GRAND CONCERT Téléphone 51 Téléphone 52 Sarnedi 29 Janvier 1919 10 centimes ie N° 45 Année N 4614 Fir en nes Pontificates Chronique Religieuse Fanfare Royale Dlmanehe 27 Février 1910 Harmonie Communale CONCERT-PROMENADE 13 fa f3s o e e e b Allocution de Son Em, Mgr Mercier Un Génie grand Conseil Communal Om s'aboune rue au Beurre, 36, A Ypres, et Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 c. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a 1 adresse ci-dessus. A tons les bureaux de poste du royaume. Les annonces coütent 15 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal So eentiffiga la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémentsires coüt®ifit 10 francs les cent exemplaires. Pour les annonces de France et de Belgique (exceptè les deux Flandres) s'adresser Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse. Liste précédente fr. 459.50 D. A. V. 10.00 E. H. Ed. De Beir, pastor, Kemmel, 20.00 Jufvr. Amelie Vermeersch, 20.00 Mr Mme E. Huys-Depuydt, 5.00 Coleta Devooght, 5.00 Eudoxie Van Hocke, 2.00 Eene onbekende, 2.00 EE. HH. Onderpastors van Yper 45.00 M. Henri Roets, eere-opziener, 10.00 Les sermons fraugais du Carêtne seront prêchés cette anrée par le R. P. LAMOTTE, Dominicain, en résidenco k Lille, le Lundi de chaque semaine, a partir du 14 Février, a l'église de St-Nicolas, pndant le Salut de 5 beures et demie. Sujet L'Eglise et sa mission dans le monde. *S' <S' *5 Fanfare Royale Samedi S févriera 8 1/2 heures, Soire'e Tabagie, a la salie Iweins. a la SALLE IWEINS. aux Halles Dimanche 30 Janvier 5 i/2 heures. (Entre'e Marché-Bas) tout entiers a leur partons plus d'ici Ne PROGRAMME J. Life Guardsallegro militaire. G. Allier. 2. Lugdunumnu* ert de concours. Les deux pigeons ballet. And. Messager. 4. P tfum a'évtntail. valse lente. N. Ghika. 5. Finale ce la 5' sytnphonie. Mendelssohn. 6. Carnaval Parisian, polka-marche burlesque. F. Papy. Cardinal-Archevêque de Malines a l'assemblée générale jubilaire du Denier de St-Pierre, aGand. Je me suis associé respectueusement, a dit Mgr Mercier,aux paroles reconnaissantes que Son Excellence le Nonce apostolique vous a adressées, pour remercier Mgr l'Evêque de Gand de nous avoir invités a cette assemblée solennelle. Je remercie a mon tour Mgr Stillemans pour son souhait de bienvenue. Je remercie également et je félicite votre président, M. le comte de Hemptinne pour sa fiére declaration, toute brülante de foi et de charité. Et enfin il me faut féliciter M. le comte Verspeyen pour le magnifique rapport oü se déroulent comme un cortege du ciel, toutes les grandes actions accomplies par le Denier de St-Pierre depuis un demi-siècle. (Adhésion). Et si vous me demandez de synthétiser en un mot toutes mes impressions, tout ce que je sens, et ce que vous sentez tous.une parole spontanément monte a mes lèvres.C'est celle qui s'échappa de la poitrine, des apötres Pierre, Jacques et Jean, a l'une des heures les plus heureuses de leur existence, lors- qu'irradiés de gloire divine, ils dirent a leur Maitre Bonum est nos hie esse II nous est bon d'être ici. II fait bon ici (Adhésion prolongée). Oublieux des labeurs de la veille, les yeux lermés sur les incertitudes du lendemain, joie, ils s'écriaient il y fait si bon - Bonum est nos hie esse J'y pensais en écoutant tout a l'heure eet homme qui vous apparait comme l'homme d'action de l'oeuvre jj du Denier, et qui, au plus lointain de nos souvenirs, nous a toujours apparu comme le i. type du journaliste catholique.