DIEKIRCH m m a La fète de nuit Le JuLilé du Gouvernement Catholique a Touroai Le Jubilé du 7 5e Anniversaire clu Collége episcopal ft epos dominical PHARMACIEN DE SERVICE Actes officiels Les A bonnés da ,ce, l°'Vr,"al qui 'Sfl Huwelijksafkondigingen Grand Hotel des Ardennes de St Vincrtnt de Paul a Ypivs V Programme des fêtes jubilaires Durnez O, fabr., Prix du début. Pour tous chevaux n'ayant pas remporté une somme de prix de 500 francs en concours d'obstacles et monté par un gentleman ou un officier en tenue. ler prix une médaille da vermeil et 160 franc Jack, au sous-lieut. Tiberghien, du 2® rég. d'artillerie. 2® p. une médaille dargent et 100 fr., Jaya, au sous-lieut. d'Orjo de Marchovelette, du 2® rég. de gui des. 3® p. une méd. de bronze et 75 fr., Mosquito, a M. Marcel Rousseau, de Tour- coing. 4® p. une méd. de bronze et 75 fr., Bayard, au lieutenant Donner, du 2" rég. d'artillerie. 5e p.Boisfort, au sous- lieut. Q. Verhaegen, du 5® rég. de lanciers 6® p. un flot de rubans et 50 fr.: Mistin- guette, au lieut. Lambert, du l«r rég. de chass. et M. Duchesne-Fréson (monté par ie lieut. Lambert). 7® p. ex-cequo, Simone, au sous-lieut. Fain, du 4® reg. d'art., et Renverse-Tout, au sous-lieut. Baesens, du 4e rég. de lanc. prix du Cercle (handicap). Concours pour chevaux sautant tous les obstacles, montés par un gentleman ou ün officier en tenue l«r prix Une médaille de vermeil et 300 fr.Margot, a MPierre Gilbert, de Bruxelles 2e p. une médaille d'arg. et 200 fr. Spéranza, au lieut. Ripet, instruc teur a l'école d'équitation. 3® p. Une méd. de bronze et 100 fr.Turc, au lieut. Lancksweert, du 2e rég. de guides. - 4e p. une méd. de br. et 75 fr. Habanera, au lieut. G. Denis, du 28 rég. de guides. - 5« p.une méd. de br. et 75 fr. Vendetta, k M. Paul Vandervelde, de Bruxelles. 6e p. une méd. de br. et 50 fr. Mosquito, a M. MarcelRousseau,deTourcoing. 7® p.: un flot de rubans et 50 fr. Miss-Kettyau lieut. Ripet. 8® p. un flot de rubans et 50 fr. Fantaisie, a M. Vandervelde. Prix de la Ville d' Ypres Omnium Concours pour chevaux sautant tous les obstacles, montés par un gentleman ou par un officier en tenu leC p. une méd. de ver meil et 500 fr., plus 25®/» de la poule Miss. Ketty, au lieut. Ripet. 2® p. une méd- d'arg. et 350 fr. plus 25 °/0 de la poule Clonmore, au lieut. de Blommaert, instruc teur a l'école d'équitation. 3® p.: une méd. debr. et200fr. Résolu, au sous-lieut. de Trannoy, du 2e rég. de guides (lieut. Lancks weert). 4e p. une méd. de br. et 150 fr.: Turc, au lieut. Lancksweert. 5e p. une méd. de br. et 100 fr. Bob, au sous-lieut. Couvert, du l°r chass. (lieut. Lambert). 6* p.: une méd, de br. et 75fr.: Marget, k M. Pierre Gilbert, de Bruxelles. 7e p. Airo- ne, au lieut. d'Hendecourt, du l»r guides.— 8® p. Brown-Bess, au lieut. de Blommaert. 9® p. Speranza, au lieut. Ripet. 10" p. (a partager)Fantaisie, a M. Paul Van dervelde et Tigrette, au lieut. Willems, du l«r rég. de guides. llep. Bayard, au lieut. Donner, du 2' rég. d'artillerie. du 21 juillet avait attiró&la GrandTlace, une foule des grandes festivités populaires, qui se réjouit plus des bruyants pétards, que des plus beaux concerts. Le program- me exécuté par la mus i que du 3® 4e ligne d'Ostende. était peut-être trop classique pour une execution, le soir, en plein air, et les vrais amateurs de booue musique étaient visiblement contraries par cette bruyante dtscente de la Courtilie. Les plus rapprochés du kiosque ont pu Nous sommes heureux de pouvoir com- muniquer a nos Jecteurs la remarquable conférence que notre sympathique Bourg- mestre, M. le Représentant Golaert, donna Dimanche dernier a Tournai a l'occasion des grandes Fêtes que nos amis Wallons y ont organisées pour célébrer le règne de 2 5 ans des