Téléplione 52
Samed/ 23 Octobre
Cercle Excelsior
Christen Vol kso derricht
Le jubilé du
gouvernement catholique
Aux propagandistes
de la West-Flandre
La liberté de conscience
Bénédiction d'autel
Carillon, Stand et Hing
Pensées diverses
10 centimes ie N°
4 44600
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CONFÉRENCES
pour Dames et Messieurs
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JOURNAL
©rgane eatholique
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Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse.
Samedi 3o Octobrea 8 1/2 heures trés
précises, a la salie Iweins.
Conférence sur L'ART GREC I.
L'Acropole d'Athènes, a vee projections lu
rnineuses, par M. FERNAND MaYF.NCE, an
cien élève de l'Ecole Francaise d'Athènes,
professeur a l'Université de Louvain et au
cours d'art et d'archéologie de Bruxelles.
CEUVRE DU
i* Afdeeling GELOOFSONDERRICHT.
Lecótts flarnandes dapologétique
par M. l'abbé FRUTSAERT. S. T. L.
1" lecon, I.UND1 25 OCTOBRE, a 8 1/2
tres précises, a la salie Iweins.
SujetEen inleidend woord ove: bouw
plan en bouwgrond in de christene apologie.
Les catholiques de Courtrai et d'Anvers
ont fêté dimanche simultanément le gl arieux
anniversaire (lu gouvernement et ce fut, dans
chacune de ces villes, l'occasion de manifes
tations enthousiastes, de belles resolutions et
d'affirmations solennelles.
Parmi cclles-ci, la plus marquante fut celle
de maintenir l'union dans le parti catholique
et M. Schollaert, pour en avoir touché un
mot a Courtrai, fut acclamé avec enthou
siasme. Le président du conseil, sous cette
impression, paria avec feu et son discours
atteignit une vigueur extraordinaire, qui
émut et entraina l'auditoire. II a donné a tous
un mot d'ordre unique union. II est devenu
dans sa bouche, comme la charité dans celle
de Saint Jean, un mot magique, souverain,
paree que, sar s ce mot, les plus beaux efforts
ne peuvent retenir le désastre.
Ces paroles furent dites au lunch offert a
fhötel de ville et qui suivit la cérémonie du
Te Deum dans le courant de l'après-midi
eut lieu aux Halles la réunion plénière a
laquelle toutes les communes de l'arrondisse-
ment de Courtrai étaient représentées. C'est
par cette réunion grandiose que se termina
la journée jubilaire.
AAnvers,lr métropole commerciale, un
autre souci devait préoccuper aussi les
catholiques, l'aveuir de la colonie qu'ils au-
ront a défendre contre les accusations d'ad-
versaires et les intentions malveiil antes de
beaucoup. Aussi M. Renkin y est allé lui-
même pour y faire d'importantes déclarations
qui furent accueillies avec la plus grande
fa\eur. Les catholiques anversois ne perdront
jamais le souvenir de cette journée mémora-
ble.
Disons que le programme, fidèlement
suivi, comprenait une nvsse d'actions de
graces a Notre-Dame, suivie d'un cortege.
Eusuite eut lieu la réunion plénière au Bur
gerkring oü paria M. Renkin,
Un magnifique banquet, auquel six cents
convives prirent part, donné dans la grande
salie de l'Harmonie, clötura les fêtes
I.es elections legislatives de 1906 se sont
faiths, en notre Flandre, sous l'influence des
excès du Combisme francais. Amis comme
adversaires ont été d'accord pour proclamer
que les événements de France ont été pour
beaucoup dans l'échec retentissant du cartel.
Les dirigeants libéraux, presse et clubs
viennent de fournir aux catholiques un
thème nouveau, qui ne produira pas moins
d'effèt. 11 faut que les elections de 1910 se fas-
sent sous l'impression des excès du Ferreris-
me internationaliste, dans lequel celui de
Belgique occupe un rang distingué.
Les executeurs des hautes oeuvres macon-
niques se sont étrangement mépris sur la
mentalité de notre population. lis ont cru
que ce oui d 'chainait les fureurs des apaches
bruxellois, liégeois, parisiens, italiens, etc.,
provoquerait, ici, la même sensation. Comme
ils se sont trompés C'est, au contraire, un
mouvement de reprobation qu'a produit ce
mouvement révolutionnaire.
Des libéraux clairvoyants, moins passion-
nés que les derviches hurleurs du Réveil
commencent a s'en rendre compte.
Le Journal de Liége a écrit un article
adressé a ses amis libéraux. et dont le titre
seul dit la tendance Du calme 1 Le trés
anticlerical Matin d'Anvers est plus ex
plicits. Jugez-en par eet extrait
Déja elle repre'sente le libéralisme comme
obéissant aux suggestions d une franc-ma$on-
nerie qui ne serait pas seulement libre-pensée
libérale, socialiste, mais qui serait surtout et
avant tout, anarchiste. II lui plait, pour les
besoins de la cause, de franrhir ce degré de
plus a la franc-maconnerie et de la transfor
mer eu organisme révolutionnaire par excel
lence.