(Acclamation). IS La presse est une belle chose Et bien I rares et bien bornés sont ceux qui n'en me- I surent pas l'importance. On a comparé la l presse a un sacerdoce. Plus exactement on a I dit d'clle quelle est un apostolat. Et l'on se plait a répéter que, si Saint Paul revenait au milieu de nous, il se ferait journaliste. Je veux le croire. Je me persuade pourtant qu'il y regarderait a deux fois, pour choisir son bureau de rédaction a coup sür. (Rires). Evidemment.il se tiendrait a grande distance des bureaux pestilentiels,oü l'on blaspheme, oü l'on corrompt. II toiserait aussi de haut, avec un dédain superbe, les bureaux hypo- ciites qui se disent neutres. Mais même par- mi les bureaux qui portent l'étiquette catho lique, il ferait une selection. II me semble qu il poserait des conditions avant d'entrer. La oü les questions de libre controverse occupent l'avant-plan, tandis que sont relé- guées a 1'arrière-plan les questions fonda- mentales de l'unité catholique, partout oü la querelle avec des confrères catholiques et les attaques personnelles sont quotidiennement a l'ordre du jour, il refuserait d'entrer. (Lon- gues acclamations. Une salve d'applaudisse- ments interrompt l'orateur). Saint Paul diraitJe connais par expe rience les effets pernicieux de ces polémi- ques. Une florissante Eglise, que j'avais tant de Saint-Pierre, qui pourvoit partiellement a ses nécesssités, soit née sur le sol beige qu'elle se soit soutenue sans fléchir durant un demi-siècle qu'elle prospère malgré les charges multiples, écrasantes, qui pèsent sur le budget des families chrétiennes. Nous admirons la délicatesse de ce Père qui aurait le droit de nous imposer comme une taxe obligatoire l'obole que nous lui offrons car, selon la doctrine de St-Paul, le prêtre a droit de vivre de l'autel, des services spirituels qu'il rend a ses ouailles et qui veut bien recueillir cette obole comme si elle était de notre part l'expression d'une géné- rosité toutc spontanée... Et nous avons confiance en une nation qui donne ainsi a son père spirituel les preuves effectives de son amour. Et alors, insensiblement, notre pensée monte, monte encore,et a travers l'enveloppe corporelle des Papes, nous aimons a nous prosternerdevant le Roi immortel des siècles, vers Celui dont le Pape n'est que le Vicaire spirituel... Hier, dans l'Evangile du jour,nous lisions que le prince des Apotres et Jean, trouvant a la porte du Temple un boiteux, lui avaient ditnous n'avons pas d'argent, mais ce que nous avons, nous vous le donnons Au nom de Jésus de Nazareth levez-vous et marchez Les Sadducéens firent comparaitre les thaumaturges devant le tribunal pour avoir fait un miracle sans la permission des pou- voirs publics. Au nom de qui, leur demanda-t-on, et par quelle puissance avez vous guéri ce boiteux 1 Et Pierre de répondre Au nom de Jésus de Nazareth, que vous avez crucifié C'est de peine a édifier, a failli en mourir. L'un j Par ses vertus flue cet homme est la devant disait Je suis pour Cephas un autre: Je suis pour Apollon. II y en avait même qui disaientPaul, je suis pour vous. D'autres enfin Je suis du parti du Christ. Et je répondais, indigné: Croyez-vous que le Christ soit divisé Est-ce Paul qui a été crucifié pour vous Est-ce au nom de Paul que vous avez été baptises II n'y a qu'un seul Maitre, qu'un seul Roi, que nous de- vons servir avec amour et en vérité. Et il me semble que l'apötre offrirait sa plume a un chef de rédaction qui prononce- rait une parole comme celle que j'eus na- j guèrelajoie d'entendre tomber des lèvres du j héros de cette journée Non seulement j j'ai toujours servi l'Eglise, mais je l'ai servie i et j'entends la servir jusqu'au bout, comme elle veut être servie. (Longues acc'.ama- tions). Cette parole résumé la vie de notre cher j héros jubilaire, et si loin que je reporte mes regards dans le passé, je vois en lui,le preux, le soldat c'est peu dire le chevalier catholique qui a pris pour règle de défendre l'Eglise toujours, de ne jamais reculer devant l'ennemi, d'être l'ami fidéle de ses frères d'armes, de poursuivre toutes les infidélités et toutes les hérésies (Bravos). Ce nest pas la une chevaleriequa 18 ans, on rêve