Fanfare BoyaIe La Madone communale Triptyquc Abbaye ou Prévóté de Si-Martin a Ypres A propos de Turners Pour les colombos hiles Actes Officiels $r, ftlu'ualistes g«üts, ni éclairage et surtout par suite du défaut de parage elles forment de vastes ornières. II demande, rnaintenant que ces rue» existent, si l'admiiiistratioii communale na pas le droit et le devoir d'obliger les propriétaires de ces rues, qui par la vente de leurs terrains ont réalisé de beaux bene fices, a les mettre dans un meilleur état. II croit que oui et donne a ce sujet lecture d'un règlement communal de 1844 sur l'éta- blissement de rues nouvelles par des parti culiere. II ne demande pas de supprimer ces rues, mais d'obliger les propriétaires a les maintenir dans un état convenable et d'em- pêcher pour l'avenir d'établir des rues qui auraient une largeur moindrede sept mètres et s'il le faut, d'élaborer un règlement Bpécial traitant de eet objet. M. le Président dit que la question sera examinée par Je Collége éclievinal, qui avisera aux mesures a prendre. II ne pourrait dire si la ville peut imposcr certaines obli gations aux propriétaires des rues actuelles. M. Begerem est d'avis que oui et qu'un récent arrêt de la Cour de cassation a tranche la question pour l'affirmative. M. le Président. La question sera examinée avec beaucoup uo soin par le Collége échevinal. M. Bouquet demande d'iuscrire un crédit au prochain budget pour l'installation d'un trottoir, rue Capron. M. le Président repond que la chose est déja prévue. Administration de la ville. Le rapport sur l'administration de la ville pour lVxercice 1907 est déposé. II sera im- primé. Finances communales Le budget 1909 de la ville est déposé. Le Président propose de l'examiner en sections samedi prcchain 26 décembre, a quatre beures, et de tenir une séance publi- que le lundi 28 décembre, car il importe de la voter avant la tin de i'année. Cette propo sition est approuvée. Bureau de bienfaisance Le compto 19J7 et le budget 1909 du Bureau de bienfaisance sont aéposés et renvoyés pour examen a. la croisième section présidée par M. 1 échevin Vardenboogaerde, qui l'examinera pour la prochaine reunion du Conseil. Proprieties communales Le Conseil accorde une prolongation de bail de deux ans et demi a M. Edmond Liógeois pour la maison cccupée par lui, rue lu Marais. M. le Président fait remat- querquece bail ne comporte pas le jardiu dependant de lafondation de feuM.Alph. Vandon Peereboom et qu'il s'agira ci'exami- nerprocbainement commmt il faudra utili- ser ce jardm qui ne peut rtster dans sen état inculfe actusl. M. Beger<m. Qj'on 1'utiiise seionles fondations du donateur. M. le Pié3ideKt. C'est co quo nou» examinerons. Hospices civils Autorlsafion est deir.audée pour une vente d'arbres et bots taillés, appartenant aux hospices. M. le Président fait remarqui r que les hospic°s ont déja fait publier les afliches paree que cette vente se l'aisant do femps immemorial au commencement de janvier, il imporfait ue l annoncer a temps. L autorisaties du Conseil communal n'a pu être donnée plus tót paree que Je Conseil ne s'est point réuni dans le courant du mois Soipéfi dll «^Huzifk krill1*» de décembre, mais comme cette autorisation n'a jamais été refusée, les hospices n ont pas Notre théAtre communal a eu rarement hésité a faire parattfe les afilcbes, afin s une aussi belle Salle a 1 occasion de la gran- d'annoncer Ia vente en temps opportun. de Soiree dramatiqua etmusicale de Lundi M. Begcrem. Et si le conseil refuse dernier, organisée par notre jence sympbo- l'autorisatioa de vendre 1 i nie Yproise Muziek kring Al. Ja Président. Aio s, les hospices Tout le monde select de la cité s'y était apposeront une bande indiquant que la vente i dor.ré rendez-vous et nous y avons remar- n'aura pas lieu. L'autorisatiou de vendre est accordée a l'unanimité moins le vote négatif de M. Be- j gerem, qui declare voter contre paree qu'il i estime que