SUPPLÉMENT AU G/ffiQN/QUEVPRO/SE du 19 Juin 1909 qqqqGQ Ypres-Attractions Fête équestre a l'Ecole li'équitation Legs Merghelynck Conseil Communal Un Ju bi lé Repos dominical PHARMACIEN DE SERVICE Grand Concours Hippique International même de Ia Patrie et de la foi, cettc, vi- gueur et celte aclivité remarquables qui le Iciar acté ris ent a an degrë si élevé.; Comment menlionner ici, Messieurs, motrc domaine colonial sans salu'er de nos voeux les plus patriotiques et les plus ichrétiens, le Prince magnanime et intrépide qui accomplit en ce moment 'au péril de sa vie, une noble et sublime mission! Qu|e Dieu nous le garde Assceions dans nos voeux 1'admirable Princesse, femme et mère incompara- ble, la digne compagne d'un grand Prin ce, qui n'écoutanl que son devoir n'hé- site pas a encourager dans sa chevale- riesque resolution rhéritier de la Cou- ronne Sublime exemple qui doit faire réflé- chir plus d'un compatriote! Jc serai sans doute l'infcèrprête de vous dons, Messieurs, en souhaitant du fond de rSine, que son Altesse Royale puisse heureusemeiit poursuivre son voyage, jusqu'a son retour au pays, oü, il retrou- vera tons les Beiges unis a Faliégresse de la familie Royale, plus décidés que jamais a rester les fermes soutiens du 'Tronie. a LfE OI'OL'D II, Messieurs, au ROI Civilisateur An Prince ALBERT, rhéritier de la C.ouronne a la Princesse ELISABET II a la F A MILL E R O Y A L' E TOAST DE M. VAN MERRIS MM. Le grand honnjeur in'est. echu en celte solennifé jubilaire do porter Ic toasl an .Gouvernement. Ceux d'entre vous,'MM., qui out vécu 'les temps trouble de 1879 a 1881, peit- vcnt mieux que tons a litres apprécier les inimenses services rendus au pays de- puis un quart de siècle par les éminents hommes d'etat qui se succédèrent au pouvoir, et dont M. Schollaert et ses collègues sont les dévoués et sympatlii- ques con tinua ten rs. La guerre scolaire menée de front avec au gaspillage insensé des derniers pu blics sëvissait dans toute son horreur; les eitoyens étaient divisés en deux camps fennemis; dans notre Flandre sur- tout la situation était des plus Lendues nul de vous n'a oublié la sanglantle équi- pée de Heule, et les confiscations odieu- ses d'un grand nombre d'établissements oharitables el hospitallers tpii pendant des siècles avaient fait la glome et la fier- (té d'un1 pays, plus que tout autre jaloux de sa foi, die ses liberies, et de son indé- pendance. Vinrent les électeurs du soulagement universel, comme les appela un homme qui nest pa de nos amis politiques, mais a qui les scctarisme iUconscient et aveugle de nos adversaires avail inspire des inquietudes patriotiques, partagées par tons ceux qui comprennent que la paix publique est le principal facteur de la prospérité d une nation. A ce litre seul le Gouvernement Ca tholique, dont certains déclaraient la via- hilité impossible en Belgique, mériterait la reconnaissance des générations qui, depuis 1884, se sont levees ainsi qu'uije imoisson dorée sur cette terre de Flajndre, dont presque chaque parcelle fut arrosée du sang de nos aïeux, et dont toules fu- rent fécondée's par la Sueur de nos bra ves et vaillantes populations agricoles. Mais nos amis au pouvoir eurent a coeur de démontrer non seulement qu'ils savaient pacifier eL conserver, mais aussi améliorer, et ils réussirènt ainsi, par de Constants efforts, et grace a une union indéfeetible des ames et des cce.urs, a clever encore le niveau de notre prospérité nationale, aujourd'hiii la plus hrillante du monde. Leur programme d'hier qui est celui de tops les catholiques, restera celui de demain. j Plus ha uttoujours plus haut! Tel est le cri qui doit s'élever de nos poitrines, car