GARÊME
SERMON FRANQAIS
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Samedi 20 Mars 1909
10 centimes le N°
W A WEE a- N° 4526
Sermons Francais
Ghapclle des I tames
iriandaises
La Chambre
L'audition Joseph Ryelandt
Au pays des Pharaons
A la Congrégation
de St-Martin
Fanfare Royale
Le Comité flamandde France
Pas fort Le Progrès
frAfifiSMMOeOS
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p^r le Reverend Pèrc Hoffmann
de ÏOrdre des Frères Précheurs
Tous les jeudis. jusqu'au 8 Avril inclus,
e Jeudi 25 Mars excepté, en l'église Saint
Nicolas, au Salut de 5 1/2 h.
SujetLes Péchés capitaux.
par le R P. F10FFV1 <\NN
DIMANCHE 21 MARS
au Salut de 4 heures.
Vendredi 12 Mars
M. Neujean, député libéral de Liége,
continue son discours par la limitation des
heures de travail dans les mines. I! combat
le projet en s'appuyant sur des exemples
puisés dans les legislations étrangères sur
les mines.
M. Gousot, député catholique de Dinant,
répond a MM. Neujean et Buisset qui
concluent logiquement a repousser toute
intervention Je la loi. Le libéralisme écono-
mique est condamné il n a fait que susciter
des conflits et des convulsions.
La doctrine sociale catholique, dont
l'encyclique Rerum novarum de Léon
XIII, est le syllabus enseigne que la loi doit
intervenir pour réprimer les abus ehaque
fois que l'association ne peut y suffire.
II est érabli que la vie du mineur est en
péril. Malgré les progrès accomplis au point
de vue hygiénique par les charbonnages, la
maladie professionnelle du mineur le
nystagmus, n'a pas disparu, et l'on n'en
viendra a bout que par la réduc'ion du
tTnps de travail.
Mardi 16 Mars
Interpellation de MM. Vandevelde et
Roger sur le recrutement forcé d'indigènes
pour travai,x d'utilité publique au Congo et
spécialemnt pour les travaux du chemin de
fer des Grands Lacs.
On sait qu'une convention avait été passée
en 1902 entre l'ancien Etat Indépendant du
Congo et la société des Grands Lacs en vue
de favoriser la construction rapide d'une
importante ligne ferrée. Les travaux seraient
eff ctués par l'Et«t a l'aide du capital avancé
par la soc été. mais l'Etat s'engageait a
remtourser le capital en 99 ans et a garantir
aux acttonnaires un intérêt de 40/0.
Undécrèt du 6 janvier de cette année,
avisé favoral-lemenl par le conseil colonial,
rèa'e le recrutement des indigenes nécessai
res a ia construction du chetnin de fer des
Grands. Lacs.
Les socialistes Royer et Vandervelde pré
tendent ru'ily a la une violation de l'art 2
a.iné 3 de la Charte coloniale a'après lequel
nul ne peut être contraint de travailler pour
le compte ou au profit de particuliers ou de
sociétés.
M. Renkin, ministre des colonies, na pas
de peine a démontrer que la construction de
toute voie ferrée est,surtout dans les colonies,
un travail d'utilité publique. Lc chemin de
fer est un moyen efficace de pénétratiou.
En facilitant le transport, il centuple 1'in
fluence des forces civilisatrices et Taction de
i autorité. II diminue aussi le portage.
Lo.'S de la discussion de la loi coloniale, il a
été entendu que i interdiction du travail forcé
ne s appliquerait pas aux travaux d'utilité
publique. En fait, aussi bien qu'en droit, les
indigènes ainsi recrutés travaillent pour le
compte et au profit de la colonie.
Actuellement, il y a sur les travaux des
Grands Lacs 1,895 travailleurs volontaires
Aont i.o3» rengagés, de sortc qu'on peut
compter désormais sur 5o°[0 de rengagements
vo'ontaires au moins, paree que les travail
leurs sont trés contents de leur sort.