catholiques au pouvoir. Messieurs, Je dois a l'amitié de nos distingués collè- gues de Tournai-Ath, l'honneur de venir célébrer avec vous le XXV® anniversaire de l'avènement du Gouvernement catholique. Je les en remercie de tout coeur et je remer- cie tout particulièrement M. Stiénon du Pré des paroles trop aitnables qu'il vient de prononcermais je ferai remarquer qu'il m'a rajeuni de six mois dans la vie politique, car je suis arrivé au Parlement sous le gou vernement liberal, (Bravos prolongés). Quand mon honorable ami M. Duquesne voulut bien m'inviter par express, j'ai accep- té avec empressement et par télégramme d'assister a cette belle reunion, sans me demander si j'étais qualifié pour prendre la parole devant une assemblée aussi distin- guée que la vötre, mais me disant que si je ne répondais pas k votre attente, vous m'excuseriez s raison de ma bonne volonté, et, peut être aussi, a raison de cette circon- stance qu'étant jubilaire moi-même, je dois donner le bon exemple a ceux qui fêteront un jour notre cinquantenaire. De votre cöté, vous vous êtes dit, sans doute, qu'un des rares survivants a la Chambre nous sommes sept encore de 'époque néf aste qui prit fin le io juin 1884, se délecter de l'exécution, hors ligne, de l'ouverture du Vaisseau fautome, de V ngner, de la Fantaisie sur Werther, et sur le Jongleur de Notre-Dame, de Massenet, et dVvutres morceaux de moindre importance, mais rendus tous avec un souci rare des nuances. La Brabangonne s'accompagna de pétards et de fusées, pendant que la place ivspleadissait de feux de Bengale. Les pé- tnrds, cette fois, ont dé'onné avec un fracas rnrement entendu et que d'aucuns trou- vaient même exagéré. Nous concevons ce- perdant, difflcilement, des pétards en sour dine, sauf toutefois, pour méuager peut-être les malades de l'böpital tout proche. L'illuminatron a été trés réussie avec cette diiféreuce avec les années antérieures, que lt-s Halles, en restauratiou, au lieu d'etre illuminées a l'extérieur, I'étaient a l'inté- ritur. Cette idéé, au uioius, était lumiaeuse. de la Fondation 1834 (909 La rédaction du Journal d' Ypres se per met de rappeler a ses lecteurs d'ïpres et de l'arrondissement tout spécialement aux anciens élèves de St Vincent que le col lége d'Ypres, leur ancienne maisou d'éduca- tion, célèbre, Jeudi prochain, 29 Juillet, le 75® anniversaire de sa iondation. La rédac'ion s'empresse de présenter au Coliège, au corps professoral et a son chef M. ie principal Glaeys, ses plus chaleureu- scs felicitations et ses voeux de bonheur et de prospérité pour vingt-cinq années nou- veilesen souhaitant de pouvoir les renou- veler eu 1934, aux fêtes uu centenaire. Soixante-quinze années de bienfaits ré- pandus sur la population d'Ypres et des aieutours telle est en résumé l'histoire de notre collége épiscopal. Les origines de cette maison sunt nobles et belles. Kile est née de ce mouvement de réjénération politique, sociale et religieuse doet la revolution Beige de 1830avait doDné le signal. Longtemps étouffés sous leB brous- sailies d'uiae bureaucratie oppressive, les oeuvres catholiques étendirent bientèt au soleil de ia liberté leurs rameaux luxuriants sur tout le pays. A Ypres, le grand jubilé de 1833, célébré a l'occasion du cinquante naire deN.