smoaiQUÊrPBOÊM ws s a ©a aaass« a aa© ©j© Les chemins de fer dans ies flandres La Cantate de Dimanche S.M.S18MMMI oir Ypres et puis mourir La situation de immigration H a r ra on ie Communale (.om;è et Kepos dominical PHASMACIEN DE SERVICE lil fÜ (Brand Concours Bippicjue International Actes offlciels H u wclijksafkon digmgen 8 89 ®.®.8.8.®.S Exposition de Bruxelles 1910 Kotniir H'pup L0B dame! i'°° ce""° iiciuui u ^ge sont certaines de IRQ Q'Q'iQ Q fffi gsp v# ssP -J$ st& l e Dimanche 18 Juillet U® >J* Stfö. burgerstand van yper désirer I'avènement d'un régime d'intolérance et de persécution.caiqué sur le bloc frangais, et dont les partisans eux-mêmes annoncent le caractèri- agressif et violent Cette poli tique outrancière, et qui doit l'être, faite d'autre aliment que sa passion sectaire, est profondément antipathique au tempérament du peuple beige. Jamais, elle n'a réussi a s'implanter dans nos contrées même sous la domination étrangère, et c'est précisément pour avoir voulu nous l'imposer en 1879, que le libéralisme magonnique a essuyé, en 1884, 'a défaite dont il n'est pas encore par venu a se relever. Cette funeste expérience, le corps électoral n'a nul motif plausible de la recommencer. La Belgique est un pays de bon sens, a dit M. Beernaert, elle n'hé- sitera pas. Je crois a la victoire a la condi- tion que nous ayons l'union et que nous ne nous endormions pas sur nos lauriers. Nous partageons les sentiments de con- fiance exprimés par l'illustre vétéran du parti catholique beige. Nous trouvons dans La CHRONIQUE er- rante un intéressant article de Jean d'Ardenne, dont nous extrayons Ie passage suivant. Les Halles d'Ypres sont en voie de restaura- li on. c On m'a prié d'aller voir ca suis allé voir ga et d'autres choses en core qui m'ont paru offrir un certain intérêt, en cette illustre cité, sans parler de celles qui, ne sont pas visibles par la bonne raison qu'elles sont encore irréalisées, mais dont on 'appréhende la réalisation. Je suppose que vous connaissez Ypres. Cette supposition im- plique un certain doute et ce doute me vient naturellement de ce qu'il m'est arrivé de ren- contrer des gens dont on.n'eüt jamais pensé, a première vue, qu'ils ne connussent pas Ypres. Cependant ils m'ayouaient ne point le connaitre. -Ce phénomène peut s'expliquer a la rigueur, Si Ton considère l'ingénieusa facon dont notre railway national s'est appliqué rendre inac cessible la cité aux halles glorieuses. De Brux- elles a Courtrai, ga ne va pas trop mal. A par- fir de Courtrai, commence une petite balade de familie, par Menin, Wervick, Comines, avec d'autres haltes variées ce qui finit par con- stituer, pour les gens pressés, un voyage infini- ment plus redoutable que ne le feraient croire les cent et quelques kilomètres qui séparent la ville d'Ypres de la capitale de la Belgique. Car, en vérité, si le nord de Ia Flandre béné- ficie des communications rapides que lui valent les services internationaux et les trains de bains de mer, la partie méridionale reste encore livrée au régime des pïres banlieues. Actuel- lement, Ypres est devenu surtout accessible aux voyageurs qui viennent de France en au tomobile. Et c'est heureux pour lui, paree que cela lui assure la riehe clientèle du dépar tement du Nord. v /Je reviens mon hypothèse: vous connais sez Ypres et vous voyez d'ici l'entrée ac- tuelle de la ville, Tissue de la gare. On a banalisé cette enü-ée en supprimant, du cöté gauche, ce qui restait de la vieille enceinte et du fossé, et en érigeant sur le terrain nive- lé