Ne pas décréter la levée du contingent des
travailleurs, c'eüt été suspendre Texécution
de cette entreprise considérable qu'est ie
chemin de fer ces Grands Lacs.
Mercredi iy Mars
M. Vandervelde se déclare partisan du
projet du Gouvernement paree qu'il desire
arriver par étapes a la journée de 8 heures.
I.e travail du mineur est plus dur et moins
hygiénique que tout autre. Des expériences
faites dans certains charbonnages beiges dé-
montrent que la réduction du travail n'amè-
nera pas un fléchissement de l'effet utile.
M. Van Marcke, député libéral de Liége,
conteste la possibiuté de la réglementation.
M. Mabille,député catholique deSoignies,
prend chaudement la défense des mineurs
qu'il connait de prés. Leur sort, dit-il,
dépasse l imagination et leur vie n est plus
une vie humaine. IIs descendent a la fosse a
5 heures du matin, travaillent demi-nus,
couverts de poussière et de sueur, et ne ren-
trent que le soir au logis.
Ce qu'on demande, ce n'est pas la réduc
tion du travail; il s'agit uniquement d'éviter
un gaspillage de temps. Ges ouvriers récla-
ment contre les causes-de retard que leur font
perdre deux a trois heures par jour et les
obligent a prolonger inutilement la durée de
leur présence dans le fond.
Jeudi 18 Mars
La parole est continuée a M. Mabille, dans
la discussion générale sur la durée du travail
dans les mines. M. Mabille expose et justifie
les doiéances des ouvriers au sujet de l'orga-
n'sation défectueuse du travail. M. Delvaux
a témérairement avancé hier que ces plaintes
étaient des blagues, alors qu'elles sont émises
non par des jeunes écervelés, mais par de
vieux abatteurs, ayant parfois passé quarante
ans dans la mine et qui s'y entendent mieux
que n importe qui.
II faut être bon aux 110.000 hommes qui
travaillent a 1000 metres sous nos pieds pour
nous fournir le charbon indispensable. A
celui qui produit la richesse doit revenir un
peu de bien-être. L'ouvri r doit être traité
comme un frère. Eorateur recoit les félici
tations de nombreux membres de droite et de
gauche).
M. Masson, député libéral de Mons, croit
qu'avec un peu de bonne volonté de part et
d'autre on pourrait s'arranger de facon a ce
que les salaires ne soient pas réduits.
Les patroDS sent de bonne foi, mais ils
auront a s accoutumer a Tinnovatioh.
L'attitude du gouvernement est aussi faite
pour nous rassurer. li s'est rallié au projet,
alors que plusieurs de ses membres-étaient
hostile - a la réglementation.
La grande soirée musicale et littéraire
du 9 Mars dernier, organisée par le Cercle
Excelsioravait réuui dans la salie des
fêtes du Volkshuis un auditoire d élite
d'envirvn trois cents personnes.
La première partie comprenait la Confé
rence sur le Sentiment religieux dans la
Musique au XIXe siècle par M. Charles
Martens, docteur en philosophie et lettres
et en droit.
Brillant conférencier et litterateur appró-
cié, M. Ch. Maitens a démloppé son sujet
avec une érudition et une ampleur qui ont
vivement intéressé Tauditoire.
En homme d'étu te, historiën et psycho
logy distingué, il recherche dans les génies
musicaux du siècle deruier ce qu'ils pos è-
dent de plus noble et de plus élevéle
sentiment religieux.
La renaissance du sentiment religieux
se manifeste dans tous les domaines a partir
surtout du dernier tiers du 19e siècle. Ce
mouvement e«t encore plus sensible dans Ia
musique qui avait été presque uniquement
religieuse ju qu'au 18e siècle sous Tinfluence
de Palestrina et Bach.
