ïéléphone 52
Téléphone 52
S amedi 17 Avril 1909
10 centimes le N*
44e A wee N'-
Prière de n'envoyer
ni fleurs ni couronnes
Conseil Communal
Sos restaurations
et le Progrès
On s'abonne rue au Beurre, 36, A Ypres,
Le Journal d'Ypres paraft une fois par semaine.
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Pour les annonces de France et de Belgique (exceptè les deux Flandres) s'adressef YA^S&Sê
Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Beurse.
Sous la signature de Nestor Duchesne,
Le Progrès prêche une iroisade contre la
formule Prière de n'apporter nifleurs ni
couronnes qui tend A so généraiiser de
plus en plus, au détriment, dit-il, des pro-
ducteurs et fabricants
Nous espérons, ou plutöt, nous sommes
assurés. que le plaidoyer du Progrès trés
cocasse et assez amusant a lire aura un
efff-t tout opposé k celui que son avocat sen
promet.
Presque tous nous aimons les fleurs,
nous fait remarquer M. Duchosne. L'élé-
gante pour les récepfions, les soirees, les
visites, etc La mattresse de maison,
l'humble ouvrier...
....Est-ce qu'on n'attend pas la nais-
sance d'un être k chérir avec des fleurs
d AncieDDement le« jeunes fiancés portaient
des couronnes fleuries... Les chemins par
oü les futurs époux passaient étaient par-
semés de fleurs.... Maintenant encore, des
bouquers de fi ncailles sont envoyés, les
fleurs de Myrthe ou d'Oraugers font partie
de la parure nuptiale. II n'y a pas de
soirée ni de fête sans fleurs Voyons done
ses boutonnières et corsages garnis, fan-
- tai8ies pour cotilious, orueme»tation des
voitures. bicyciette» et automobiles
D'&utres (naoins esthetes sans doute que
M. Duchesne) pourront se dire que ce n'est
pas précisément la même chosefaire la
nóce, célébrer une naissance, sauter un co
tillon et. porter un mort au cimetière; et
iis pourraient en conclure que, puisque les
fleurs et les couronnes sont si bien dans
leur röle lorsque nous sommes a la joie elles
le sont peut-être moius lorsque nous nous
trouvons en face de la mort et en face du
jugement de Dieu qm su t la mort.
MaL voila bien ce dont M. Duchesne ne
se préoccupe guère. Disons mieux voila les
pensées vraiment c.hrétiennes dont les Du
chesne et consorts ne veulent plusdans
leur pensée, les fleurs et les couronnes doi-
veut rempiir le vide que laissent d<ns les
co'urs les croyauces chrétiennes lorsqu'on
Iesaperdue8.
La preuve frappante de la vérité de ce que
nous disons, nous la trouvons dans le fait
cent fois constaté, que jamais les amis et
connaissances re font plus de zèle pour faire
apporter des fleurs et couronnes que
lorsque le mort chéri doit être enterré
sans cérémonies religieuses et saus prières.
Les fleurs et couronnes sont l'accom-
pagnemeut obligé des enterrement3 civils.
C est une raiso.i plu-> que suffisante pour que
les cbrétiens se fassent une règle d'ujouter
aux lettres de faire part de la mort de per-
sonnes adultes
Prière de n'envoyer
m fleurs ni couronnes
Nous disons aux lettres de faire par. do
la mo t de peroonnes adultescar quand il
s'agit d'enfauts morts avant 1'age de raison,
dans toute 1 innocence de Jeur saint baptême,
1 Eglise non seulement ne désa prouve pas,
maïs au contraire trouve bon qu 011 couvre j
de fleurs leur petit eercueil.
VILLE D'YPRES
Séance du Samedi 10 Avril
La séance publique est ouverte a 5 heures.