un pSté de maisons fabriqué selon la der- nière recette renaissance flamande. Lü, tout est dit: Ie charme est rompu. Reste le cöté droit qui conserve les vestiges du vieux bastion miré dans l'eau du fossé et couronné de groupes d'arbres d'une exquise silhouette. Ici, du moins, Ia beauté persiste. Derrière ces restes vénérables et charmants de l'ancienne place forte s'étend l'Espla-; nadeavec la caserne au fond. Le regard du visiteur est attiré et séduit par ce coin du tableau qui se présente a l'entrée d'Ypres. Et rien n'égalerait l'étonnement de l'homme doué de quelque sentiment de l'esthétique, lorsqu'il apprendrait tout d'abord que l'on songe embellircette entrée en rasant ce qui subsiste du bastion, avec les arbres qui le couronnent, cela va de soi en com- blant le fossé, et en érigeant, sur le terrain aplani et nivelé, ..une caserne de gendarmerie! iC'est pourtant ce que l'on projette, et si la chose n'est pas décidée encore, les plans sont tout faits. )Ypres, qui fut une citée de 200,000 habitants au grand siècle de la draperie, ainsi qu'en témoigne Ie colossal edifice dont elle tiro gloire aujourd'hui encore, peut bien en comp ter une quinzaine de mille l'heure présente. Ce n'est certes pas la place qui lui manque pour y mettre une caserne de gendarmerie si elle tient a s'en payer une neuve, et l'idée de la mettre ici, juste a l'endroit oü il faudrait 'tcommencer par détruire une chose dont Ia con servation importe avant tout, implique une (mentalité trés particulière, dans le sens le plus facheux du mot. II est triste de penser que des villes comme celle-ci, dont le passé glorieux revit en des souvenirs 'éinouvants et des monuments prê- cieux, sont livrées de pareilles aventures. Mais ce n'est pas tout. II y a un autre pro jet, aussi odieux, aussi déconcertant que le premier. Au coeur même de la cité, derrière le Palais de Justice, dans Ie voisinage immédiat du groupe prestigieux formé par les Halles, l'église Saint-Martin et leurs annexes, il reste un préau planté de vieux arbres; leur conser vation réclame d'autant plus de sollicitude qu'ils constituent a peu prés Ie seul coin de verdure dont les rues d'Ypres soient agrémen- tées; la nature vivace ne joue pas assez dans les vieilles pierres de cette cité arehaïque; aussi, le préau ombragé du Palais de Justice devrait-il être I'objet d'un respect plutöt ex- ceptionnel. Or, il est question de raser tout, et, sur la place nette, d'édifier... un Casino- Th éatrel... Quand on m'a (dit ga devant ces grands arbres que le printemps faisait verdoyer entre les murs sombres, j'ai cru d'abord a une plai- santerie. II a fallu insister pour me faire pren dre la chose au sérieux. De la verdure!.. II en reste néanmoins un peu, dans ce quartier central d'Ypres oü les fagades antiques semblent implorer quelque chose qui corrige leur sévérité; mais elle se dis- simule le plus discrètement du monde: il faut, pour la trouver, pénétrer dans Ie couvent des Clarisses, contigu a l'église Saint-Martin, et qui ren ferme le cloitre dont on savait 1'existence mais qu'on ne voyait jamais, a cause de la ri- goureuse cloture oü vivaient ces dames. Maintenant, les Clarisses ont déménagé; elles (ont, suivant les moeurs d'aujourd'hui, échangé leur antique demeure, vétuste et incommode, contro un domicile pourvu du confort moderne exigé pour la vie monastique comme pour la vie <1 du siècle Et le vieux couvent est desert. Quelle ma- sure, d'ailleurs, que cette maison de Jansénius'. Car c'est a l'évêque sectaire que l'on cloit Ia vaste