M. Martens analyse successivement les
pre ductions sublimes de ce sentiment chez
Timmortel Beethoven, le grand romautique
francais Berlioz, le maitre Wagner, plutot
étrangers a la foi cnrétiennechez Liszt,
Bruehner, Perosi, Vincent d'Indy, etc.
A Theure actuelle sans compter toute une
pléiade de compositeurs qui suivent la trace
de i'illustre César Fran'-k, le modeste orga-
niste tie S'8 CLtilde a Paris, trois maitres
attirent surtout l'attention En Angletei re,
sir Edward Elgar, Tauteur de Gérontius.sur
u poême chrétien de Newman. En Belgique,
notre génie musical Edgar Tinei, Tauteur
grandiose de Frauciscus. de S'e Gode leve,
de Sta Catherine, du Te Deum du 75e anni-
versaire nationalenfin bou élève de prédi-
lection le j eune compositeur Brugeois Joseph
Ryelandt.
C'es? dans i'idéal religieux que tous ces
maitres ont puisé Tinspiration de leurs
belles oeuvres, rendant ainsi un hommage
vrai et concmant a la Divinité qui restera
toujours la source inépuisable des sublimes
beautés.
Une ovation bien méritée a été faite a
M. Martens. Dans une iangue t:pure et
trés riche il a eu le don de rendre aisément
assimilable le fruit de son beau travail,
démontraut un de c>s esprit; universalistes,
artiste en même temps qu'homme d'études,
qui ne reste étraager a aucune des manifes
tations de ia pensée et da 1'art.
Le programme musical d'oeuvres de Joseph
Ryelandt comprenait deux parties.
1) Un récital de piano execute par
Tauteur.
Nous entendons d'abord sa sonate, op. 24,
d'une facture classiqu- pleine de verve et
ds couleur. Puis deux pages le Ruisseau et
Clair de lune, de ia suite Eu Ardenne
trés séduisantes par leur charme roman-
tique.
La brillant compositeur y a fait preuve
d'une technique imprégnée de cette qualité
primordiale la söreté de goüt.
D'un bout a Tautre, Ryelandt a jouó en
réel virtuose qui s'assouplit a tous les
caractères de musique et dont l'émotion,
justement réglée, 11e s'égare jamais jusqu'a
l'emphase.
2) Uue série de lieder admirables, dont
laccompagnement impeccable relève coasi-
dérablement la phrass chantée.
Ces déiicieuses mélodies, qui sont dans
leur genre autant de petits chef-d'oeuvre
d'expression et de sentiment, ont été non
moins délicieusement chantées par M. S.
Vanderheyden, professeur a i'école de
musique de Louvain.
L'excellent ténor a parfagé Ie grand
succès de celui dout il est ie précieux colla
borateur, pour ses qualités remarquables
de méthode et de diction.
Une mention spéciale pou les lieder en
style ancienDe Maegdekens et le Rondel de
Charles d Orleans, du 15e dècie. d un attrait
singulier pour leur invention mélo ;que et
leur inspiration aboudaute.
Nous avons suitout admiré ie talent per
sonnel du jeune maitre dans sa musique
brodée sur les poëmes exquis de Guido
GezeHede Goede Herder; Brandt los;
'k En hoore u nog niet, O Nachtegale
't Is de Mandel. On y seat parfaitement
deux génies cbrétiens et flamands, deux
èmes-soeurs qui se sont comprises et q ii
s'exhalent en plaintes, en désirs, en senti
ments d'une suave beauté cceurs d'élite
battant k 1 unisson pour chanter le Bien, le
Vrai et it Beau sur la terre cbérie de
Flandre
L'auditoire enthousiasmé a fait au maitre
Brugf ois une chaleureuse ovation, pleine de
cordiale sympathie,daus Tespoir de pouvoir
l applaudir un jour sous les voütes de nos
Halles.dans Texécution d'un de ses oratorios
qui donnent toute la mesure de son grand
talent.