-D. de Tuine, vint réveiller com- plètement le sentiment catholique. Ces so- leanitésreligieuses remuèrent profondémenl les coeurs. Mais k ce réveil de la foi il fallait autre chose que des manifestations passagères de piété il lui fallait des oeuvres. Au lende- main du jubilé, l'érection du Coliège Saint Vincent de Paul était décidée. II neus est douxde croire qu'en retour des témoignages publics d'une dévotion /filiale et tradition- nclle, il plftt a l'auguste Patronne de la Cité de nous laisser un gage nouveau de ses be nedictions séculaires. Il convient de rendre hommage k ces catholiques de 1834 qui demandèrent a l'Eglise d'assurer par la fon dation d'un collége catholique l'avenir religieux de leurs enfants.. .ilsappartenaient cette forte génération d'hommes qui, en I830,cenquit notre liberté religieuse. pourrait avec quelque autorité comparer les deux régimes que nous avons vécus depuis 1879, et tirer du parallèle d'utiles lemons pour l'avenir. Excusez ma présomption. Peut-être encore avez-vous voulu appren- dre de la bouche d'un magistral communal, qui a connu des luttes, des défaites et des victoires que vous avez connues aussi, l'im- pression qu'ont produile en Flaudre vos succès, et spécialement ce ti'iomphe éclatant d octobre 1907 qui a livré Tournai aux mains vaillantes du baron Stiénon du Pré et dAmbroise De Rick, mes compagnons d'Université, et de leurs dignes collabora teurs catholiques. Puisse, mes chers amis, votre administration communale devenir homogene comme celie que j'ai l'honneur de présider I Puissiez-vous, après tant de combats, ne plus connaftre des victoires 1 (Applaudissements) Et puisque je formule ici un voeu qui est dans le coeur de nous tous, permetlez-moi d en exprimer un autre que vous accueille. rez avec non moins d'enthousiasme, un vceu qui me rappelle un souvenir. C'était en 1881 un gouverneur de combat vint visiter Ia bonne et vieille ville d'Ypres, une des rares communes libérales de la Flandre Occidentale. Peu habitué aux receptions solennelies et cordiales, le Procureur Hey- vaert, enthousiaste cette fois, s'écria L'ile libérale de la West-Flandre vr devenir con tinent! Vojs savez, Messieurs, ce qui est arrivé depuis lors. Je souhaite que l'ile catholique des Choncq-Clotiers devienne continent en pays Wallon (Appl.) Le nom que je viens de prononcer et les souvenirs qu'il évoque me placent au coeur de mon sujet. Heyvaert personnifiait en Flandre la politique de haine et de combat qui sévit pendant six ans. II n'en était pas autrement ici et ailleurs. Un ministère de sept franc-macons régentait le pays, neuf Monseigneur Boussen, évêque de Bruges, aecéda a leurs désirs. lis repondirent du concours généreux de leurs concitoyens. L'administration communale unioniste de ce temps et soueieux alors des dioits de tous voulut contribuer a mettre les pères de familie catholique k rnêae de donner uue éducation catholique a leurs enfanls. Un local et des subsides annuels furent accordés au Collége Episcopal la générosité des particuliers fit le reste. Nous ne pouvons retracer ici l'histoire du Collége St Vincent. Peut-être le pourrons- nous plus tard après avoir entendu, a las- semblée générale jubilaire, le rnppoit da M. le Principal. Nous transcrivons simplement la liste des principaux a qui les Evèques <1e Bruges ont succe8sivement confié la direction de notre important collége R. M. Charles Denys, de 1834 1841 R. M. Vincent Nounckele, de 1841 1850 R. M. Henri Ostyn, de 1850 a 1869 R. M. Charles Van dar Ougstraete, de 1860 a 1863 R. M Edmond Houtave, de 1869 a 1878 R. M. Hugo Verriest, de 1878 a 1888 R. M. Dupont, de 1888 a 1893 IL M Victor Beheyt, da 1893 k 1897 R. M. Julien Claeys, de 1897. Pendant ces soixante quinze années écou- lées le Collége St Vincent-de-Paul a con- stamment prospéré et grandi Des milliei s de families lui doiveut en grande partie leur bien-être, leur bonheur et leur honneur. St s anciens élèves sout par tout. Dans toutes les carrières civiles, lamag'strature, lebarreau, le notariat, la médecine, les administrations, 1 armée, le commerce, l'industrie, l'ensei- gnemer.t, aussi bien que dans la carrière ecc'ésiastique, ils montrent combien sont excellences ^instruction et l'éducation