1909
Téléphoae 52
Téléplione 52
GHhUMQU£ tPiiOlSE
Samedi 2 Janvier 1909
10 centimes le N°
W AmtE N° 4K1JJ
E Ir e n nes Pontificales
Sa in te et heu reuse l
Le Cataclysme d'italie
Ce qu'on a dit de nous
et du Jou run I isme
Héunion du
Conseil Communal
O si s'abonne rue an Beurre, 36, Ypres, et
Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine.
si tons les bureaux de poste du royaum®,
fP $P *2 iJS
Les derniers jours de l'année
©32©»©»©»©»©^©^
détruites, et l'on compte au nom-
bre de cent cinquante mille les
me.
A tous ces malheureu» qui out
fait une entree si tragique dans
i'e'ternite nous ferons i'aumóne
d'une fervente prière en atten
dant notre participation au grand
élan de fraternités des nations
d'Europe pour venir en aide aux
populations survivantes qui pleu-
rent leur infortune au milieu des
ruines amoneelées.
Au moment de mettre sous
presse nous apprenons avee la plus
vive satisfaction qu'un comité est I
en formation pour organiser une
souscription et une fête au profit 1
des maiheureuses victimes de la
terrible catastrophe d'italie.
JOURNAL D YPRES
©rgane Gatiolique
de l'Arrondissement
Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 C. pamn pour tout le pays
jour l'étranger le port en sus.
Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre.
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Les annonces coütent i5 centimes la ligne.Les réclames dans le corps du journal So centimes
la' ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémentftires co&eUÊ
10 francs les cent exemplaires.
Pour les annonces de France et de Belgique (ezceptè les deux Flandres) s'adressef a
Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse.
Le tres Réve'rend Chanoine De B*ouwer
Hurè doyen, Ypres 100.00
Mr. et Me Ernest Fraeijs, Ypres 100.00
Mr.labbé Clueys, cure, Brielen So.oo
Ainsi la souhaitons-nous, suivant la belle
formule chrétiertne, a rous nos lecteurs,
jeunes et vieux.
SAINTE, oui, paree que vivre sans vivre
en saint c'esi vivre en insensé», n'ayant
tous, tant que nous sommes, d'autre mission
- ici-bas que .Ie nous sanct'.fier pour la plus
grande g'oire de Di< u.
Seulement, il ne faut pas que ce mot de
sainteté effa ouche personne, et nos souhaits
'ariressent a tous depuis nos éminents et
vénérables chefs jusquau plus indigne des
fatiguer de ses gouvernants libéraux e:es luj
faire mettre a la porte a la première oasion.
L Gouvernement catholique. lui, a gar- j
de la faveur de son maitre pendant uijquai1
de siècle pour commêncer mala tout j
Facharnement mis par la coalition dealoux
a l'effet de le discrófiiter dans l'opini» pu-
bliqua,
j Mais le bon sens beige ne se laissipoint
piper. 11 sait jug< r l'arbre a ses fruitet
ayant trouvé les fruits bons, il tient con- I
server l'arbre.
Aussi bien, le peuple be'ge a toujors eu i
un faible pour les arbres de liberie et uand f
il voit de qu 1 jacobinisme républicai: libé- J
raux et socios elges se montrent admirteurs I
il entend plus que jamais laisser les cadées 1
franches a l'arbre catholique de la toljance
et de la hberté.
La Belgique sera done fiére et heurese de S
fêter magnifiquement les 25 années d ser- 1
nalt de 1'étroite union des bonnes volontés,
ainsi que de l'oubli des intéréts secondaires
ou particulirrs au profit de la cause.
Elle est surtout, nous le répétons, le fruit
des bonnes loispour la confection desqu.fi
les il importe que nos mandataires sachent,
eux aussi, faire preuve d'abnégation, pour
s'en rupporler surtout aux vceux manifestes
du pays et a l'avis autorisé des'sages de Ia
Nation, parlementaircs ou nou, prêtres ou
laïcs.