Nos felicitations et nos vifs remercimeuts
aux deux chevilles ouvrières du Cercle
Excelsior MM. le Directeur J. B. Dugar-
dyn et M. le Président Albert Biebuyck.
Leur louable initiative a été récompensée
par un grand succès, car cette séance artis-
tique marquera dans les annales musicales
déjh si brillantes de notre chère cité.
M. Ludovic Fraeiis n'est plus inconnu
pour les Yprois. Invité une première fois
par le Cercle Catholique, il y a quelques
années, i! mit a montrer et a faire goüter a
son auditoire les beautés deVenise, un talent
et une délicatesse d'esprit qui furent remar-
que's de tous. La conférence qu'il a faite
Lundi dernier, a la Salie Iweins, ne peut que
consacrer la réputation qu'il s'est acquise a
Ypres.
M. Tabbé Lemaire, professeur a l'Univer-
sité de Louvain. qui fit en janvier dernier,
sous les auspices du cercle Excelsior», une
conférence sur l'art égyptien, avait parlé en
archéologue des sépultures de l'ancie^ne
Egypte, mastabas, pyramides et hypogées
ou galeries souterraines creusées dans le
flancdela montagne et fait connaltre les
ceuvres capitales de la sculpture et de la pein-
ture égyptiennes.
M. Ludovic Fraeijs, lui, est avant tout un
maitre dans Tart photographique, il s'est
attaché dans sa conférence sur le pays des
Pharaons acommenter la merveilleuse série
de 13o clichés qu'il a rapportée de son voyage
d'Egypte il a pu véritablement donner a ses
auditeurs l'illusion, le mirage, d'une excur
sion dans le pays du Nil, depuis Alexandrie
et le Caire, par les pyramides de Gizeh et les
temples de Lougsor, Tancienne Thèbes, jus
qu'a Assouan, a hauteur de la première
cataracte.
Les jeunes gens de la Congrégation de
St-Martin donneront demain Dimancha et
après demain Lundi leur soirée annuelle
offerte aux parents, amis et bienfaiteurs et
leurs families.
Un peu moins de monde que d'habitude
s'était donné rendez-vous a la Salie iweins
pour la soirée-tabagie de Samedi dernier
peut-être bien a cause de la foire.
Notre Société Royale a fait une excellente
exécution de Touverture de Si
j'étais Rol, de la belle page Hymen-Cortè^e
de Couvreur, et d'une entrainante valse de
H. Weyts Nuit d'été. Nos félicitations a
Mr le Directeur Arschodt el 4 ses interprêtes.
tiendra sa prochaine assemblée générale 4
Ypres, au mois de juin. Cette décision a été
prise sur la proposition de M. Edmond
Liégeois, bibliothécaire et direceur du muséc
4 Ypres.
Nous nous en réjouisssons et souhai'ons
d'avance la bienvenue aux membres de rette
florissante société d'histoire.
Dans un article 4 titre sensationnel Les
cléricaux derrière le drapeau rouge du
Progrès (7 Mars) nous lisons les choses sui-
vantes, que nous avons un certain piaisir a
mettre sous les yeux de nos lecteurs
On sait la guerre acharnée qüe les cléri-
caux font a la presse libérale et 4 la presse
socialiste. Les mauvais journaux sont
la chosa qu'ils redoutent le plus au monde,
et il n'est rien qu'ils ne fassent pour en
empêcher la diffusion. Pour interdire la
vente du Peuple dans les gares, ils n'ont
pas craint d'attenter a la Constitution
qui n'en est plus a un viol prés, la pauvre
vieille I et les curés usent de tous les
moyens que la religion catboiiqee met 4
leur disposition pour contrecarrer les pro-
grès que la mauvaise presse fait dans
les campagnes. L'AN DERNIER, notre élo-
quent et combatif, Gustave-Joseph con-
sacrait la prose enflammée de soa mande-
ment de carême, a jeter Tanathème sur les
écrits pernicieux qui corron pent l'ame das
croyants.
En voila un qui est bien documenté, et...