dou- née daüs notre collége ecclésiastique. Cbacun n'a qu'a porter les yeux autour de sol pour être convaincu de ia vérité et de ia justice de ces observations. Quoi d'éton- uant des lors que taut d'auciens élèves soient ros lés fiiialement attachés k cette seconde maison patornellc Quoi d étonnant qu'un si grand nombre tient k céléb er, jeudi prochain, solennel'.einent et joyeuso- ment. avec leurs anciens maïtres, l'heureux 75* anniversaire de .cette institution Elle leur a iaissé dans le passé les meilleurs souvenirs, leur assure dans ie présent les premières conditions du banheur et leur promet tout ce qui va le plus au coeur dans l'avenir, la lormation d'une jeunes^e de plus en plus dévouée k tous les devoirs, devoirs d'ét&t et de familie, de citoyen et de chrétien. Lorsqu'on célèbre le soixante quinzième anniversaire d'un homme, n'y a-t-il pas toujours un vague sentiment de tristesse qui se méle au sentiment de bonheur 1 C'est que plus le passé d'un homme est long, plus court est l'avenir que la vie lui résetve. Sur le champ de la vie la longue portée de nos souvenirs abrège la portee de nos plus chères espérances. Ici, rien de semblable, le Collége jubilaire vit sans vieillir. Après 75 années de fécon- dite, sa vitalité n'esi 111 amoindrie ni limitée; ici nous sommes en possession a la fois des avantages d'une riche maturité et de toutes les forces de l'expensive jeunesse. Ce Collége proconsuls tirannisaient nos provinces, as- sisés dans chaque arrondissement par un cominissaire créé a l'image des maitres du jour; les communes, jalouses de leur indé pendaace et de leur autonomie, subissaient la contrainte, odieuse et coüteuse de corn- missaires spéciaux. Le pays le plus libre du monde ne connaissait plus de la liberté que le nom. Sous prétexte que notre pacte constitu- tionnel avait été jusqu'alors mal compris ou mal interprêté, les pouvoirs publics sen prirent a cbacun de nos droits, a ehacune de nos libertés a la liberté de conscience du fonctionnaire ou de l'employé, comme a celle du pauvre, en leur imposant l'école a suivre par leurs enfanls a la liberté d'asso- ciation en spoliant nos londations d'ensei- gnement, et en préparant cette odieuse enquête sur les couvents, qui 11'échoua que gr^ice a la voix de qu Iques députés libéraux, imbus encore des idéés de i83o et dont la race a disparu aujourd'hui a la liberté des cultes en apportant des entraves a son exer- cice public enfin a la liberté d'enseigne- ment, la grande ennemie, qu'on s'effor^a d'enchainer, paree que la Constitution ne permettait pas de l'écraser. Seule la liberté de la Presse resta debout, paree qu'il était impossible de la placer sous la puissance du despotisme liberal. Encore re5Ut-elle de gi de la quelques accrocs. Mais c'était surtout la liberté d'enseigne- ment qui essuya les plus rudes assauts. La loi transactionnelle de 1842, votée par la presque unanimité des deux Chambres, fut remplacée des 1879 par une loi qualifiée de loi de malheur par Jules Malou, et de loi de guerre par un liberal, le Prince de Ligne, et qui ne fut votée au Sénat que grace a la voix d'un moribond, élu lui-snême k une voix de majorité par le corps electoral de Bruges. est comme le chêne qui plonge dans un sol généreux ses puissantes et multiples racines comme le chêne,il étend au loin et pour plus d'un siècle ses branches et ses rameaux bien- faisants a son ombre s abritent et s élèvent les générations successives des hommes La mission du College d'Ypres a été vrai- ment providentielle... cette même tiche, il est appelé a la remplir dans un avenir plus long encore. Aujourd'hui on se ferait difficilement une idéé de l'état d'effacement dans lequel le catholi-isme se trouvait a Ypres avant i83o. La revolution francaise