les hospices doivent demander l'autorisation «ie vendre en temps utile et avant de faire caraftre les affiches annon- cant la vente. La séance est levée a 5 1/2 heures. qué de nombreuses autorités parmi les- quelles MM. le sénateur baron de Vmck, 1'écbevin Fraeijs, les conseillers provinciaux Iweins d'Eeckhoutte et D'Huvettere, le baron de Bieberstein, etc., ainsi qu'uue nombreuse députation dos officiers de Ja garnison et de l'Ecole d'Equitation. La partie musicale comprenais deux morceaux pour sympbonie l'ouverture le Nouveau Seigneur du village du compositeur francais Böieldieu et le Marteaude l'orfèvre de Heylenberg. Trés bonne execution, r Dimanche 10 Janvier 1909 a 7 1/2 beures I marquable par ses qualités rythmiques. sa la Salie hveins, G-RAND CONCERT t Justèsse et sou ensemble. C'est avec raison ARTISTIQUE offert aux membres bonorai- j qUe l'audifoire a chaleureusement applaudi res, par la Fanfare Royale. Le programme détaillé de cette brilfante soirée paraltra dans notre prochain numéro. Daus de precedents numéros, nous avons félicité, tour a «our, garcons et filles, jeunes et vieux, d'avoir si dignement cloture I'année du cinquantenaire de Lourdes. Nous avons notamment applaudi les congréganistes de St-Martin qui ont ter.u a conserver un sou venir durable de ce cinquantenaire, en lui érigeant un véritable mémorial 5 le jeune et courageux directeur Lucien Verhaegen et ses méritants collaborateurs qui nous promettent poui l'avenir ua orches- tre de valeur. Mademoiselle Gabrielle Callebertprofes seur de violon a l'Académie de Conrtrai, a ravi les amateurs de belle et bonne musiquo par son jeu délicat et savant dans la belle pave bien connue Ballade et polonaise de Vieuxtemps, et l'ccuvre de grand envergure Zigeuner Weissen de Sarasate. La char mante artiste y a développé toutes 'es res sources de sa virtuosité et recueilli uu graud Mais a coté des particuliers qui ont riva- sl,ccès bien mérité et Partaf?é Par son excel j lisé entrc cux duns l'expression de leurs hom- j mages a la Vierge, nous eussions vu avec j plaisir encore les représentants officials de la cité de Notre-Dume de Tuine, faire queique j chose, eux aussi, tn l'honneur delacékste Protectrice d'Ypres. 1 Hélas Voici que I'année jubilaire s'achève, I et la Mad.me que nos pères ont installée a la place d'honncur de leur beffroi, cette Ma- done, discnr-.ous, ignominieusemect dé- gradée, mutilée, de'couronnée, snbit eet ul time affiont d'assister aux restaurafions qui se font de toutes parts a nos monuments publics, tandis qa'on l'oublie outragcuse- ment dans sa triste posture Et pouitant la lamentable mésaventure survenue au pignon sud de la maison com munale aura;!, dü servir de salutaire avertis- sement ar.x occupants de cette maison. Bien n'y a fait. Leurs constructions nou velles cf leurs échafaudages se remettent a braver insoLmment le ciel et le déchaine- ment de ses fureurs, tandisque la Patronne d'Ypres, Reine des Cieux, attend patiem- ment, toute en lambeaux, d'avoir son tour... après les niches des mnombrables duchesses et comtcsses de sa suite Que l'auteur de Partiele ci-Jcssus se rassnre nous pauvons lui gararrtir que les lent accompagnateur au piano, AL Callebert pêre. La commission organisatré# s'étaifc assuré le concours du célèbre cerele dramatique de Bruxelles l'Etincelle si avantag usement connudan- les cercles catholiques do nos grandes villes. C'était donner a la fèto un relief tout particulier qui devait en assurer Je succes. L excellente sociale a débu par un char mant lever de rideau a.'c Ricochetcompose par son principal acteur M Osméa, (lont los lines r"parti:s souhgnccs av, c une defica- (esso exqütse ont charmé «out l'auditoire. La Ppsrituclle comédie en 11 actes les vi. ucit^s du cap'.taine L a obtenu un vil j je mgme temps, si un cycliste pratique avait succes pour son execution impeccable et j vou!u acti0!,ner le8 pédales. jush K. {.