pour plus tard, mais une chevalerie vécue sans peur et sans reproche durant un demi siècle.,. Avais-je raison de vous dire qu'il fais bon d'être ici pour contempler une aussi noble carrière?... (Appl. prol.) II fait bon ici, dans cette assemblée oü nous trouvons le chef spirituel du diocèse, et oü nous pouvons prendre des lecons de sagesse et de travail persévérant. II vous arrive peut-être parfois, non certes de vous décourager car le catholique qui a foi en la Providence ne se décourage jamais, mais d'éprouver une inquiétude au bruit de l'impiété, ou devant l'effacement de certains amis pussillanimes. Et alors il est bon de se retrouver dans une réunion comme celle-ci, oü un même souffle de charité traverse les ames, oü une même paix les rassérène... Nous avons un même Père, Notre Saint Père le Pape, qui nous aime d'un amour surnaturel, plus que n'importe quelle gouvernement catholique la reprise du canal créature au monde. Nous nous félicitons de j par l'Etat. Cette reprise eut lieu en 1888. pouvoir lui venir en aide. Nous nous réjouis- En 1893, la legislature vota deux millions sons a la pensée que cette oeuvre du Denier pour la continuation des travaux. vous Et si ce grand boiteux qu'est le monde avec ses aberrations et ses défaillances, est encore devant nous, c'est a Jésus de Nazareth, a notre divin Crucifié, que nous le devons II n'y a pas d'autre Sauveur que lui, il n'y a pas,sous le Ciel, un nom autre que le Sien, duquel nous puissions attendre le Salut tF S'il fallait en croire le Progrès et la pro clamation de son trés puissant Patron, ce serail grace a la Représentation proportion- nelle et plus encore au génie de Monsieur le Député NOLF que les Yprois seraient rede- vables de la décision que vient de prendre Monsieur Delbeke, Ministre des Travaux Publics, de faire achever, a bref délai, par l'importante firme Monnoyer Fils, le trop célèbre canal de la Lys a l'Yperlée. Nous examinerons cela d'un peu plus prés. Entretemps, \e Progrès bat la grosse-caisse pour hisser d'avantage sur son piédestal le héros du jour 1 Voila déja M. NOLF bom bardé diplomate, chargé de négocier au nom de son grandparti et des quatres douzaines de fransquillons qui assistèrent au fameux meeting de Ploegsteert, un nouveau traité de commerce avec ses amis de Paris. Comme le bon Ernest est né sous une excellente étoile, le succès lui est assure' pour la Trinitéprochaine. I Après, il sera le personnage tout indiqué pour prendre en mains les rêves du futur j gouvernement radical-socialiste Mais,... revenons a nos moutons et faisons un peu d'histoire, Progrès. Si nous 11e nous trompons, le canal de la Lys a l'Yperlée fut concédé a une société particulière et les tra vaux commencés le 3i Janvier 1863, sous le gouvernement libéralQu'a done fait ce même gouvernement libéral jusqu'en 1870, époque de sa chute honteuse, et pendant leur sectaire et nefaste gestion de 1878 k 1884. pour tirer d'embarras les malheureux con- cessionnaires Dès le lendemain de l'inoubliable soulagc- ment universel, nos dévoués sénateurs et dé- putés de l'arrondissement proposèrent au Nous nous souvenons encore du désastre qui survint au tunnel peu après l'achèvement des travaux. La partie la plus difficile du canal était done a refaire Après une longue observation des lieux, quelques expériences, des études diverses, de nombreux voyages a l'étranger, la commis sion des Ingénieurs des Ponts et Chaussées décida la mise au concours des travaux d'a- chèvement et le Ministre Delbeke résolut d'aboutir <2 tout prix. Entendez-vous, Monsieur Nolf? a tout seigneur, tout honneur. Honneur a notre sympathique et a notre vigilant Ministre des Travaux Publics. Honneur a nos Sénateurs et a nos Députés catholiques, qui n'ont épar- gné aucune peine, aucune démarche pour arriver au port du salut, en meilleure posture que vous, Monsieur le Député 1 Vos parades parlementaires et les intrigues de couloir... ou de bureau, n'ont done servi qu'a vous ridiculiser devant le pays. Le corps électoral vous demandera, M. le Représentant, si dans cette importante affaire vous aveq fait votre devoirTOUT VOTRE DEVOIR. La réponse sera negative, nous vous en répondons Dans ces conditions, les amis du Progrès crieront ils encore Vive la R. P..?