"■ui s'est donné de la peine pour connaitre les
hommes et les choses dont il voulait parler.
Notre éloquent et COMBATiF Gustave
Joseph ln Quel portrait ressemblant 1...
et cela en deux coups de crayon 1 Vrai por
trait comme savent en faire les grands
artistes... ou les piêtres caricaturistes.
Les anciens compagnons du collége que
Mgr Waffelaert compte même parmi les
libéraux Yprois, auront légèrement haussé
les epaules en lisant cela...
L'an DERNIER... dit le 'Progrès... Or,
Tan dernier le mandement de carême traitait
de laprière,de sa nécessité,de son efficacitél..
pas un mot d'anathème jeté sur les écrits
pernicieux.
G'est sans doute du mandement de carême
de cette année-ci... de celui qui a été lu il y a
quatre semaines a peine, que le jeune co-
réuacteur du Trogrès a voulu parler 1
Et pour moi, comme il s'en... fiche que ce
mandement soit de cette année-ci ou de
l'année dernièreet que le résumé qu'il en fait,
(soit exact ou non.II faut faire «du libéral
done servir du curé et même de l'Evê-
5 que i) a la sauce qu'on sait être du goüt des
j libé'-aux... et puis du reste, on se bat Tcei' 1
II n'y en a pas comme les petits libres-penseurs
Monsieur Platei, ténor et monologuiste
du Conservatoire royal de Gand a iait le plus ^°Ur fri"n re, 1 ertes Par ,tr0P 8ran^es
grand piaisir dans ses diverses romances, y aVÊC a Verlt ans tout ce qu' touc^e a
faisant preuve d un beau talent relevé par sa
voix claire et puissante.
Parmi ses monologues, mentionnons sa
complainte sur les célibataires endurcis qui
ont passé un mauvais quart d'heure.,. une
fois n'est pas coutume.
Un duo plutöt comique que tragique a été
chanté par deux jeunes fanfaristes qui pro-
mettent pour Tavenir.
qui
Foi chrétienne.
j Maintenant pour en venir a la chose, même
nous demandons au Erogrèsde nous nommer
j un journal libéral—nous n'endemandonsqu'««
seul digne d'etre cité parmi les organes
j autorisés du libéralisme Beige (comme serait
l'Indépendance. VEtoile Beige,la Flandre LU
j bérale,la Chronique,la Dernière Heure,eXc.,
j etc.) et qui ne fassent pas ouvertement pro-
Enfin, notre vaillante chorale Yproise fession de libre-pensée, qui ne se pose done
l'Orphéon a prêté son précieux concours
par Texécution de deux compositions de
mérite de son secrétaire, M' C. Tieberghein,
Dieu est notre Maitre et Congo.
L'interprétation en a été excellente, et le
concours de Mr Ch. Bos.yn, comme soliste,
abeaucoup relevé le chant du Congo
Une ovation bien méritée a été faite 4
Tauteur et aux membres de TOrphéon.
N'oublions pasle pianiste-accompagnateur,
Mr Ernest Wenes, qui a rempli sa tSche avec
son talent habituel.
pas en adversaire décidé de la Foi chrétienne.
Nous espérons que le Progrès n'aura pa*
l'outrecuidance et l'effronterie de se citer
lui-même en exemple. Car s'il y a quelque
chose qui prouve 4 Tévidence combien essen-
tiellement et fatalement le libéralisme est
libre-penseur c'est l'attitude si piêtre et si peu
consistante du pauvre Progrès d'Ypres, qui
malgré la consigne sévère donnée par... quel
ques vieux... auxquels ii faut cependant
obéir, et malgré toute Ia peur d'efïaroucher
des électeurs encore croyants, ne sait s'em-
pêcher de laisser percer de temp3 en temps
ses sentiments franchement librse-penseur».
JOURNAL
TPRES
©rgane (Catholique
de l'Arrondissement
O
focemn A o 11