•lememcnt excellente reputation j Et de même, tandis que je regardais les e u.Lince .'u nul ui el, ua jeu soupio et Turners jeter en Pair leurs bras désarmés, se distingue,une diction élégante,caractérisent g tordre le beau talent do tous ces artistes-amateurs exercicts qui leur ont valu les fréquents et chaleureux applaudissements de la nom- breuse assistance Nous croyons plus utile de consigner quelques reflexions que nous sug- gérèrent leurs jeux gymniques. A l'heure ou nos adversaires, s'octroyant le monopole du patriotisme, essayent de nous entrainer vers la mégolomonie milita- riste, en prétextant la faiilite du voloutariat et les besoins de la défense national. nous devons non settlement démontrer l'inauité de leurs allégations, mais viser a de'veloppcr le volontariat de telle manière qu'il ne puisse plus ctrc question des autres systêmes mis en avant pour le supplanter. Comme l'a préconise', entre autres, M. le depute Verhaegen, appro avé par le Bien Pu blicun des meilleuis moyens de féconi'cr le système du volontariat, c'est de fonder, de multiplier et de développer, dans le sens de la formation miliuire, les iartnutiöns de nymnastique sco aires ou indépendantes. Ces institutions, fort en honneur en Angleterre le sont encore davantage en France, oil le service militaire pourtant est général et obli gatoire. C'est même au point que les jacobins francais viennent de prendre ombrage de la I muItiplicité des sociétés de ce genre existant dans les institutions fibres, et qu'ils ont dé I posé un projet de loi qui doit leur permettre I de refuser l'existence a celles qui ne leur plaisent pas, mclgré les services incontesta- j bles qu'elles rendent, toutes indistinctement, j en concourant efficacement a l'oeuvre com- j mune de ia défense nationale. Dans notre pays pareille intolérance n'est P's a craindre, «lans l'improbable éventualité d un retour au pouvoiQ des admirateurs du jacocinisme francais. Le peuple beige ne le j supporterait pas. La "formation militaire 1 cómmencée dès l'adolescence estsusceptible de 2 déterminer des vocations militaires ou tout au moins de détruire les répulsions qu'inspire généralement le métier de soldat pour peu i que cette formation se généralise, elle doit 1 aboutir a rendre facile e.t agre'able, a abréger j j même la durée de l'enseignement ala caserne, j Un pcu d'utilitarisme américain serait do j mise sur ce terrain. Quand je vois un cycliste tricoter des jambes, des heures entières sur j j 'a piste d'un vélodrome, je songe, malgré j l moi, aux nombreuses paires de chaussettes 1 l qu'öDC machine a tricoter aurait livrées, dans I, ave: une habileté et une vigueur qui enthou. siasmèrent 1 assistance, nous songions qu'ain si rompus aux evercices athlétiques, ils fe. raient de toute fa<;on excellente figure sur la scène de l'avenir de l'avenir de demain. Ils avaient du reste pressenti eux-mêmes cos besoins de l'avenir et nous le disaient no tamment par leur tableau d'apothéose Et c'est avec une égale énergie qu'ils brandis- saient tous, qui la croix du missionnaire qui le fusil ou l'épée du soldat et de l'explo- ratcur, qui le drapeau tricolore <>u le drapeau d'azur é'dilé d'or. Vocation apostolique ou militaire, voca tion de marin, de colon, de commer9ent, etc., toutes doivent béne'ficier de cette sa- vante et salutaire gyronrstique qüé les Tur ners i) nous faisaient admirer dimanche, au Volkshuiset p.tites causes, grands effets, cette formation athlétique de notre jeunesse contribuera, sans au-eün doutc, a rendre la nation mieux a même de remplir toute sa mission, dans les étrortes limites de notre vieux terrfioire comme dans les vastes étcn- dues ue la Befi-ique afiicaine. Le public enthousiasmé n'a pas ménagé ses i ovations aux graci'euscs actrices Mesdemoi- S selles Da verg ny et Denaucy it a tous les I acteurs Messieurs Qsmès, Vinda, Smctfing, i Wuyter et Griais. I II convient de faire un vif éloge a la Société Muziekkriag et a son président