans le parti socialists entre l'élément intellectuel et l'élément strictement démagogique. Le premier compte parmi »es reprécentants autoriiés MM. Vandervelde,Destrée, Picard, Grimard, Lafontaine. Le second est plus spécialement représenté par MM. Pepin, Hubin, Caeluwaert et consorts. Déja, dans la question électorale, nous avious vu les premiers se prononcer pour la représentation proportionnelle, mais les seconds, qui orient plus fort, ont su faire prévaloir leur avis et le» obliger a ainener en recherchant les moyens de mettre un tei ine a cette crise elle a préconisé l'amélio- ration de la culture et des produits, grêce a l'association des planteurs. Pourquoi n'a-t elle pas continué ses tra- vaux en étudiant la culture et le commerce du houblon en Angleterre Notre marché houblonnier depend en tout point du marché de Londres. Si les condi tions exigées pour nos produits nous étaient mieux connues, nous pourrions trav.filler plus assidüment et plus sürement dans li voie de l'amélioration. Déveiopper notre expoitation vers l'Ange- terre, ce sera la une solution partielle de la crise houblonnière. Envoyez, monsieur le ministre, en AnJeterre des spécialistes compétents pour faire une enquête sur le négoce des houblons et sur les moyens de déveiopper nos dé- bouchés. Dans le même ordrt d'idées, lei rapports de nos consuls a Londres et a Nuremberg devraient être publiés dans le bulletin de l'administration de l'agriculture et communi qués aux journaux agricoles locaux. C'est ce qui se fait en France, oü les renseignemenis consuiaires se publient au bulletin mensuel de l'office des renseignements agricoles et atteignent rapidement le monde houblonnier par la presse agricole ou politique. Les renseignements dont je viens de parler guideraient nos planteurs aussi bien que les négociants et leur éviteraienf bien des décon- venues dans ce périlleux commerce houblon nier. Notre député M. Van Merris, a pfononcé A la Chambre un important discours, que nous sommes heureux de reproduire. Af. Van Merris. Nous ne pouvons méconnaitre que la vulgarisation des con- naissances agricoles est due en majeure partie aux agronomes de l'Etat. Comme conseillers techniques et comme conférenciers agricoles, ils ont largemeAt contribué au développe ment des associations rurales. Toutefois, leur action ne serait-elle pas encore plus efficace si, d'une part, leurs circonscriptions étaient moins étendues et si, d'autre part, celles ci étaient délimitées non par arrondissement, mais par régions a cultures spéciales Mon honorable collègue M. Polet a fait observer que la circonscription des cornices devrait être déterminée par l'analogie de l'économie rurale de la région englobée. I Si la delimitation des cornices doit être organisée sur cette base rationnelle, il s'en- suit que le sectionnementdes circonscriptions devrait se faire pareillement. C'est ce qu? M. le ministre de l'agriculture baron van fier Bruggen avait en vue quand il a formé une seule circonscription pour la région houblon- nière d'Alost et d Asscbe. Une delimitation analogue pourrait s'éta- blir dans la Flandre .occidentale en scindant la sixième circonscription la partie septen- trionale, ou Furnes-Ambacht, est la région des pSturages et de la grande culture des céréales, tandis que la partie méridionale présente surtout les cultures spécales du tabac, du houblon et tie la chicorée. j fi n attendant la discussion des propositions de loi établissant un droit d'entrée sur les houblons étrangers, je desire, monsieur le ministre,appeler votre bienveillante attention sur deux points. La situation critique de la culture houblon- nière en Belgique a pour cause, d'après la commission extraparlementaire, le discrédit qui atteint nos produits tant sur les marches anglais qu'a l'intérieur de notre pays oü les consommateurs accordent une certaine pré- férence aux houblons étrangers. La commission d'enquête a fait oeuvre utile Discours de M. Colaert, (Suite) M. le Président. - Nous reprenons la discussion générale en cours. La parole est continuée a M.ie rapporteur. M. Colaert, rapporteur. Au moment oü la séance d'hier a été levée, j allais examiner la dernière objection que je crois devoir faire a l'instauration de l'enseigne- ment obligatoire. Cette objection est tirée des sanctions par lesquelles on veut assurer l'application de l'enseignement obligat ure. Maïs avant d'aborder ce sujet, je tieus a défeudre les rapport