batisse qui, en masquant le bas-cöté nord de Saint-Martin, enclava le cloitre ogival du treizième siècle. Et combien les installations ymanquaient d'hygiène:!.. On congoit que les filles de Sainte-Claire, toutes pénitentes qu'elles sont, pient mis un certain empressement a quitter ces lambris sans gaité. Mais le cloitre est délicieux. Cet ambulatoire des chanoines d'autrefois est envahi par les végétations et une herbe ëpaisse revêt son préau. Toutes les choses d'alentour respirent l'abandon et la ruine. Le silence n'est troublé i que par le croassement des corneilles qui pas sent la-haut, en vols toumoyants. Des pousses folies s'élancent partout, s'accrochent aux co- lonettes, se mêlent aux fines dentelures des ogi ves et la tristesse des vieilles pierres s'égaie de la fraïcheur du printemps. On va réparer cela pour y recevoir les visi teurs. J'espère que l'on respectera autant que possible ce que la nature vivace, laissée libre, y apporta de charme pénétrant. Mais je suis tout de même fort heureux d'être entré lü avant qu'on eüt touché a rien. J'ai souvenance de cloitres ainsi délaissés, aux dalles rejetées et moussues, envahis par la végétation désordonnée qui s'empara des ruines. II en existe un a Saint-Emilionla vigne y court parmi les herbes hautes et s'ac- croche aux frondaisons touffues, avec les roses II y en a aussi en Provence et en Italië; ici, les eönes des cyprès noirs tranchent sur le feuillage pSle des lamandiers. Mais, partout, sous des cieux différents, c'est la même im pression de mélancolie intense qui vous saisit et vous pénètre. Puisse celui de Saint-Martin Ypres garder cet attrait précieüx! LE CIRQUE RANCY Comme dans un palais de fé'e, le 18' juin nous allons voir édifier en quelques heures sur la place de l'Esplanade, l'immense et ravissant hippodrome avec tout le confort désirable, touto 'éclairée la lumière électrique dont 1'aspect dans son ensemble chatouillera agréa- blement les yeux. Monsieur Rancy donnera des representations dans notre ville, du 18' au 20 juin, pour 3 jours seulement La tournée de 1909 de ce merveilleux et lunique cirque, qui voyage par train spécial comprenant 30 wagons, a, dans son program me, des numéros tout a fait exeeptionnels qui ont 'été choisis par M. Rancy, pendant ses représentations d'hiver a Paris, oü il renou- velait tous les quinze jours son programme au complet; il a engagé pour cette tournée des attractions qui ont eu le plus de succès a Pa ris, c'est assez dire que tout est de premier ordre. Parmi ces nombreux numéros que tout le monde voudra voir, il faut citer le Samson moderne, le plus jeune et Ie plus fort athlète du monde, le seul supportant sur les épaules un caroussel monté par six personnes et tour- nant a une vitesse extraordinaire; Baghonhi, le plus petit écuyer qui ait paru sur un cheval, d'une agilité incomparable et d'une hilarité' laissant loin derrière lui le farneux comique Little Tich. (Les cinq barres fixes par les célèbres frères Durval's; la cochère parisienne, grande scène comique, création du clown Bob O'connor; les merveilleux phoques jongleurs équilibristes, propriété de M. Rancy, et de nombreuses au- tres attractions. A chaque représentation, le célèbre et si ré- puté manager Rancy présentera, lui-même huit étalons de pur-sang arabes, dressés par lui. Nos compatriotes auront de trés belles soi- rées a passer pendant ces quelques jours, oü ce merveilleux "établissement fera séjour en notre ville. conserver la santé la plus parfaite et d'éviter tout danger, pourvu qu'elles