nul autre ne pourrait fournir au gouvernement, présidé par ce vaillant d entire les vaillanls, M. Schollaert, un encouragement plus cordial et plus salu- taire. Nombre de problèmes difficiles, ardus, et complexes restent a résoudre, eL l'on peut dire sans exagération que le chemin du pouvoir est plus parsemé de ronCes que de fleurs. Mais de même que ses pródécesseurs surent mener a bien la solution des gra ves questions qui agitèrent cc dernier quart de siècle, nous avons la convic tion profonde et inébranlable, que le chef du cabinet actuel parviendra, saus heurts et sans cahots a dotcr le pays des reform es économiques et sodales que réclame une nation sans cesse en progrès. Mais, pour réussir, le gouvernement (loit pouvoir compter sur notre aide bienveillant a tous. II y a des hèures dans la vie d'un peuple, MM., oü il faut' savoir mettre une (sourdine a ses préférenöes personnelles, et saCrifier uii pen de ses aises, et se rappeler qu'un égoïsme inconsidéré peut 'mener aux pires catastrophes. ,C'est pourquoi, en por tant la santé du gouvernement, je bois aussi el avant tont a 1'union de tous les catholiques rangés autour de ieurs chefs rèspon- sables. Rappelons-nous toujours, MM., que les premierschrétieus n'avaientquuncoeur et' quijune a'me. Iinitons-les, et, me faisant écho de vous tous, je dis au gouver nement: Ad Mul tos annos. TOAST DE M. LIEBAERT. Au nom 'du gouvernement, M. Lie- baert, Ministre des Finances, remercie pour l'accueil si chaleureux, dont M. Schollaert et lui sont l'objet. II remé- more les faits des adversaires d'avant 1884 et oppose a la tyrannic d'alörs, la grande période de liberie dont le pays jouit depuis l'année libératricc. Car, dit 1'honorable ministre, tout ce qui a été fait pour le progrès, pour les lois socia les, pour 1'agriculture, a été réalisé par le gouvernement catholique. Les catho liques out dönné un éclatant démenti a leurs adversaires, qui osaient préten- dre qu'ils étaient incapables de gouver- ner. Ne croyez pas ceux qui répètent toujours que nos finances sonl en déficit. 11 n'en est rien. Alors que les budgets de tons les pays de l'Europe, y com- pris la France, l'Allemagne et la Hol- lande, sonl en déficit considerable et constant, le notre présente depuis 27 ans un 'équilibre immuable. (appl.) Abordant la question des cbemins de fer qui intéresse tanr notre arrondisse ment, le Ministre se dit autorisé a dé- clarer que s'il a fallu 35 ans pourobtenir la reprise des lignes de la Flandre Oc cidentale, il ne faudra pas 35 mois pour améliorer et réorganiser le régime au- quel élles sont soumisès. Tous les convives applaudissent chau- dement a cette déclaration. En lerminant, Ie Ministre des Finan ces adjure les catholiques de rester unis pour le bon combat. Gar, dit-il, quel sort terrible nous serait réservé par la meute libérale-radicale socialiste? Ne laissons passer aucun jour sans travail- ler sans faire des efforts, cliaeun dans sa 'commune, dans son milieu. (Appl.) Le Ministre porie la santé des dé- putés el des hommes d'oeuvrex de l'ar- rondissement. Ensuite M. Van Merris, au nom du Baron de Vinck, retenu chez lui par une facheuse indisposition, donne lecture d'un long discours retragant toute la carrière de M. Colaert a partir du collége. M. Colaert, salué par une chaleureuse ovation, répond en ces termes Messieurs, 11 me tarde de répondre au toast cor dial que vous venez d'écouter avec tant de bienveillance. j Mais tout d'abord je dois exprimer tous les regrets que j'éprouve de n'avoir pu entendre de ia bouche du Baron de Vinck les bonnes paroles que mon col- lègue, et ami, M. Van Merris, a bien vqulu nous rapporter. Notre Sénateur, toujours