Amis, tous a la fête
Amis, tous au travail
bien informée. Le public aime pour le moins
autant a être trompé que la femme de
Sganarelle aimait a être battue. Jamais ce
singulier goüfc, fortune des camelots, n'a été
aussi lurgement satisfait qu'aujourd'hui.
1 Univers
Ce qui fait l'irrésistible puissance de ce
;5 métier de journaliste, c'est qu'il met en veil,
c'est qu'il tient en état de combativité et de
rie décuplée toutes les facultés de celui qui
l'exerce. Non, ja ne sais rien de plus attirant,
I de plus entrainant que cette escrime quoti-
dienne de l esprit. Qui y toucha ne peut s'en
detacher. II y a aussi l'alcoolisme de la
bouteille d'encre. L'écritoire est la on la
veut quitter. Vain projet. On y retourne.
I Et quoi de plus facilement explicable
1908 Oilt été assombris par des 'j Nousvivonsa une époque oü se pressent,
tremblements de terre et raz de ang°lssan^s, les questions les plus redouta-
marée en Sicile et Calabre, eau- 1 bles' Nousavons besoin de nous en occuper,
cuisiniers de ce journal. vices gouvernem ntaux de son fidele iervi- i gant {e p]US épOUVantable désastre 1 "l.TL
Nous comptons même lort peu de lecteurs 1 teur, le parti catholique. Espérons ue le 8
dans ces usines de sainteté que sont les
couvents nous en comptons beaucoup dans
les milieux pen sanctifiants du monde.
Mais pour ne pas allonger outre mesure
notre compliment de circonstance, nous
nous permettrons de revenir la dessus dans
un autre numéro.
cadeau comrnémoratit qu U lui offrira sra eet laLïiaiS COMïll.
amendement de la loi scolaire que, ar un f L8S b6ii8S Villes d6 MöSSine 6t
exces d abnegation, au mépris mêmede la Regg'iO aV0C lGUrS COntréGS GHVi-
justice et au grand mécontentementd'une ronnantes sont entièrement
Qu'elle soit heureuse aussi Fannie qui
foute de nos meilleurs soutiens, nonsavons
laissé moisir jusqu'ici dans les cartas du
Parlement.
Ma;s pour associer le pays tout extier a
notre joie, pour n'oublier ni le paiyre ni
l'adversaire mém nous espé-ons aussquel-
s'ouvre, heureuse pour tous pour les pauvres que généreux complément de eet admrable
comme pour les liches, pour ceux que la
maladie doit torturer comme pour ceux qui
jouiront d'une parfaite santé pour ceux que
- 'as revers, les désastres, les deuils doivent
«tteindre, comme pour ceux auquels, en
apparence, il ne reste plus de bonheur a
souhaiter
Mais cela aussi réclame des explication
que 1 abondance des matières ne nous per
met pas de donuer aujourd'hui.
Sainte et heureuse quand même, sous
bénéficc de commentaires
C'est en lettres d'or que le chiffre de l'an
qui s'ouvre devrait briller en tête des lignes
par lesquelles nous saluons son avènement.
Car, de quelque cóté que nous nous tour-
nions, ce sont encore de grands et joyeux
jubilés que nous apercevons.
Et tout, d abord tout seigneur tout
bonneur I ce sera deci deia, et notamment
i Lourdes même, la véritable cloture du
jrand cinquantenaire de Massabielle.
De même. a Rome, les manifestations
dVtachenient de la catholicité a l'adresse du
Pontife jubilaire atteindront, sans aucun
doute, cette année, leur point culminant. Au
mois de Mars prochain, la Belgique sera no-
camment représentée a ces fêtes par son Car
dinal et Dus ses Evêques réunis.
Dans les limites du territoire apparaisseot
trois autres solennités jubilaires, des plus
marquantes également.