des sections centrales de 1905, 1906 et 1907 contre les objections présentées quelquofois ici, dans des inter ruptions, ou daus certains congrès, et qui ont souvent trouvé de l'écho dans des organes de la presse. II sera d'autant plus opportun de ie faire que le budget de l'instruction publique n'a guère été discuté depuis 1904. La Ligue des instituteurs officiels s'est prévalue de mon rapport de 1907 pour réfuter mes chiffres et en tirer des conclu sions qu'il 1 e comporte pas. Dans un document produit au congrès de la ligue, tenu a Schaerbeek en Septembre dernier, je lis ce passage extrait de mon rapport Le rapporteur de la section centrale chargée d'examiner le budget de l'instruc- tion publique pour 1907 affirme qu'il devient de plus en plus inutile d'établir.en Belgique, la coutrainte scolaire, que les progrès constants de l'enseignement primaire, et notamment la diminution du nombre des illettrés rendent superflu l'organisation dans notre pays de l'enseignement obligatoire On a prétendu, ajoute le même rapporteur,, c'est toujours de moi qu'on parle que le nombre d'enfants qui ne regoivent aucune instruction selève a 125.000, chiffre équivalent a peu prés au 1/6 de la population scolaire qui en 1900 était de 807.675 enfants Agés de 6 a 12 ans. Ce chiffre est considérablement exagéré environ 80.000 enfants au lieu de 125 000 n'allaient pas A l'école ou ne recevaient pas d'instruction en 1900. Af. Verheyen. C'est encore trop. M. Colaert, rapporteur. Je 1© sai» bien, mais ce chiffre n'est pas exact, et c'est contre l'interprétation eironée donnée a mon texte que je viens protester. Je n'ai pas écrit, ni dans mon rapport de 1907, ni dans mes rapports précédents, qu'il y a en Belgique 80.000 enfants ne fréquentant aucune école. Je visais les écoles communales ei les adoptées et adoptables. Si l'on retranche du chiffre de 869,811 les enfants qui ont dépassé l'Age de 12 ans, on peut pi étendre que 80.000 enfants de 6 a 12 ans ne fréquentaient, en 1905, aucune école communale, adoptée ou adoptable, et ne recevaient done pas leur instruction dans une école iDspectée. Voila, messieurs, ce que le rapport de 1907 a voulu dire voilé ce que dit en termes formels le rapport de 1906. L'honorable M. Vandervelde s'est trompé lorsqu'il a prétendu que nous soutenons, l'honorable M. Woeste et moi, qu'il y a, dans les écoles, plus d'enfants que n'en accuse le recensement de ia population scolaire. Encore une fois je n'ai rien dit de pareil et ceux qui voudront bien relire mes rapports de 1906 et de 1907, se convaincrout qu'en parlaut ainsi l'honorable M. Vandervelde comprend dans la population scolaire de 6 a 12 ans, les enfants qui fréquentent l'école jusqu'a l'age de 13 et même de 14 ans. Si l'on netient compte quede la population deséco es dont je viens de parler, on peut prétendre que 80 000 enfants,ou un dixièmë de la population en age d'école, ne fréquen tent pas ces écoles. Mais que fait on, dans ce cas, de plusieurs catégories d'enfants qui fréquentent d'autres écoles, et notamment ceux qui vont a l'école privée non subsidiée Ne faut-il pas tenir compte aussi de ceux qui se trouvent daüs les sections prépara- toires des écoles moyennes, dans les écoles de bienfaisance et de l'armée, ou qui recoi- vent l'instruction a domicile Et les iufirmes Puis encore certaines catégories, comme les enfants des bateliers enfin, les enfants anormaux et ceux qui, a cause de leur inconduite, ne sont reg.us ni dans l école officielle ni dans l'école privée Tous ces enfants sont compris dans les 80.000 dont je pariais tout a l'heure et si vous les retranchez, vous arrivez a ce résultat qui est consigné daus mon rapport, qu'il n'y a pas actuellement en Belgique 5 p. c. du nombre des enfants en Age scolaire qui ne fréquentent aucune école. Ou m'a répondu que ce chiffre est encore trop élevé. Certes, il ne devrait pas y avoir d'enfants ne fréquentant pas l'école, mais nous marchons vers ce résultat, et nous sommes heureux de constater que bientót en Belgique, il n'y aura que 2 p. c. d'enfants ne fréquentant pas l'école, ou ne recevant pas l'instruction a laquelle il» ont droit. M. Verspeyen. Acceptons eu l'augure. M. Colaert, rapporteur. Oui, acceptez en l'augure, en attendant, écartez l'ensei gnement ob igatoire qui ne donnerait pas de meilleurs résultats. Voici du reste quelques chiffres éloquents. D'après le recensement general de 1800, le nombre des habitants êgés