aimable, a re tracé ma carrière depuis le collége jusqu'a ce jour, sans oublier aucun dé tail, a jou tant mes services administra- tifs a ceux que j'ai pu rendre comme Député. C'est un tableau digne d'une main d'ami j'allais dire d'une ame d'artiste comme la sienne, s'il n'a- vait négligé obstinément quelques om- bres. Ce clier camarade d'universilé, mon collègue du Parlement et de l'écliarpe, a vu mes qualités par le prisme d'une amitié vieille et constante. Mais il a perdu de yue que ce n'est pas le prisme qui est beau; que C'est moins encore l'ob jet éclairéque ce sont en réalité les rayons qui traversent l'uu et font res- sorlir l'autre; qu'ici c'est le reflet d'une cause, brillante entre toutes paree qu'elle procédé de Dieu: la Rel iglo. i ct la Patrie. Si 'notre ami avait dit sim piemen t que, Comme lui et tant d'autres, j'ai aimé a ^seryir cette cause, j'aurais souscrit des deux mains a son témoignageje me serais réclamé de ITionneur de n'avoir jamais failli a mon devoir. Le mal n'est pas grand. Ce que le Ba ron de Vinck a dit de moi, il po.u va it le dire de tous mes collègues catholiques du Sénat et de la Chambre. Que dis-je? J'ai cu le bonheur de connaitre des chefs éminents,' j'ai vu tous les jours devant moi des exempies frappants d'abnéga- tiou 'et de dévouement sans limites a la chose publique et a notre parti. Com ment n'aurais-je pas tenté de suivre, de loin tout au moins, les uns et les au tres II est aisé de marcher dans une voie tracée d'avance, a la suite de ceux qui out la direction du pouvoir et ses res- ponsabilités, et avec ceux qui out la pre occupation: (hi bien et de l'intérêt gé- Inéral; plus facile encore d'obéir aux Chefs que de leur commander, de s'in- 'cliner 'devant lés décisiohs du plus grand 'nombre, plutót que de s'obstiner dans ses idéés et ses caprices, et de s'effacer au besofn pöur faire aceomplir par d'au tres le bien qu'on serait souvent incapa ble de réaliser seul on a quelques-uns. Je savais que nos institutions pou- vaient grandir el s'étendre encore; je savais que les chcses lmtiiain.es ne sont pas eternelies et qu'e'les dolvent mar cher sous peine dé render. Je me suis soumis a toutes les néeessités el a tou les les contingences, respectueux tou- tefci's 'de nos traditions nalionales. Je ne suis pas de ceux qui veulent batir dans les nu'ées ou construire sur le sable; vis je ne brois pas nou plus qu'il faille s'enlizter dans rimmobilitë ou la routine. Et c'est pour cela, Messieurs, que jé crois devoir suivre les hommes d'action qui sont a la tête du gouvernement et de '1a Droitc; c'est pour cela que j'estime qu'il ne faut guère nous séparer de nos Min is tres; b'est pour cela enfin que je me joins toujours aux hommes de bon sens et 'de bonne volonlé, n'a van t en vue que 1'action de tous dans la recherche du bien commun. Messieurs, je no répéter ai pas tout ce qui fa été 'dit aujourd'hui, en termes élo quents et justes, a l'adresse du Gouver nement. Permettez-moi bependant de rappeler a voire souvenir, en trois mots, trois faits saillants de la barrière parle mentaire et ministérielle de Celui qui nous touche 'de plus prés, notre Ministre West'Flamand, M. Liebaert. C'est lui qui nous a aidé le plus, comme Député, a obtenir la suppression de l'abcise sur le tahac; c'est encore lui qui, en la même qualité d'abord, Comme Ministro des Fi nances ensuite, a coopéré a étendre de plus en plus les ressources du fonds communal et celles du fonds spécial, dü celui-ci ne l'oublions pas, adminis trateurs oommunaux a M. Beernaert, et' qui. permet, a nous Yprois, de faire la restauration de nos célèbres monu ments. C'est a M. Liebaert, on l'a dit avec raison, que