M. J. j Tybergbein p tur le grand succès de ceRe i agréable soirée. Un merci et uu proficiat tout représentants otfictels de la cité, loin d ou- spécial au jeune et dévouó président d'hor (Suite) A la suite des événements politiques au XVIe siècle, un évêché fut créé a Ypres par une bulle du Pape Paul IV (1559) et le dernier prévöt Jean Snic fut d<;eh ar gé de ses functions, en 1561, lors de la prise de possession du nouveau dic- cèse par l'évêque Rythovius. Les chanoines réguliers furent sécu- larisés et tons leurs droits et privilèges passerent a l'évêque d'Ypres, dont la dotation principale fut constituée par les biöns de la prévóté. Aii'nsi disparut l'anti^ue abbaye qui avait rempli un röle si fécond dans 1 his- toire de la ville au moyen-age. Les batiments du monastère furent appropriés a leur nouvelle destination et lés 'divers titulaires qui se sont succédé au siège episcopal de la ville d'Ypres, y apportèrent, dans la suite, des transfor- maiionS. pJus ou moins considerables. L'évêque Jansenius notamment, se dis- tingua par la nature et l'importance des travaux qu il fit effecluer au batiment principal qui fait face a la place dito du cloitre de S' Martin,» Ces travaux de modification, et non de construction comme il est dit par erreur dans les <i Ypriana,» furent exécutés, en 1636, par l'architecte Franckaert. Lors des persécutions religieuses sous le règne de Philippe II la ville düt subir les dévastations et les excès des iconoclas- tes Au mois d'Aoüt 1566, Ypres est aa pouvoir d'une bande de pillards. Ce> iconoclastes en- vahissent les monastères, puis la cathédrale; ils y laissent les images et en pillent les trésors. blier outrugeusement la céleste Protectrice d'Ypres, désirent d'abord !a restauration compléte de la maison qu'ils occupent avant d'y donner la place d'honneur a une magni- fique statue monumentale de Notre-Darne de T(!ine. Ne convient-il pas de mettre la mai son eu tout premier ordre avant d'y installer sa plus auguste Occupants (Note du Journal). L'évêque Rythovius est obligé de quitter sa ville épiscopale les chanoines fuient ou se ca- chentle chfipitre est dispersé -«». Rythovius revint fin de I'année 1566 après le ï-ëtablissement de l'ordre (1). En 1578, la palais épiscopal, le cloi tre do S' Martin, la cathédrale furent de nouveau pi 11 és par une bande de gueux. Au commencement du XVIIIe siècle, un nouveau palais fut cons'truit, dans le gout de 1'époque, en face des anciennes constructions monacales qui devinvent i les dépendances de la nouvelle, demeure de l'évêque d'Ypres. Un plan, daté de 1713, déposé aux archives communales, nous renseigne exactement sur la desti nation des divers locaux tant anciens que nouveaux. Sous le gouvernement de la Républi- (iue frangaise, en 1796, les bailments dc lévêchó furent convertis en magasins pour le Génie militaire. Nous lisons dans I histoire militaire de la ville d'Ypres par Vereecke que L'église cathédrale de S' Alartin A Ypres, fut comprise dans une vente pubiique de biens nationaux qui eut lieu A Bruges, par devant les administrateurs du Département de la Lys, le II octobre 1799, ct elle fut adjugée au Sieur Joseph Lebou sacristain de Ia dite égiise, pour Prix dc 8.200.009 francs, payable en assignats neur M. N. D Huvetter, l'amc de cette char mante fête qu'il a si bien organisée a la grande satisfaction de tous fes assistants. Nos gymnastes de St-Martin ont donné, dimanche soir, leur première fête de ia saison d hiver. Nous ne détaillerons pas les divers L'acquéreur céda son droit de propriétc A la fabrique de l'église et aux habitants de la pa- I roisse, par acte passé devant le notaire Deco- ninck A Ypres, le 15 Septembre 1800.» Au commencement du XIXc siècle, ces I constructions qui se trouvaii&it déja dans un état de délabrement prononcé, ainsi qü'e l'atteste un état des lieux dres- sé par le génie militaire, en 1796, furent louées, par parties, a des particuliers pour