de dix a quinze ans était de 647,173 dont 570,912 savaient lire et écrire. Le nombre de ceux de quinze avingt ans était de 644,779 dont 583,879 étuient lettrés. Ils forment respectivement 88,22 et 90,55 p. c. de la population de leur Age. La statistique établit aussi que pour les habitants de vingt A vingt-cinq ans, la proportion des lettrés est de 90,21 p. c. Enfin, il est établi que le nombre des illettrés parmi les habitants qui se présen tent au tirage au sort, était de 44.15 p. c. en 1850 et ne s'élève plus eu 1905 qua 9.65 p. c. II y a done en réalité, d'après ces statisti- ques, en I9u5, 9.65 p.c. d'illettrés parmi les jeunes gens qui sont appelés au tirage au sort. Cela vous prouve que la fréquentation scolaire doit avoir fait dans cette categorie de personnel des progrès considérables. M. Franck. Ils fréquentent l'école d'une manière quelconque, pendant un nombre de semaines ou de mois quel- conques. M. Colaert, rapporteur. S'agit-il des habitants agés de moins de 25 ans, sachant lire et écrire, voici les statistiques officielies que vous pouvez contröler comme moi. Sous ce rapport également, nous avons réalisé de seusibles progrès Habitants sachant lire et écrire. De lü a 15 ans Année 1880 Année 1890 Année 1900 80.09 p. c. 83.37 p. c. 88.22 p. c. De 15 a 20 ans Année 1880 Anaée 1890 Année 1900 80.96 p. c. 85.28 p. c. 90.55 p. c. De 20 a 25 ans Année 1880 Année 1890 Année 1900 79.51 p. c. 85.09 p. c. 90.21 p. c. Est-ceque je n'étais done pas fondé a dire, dans mon rapport de 1907, qui si le recensement de 1910 accusait la même progression, et tout porte d'ailleurs a le eroire, le chiffre des illettrés ne s'élèvera plus a 5 p. c. parmi les habitants de 10 a 20 ans, qui comprendront alors les enfants Agés aujourd'hui de 6 A 12 ans? M. Verheyen. Pour combieu les grandes villes sont elles comprises dans ce* chiffres g M. Monville. Jedésirerais vous poser une question. Je voudrais vous demander ceci Je ne discute pa.s vos ohifïres, je ie» considère comme parfaitement inexacts... M. Colaert, rapporteur. Ils sont offi ciels. M. Monville. Pas plus tard qu'fiier, a propos de la population d'une commune qu'avait citée M.Buyl, on lui a dit que les renseignements officiels n'étaient pas exacts, et eest le bourgtnestre de cette commune qui l'a dit. M. de Broqueville. Ils sont exacts. Af. Monville. Mais je suppose vo» chiffres exacts et je vous dis Si une loi iu- staure l'instruction, croyez-vous que vous auriez encore un si grand nombre d'illettrés et ne pensez-vous pa3 qu'il vaudrait mieux avoir moins d'illettrés? M. Colaertrapporteur. Moins il y aura d'illettrés, mieux cela vaudra mais l'enseignement obligatoire n'amènera pas ce résultat, tandis que la liberté nous le don- nera, je viens de l'établir. Quant aux chiffres de M.Degroote, s'ils ne sonts pas exacts, vous les rectifierez. Af. Monville. Mais non, je prierai M. Degroote de le faire. Af. Buyl. Vous trouvez qu'il n'y a rien a faire alors que dans des communes comme Clercken il y a 60 p. c. d'illettrés 1 Af. Colaert, rapporteur.Est-ce que vous pouvez prouver cela au moyen de la statisti que Af. Buyl. Oui et il s'agit d'une com mune de 5,6oo habitants. Af. Colaert, rapporteur. J'ai fait moi- même une enquête dans une ville de 19,000 habitants, celle que j'ai l honneur d'admini- strer, et personne n'a pu me prouver qu'il y avait 1 p. c. d'enfants ne fréquentant pas l'école. Et quand je me suis adressé A des instituteurs officiels et privés de mon arron dissement, pour savoir qu'elle était, dans leurs commuues, la situation au point de vue de la fréquentation de l'école el au point de vue de la régularité de cette fréquentation, tous m'ont dit qu'il, il n'y avait même pas 1 p. c. d'élèves ne fréquentant pas l'école. Interruptions a gauche.) On m'a opposé la commune de Clercken. Mais cette commune se trouve t-elle dans une situation normale C'est peut-être, je ne le méconnais pas, une des plus arrie'rées du pays, mais c'est aussi une des plus pauvres. Je suis cependant convaincu que lorsque nous aurons les chiffres de l'honorable M. Degroote, nous pourrons constater que la aussi il y a progrès. Mais ce n'estjpas la situation de Clercken qui doit être prise ici en consideration ce qu'il faut considérer, c'est la situation JOURNAL Organe Catholique de l'Hrrondissement - -• 5 r: Rapporteur du Budget des Sciences et des Arts

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1908 | | pagina 1