nous devons la reprise des chemins de fer de la Flandre Occi dentale, qui deviendra bientöt, pour no tre arrondissement, a cöté de rachève- mentimminent du canal de la Lys a l'Y- perlée, et dans l'ordre materiel, un des plus grands bienfails du gouvernement. Je finis, Messieurs, en buvant encore a la santé de M. Liebaert, et je joins a mon toast toute la Droite par lementaire, si dignement représenlée ici. Je bois a leur santé, a leur bonheur, a leur avenir! Aux succès et aux triom- plies constants de notre cause! A l'u- nion de tons dans Faction commune. M. Arthur Verhaegen, député de Gand- Eecloo et président de la Ligue démocra- tique, prend la parole en flamand au nom des députés. La harangue du leader du Volk est vivement applaudie. M. Neut, doyen de la presse Westfla- mande, clot la série des toast; il remercie, s'excusantde ce que mis en cause, il doive marcher sur les plates bandes de ses estimés confrères de la presse Yproise. V Vers six heures un auto, gracieusement mis a la disposition des Ministres par M. Franqois Hoflack, s'arrête au Marché- bas en face de Ia porte d'entrée des Halles. Les Ministres y prennent place avec M. le Sénateur Georges Vercruysse. lis sont conduits a Courtrai pour y prendre l'ex- press de 19 heures vers Bruxelles et éviter ainsi l'arrêt forcé de une heure en gare de Courtrai. Des acclamations saluent les Ministres au moment oü la voiture démarre. Ils emportent le meilleur souvenir de leur réception a Ypres et promettent de revenir bientöt visiter notre belle ville. A l'issue du banquet une manifestation intime a eu lieu a la Salle Iweins en l'hon- neur de M' Oscar Roels, l'auteur de la cantate. Le maitre gantois, entouré de M. Louis Arschodt et des membres de la commission de la Fanfare Royale, est regu avec enthousiasme au local de la fanfare. Quelques instants après, M. Colaert, bourgmestre, accompagné du Conseil Communal, est venu se joindre a cette manifestation pour remercier le composi teur, le Directeur et les musiciens de la Fanfare Royale. On vida joyeusement une coupe de champagne et deux speechs furent prononcés par M. Callewaert, vice- président de la Fanfare Royale, et par M' De Munnynck, rédacteur du Volk le tribun gantois, qui s'est fait entendre a Ypres au cours de la dernière campagne électorale. Les fêtes jubilaires ont été clóturées par un beau concert donné par l'Harmonie Communale a la Grand'place. II convient de féliciter chaleureusement le comité organisateur de ces brillantes festivités jubilaires et tout spécialement Mr Ernest Fraeijs, le dévoué et inlassable président de l'Association catholique d'Ypres. Disons pour terminer'que les pauvres n'ont pas été oubliés et qu'ils ont été aussi de la fête. Une largeMistribution de pains de gateau a été faite aux enfants de nos écoles gratuites. Nous sommes heureux de pouvoir communiquer a nos lecteurs le texte des deux télégrammes adressés au Président de l'Association par notre Saint Père le Pape,Pie X et par SaMajesté Léoppld II, en réponse aux dépêches envoyées au Vatican et au Palais de Laeken, au nom des 425 catholiques réunis au'banquet de la grande et inoubliable journée du 13 juin. Monsieur Fraeijs, Ypres, Belgique. Saint Père a été bien sensible filial hommage 'de profond et sincere dévoue ment exprimé par voire dépêche, occa sion votre reunion célébration 25e ani- versaire gouvernement catholique; re mercie 'de coeur, envoie a tous bénédic- tion apostolique gage des plus préeieuses faveurs divines. Cardinal Merry del val. Monsieur Fraeijs Président de 1'association conservatrice de l'arrondissement (FYpres. Le Roi trés sensible aux sentiments patriotiques que vous avez exprimés a Sa