servir de dépots ou de magasins. Cette situation ne perdura pas en 1839, la location de ces batiments fut don née par bail emphythéotique a des reli gieuses Clarisses auxquelles ont dut, en 1900, vu l'état précaire des batiments, oonsentir la résiliation du bail en cours. Depuis lors Taction du temps a re pris son oeuvre dévaslatrice les im- meubles inhabités étant exposés a tou tes les intempéries. en tous sens, s cscrimer, s'élancer w I contre un ennemi imaginaire, sar«s savoir dans quel fut, autre que Tassouplissement s des membres, je me disais quel dommage I j et quelle dérision Dire qu'il suffirait d'agrémenter tout cela l des paroles sacramenteiles empiuntées au 1 code d'instruction militaire pour transformer ces Turners en parfaits soldats Et dire ;l que, faute de ce détail, quand ces gymnastes 1 arriveront a l'armée, il taudra des mois inter minables et des bordées de jurons a faire danser tous les démons de [Tenfer pour dé- montrer aux malheureuses recrues qu'elles 1 ne savent pas le premier mot de la gymnas- tique Nous songions aussi, en voyant ces jeunes i gens marcher si cranement, vers 'Avenir jj représenter de si male facon l'amour de la Patrie agrandie, s'escrimer et te défendre j jour restent muets, remonte, f Tavons dit plus fiaut, au j tes mis f comme nous I XIII® siècle. I Un examen détaillé des lieux a prouvé quo ce corps de batiment occupait an- ciennement une superficie plus considé- I rable que celle accusée aujourd'liui. I La faqade qui limite ia construction du cöté Nord y a été établie sous l'épis- j cojaat de Jansenius. L'appareil ne se rac- j corde pas avec celui des murs goutte- rots plus anciens et, it leur rencontre, i I ces maqonneries présentent sur toute f leur hauteur une solution de continuité. j I Le plan a vol d'oiseau de la viile, de j 1564, dont un extrait est ci-annexé, mon- tre que ce batiment se terminait, au I Nord, par un pignon a glacis ornés de crochets. Les recherches faites, sous le sol, dans la direction des murs goutterots nous Ci le sujet d'un l.rptyquo fout indiqué pour décorer ie local de notre société coL,m- bophile: I Volet de droite. La pia\\a san Marco, a Veuisf, a quatorze beures précis^s. Un employé communal répand sur les dalles e marbre de la place une corbeille de nourri- ture destince aux pigeons qui nichcnt en foule sous les arcades de St Marco. Una multitude de ces volatiles viennent voltiger au tour de lui, se peroher famiiière- ment sur ses ópauies, lui trotter on tre les jombes, et ce n'est qu'arec des précautioas infiui°s qu'il se «iégage de la troupe de ses protégés. II Volet degaucho La place du parvis Notre Dame, a Paris. Scène toute pareille, sauf que les pigeons sont remplacés par des moineaux et le colombophfie officie! par un oi eleur privé. III Panneau central La grand'place, a Ypres. Quelques pigeons craintifs picorent deci drla. Un jeune homme s'amuse a lan cer A leur poursuite un épagueul de forte taille. Y>ngt fois il s'en faut d'un rien que le chien, c-xcité par son maitre, ne parvienne a faire une victime. Légende: Autres pays, autres moeurs. Tous les amateurs de pigeons ne sont pas des colombophiles. II en est qui n'ont rien de plus pcessé, lorsqu'un piaeoa en to re dans leur propriété, que de lui ettvoyer du plomb dans l'aile. C'est absolument abusif. i'our la gouverne de oeux qui se'-aieut tentés da les imiter, ignorant cu nnn leur droit en cette matière, sianalons un jugeraent rendu, il y a.quelques jours par le tribunal correctionnei de Bruges juaeant eD appel et confirmant la rremière sentence, laquefie condaranait au paiement de quinze francs de dommages-intéréts un habitant de Damme, qui s était permis de tuer un pigeon égaré dans sa propriété. Par un arrêté paru au Moniteur du 26 Novembre 1908, TUnu>n professionnelle chrétienne des ouvriers peintres Eendracht is Machtest rccnnnuc. Par arrêté royal du 20 Novembre 1908, In reconnaissance légale est accordée a la