aient soin de se purifier de temps en temps le corps avec la Pi lule du Dr Walthéry. i fr. la boite pour un an. L'administration des chemins de fer de l'E- tat a organise le vendredi 28 Mai, au depart de Bruxelles (Nord), un train spécial a des tination d'Adinkerke-La Panne, viü Cour- trai-Ypres-Cortemarck. Ge train extraordi naire était occupé par 'a direction générale des chemins de fer de l'Etat, composée de nombreux hauts fonctionnaires, en tournée d'inspection. Sur le parcours de Bruxelles a Courtai, le train spécial ne s'est arrêté qu a la station d'Audeaarde, oü la direction générale a in- specté les iravaux d agrandissement et d'a- ménagement qu'on y exécute. II s'est ache- miné ensuite vers Courtrai d'oü, après un arrêt de quelque minutes, il est reparti pour Wevelghem, le but principal du voyage. Cette localité est aujourdhui, pour ainsi dire, le centre principal des opérations de rouissage du lin et le nombre des wagons qui y arrivent journellement de tous les coins du pays et de l'étranger principale- mentdes départementsde laSeine-Inférieure, de la Somme et de l'Oise, en France, et de la Hollande se chiffre par centaines. Or, les installations de la station sont insuffisan- tes pour ce trafic. Après l'inspection de la gare de Wevel ghem le train s'est dirigé vers Menin oü également le trafic des marchandises a pris une extension considérable. Les gares de Wervicq et de (Jomin'es ont été considéré"s aussi comme trop exiguës pour le tralie, et l'administration va met tre en conséquence a letude l'extension de l'assiette des votes, ainsi que l'érection de nouveaux batiments. Les dispositions acluelles des gares d'Y pres, de Cortemarck et d'Adinkerke-La Pa ne subiront également des modifications mportantes. Au retour, le train spécial s'est arrêté a la station de Furnes, afin d'examiner les amé- liorations qu'il y a lieu d'effectuer a cette gare. Une répétition générale, a laquelle assis- tait l'auteur, M. Oscar Roels, a eu lieu hier aprds midi, aux Halles. La composition, d'une grande envergure, refldte nleinement le f énie de la race flamande elle en a route l'ampleur et la majesté. Le texte retrace le passé,le présent et J'avenir de la ville d'Ypres. M. Roels a su tirer un excellent parti de ces trois phases da l'existence de notre cité la périodeglorieuse du moyen-age y estdépeinte avec toute la majesté qu'elle comporie une longue lamentation décrit, en des phases poignantes, la décbéance de la cité et, en un mouvement vif et alerte succédent lecourage, l'espoir en havenir. Les trois dernières stro phes sont chantées sur l'air de Notre-Dame de Thuyne.très heureusement contrepointé, et produisent un tres grand efl'et, auquel contribuent les accents sonores des trompet- tes thébaines Telle sera dans un avenir peu éloigné, la devise de tout Beige en general et de tout Courtraisien en particulier, si nous ajoutons foi au cri d'alarme, dont l'écho se fait enten dre a Courtrai. Oui, cher Echo, la minuscule et vieillotte voisine exécute bien des choses jeunes et grandioses, mais elle ne s'attache pasabattre témérairement le record, que la grande cité moderne détient en maint article (voyez odeurs agréables, construction de cirque- théatre ou d'hippodrome). Non, elle se con tente de restaurer et de remettre a neuf ces iilustres souvenirs d'un passé glorieux, que l'on appelie les Halles d'Ypres et l'église St Martin, de décider la construction d'une salie de fêtes moderne, de construire, par intermédiaire d'une société privée, un vélo- drome modè!e,pouvant