avait tout détiuit; l'empire et le gouvernement hol landais tout étouffé. A la suite de ces régimes détestables les oeuvres avaient disparu les rangs des catholiques étaient bien éclaircis les jeunes gens surtout faisaient défaut les principes catholiques semblaient ne plus exister qu'è l'état de traditions stériles. C'est alors que le Collége St-Viacent de Paul fut fondé il a donné a la ville une généra tion nouvelle, éclairée, active, franchement chrélienne Les oeuvres catholiques, les oeuvres de zèle et de charité, les cercles et autres socié- tés catholiques ont surgi comme parenchan- tement, et d'année en année nos rangs de- viennent plus compactes, nos oeuvres plus importantes et plus fécondes. Ré ultat splendide, dont l'éclat réjaillit sur ce 75® anniversaire et met en pleine lu- mière sa haute signification. Béni soit done notre Collége et bénis soient ceux qui l'ont fondé, dirigé, soutenu, élevé lis n'ont point fait oeuvre vaiue. La société a soif de vérité, de justice, tie dé- vouement et de charité elle en a aujourd'hui un besoin suprème. Au Collége s'en trouve la source vive. Les générations ioueront ceux qui ont fait rejail- lir ses eaux salutaires sur les families, sur la cité, sur la patrie. lis en seront loués, dans le ciel comme sur la terre, car ce sont ces mêmes eaux qui jailliront jusqu a la vie éternelle I Encore une fois bénis soient les bienfai- teurs dc la jeunesse et de la société, et vive par dela le siècle, vive a jamais notre Col lége St Vincent Jeudi 29 Juillet AIO heures, Messe pontificale d'actions <le grace par Sa Grandeur Mgr.Waflèlaert, Evêque de Bruges, et Te Deum a la Cathédrale de St-Martin. A 11 1/2 heures, a la salie des fêtes du Collége, assemblée jubilaire 1° Paroles de bienvenue de M. l'avocat Albert Biebuyck, président du comité orga- uisateur des fêtes jubilaires. 2° Rapport de M. le Principal du Collége. 3° Allocution de M. l'Avocat Begerem, ancien ministre de la Justice. Après la messe pontificale les partici pants se formeront en cortege, Place Vau- den Peereboom, pour se rendre au Collége. A 1 beu re, Bauquet a la Salle du v Volks huis Dimanche 25 Juillet 1909 C. LI BOTTE, Marché au Beurre, 29. Récompenses décernée» pour actes de couruge et de dévouement Médaille de ire classe MM. Baelden Cyril le, préposé des douan. a Ploegsteert. Bultyuck Robert,aécoller a Comiues. Catteau Henri, uégociant a Comines. Coffyn Eugène, charpentier a Ypres. Médaille de 2me classe Decoker Joseph, xingueur k Poperinghe. Decour Henri, bijoutier a Comines. Deruyck Jean, entrepreneur a Comines. Duvosquel Victor, empl. de c. a Comines. Lepiuo Julien, cultivateur a Pollinchove. Platteau Emilien, o. teinturier a Comines Samyn Camille, 0. de fabr. k Comines Schoonheere Julien, Valcke Joseph, voyageur de e. a Ypres. Vauelslande Gust. o. au ch. de i'. a Ypres. Verfaillie Hér., 0. forgeron k Poperinghe. Médaille de 3me classe Bartier Piosper, boucher a Comines. Breugelmuus Alb., gendarme a Comines. Coppin Maui-., employé de com. a Ypies. Cremer Louis, forain a Worvicq. Delannoy Cyrille, boucher a Comines. Depover Louis, maréchal de logis de gen darmerie a Comines. Desmet César, gendarme a Comities. Dubem Polydore, tis«erand a Comines. Leien Victor, a Comines. Lips Alphonse, gendarme a Comines. Loraiue Jules, m. de lin a Bas-Warnetou. Maertens Arthur, o. rubanier a Comines Ponchea Florent, Ramon Cb. v. de commerce a Wervicq. Mention honorable Witterbecq Aug., agent de police a Ypres. sentent faibles, épuisés et ceux qui souffrenl d'anémie, de palpitations, de névralgies ou de bourdonnements d'oreilles retrouveront en pen de temps une santé parfaits, s'ils ont recours a la Pilule Ferrugineuse du D® Raphael qui se vend fr. 1,75 dans les bonnes pharmacies. BURGERSTAND