société motualiste d'assurance contrei i mortalité du bétail («Geitenbond van de hoppestteek», état lie a Poperinghe. Des arrêtés royaux dn "20 Novembre 1908 alloucnt aux communes dont les noms suivent des subsides pour l'exécntion de travaifx de voirie vicinalc a savoir: i'ece- laere 20.000 fr. Poperinghe 9 000 fr. Wer- vicq ro 000 fr. Ypres 2325 fr. Par arrêté royal du 7 Décembre 1908 M. Oscar Poupart. docteur en médecine. a pres, est Dommé memhre du comité d'inspection ct de surveillance de I éecle de bienfaisance de l'Etat, en la dite ville, pour un terme qui expirera le Ji Décembre 1914. La decoration spéciale do lrcelasse est ac cordée pararrêié RoyT aM.Louis Desagher et M Henri Cos!aur. Membres fondatears de la fociété Mutualiste dite Katholieke Ziekentroost Nos plus cbaleureuses félicifatiotia s - le (2). 'l'-hérouanne fut rasée, en 1553, par Charles- Quint, Le siège épiscopal des Morins que pos- ;.:dait cett- ville depuis I'année 500 fut pro- vlsoiremcnt transféré A Boulogne jusqu'en 1559, époque A laquelle il fut démembré pour former les trois évèchés de Boulogne, d'Ypres ct de S' Omer. (Vereecke). (1), Van den Peereboom Numismatique 5 j.f' :.-c (2). II y a lieu de tenir compte que ce papier nronnaie perdit jusqu'A 97 p. 100 de sa valeur. Parcourons rnaintenant successive- ment les divers baliuients qn^entourent Tambulatoire, en ayant soinrd'accuser brièvement les particularités qui les dis- tinguent, et exposons sommairement les travaux que nous nous proposons d'y faire cffectucr. Les plans et "documents ci-annexés suppléeront a nos explications et jus- tifieront d'une facon plus precise lc pro jet que incus avons dressé. Lo problème a résoudrc parait ab- strait a première vue, mais il sc sirnpli- fie a raison des résultats inespérés que nous ont fournis de nombreux sondages. Les fouilies que nous avons faites nous ont permis de compléter les elements que nous avions déja recueillis en vue du travail de restauration projeté. Aile oriëntale faisant suite au transept. Ce batiment au sujet duquel les comp- ont fait ratrouver les fondations com petes de la partie démolie du Mtimcnt, dont la faqade primitive avanqait de 6,00 mètres sur 1'alignement actuel. Les limites extérieures du batiment étant retrouvées, nous avons a continuer nos recherches pour établir la distribu- tion intérieure. Pour nous guider dans le dcdale des murs moderates et anciens qui divisent la partie Nord, a partir de la salie du chapitre, nous avons au préalable déter- miné le système de construction dc la partie antérieure vers l'église, restée in tacte, et nous avons appliqué le même système a la partie a restaurer; c'est dire que nous avons continué la divi sion en travécs, de largeur uniforme, sur toute la longueur du batiment. Certains indices nous permetlaient de supposer que cette seconde pariie avait dü, comme la première, recevoir des voütes nervées. j4 suivre. BURGERSTAND VAN YPER Van den 18 tot den 24 December 1908 Geboorten: Tresy Malvina, Mosc.o s'r at Florissoone Emiel, Brugsesteenweg. Carre Margareta, Mondstraat. Dooglio Joanna n,,, Dooghe Joseph Gmummckstraat. Ollevier Camiel. Patteelstraat. Reydan! Joseph. Canonstraat. Verleure Arthur, 1 atteélstraat Verdeure Elza, Meenensteenweg Sterfgevallen Waterinekx Anna, 76 jaar, z. b., echtgenoote Variden, Bossche Benigne, Maloulaar. T'ande- vyver Alfons, 24 .jaar, soldaat hij het riRegt Gidsen, Statiestraat.Boulanger Nathalie, 72 j b ebtgenoote Oejaegher Karei. Frezerberg- straat Haesebrouok Amelia, 78 jaar. z. b weduwep.'lcorde Louis, ee.htgeooot Ver Eecke Hf-ïiri, Ri,jselstraat. tiebusseré Odicl, 41 jaar, z. b., ougehuwd. Lange Thourotilstraat. VILLE DtYPRE:S~ On demande un AGENT DE POLICE connaissant les deux langues. Age ma ximum 30 ans. Trai.e neut in'tial 1100 fr.; après 5 ans, 1203 fr.; ap II ans, 1300 fr. S'adresser a l'administration communale.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1908 | | pagina 2