^raeijs, premier échevin, préside en
a sence de M. Colaert, bourgmestre. Pré-
S^ntS ^andenboogaerde, éc >evin
lers, anderghot», D'tluvettere, Bouquet,
o ry, weins d Eeckhoutte, Lem^hieu, Be
gerem, Boone. conseillers Biebuyck, con-
setller et secrétaire interimaire
Le procés-verbal de la séance précédent»
■e donne lien k aucune observation.
Communications
M. le Président donne lecture d'une leltr:
de M.Delbeke, ministre des travaux publics,
annongant que son département vient de
mettre a l'étude T élarpissement du pont du
Steenenbrugge, sur la route d'Ypres a Fur-
nes, et que ce t avail sera mis en adjudication
k bref délai. On sait que l'étroitesse de ce
pont, sur lequel passe la voie du tramway,
présentait de grands dangers par suite de la
circulation intense des automobiles.
Dans une précédente séance il a été donné
connaissance au conseil du rapport d'analyse
duga\ fait par M. Julien Dehouck, phar-
macien-chimiste. Dans une lettre trés dé-
taillce dont M. l'échevin-président donne
lecture intégrale, la société concessionnaire
re'pond que l'accide carbonique n'est pas
rangé par le contrat parmi les impuretés
dont le gaz doit être débarrassé, que eet
accide carbonique n'offre aucun danger pour
l'hygiène publique et qu'aucune usine a gaz
ne se préoccupe de l'éléminer. Jamais, affir-
me-t-elle, la ville d'Ypres n'a regu de ses
précédents fournisseurs un gaz aussi pur,
pouvant souffrir la comparaison avec celui
de la ville de Bruxelles. Si certaines gens et
surtout certaines administrations ont se
plaindre du pouvoir éclairant du gaz, c'est
qu'elles s'obstinent a faire usage des becs-
papillon, alors que la généralité du pub'ic a
adopté les bees a incandescence, plus avanta-
geux a tous les points de vue et que la com
position du gaz est déterminée en vue de
ceux-ci.
M.Begerem établit une contradiction entre
le rapport de l'exprrt et celui de la société
du gaz. 11 est désirable que c.:tte question
soit élucidée et discutée en sections. II en est
décidé ainsi.
Unepétition qui a recueilli la signature de
nombreux pères de familie a été adressée au
conseil communal en vue d'obtenir des auto
rités ecdésiastiques que la date de la pre
mière communion soitreportée vers la bonne
saison.
M. le Président déclare que l'administra-
tion communale est incompétente pours'oc-
cuper de cett< question et qu'elle doit se
borner transmettre la pétition a l'autorité
épiscopale.
M. Vanderghote fait observer immédiate-
mentque cette pétition ne reflète aurunément
le désir des commergants.
<VJ. Bouquet exprime le même avis. Une
reunion de commergants a été tenue il ya
quelques jours et elie a décidé d'envoyer une
pétition en sens contraire.
En présence de ces desiderata contradic-
toires, M. D'Huvettere partage l'opinon du
président que la pétition doit être renvoyée
purement et simplement.
M.Begerem (enflamand) appuie chaude-
ment la demande des pétionnaires. Le point
de vue commercial, le pur intérêt, doivent
céder Ie pas en {'occurence devant l'intérêt
des parents et des premiers communiants. II
est désirable, au point de vue démocratique,
que la date de la première communion soit
reculée. L'indigent qui ne peut s offrir le luxe
d'une voiture désire ne pas voir son enfant
affronter les rigueurs de la mauvaise saison
en ce jour de fête et de bonheur quest celui
de la première communion. II n'a pas les
moyens d'envoyer ses enfants dans les pen-
sionnats oü partout la première communion
a lieu en été.
Sur la proposition de M. D'Huvettere
cette discussion sera reprise en sections.
M. Sobry (en flamand) demande, au sujet
de l'accord intervenu entre la ville et la fa-
brique d'église deSt-Martin, concernant le
cloitre de St-Martin, de déterminer plus
explicitement les parties du bSttment que la
yille occuptra dans l'aile oriëntale.