Notre glorieuse et chèrc Alma Mater cé-
lèbrera les 9, 10 et 11 Mai prochain le 75®
anniversaire de safondation, ou mieux de sa
restauration, Les fêtes et le cadeau jubilaire
•seront dignes de notre premier établissement
scientifique, dont la prospérité toujours
croissante proclame, a elle seule, la haute
consideration dont il est l'objet. Avec ses 110
irofesseurs et ses aiöoélèves, notre A Ima
Mater, quoique institution privée, laisse loin
derrière elle les universités qui bénificient de
toutes les ressources officielles.
Cette année aussi, le 10 Juin, le Gouver
nement catholique célébrera ses noces d ar
gent. Cette rare longévité prouve, de fa5on
Peremptoire, que nos amis ont veiilé aux in
téréts de la nation k la satisfaction générale,
b ne fallait pas quatre ans au pays pour le
faisceau de lo:s ct d'institutions destiiées a
amélioiet la condition de l'ouvrier 1 qui
sont l'honneur et la gloire du Gouvernment
jubilaire.
Enfin last not laest un ju bib qui
nous touche de plus prés, nous, cathohjues
Yprois, c'est le jubilé parlementaire du gand
chef de la députation Yproise.
C'est, en effet, a laurore du Suila-
gement universel - que M. Colaart a contuis,
au Palais de la Nation, cette place qu'iide-
vait d'embiée occuper de si remarqiable
facon que depuis un quart de siècle le orps
électoral s'est fait un devoir, un honneir ct
un bonheur de l'y réélire a chaque constlta-
tion nouvelle.
Le moment n'est pas venu de retricer
cette noble carrière parlementaire, mais jui-
conque ici s'intéresse a la bonne marchedes
affaires du pays en sait assez au sujet ce la
bonne besogne accomplie par notre émirent
de'puté et se réjouit a la pensée qu'une cir
constance lui sera offerte bientot, plus riante
qu'un froid scrutin, qui lui permettra de dire
de vive voix a M. Colaert ce qu'il a coutime
de lui redire, tout bas et incognito, dans
l'isoloir électoral.
Notre éminent dépuléjubilaire n'esquirera
plus, cette fois, la manifestation que ses amis
voulaient lui infliger, dès le mois d'Octobre
dernier, a l'occasion de ses vingt années de
dévoümenta la chose publique Yproise.
Bon gré mal gré il la subira, comme s'. st
vu forcé de la subir M. Struye.
Nous ne pouvons pas dire qu'elle soit déja
commencée, mais au litre communal cepen-
dant une sorte de prélude lui en a été servi
déja par ses collègues du conseil, ainsi qu'on
le lira aucompte-rendu de la dernière séance.
Et dès maintenant aussi nous informons le
digne jubilaire que la manifestatian Colaert
sera digne, de tous points, de la manifesta
tion Struye.
Mais tout ceci est le coté joies et festivités. j
Ne perdons pas de vue l'austère devoir.
Or, de ce cóté la aussi 1909 sera une année
des plus importantes. Ce n'est pas en 1910
que se décidera la victoire de la lutte achar-
née que nous livrent nos adversaires assoiffés
de pouvoir. Ce iut, pour une large part,
l'oeuvre de 1908, et c'es' 1909, bien plus que
igio, qui doit parfaire la besogne.
Deplus en plus, ies luttes électorales de-
viennent des luttes de longae haleinela
personnalité des candidats ne suffit plus il
s'en fauta assurer la vicioire celle-ci
s'organise méthodiquement, longuement,
avec le concours de tous les soldats elle
<S de nous en préoccuper a touteheure. Impos-
rester neutre dans le grand conflit
social de la fin du siècle. Impossible de
3 garder ce silence dont on parle tant. Or,
f le livre, quel que soit son retentissement,
est au journal ce que la maile-poste est au
te'légramme Le journal, c'est le cri spontané,
immédiat. Ce papier que je noircis ce matin
sera lu ce soir. Ces lignes, cette nuit tracées,
victimes de ee terrible cataelys- p seront dévorées dès l'aube. Ah la vieille
i, lithographic de Gavarni, représentant, a la
première heure du jour, un porteur de jour-
naux ct une boulangère, celle ci accrochant
s a ia porte un pain encore chaud et celui-ia
glisant sous i'huis un journal encore frais 1
La légende de Fimmage est demeurée célè-
breLe Pain du corps et le Pain de Lame.