Et Ie libéralisme serait ainsi l'obséquieux
serviteur de la revolution. Ce n'est plus seu
lement derrière le drapeau rouge, c'est der
rière le drapeau noir des Ravacbol et des
Vaillant qu'ils marchent.
«Quelle carte électorale 1 Au fond, nos
cléricaux rendent grace au jeune roi e'garé
par son entourage, qui n'a pas eu la volonté
de faire un geste de clémence. II a rendu un
service inestimable au parti catholique beige
en lui permettant de confondre, en un seul
bloc anticlérical, le libéralisme, le socialisme
et l'anarchtsme...
C'est la une indication trés explicite sur
les craintes nées parmi les plus perspicaces
de nos adversaires. Ils ont démêlé le parti que
les catholiques tireront des événements de
ces jours derniers. Ces craintes se vérifieront
si nous le voulons bien.
Pour qu'il en soit ainsi, il suffira de racon-
ter l'histoire du mouvement ferreriste.
Cette explosion de passions antisociales et
antireligieuses a été déchnnée sur un mot
d'ordre des loges. La franc-maconnerie est en
aveu. Elle est sortie de son mystêre habitue);
elie-même a proclamé l'intervention officielle
du Grand Orient. Lesgouvernements comme
les particuliers auront pu voir que cette secte
ne recule pas devant les pires alliances elle
apparait non seulement comme un danger
national, mais international.
Puis, il faudra dire quels sont les anarchis
tes de BarceIone,ce qu'ils ont semé de morts,
de ruines et d'épouvante dans les dernières
années il s'agira de faire connaïtre Ferrer,
son action et ses principes exterminateurs de
tout ordre social régulier, les citations
autheniiques foisonnent enfin, il con-
vieudra de consigner les méfaits que dans la
plupart des pays, sans, hélas, en excepter le
notre, les amis de Ferrer ont perpétrg
sous prétexte de venger la mort de leur
héros. En un mot, il suffira de peindre
d'après nature u le oloc anticlérical tel qu'il
est apparu dans cette tentative de secousse
sociale.
Ainsi exposé, le mouvement dont le Réveil
se montrc si fier, produira, sur tous les hom
mes d'ordre, un effet dont les suites électo-
rales ne serout pas moindres, que celles de
l'inventaire des églises en France.
Voila le travail pressant auquel nous con-
vions tous nos amis. Qu'ils l'entreprennent
sans retard, par la parole et ia plume.
Les catholiques, depuis vingt-cinq ans
qu'ils sont au pouvoir, devraient, au témoi-
guage de nos adversaires, être partout les
maitres, partout assez puissauts et assez
forts pour au moins ne pas être l'objet de
vexations, ne pas subir d'injustice et ne pas
voir persécuter leurs partisans. Ils devraient
jouir partout et toujours de la liberté de
conscience, la eule qu'ils i éclament encore
compléte et entière, la seule pour laquelle
ils sont prêts lutter courageusement. Au
congrè' de Malines, ii fut parlé de la ques
tioa scolaire, et, a létonnemsnt de quelques
catholiques trop confiants, on a insisté sur
ces points, on a précomsés des mesures
nouvelles pour sauvegarder et maintenir
tout eufière la liberté des parents et des
enfants.
Voici que des faits significatifs viennent
doulourous meDt corroborer ces revendiea-
tions Dans une ville voisine, oü l'on pouvait
espérer de rencoutrer des idé?s plus larges
et plus généreuses, on-a vu un pauvre
homme remis en demeure, pour avoir du
pain.... do retirer ses enfants de l'école
catholique.
Une première foi notre confrère le Lit
toral avaifc cité le fait, qui fit aussitot l'objet
d'une vive discussion au conseil communal
d'Ostende celui-ci a nasnmoins mis ces
allégations en doute et voici que le Littoral
revenant k la charge, repread i'accusation
qu'il fait nette et précise.
Le mereredi 15 septembre, écrit-il, a 9 h.
du matin, done c'est tout récent - un
ouvtier T. D,, demeurant dans la rue des
Gbarpentiers, se présenta au bureau de
bieufaisance muni d'un certiticat médical,
dont voici la teneur
HOPITAL CIVILE D'OSTENDE
Ostende, le 13 Septembre 09.
Je certifie que nommé D... T... est inca-
pab'e de travail Ier par suite d'otrachisme
cicatricielle de la main, suite de phlegmon.
Dr VERHAEGHE. 1
II fut recu par M X... et Temployé, et
voici quel fut le colloque qui s'engagea
entre le membre du bureau de bienfai ance
et le malheureux D...