VAN YPER van den 16 tot den 23 Juli 1909. Geboorten Caeseiriaecker Florent, Sinte Elisabetbslraat Morel Andreas Paradysstraat. Gleppe Esther, Neerstraat. Jacques Luciana, Heere Janstraat. Hahn Alixia, Maagdanstraat. Decierck Juliana, Statiestraat. Gryffond Leonia, Neerstraat. Stasse Marie, Mondstraat. Huwelijken: Nevejans Camillus, kleermaker en Ameloot Celina, weduwe van Knaepen Josephus, z. b beiden te Yper. Sterfgeva.len-, Parret Sylvia, 69 j., z b weduwa van Onraet Julianus, Statiestraat. Ommeslag l.udovicus, 69 j.. daglooner, wed1' van Swyngedouw Barbara, eebtg, van Engels Maria. Bukkerstraat. Daet Carolus, 60 j., bakker, Zonnebekesteen- weg. Versaevel Crtlierina, 86j., z. b ongehuwd, Bollingstra it. On pouvait croire et espérer qu'une loi recue avec si peu de faveur serait appliquée avec quelque modération. Au contraire, Topposition qu'elle avait soulevée cliez cer tains de nos adversaires même exeita le zèle haineux de ceux qui devaient l'exécuter sous les ordres des l.oges et de la soi disant libre pensee. Ft c'est ainsi que Pon doit expliquer les mesures odieuses dont l'eff'et devait se faire sentir longtemps après la disparition du régime qui les avait prises gaspillages el folies qu'il serait impossible d'énumérer tous, mais dont vous me permetlrez de rappeler quelques-uns des plus insenséi. Un exemple la construction de multiples écoles dont le besoin ne se fesait nullement sentir. Ne voulant pas confier leurs enfants a des maitres sans Dieu, les catholiques firent sortir comme de terre, et a leurs frais, ces nombreuses écoles fibres qui serout, dans 1 histoire, l'honneur de notre parti. L'ensei- gnement privé était sauvé Dieu en soit encore loué (Appl.) Mais les ccoles publiques se dépeuplèrent. Un gouvernement, soueieux des deniers publics, eut fair trève, ou tout au moins, arrêté la construction d'écoles inutiles. Au contraire, il nomma de nouveaux institu- teurs, et construisit de nouvelles écoles. II arriva que 1 anti-curé c'était le nom de gueire du maltre d'école officie! devint éleveur de lapins dans des palais scolaires. (Rires). Un autre exemple. Quand une admini stration charitable voulait louer un irnmeu- b;e, le cahier des charges devait stipuler que eet immeuble ne pouvait servir a l'établisse- ment d'une école libre. II arriva un jour que 1 immeuble a louer était un moulin a vent. La clause ne disparaissait pas (Rires) A suivre. Joannes Rosseel, rijwielmalier en Laura Van- eampo, naaister, beiden van Yper. Arthur Delisene, kleermaker, en Felicia De- coninck, naaister, beiden van Yper. Robert Coffgn, rgwielmaker, gehuisvest te Yper, en Estella D'bondt, dienstmeid, geliuis- vest te Poperinghe, verblijvende te Yper. '•wtjtenssnar: (Luxembourg) «p nnn»»i»oif 'noP conseiller aux pUUIIdll persouces qi|j souf. frent de constipation ou d'une inflammation quelconque.de prendre la Pilule du Dr Wal- théry, qui est un remède sans pareil contre 'a plupart des indispositions. 1 fr. ia boite. La chicorée la Renommee dYpres est la plus pure, la plus saiue et la plus écoao- mique. En vente chez tous les épiciers a 0.20 fr. Ie paquet d'uu 1/2 kilogr. Beaucoup de paquets contiennent des primes utiles. Quai, YPRES. Ne reculant devaut aucuu sacrifice, la Maison TIETZ de Bruxelles trouve constam- rneut de quoi intéresser son immense clien tèle. Du 26 au 32 Juillet, voici qu'elle nous annonce La Semaine Populaire. Avec tout achat de 2 frs, il vous est remis gratuite- nient un carnet de faveur qui vous permet Fentrée dans les principales salles de spec tacles a moitié prix. Pendant La Semaine Populaire on vendra a des prix inconnus jusqu'a ce jour les articles les plus utiles dans un ménage. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1909 | | pagina 2