f Le La Rochefoucauld du crayon litho-
I graphique avait raison. Quelle éclipse si les
journaux disparaissaient I Quelle torpeur si
je fameux silence tant souhaité tombait sur
i les foules comme un manteau de plomb 1
Jules Claretie.
La plupart des jouinaux qui devraient
vivre de leurs opinions, ne vivent que de
leurs feuilletons et de leurs annonces.
L. Veuillot.
Les gens ne pensent plus, n'ont plus le
temps de penser, ne savent plus penserils
ne pensent que par leur journal, ils ont un
cerveau en papier. Si les hommes qui four-
nissent ce papier sont vendus, qui ne devine
le désordre intellectuel et moral qui s'ensui-
vra? EDOUARD DRUMONT.
J.
La dignité de la polémique c'est la sincé-
rité du la'ngage. L. VEUILLOT.
A certains moments, qui jugerait la France
par ses journaux, la prendrait pour un
même. S'il en commet il les répure s'il en repaire de cabotins, de fous et de débauchés.
voit faire, a ses risques et périls, il combat ETUDES
pour en procurer la reparation. Saint Gré- jj
goire VII citait souvent ce verset de Jere'mie Un peuple qui ne Jit" plus que des jour.
II me semble que le journaliste catholique
est le dernier reste de ia Ghevalerie. II ne
quitte pas les armesil va devant lui,
proclamant sa foi et portaot secours. II se
propose de ne point commettre d'injustice et
de n'en point souffrir, si ce n'est contre lui-
Maudit soit l'homme qui retient son glaive
pour ne verser le sang car le respect de la
justice qui est la loi de D eu, doit passer
avant la déférence qui peut être due a
l'homme. LOUIS VEUILLOT.
Le journalisme est un métier laborieux.
II y faut du coeur et encore du coeur. Notre
temps n'aime pas la vérité, vous le savez du
reste et dans le petit nombre de ceux qui
aiment la vérité, plusieurs, pour ne pus dire
beaucoup, n'aiment point ceux qui sc mettent
en avant pour la défeudre. On les trouve
ndiscrets, importuns, inopportuns
Idem.
ed'6
Pour trop de journaux, il y a l'intérêt de
boutique, iequel trouve son compte dans le
bruit, dans les nouvelles a sensation. La
nouvelle a sensation, qui est le plus souvent
un mensonge, une bêtise, une calomnie,
fait marcher la vente. C'est étonnant comme
le journal qui donne a profusion des infor
mations, presque toujours démenties dès le
lendemain, s'attire la reputation de feuille
neaux n'est plus du cóté de l'intelligence
v qu un peuple de mendiauts, tendant la main
I au premier venu pour obtenir quelques
miettes de ce pain de la vérité que nous
cherchons toujours, lors même que par
quelque fatale illusion, nous courons après
le mensonge. MGR. PARISIS.
La lecture exclusive des journaux est la
Iruine certaine de la santé de l'ame. Elle a
pour effet de corrompre le jugement, d'affai-
blir le sens du discernement. de décourager
l'initiative individuelle.
Saturday Review
La vie du journaliste est amusante comme
tout combat, mais elle est fatigante comme
toute campagne oü chaque jour apporte sa
surprise, son escarmouche et son alerte. Les
vieux journalistes sont rares. Le pouls bat
trop vite, les nerls sont trop tendus, le
cerveau est soumis a trop d'usure. On tombe
assez-iót, comme sur la brèche. Mais l'im
portant est d'avoir vécu, d'avoir comme 1
a travers les balie» jeté, crié quelques
vérités travers le monde et d'avoir planté
le drapeau JULES CLARETIE.