Quelles écoles vos enfants fréquentent.
ils
Mes enfants vont chez les Soeurs et
les Frères.
Si voos voulez mettre vos enfants dans j
d autres écoles, vous obtiendrez tout ce que j
vous désirez.
Je préférerais, répondtt fièrement
l'ouvrier, les voir porter au cimotière que
de les envoyer a ces écoles
Après cette fiere répo-se, 1 ouvrier quitta j
Ie local de la... bieufaisance publique. Nous
ne savous ce qui se passa dans 1'é.me de ce
père de familie, mais nous sommes en droit
de croire qu'il maudit ceux qui, pour une
croüte de pain, voulurent lui arracher sa
liberté.
Gar datiB !a maison du pauvre D..., la
misère est grande depuis 6 tnois il ne peut
travailler... et chaque jour sa femme et 6
enfants dont l'ainé a 11 et la plus jeune
2 ans, attendent le pain que le pauvre
malade ne peut leur donner sans l'abdication
de ses convictions.
On dit que M. Léon Thoma, qui préside
eet aéropage charitable, avait Time plus
sensible. II s'y rendit, on lui répondit que
Monsieur était absent et cue si c'était pour
solliciter un se. ours de la Bienfaisance, il
devait s'a resser au bureau de cette insti
tution.
II s'y rendit mereredi 2'2 septembre, on
ie remit au mereredi 29 et ce jour encore on
le pria de revenii le mereredi 6 octobre, j
l'aéropage se réunissant au complet, ce j
jour-!a a 3 1/2 heures
Voila, ajoute le Littoral, les faits narrés i
dans toute leur simplicité. Nous ne tirerons
pas de conclusions pour le moment, nous
laissons la parole aux enquêteurs, et après j
ssous nous permettrons de demander a ce
sujet l'avis de M. In gouverneur.
Les ennemis de l'Egüse n'ontjqu'un role
trés net ici-bas Prouvèr sa divinité.
Louis Veuillot.
On peche contre la Justice en absolvant les
criminels, tout autant qu'en punissant les in
üoce«ts. Mablitt.
Pas de fête sans lendemain. Pas de grand
jubilé marial non plus sans un petit prolon-
gement l'année suivante. Et c'est ce prolon-
gement qui réunissait, dimanche dernier, les
congréganistes de St-Martin et leurs amis
autour d'un superbe autel, flambant neuf,
qui doit achever d'immortaliser. dans leur
pieux asile, le souvenir du cinquantcnaire de Quelques 1 ignes d'A rehéologie
ne seront })as hors de saison, croyons-cous,
nu moment oü la fabrique d'église de St Mar
tin \ient de decider ia restauration d'un
troisième contrefort ou plutót d'un arc
boutant en supplément aux travaux
antérieus-8, avec l'approbation du Conseil
communal donné en sa séance de samedi
dernier.
Les contreforts de St-Martin, s'ils u'ont
Pas le caractère de richesse de ceux de cer-
taines cathédrales francaises oü les {inacles
sont ornés de tout uu peuple de statue^,
n'en offrentpas moins un vif intérêt au point
d* vue aichitectonique. Les plus curieux,
mais aussi les moins connus, sont ceux du
collatéral Nord, visibles deia cour de l'an-
ctenne abbaye de St-Martin. Ils sont entiè-
rementdégagés,formant despiliiers derrière
lesquels se développe un des cótés de l'ambu-
latoire. Les arcs-boutants qui les surmon-
teut, contrebuttant la poussée des voütes
hautes et basses de l'église, offrent une
disposition trés rare, et ne s'appliquent qu'a
cetto partie du monument. Ge qui est
généralement ignoré, c'est qu'un des
contreforts de la nef principale,du coté Sud
est garai d'un cadraa solaire. Avant la
construction de la chapelle,dite du doyen ce
cadran solaire servait a indiquer Theure
aux fidèles se rendant 1 eglis9, mais depuis
le l<e siecle, il est cachépar ia foiture de la
chapelle. Le style, c'est-a-dire la tige de
fer dont le soleil projette l'omb.re sur les
chiffres gravés dans Ja pierre, est visible de
profil quand on regarde le premier contre
fort existant entre l'église et la chapelle.
Un autre dèta»i,peut-être précieux pour la
restauration future du choeur, est révélé par
un dessin existant dans les collections de la
Bibliothèque. On sait qu'autour du choeur
iègne une galerie formée d'arcatures triples
reposant sur des colonnettes, et eneadrées
dans un puissant arc plein-ciatre, ce qui a
fait diie peut-être improprement que- le
choeur appartenait a iépeque roaaano-
ogivale, alors qu'il est nianifestement du
gothique primaire. Ge desssin montre un
cavet existant dans l'un de ces arcs orné
d'une sculpture figurant des feuillages. C'est
propablement/la uue disposition plus an-
cimne et aussi plus riche que la simple
moulure existant actuellement. Ce point
serait intéressant a élucider en vue de la
ïestauration de cette partie, la plus ancien-
ne de l'é lifice.