servir d'hippodrome, et prenant en cc.tte occurrence les devams de Courtrai (mille excuses), de constituer un Cercle équestre, qui donnera sous peu une fête splendide dans l'arène du vélodrome. Oui, bon Echoelle possède un comité officiel, qui organise des réjouissances publi- ques, décide de l'octroi de subsides a des fêtes de sociétés el nous donne le régal de l'audition de musiques célèbres. Mais en tout cela, eilea pris exemple sur des voisines plus importantes la se trouvent des infatigables organisateurs de fêtes publiques, de corteges carnavalesque ou historique, que nous imi- tons, sans pouvoir, hélas 1 les égaler. Si done, brave Echo, tu veux avoir un modèle, pour t'envoler bien haut, n'attèle pas ton coursier a Courtrai, ne viens pas a la villette d'Ypres. FÊTU (DE PAILLE). Si les statistiques de l'année 1908 accusent une diminution formidable du mouvement d'émigration motivé par la crise aux Etats- Unis, elle nous renseignent également que la baisse daus le chiffre des départs a déja touché a sa fin, car le mois de décembre dernier indique une augmentation en coaa- paraison de décembre 1907. A Hambourg et Brême il y avait 12680 départs d'émigrants en 1907, tandis qu'en 1908 ce chiffre monte a 19266. Nos lecteurs pourront par la statistique des trois grands ports constater la progres sion du courant d'émigration et la baisse formidable en 1908. Le mouvement se mani feste d'une fagon presqu'analogue dans chacun de ces ports, s&ufen 1907 oü Anvers seul avait un recul. 1904 1905 1906 1907 1908 Hambourg 133681 168856 208343 234013 74626 Brême 132712 143375 173483 189810 78878 Anvers 65453 83815 106775 90227 40471 Total: 331846 414046 488601 52405S 193975 Les recettes des grandes compagnies de navigation se ressentent fortement de cette diminution de départs. On renseigne pour les deux Lignes principales de Hambourg et Brême (le Hambourg-Amerika Line et le Norddeutsehe Lloyd) une diminution de 36 millions dans les recettes de l'année 1908. Le mouvement d'émigration en Italië doit être considóré a part pour diverses raisons. D'abord il faut tenir compte du röie trés notable que Immigration tempo- raire y joue. Beaucoup d'ouvriors Italiens ne partent que pour travailler une saison et rentrent ensuite. D'aucuns vont même faire la récolte d'abord en Argentine, puis en Italië et ensuite dans l'Amérique du Nord. Enfin, lTtalien a plusieurs cordes a son arc. II s'accommode plus aisément des climats chauds que les émigrants de l'Europe centrale ou septentrionalesi une crise leur ferme les Etats Unis ou le Canada, ils vont dans l'Amérique du Sud. Un examen des chiffres pour 1908 le démontre. Dans le cours de cette année pas moius de 220.000 Italiens sont. rentrés des Etats-Unisnéanmoins les chiffres des départs accusent une légère augmentation en comparaison de 1907 ce sont les pays de l'Amérique du Sud qui ont bénéficié du courant détourné de l'Amérique du Nord. Du reste, en Italië également, le mois de décembre révèle une repris8 de Immigration vers les Etats-Unis, comme dans les ports des pays du Nord. Le total des retours dépasse celui des départs en 1908, malgré l'augmentation de ces derniers280575 rapatriés et 179222 émigrés. II eu résulte, que les conditions de succès paraissent s'ête singulièrement modifiées en Argentine. Oa déeonseille de venir a i'avm- ture dans ce p iys, taut le nombre des émi grants de toutes natious et de toufes condi tions y scrait considérable. Les artisans et cultivateurs, appelés par des parents ou des amis, rui leur auraient ö'avance assuré du travail, pourraient seuls encore trouver des chances de succès. II faut aussi ne pas perdre de vué, que la concurrence des Italiens est fort dangereuse pour l'ouvrier Beige, qui n'est pas en état de se tirer d'af faires avec un salaire qui suffit a un Italien. En outre l'acclamation du Beige n'est pas si aisée. que celle de l'Italien habitué aux chaleurs. Dimanche i3 Juin igog, d 6 h. du soir. Programme 1. Allegro. N* 2. Le Bravo, ouverture. Salveyre. 