M. l'Echevin-Président. Il s'agit des
deux travées a construire dans le proionge-
ment de la sacristie actuelle. Aucun mal-
entendu n'est possible.
M D'Huvettere signale pluBieurs routes
qui ont besoin de réparations urge :tes le
gravier du Wittenhuis k Voormezeele, le
petit bout de pavé qui sépare les deux gares
de Zillebeke, la chaussée qui va du Berlekot
a letang de Zillebeke et enfin le gravier de
la Wieltje, pres de la ferme Cappoen. II
signale également le mauvais état des engins
de sauvetage prés des fossés a la gare et en
réclame l'enfèvement.
M. le Président promet de faire exécuter
les refections demandées après que les
ouvriers auront terminé en ville le travail de
mise en état des principales rues. On s'occu-
pera ensuite du trottoir de la rue Carton.
Quant aux engins de sauvetage, la ville n'a
pas le droit de les enlever puisqu'ils sont la
propriété de la société royale des sauveteurs
de Belgique. Leur état sera signalé a cette
société.
M. Sobry réclame la construction rue du
Canon d'un mur de soutènement des rem-
parts.
II sera donné suite sa demande.
Bibliothèque publique
Les comptes de l'année 1908 sont approu-
vés.
M. Bouquet demande si la Commission
n'a pas demandé un crédit spécial pour
l'achat de livres pour la bibliothèque popu
laire.
Le conseil approuve ensuite successive-
ment les comptes pour l'année 1908 de la
Garde civiquede l'école primaire pay ante,
des écolesprimaires gratuites, ds l'école de
musiquede l'école industrielle et de la
fabrique de ïéglise Saint-Martin.
A propos de l'école de musjjaue. M. le
Président donne lecture du rapport de M. lc
Directeur Vanden Abeele celui-ci exprime
sa satisfaction du zèle du corps enseignant et
de l'application des élèves il préconise cer
taines réformes auxquelles la commission de
1 école de musique a donné son approbation
et que M. Bouquet vient encore appuyer.
Le collége e'chevinal propose d'instituer un
cours de peinture décorative a l'école in-
austrielle. Cet objet de l'ordre du jour
soulevant des questions de personnes est
ren voyé pour être traité a la séance a huis-
clos.
Ventes de terrains.
L'autorisation est accordée de vendre
publiquement sur une mise a prix de 10 frs
le metre carré, deux terrains situés a front
de la rue Capron (coté Est), 1 un de 102 m1
l'autre de io3 m8
A ce propos, M. D'Huvettere demande
que le collége échevinal se montre plus
exigeant dans l'approbation des plans qui
lui sont soumis par les propriétaires qui
construisent dans le quartier de la station.
Les maisons qu'on bêtit actuellement au
boulevard Malou sont de beaucoup infé-
rieures aux précédentes elles gateront com-
plètement cette belle artère.
M. le président répond que le collége ne
négligé jamais d'user de toute son influence
pour engager les propriétaires a batir dans
un style determine, rnais il doit se borner a
employer la persuasion, puisqu'il lui est
impossible d imposer des fagades artistiqucs.
M. D'Huvettere réplique qu'ii est toujour»
possible d imposer certaines conditions dans
le easier des charges de la vente.
Location de Vancien Hotel Hynderick
L'ancien hotel Hynderick, de la rue des
Chiens, avait été loué a Mra« I weins d'Eeck-
houtte, en sa qualité de présidente du
comité des salles d'asile. Le bail conclu en
1892 pour 9 années avait été prorogé
d'année en année par tacite reconduction.
La nouvelle présidente des écoles gardiennes
étant M®' Struye, le collége propose de lui
donner cet immeubie en location aux an
ciennes conditions, cèst-a-dire pour 9 ans,
moyennant un loyer annuel de 1000 frs.
Adopté.
Renouvellement de 1'adoption
des écoles gardiennes
Par suite du décès de Mme I weins d'Eeck-
houtte, il y a lieu de procéder aussi au
renouvellement de l'adoption des écoles
gardiennes, adoption qui avait été renou-
velée a son nom pour une durée indéter-
miné en 1901. Le collége propose de
procéder da même actuellement.