Entre les recettes de vie des plus illustres
11 oralistes et la Tisane américaine des
Shakers la lutte est inégale.
Mémoires d'un Journaliste
DÉSABUSÉ
Le journalisme mène a tout, a condition
d'en sortir.
Proverbes professionnels.
Séance du 28 Décembre igo8.
La séance s'ouvre k 3 heures. Présents:
MM. Colaert, bourgmestre; Fraeijs, Van-
detiboogaerde.échavins; Fiers,Vanderghote,
D'Huvettere, Bouquet,Sobry,Iwei as d'Eeck-
boute, Lemahieu, Begerem, Boone, consail-
lers; Gorrissen, secrétaire.
Abseots exousésiMM.Struye et Biebuyck,
conseillers.
M. le bourgmestra donQe lecture d'une
lettre da la familie de feu M. Leon Vandeu-
peereboom.couseiller communal, qui remer-
cie le conseil communal de la part qu'il a
prise dans le deuil qui vient dë la trapper.
Hospices civils Dépót est fait du comp
te 1907 des Hospices civils. Il esfcrenvoyé a
la troisième section pour examen et rapport.
Budget de la ville pour 1909 M. le
bourgmestre propose de discuter et de voter
ie budget, article par article.
M. D'Huvettere demande s'il n'y a p'ts un
rapport géaéral surle budget, qui pourrait
servir comme guide.
M. le bourgmestre. 11 y a, chaque
année, un rapport sur les différentes affai
res de la ville, celui dout 1 ïmpress.on a été
votée a la deruière séance. Qu.rnt a, un
rapport pour chaque article, la chose serait
uu peu étranie, lecture sera donuée d'un
rapport k propos de certaius article-, quant
aux autres articles, si des explications sont
demandées, elles seront aussitot lourniss. J1
en a toujours été ainsi a Ypres; j ai assisté,
cetta semaine, a uue reunion du conseil
communal de Bruxelles oh l'on votait tous
les articles sans rapports spéciaux.
Sur la proposition de M. Vanderghote, il
est décidé de remettre, a 1'ave.air, aux
représeutants de la presse, qui suivent les
reunions du conseil communal, un exem-
plaire du projet de budget communal.
Dépenses ordinair es. Emoluments des
bourgmestre, échevins, Secrétaire et em
ployés, 47.610 francs. Adopté.
Biens communaux. A l'article 18, M.
Bouquet demande de remplacer les airs au
carillon.
xM. le bourgmestre. La chose s'impose
et nous nous adresserous a une personne
qui connait ces matières et pourra nous
renseiguer des airs propres, des aus anciens
par exemple.
M. D'Huvettere signale le mauvais état du
mur de soutènement k 1'étang de Zillebeke,
dont ies grès se disjoignent; maiuienaat que
ies eaux sont basses, par suite des travaux
a l'étang, ce travail se ferait facilement. En-
suite, on pourrait aussi ouvrir l'égcüt k ciel
ouvert, prés du Viverhuis.
M. le bourgmestre. Le premier travail
se fera; quant au second, il est prévu dans
le cahier des charges des travaux d'aména-
gement de l'étang.
M. D'Huvettere. Je voudrais savoir ou
en est la question de la reprise du Bellewaer-
destraat.
M. le bourgmestre. La reprise estfaite
mais ia liquijation du subside nesera faite
qu'après la réiection de la rue de Courtrai.
Le chiffre de 16.400 francs e^tadopté.
Commerce et industrie.A. D'Huvettere
si^na.e xe inauvais eiat des cueuim^ de ua-
lage au quai, dont les terres sa déversent