Majesté et a la Familie Royale au nom de 425 catholiques de l'arrondisse ment d'Ypres me Charge de vous adres- ser et 'de vous prier de transmetlre a tons Ceux dont vous vous êtös fail l'in- terprète ses sincères remercienients. Le Secrétaire du Roi. LE PORTRAIT de Monsieur le Repré sentant Colaert, dü au remarquable pinceau de Madame Louise de Hem, sera visible a la Salle Échevinale de l'hötel de ville, a partir d'aujourd'hui jusqu'au dimanche 27 inclus. La semaine de 9 h. a midi et de 2 a 5 h. Les dimanches de 10 h. a midi et de 2a 4 h. Outre les nombreux touristes qui, chaque e'te', viennent visiter notre ville, et y retour- nenl toujours volontiers, des sociétés ont choisi Ypres comme but d'excursion, d'e'tude ou de re'union extraordinaire. Notons pour les dates les plus rapprochées: Du Samedi ig au Lundi 21 Juin, un groupe de membres de la sociéte' centrale d'architecture de Belgique, établie au palais de la Bourse, a Bruxelles. Dimanche 20 Juin, environ 3oo membres de la société des anciens élèves de l'école polytechnique de Paris, arrivant a midi par train spe'cial. Dimanche 27 Juin, les membres de la Socie'té de géographie de Lille, dont la reunion précédente a Ypres ne remonte qu'a quelques années. Jeudi ier Juillet, reunion du Comité flamand de France, avec réception a l'hötel de ville. Dimanche 27 Juin, a 2 heures et quart, aura lieu, dans la carrière de l'Arsenal, une fête équestre, dont yoici le programme i° Concours hippique p iur officiers 2® Tra vail de tandems; 3° Sauts périlleux au-dessus de chevaux 40 Courses de boules et courses de surprises 5° Sauts en hauteur 6° Tra vail a la cosaque 7° Gymkama 8' Travail de haute école. L'acceptation les différents legs taits a l'Etat, par feu Messire Arthur Merghe lynck, écuyer, est entièremeut décidée en haut lieu. L'arrêté royal parattra procbai- nemeDt au Moniteur II n'a nuhement été question de refus, comme le bruit en avait circulé. Une interpretation l'autive avait été donnée par certaines personnes a une simple disposition relative a quelques tab'raux non acceptés par les musées royaux et réunis. depuis, aux collections du chateau de Beauvoorde, disposition que nous avons relatée il y a environ deux mois. Séance publique du Samedi 19 Juin, a 5 heures de relevée. Ordre du jour 1. Garde civique Budget 1910 2. Fête communale: Programme. L'hospice Belle fêtera Lundi prochain, les Cinquante années de vie religieuss de Mile Reine Calleos, native de Zuydscboote, en religion soeur Christine. Admise comme novice le 10 Juin 1859, elle a prodigué, pendant un demi siècle, ses soins dévoués aux vieilles de l'hospice. Elle fut décorée d9 la croix civique de lr® classe le 30 Juin 1900. La cérémonie religieuse sera célébrée dans la chapelle de l'hospice k 9 heures du matiu Dimanche 20 Juin 1909 A. WECKESSER, Rue de Dixmude, 68 Nous apprenons que le coureur Vanden Born, par suite d'un engagement autérieur, ne pourra s'aligner dans la course du 20 Juin 1909. II sera remplacé par un des meilleurs sprinter francais, G. DUQUESNE, champion de Paris 1908, professionals. Le champion de Belgique Vanden Born sera engagé dans une de nos prochaines réunions. organisé dans fenceinte du Vélodrome avec le bienveillant concours de l'Harmonie Communale [,e Dimanche 18 Juillet a 2 h. précises. 1® Prix du début 500 fr. de prix 2° Prix du cercle (handicap) 900 fr. 3° Prix de la ville d'Ypres (omnium) 1600 fr. Prix des Places Loge ou tribune réservée (circulation) 5 fr. Tribune 3 fr. Virage 1 fr. Gradins 0 fr. 50 La location des places sera ouverte au Café du SultanGrand'place, vers la mi-Juin. JOURNAL

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1909 | | pagina 1