M. Begerem estime, au contraire, qu'il
serait préférable de fixer une limitation, a
dix ans par exemple. Ce serait plus conforme
k l'esprit de la loi.
M. le président n'y voit pas d'inconvénient
et met la proposition aux voix. Eile est
adoptée a l'unanimité
Acquisition d'un appareilpour
le service des inhumations
M. le président déclare que les experiences
faites avec le palan destiné a descendre les
cercueils dans les fosses ont donné un
résultat satisfaisant. II propose d'acquérir
définitivement cet appareil dont le coüt est
de 325 frs.
M. D'Huvettere. N'y a-t-il pas un
rapport défavorable du directeur des pompes
funèbres
M. le président donne lecture de ce rap
port qui date des premiers essais. Depuis
lors, plus aucune critique n'a été formulée
et l'appareil tonctionne parfaitement s'il est
bien entretenu. Ordre a été donné d'élever
un abri pour réfugier le palan.
M. Bouquet demande que la question du
service des pompes funèbres soit portee a
l'ordre du jour de la prochaine séance des
sections.
Hospices eivils. Location
de biens ruraux
L'administration des Hospices sollicite
l'autorisation de modifier ses baux de fermes
de fagon a ne plus donner en location Ie
droit de cbasse. M. le président explique les
raisons qui ont fait prendre cette décision.
A la demande de plusieurs membres du
conseil, il sera stipulée en termes exprès que
le droit de chasse appartiendra aux (ermiers.
L'administration ne subira aucun préjudice j
puisque le montant des loyers sera légère-
ment augmenté. Quant aux cultivateurs iis
pourront, a'ils le jugent opportun, louer la j
chasse sur leurs terres. j
M. Begerem applaudit l'initiative prise
par l'administration des Hcspices.
La proposition est adoptéo a l'unanimité
moins quatre abstentions, celles da MM.
Vandenboogaerdï, D'Huvettere, I weins
d'Eeckhoutte et Fraeijs,
Le conseil autorise ensuite l'adminisftra-
tion des Hospices a prendre possession en
nature d'une certaine quantité d'arbres
abattus ou brisés par suite des neiges.
Sport hippique
M. le président donne lecture d'une lettre
du comité du sport hippique et du program
me des courses. Le subside demande, de
i5oo frs, est accordé, ainsi que la partici
pation de l'Harmonie communale
Pompiers. 11 regrette que, cette
l'école a'équitation n'accorde pas sa
pation a la fête.
La séance publique est levée a 6 h
et des
année,
partici-
Le Progrès», comme atteint d'un mal
chronique, croit devoir émettrc periodiquc-
ment des critiques au sujet des travaux qui
se poursuivent a i'aile oriëntale des Halles.
Faut-il done lui rappeler, 4 nouveau, que
les travaux, qui s'exécutent actuellement,
résultent, pour une large part, de l'incurie
inqualifiable de l'administration doctrinaire
qui a présidé a la soi-disant restauration
effectuée aux ha'les a partir de l'année i85o.
Pourra-t-il contester que les travaux en
cours se limitent aux seules parties qui ont
été si malencontreusement renouvelées par
cette édilité chère k son coeur.
II sera peut être intéressant pour le
s Progrès de relire a ce sujet 1'avis d'un
esthète dont il n'a jamais méconnu la com-
pétence.