3. Javotte, fantaisie-ballet. Saint-Saëns. 4. En attendant le Mont des Arts, mazurka Degrcz. 5. La Veuve Joyeuse, bouquet de mélodies. Lebiir. 6. Dans la forge, morceau earac- téristique. Eilenberg Dimanche i3 Juin 1909 C. MAY, Grand'Place, 35. srganisé dans l'enceints du Vélodrome avec le bienveillant concours de PHarmonie Communale a 2 h. precises. 1® Prix du début 500 fr. de prix 2° Prix ciu cercle (handicap) 900 fr. 3° Prix de la ville d'Ypres (omnium) 1600 fr. Prix des Places Loge ou tribune réservée (circulation) 5 fr. Tribune 3 fr. Virage 1 fr. Gradins 0 fr. 50 La location des places sera ou verte au CaféduSultan, Grand'place.vers la mi-Juin. Au moment de mettre sous presse nous apprenons que le coureur Vanden Born, par suite d'un engagement antérieur, ne pourra s'aligner dans la course du 20 Juin 1909. 11 sera remplacé par un des meilleurs sprinter frangais, G. DUQUESNE, champion de Paris 1908, professionnels. Le champion de Belgique Vanden Born sera engagé dans une de nos prochaines réunions. Un subsidede 1,866 fr. 66c., aété alloué, par arrêté royal du i3 Mai 1909, a la fabri qué d'église de Moorslede, pour l'exécution de travaus artistiques. Une pension de 1.278 fr. a été accordée a M. Lazeure (A.T.), ancien instituteur communal Wulverghem. La société mutualiste DeKerels van 't Vrijbosch établiea Houthulst, commune de Clercken, a été reconnue par arrêté ro yal du 27 Mai 1909. Chemin de fer vicinaux. Roulers-Dix- mude-Bixschote. Par arrêté royal du juin 1909, cbacune des 90 annuités dues par l'Etat pour la ligne vicinale de Roulers- Dixmude-Bixschote sera portee de 5o.o5o fr. a 52,195 ft". Van den 4 tot den U Juni 1909 Geboorten Talon Suzanna, Rijselstraat. Flepts Elza, Oude Veurnestraat. Derous Julia, Zaalhof De Groote Joseph, Zonnebekesteenweg Nolt Suzanna, Dixmudestraat l.emahieu Gerard, Wieltjesiraat. Oe Bruyn Henri, Minneplein. Gisquière Agnes, Cartonstraat. Pottel Leonard, Patteelstraat. Demeulenaere Bertba, Bruggesteenweg. Witter becq Gaston. Hoornwerk. Verminck Angela, Aardestraat. Biebauw Marger6ta, Lombaardstraat. Barbry Elvira, Cartonstraat. Huwelijken Debruyne Gustaf, machinist aan den ijzerweg en Glaeys Irma, z. b., te Yper. Wenes Ernest, muziekleeraar,"en Rotiers Ma ria, z. b., beiden te Yper. Dehem Maurits, bediende der burgerlijke godshuizen en Andries Maria, z. b., beiden te Yper. Sterfgevallen Gasier Margereta/t j. Statiestraat. Delobbelle Leonia, 58 j. z b.. echtgt Devoldere Karei, Poperinghesteenweg. Vancoillie Gaston, i 1/2 j. Statiestraat. Viaene Ra5'monda, 13 jaar, Boterstraat. Deckmvn Joannes, 72 j. z b., wedr. Andries Barbara. 'Rijselstraat. Parreiri Justina, 75 jkantenwerksier, Wwe. Duflou Adolph. L. Meerschstaat. Zorré Ludovie, 80 j. z. b. ongehuwd Rijselstr. Baert Henri, 50 j. ongehuwd Moenen^traar. Jules Taboen. wachtmeester bfj bet eerste re giment schutterij gehuisvest te Gent, en Jeanne Lertninez z. b gehuisvest ie Yper. Jérome Neysens, lettarzett'-r en Maria Vtr- saevel, z. b beiden van Y per. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1909 | | pagina 2