Journal de Roubaix
pi jgs
Le Progrèsmoniteur des standistes, a
tort de blaguer le nouveau carillon. II a tort
tout d abord paree que Ie carillon est au-
dessus de critiques sérieuses, en principe
comme en fait.
Sans doute, tout est susceptible de critique
et il ne faut pas griinper jusqu'au carillon
pour trouver dans nos Halles, —salie Dei-
beke ou ailieurs matiere a des plaisante-
ries faciles mais saus portée sérieuse.
Un instrument de première marque même
neuf, peut avoir besoin d être accordé tout
comme un autre. Et teil» musique l'Har
monie des Anciens Pompiers, par exemple
ne doit pas être traitée d'écorcheuse
d oreiiles paree que tous ses éléenents ne sont
pas des artistes nUtous ses instruments par
faits.
Notre nouveau carillon est au-dessus de
toutes les plaisanteries et saura, quand il sera
accordé surtout, verser des torrents d'har-
monie sur ses obscurs blasphémateurs.
Lourdes
Ce n'était pourtant pas la jeunesse qui
était en retard d'honorer Marie. O'était plu
tot le tour des adultes, et notamment de nos
amis de l'hötel-de-ville, d'y al'er de leur
hommage civil, en restaurant enfin la Ma-
done Yproise qui tröne, fort dépourvue de
grêces, a la facade de nos Halles, et en amé-
nageant artistiquement le petit square de
1 Imrffiaculée Conception.
Malgré tout ce que les jeunes gens avaient
fait d'extra, l'an dernier, ris ont tenu a par-
faire les embellissements commémoratifs en
se payant un bel autel gothique, oeuvre de la
maison Mahieu pour la sculpture et de M.
Ferrant pour la polychromie,
Nova sint omnia Tout a été renouvelé,
jusqu'a ia Madone elle-même ce qui n'a
peut-être pas été sans quelque regret de la
part des anciens jusqu'au débonnaire et
de'voué Directeur aussi, ce qui a contristé
également jeunes et vieux.
Mais ces derniers regrets, le nouveau Di
recteur saura, sans nul doute, les dissiper ra-
pidement.
C est égal, le Directeur sortant, en procé-
dant a la bénédiction solennelle du nouvel
autel son oeuvre pour une grande part
nous a semblé bien triste, lui aussi, et nous
croirions volontiers que, dans son émotion,
il ait lu a rebours le verset Qui seminant in
lacrymis in exultatione metent.
Nous ne pouvons que nous associer, en
leur faisant écho, aux vifs remerciments que
lui a exprimés le Préfet de la Congrégation.
Ce qui nous console et le consolera un peu
lui même, eest la pensée de la bonne beso
gne accompliela pensée aussi d'un mi
nistère peut-être plus fécond encore auprès
d autres enfants grands et petits dont
beaucoup, ayant déja un pied dans la tombe,
en ont besoin plus que personne.
Ah certes, nous admirons ce superbe
autel et tout ce nouveau sanctuaire auquel
son souvenir restera attaché. Mais nous ad-
mirions davantage encore cette belle jeunesse
que sa sage direction avail adornée avec tant
de complaisance et tant d'art.
La mer n a de brillantes couleurs, a-t-on
dit, que lorsqu'eile reflète leciel. Ces flots de
jeunes gens d'élite qui se pressaient dirnan-
cüe. dans ce brillani sancluaire, oh comme
ils évoquaient bien 1 idéé d'une mer d'ames
leflètant le Giel le Ciel qu'illumine Jésus
et qu'azure Marie I
Voila son oeuvre par excellence. Voila le
cadeau le plus artistique et le plus riche de
tous ceux dont 1 Immaculée aura été gratifiée,
a Ypres, a l'occasion du cinquantcnaire de
Lourdes.
Grace surtout a, la multiplicité des sectes
qui ont dissous le protestantisme, l'hérés;e
est devenue, sinon plus tolérante, du moins
plus indifférente snuf dans les pays oü le
protestantisme ne sert que de masque a la
libre pensée.
La libre-pensée, la franc-maconnerie a
hérité de la cruauté aveugle et implacable
des iconoclastes, des anabaptistes et des pres-
bytériens. De ce coté viennent les agressions
les plus odieuses contre l'Eglise. C est au
nom de la liberté que les mécréants contem
porains proscrivent,dépouillent, assomment.
Bien Public.
La franc-maconnerie est le complément
nécessaire du parti liberal... Elle est la phi
losophic du libéralisme.
O' Goblet dA iviella