Voici comment feu Monsieur A. Merghe-
lynck appréciait ces travaux dans un rapport
adressé, le 24 Avril 1897, i la s«ciété d'ar-
chéologie de Bruxelles
Avant la prétendue restauration qu'on
fit subir au monumen8, laquelle est com-
plètement a refaire, toutes les baies et
ornements des fenêtres ogivales, tant du
rez-de-chaussee, que de l'étage, ainsi que
les créneaux, portés par les consoles,
règnant le long du toit et servant de cou-
ronnement a la fagade, étaient taillées en
une espèce de pierre bleue dite grés
anglais (1)Mais malheureusement lors
de la dite restauration, sous prétexte que
les carrières de pierres en grés bleu étaient
épuisées, on commenga par faire peau
neuve et tous les ornements de lagades,
a ceux en bon comme ceux en mauvais état
a furent arrachés pour être remp'acés par de
nouveaux exemplaires, beaucoup moins
bien exécutés que les anciens et de plus
confectionnés en une mauvaise pierre
blanche gélive et tendre qui ne peut
a résister it notre climat.
f En N. B., il ajoute a Dans l'arrondisse-
a ment on peut voir d'anciennes fenêtres
des halles uulisées dans certaines construe-
a tions ru3tiques élevées par maints chüte-
a lains des environs. On peut juger de la
a solidité encore actuelle des dites fenêtres
qu'on a jetées pour les remplacer par de
nouvelies qui s'effritent déja.»
Plus loin il est dit encore a Les fenêtres
a qui ont pris la place des anciennes sont
a déja en mauvais étati! s'agit de les rem-
a placer et de choisir, cette fois-ci, une
pierre résistante i notre climat,
A moins de vouloir nier l'évidence, le
Progrès devra reconnaitre, avec nous,
que les idéés émises, ci-dessus, sont pleine»
ment confirmées par les faits dont le con
trole, du reste, est aisé.
j Nous ajouterons cependant que non seule-
t ment les matériaux n'avaient pas la qualité
requise pour résister aux intempéries de notre
climat, mais qu'en outre, leur mise en oeuvre
t était a ce point défectueuse qu'elle devait
entrainer la prompte ruine des parties renou-
velées. Précisons les colonnettes des cré-
neaux, fort expo3ées,n'étaient pour la plupart
I pas encastrées dans la magonnerie, mais
simplement adossées au parement sans faire
partie intégrantede celui-ci.Les ébrasements
des fenê.res ont tous été renouvelés en
assises régulières, alors que l'appareil des
trumeaux accuse une hauteur trés variable
j pour les diverses assises. Par suite de l'appli-
cation d'un procédé aussi absurde, il a fallu
briser et recouper, en forme de crosettes, la
plupart des grés. L'homogénéité de l'appareil
a été détruit et l'ensemble du monument en
a beaucoup souffert.
Enfin le tracé des fenêtres n'a pas été suivi.
L'administration communale actuelle ne
commettra paslesmêmes erreurs; elle se con*
j tentera de redresser les gaffes commises par
j l'ancienne administration libérale de plus,
- pour justifier dejjla sincérité du procédé suivi,
elle fera remettre dans la fagade les quelques
fenêtres qu'elle a pu acquérir.
Les générations qui nous suivront con-
naitront ainsi les rétroactes de la restauration
en cours et les témoins anciens qui seront
remis en leur place primitive remémoreront
l'acte de vandalisme effectuée, vers i85o,
sous un mobile de restauration.
Que le a Progrès examine de nouveau la
fagadedes Halles et s'il veut être de bonne
foi, il reconnaitra tout le mal que ses amis
ont fait a ce monument incomparableil se
rendra compte ausst combien les témoigna-
ges d'enthousiasme dont cn gratifiait les
grands mattres d'alors, étaient entachés de
snobisme.
Terminons par une pensée, puisée dans le
vade-mecum de connaissances historiques de
l'auteur cité plus haut, dont le Progrès
pourra tirer profit
t Lésiner pour la restauration de monu-
ments, sous mille prétextes du domaine
adminisiratif, qu'un ministre est it même,
s'il veut, de faire cesser d'un trait de plume,
est un fait décclant de la part de ses auteurs
j tl) Ce grés provient de Béthune, l'auteur a, du
reste, rectifié cette erreur.
JOURNAL
©rgane Satholique
YPRES
de FHrrondissement
f
03.
9
t