ü Et maintenant, M. Nolf, en route vers de nouvelles destinées entretemps nous vous promettons une joyeuse entrée dans chaque commune que vous irez visiter pendant votre prochaine campagne éiectorale I Cette promenade triomphale de commune en commune fera disparaitre a jamais de la mémoire des vieux Yprois cette autre pro menade tapageuse que fit en 1863 le fameux Mangin, travesti en dieu Mars, condu'isant un flamboyant char Romain trainé par cinq superbes coursiers.... Allons, enfants de la Patrie, le jour de gloire est arrivé!... Séance publique du Samedi i5 Janvier igio (SUITE*) Après de longues recherches, le génie mi litaire avait décidé delever la nouvelle gen darmerie sur la plaine d'exercice, dite l'Es- planade, terrain lui appartenant, et a l'angle N.-E. de cette plaine, face a la caserne d'in- fanterie. Cette décision fut vivement critiquée A raison du caractère artistique de ces con structions, la ville peut consentir a faire les aménagements nécessaires aux remparts et cette dépense ne dépasserait pas 10.000 fr. Ce serait un embellissement trés appréciable a l'entrée de la ville. Et si jamais le besoin de nous étendre de ce cöté se faisait sentir, la voie serait toute tracée. Au couis des pourparlers avec l'autorité militaire, il a été convenu de la disparition de l'ancien corps de garde de la porte de Bailleul occupé par M. Meyskens. Depuis la demolition de cette porte, que certains ont pu regretter, eet imrneuble n'a plus de raison d'être a l'emplacement qu'il occupe; de plus, il intercepte facheusement la vue des rem- parts et des fossés. L'aspect de nos prome nades n'aura qu'a gagner a cette disparition. D'autre part, le gouvernement est disposé a céder l'ancienne boulangerie militaire, d'une contenance de 20 ares. Le bon état de ces locaux, constaté par des membres du Conseil, psrmet d'y installer plusieurs ser vices. Le département de la guerre demande comme compensation de Ia cession de la maison Meyskens, des bêtiments de la ma- nutention, et de l'excédent de contenance de 2 terrains qu'il échangerait contre d'autres appartenant a la ville, une somme de 12.000 frs ainsi que le terrain nécessaire a la con struction de deux maisons. M. le Président donne ensuite lecture de la convention établie entre l'Etat et la ville. L'Etat cède a la ville, en vue d'aménager l'ac- cès aux remparts, une parcelle de terrain a l'Esplanade, d'une gontenance de 717 m. c. La ville cède a l'Etat une parcelle de 544 m. c. L'Etat abandonne a la ville, pour être dé- moli, le corps de garde de la porte de Bail leul, d'une contenance de 66 centiares, et, en vue de l'installation de services communaux, les batiments de la manutention d'une conte nance de 19 a. et 90 c. La ville, de son cóté, cède k l'Etat, pour donner vue a la caserne de gendarmerie, du cöté du boulevard, deux parcelles de terrain et un terrain de 12 m. de long sur 3o m. de profondeur, prèsdu cabaret de Peerdeposterij, en vue de la construc tion de deux habitations pour militaires mariés. L'Etat s'engage a démolir l'ancien magasin a poudre a l'Esplanade, et a e'riger la gen darmerie dans un délai de 2 ans, a partir de la signature de la convention. II règnera une parfaite unité de style dans les deux facades par la presse et par certains membres du et le batiment sera couvert en ardoises. La Conseil. Elle fut rapportée a la suite des démarches pressantes que M. ie Bourgmestre fit en haut lieu. On proposa alors l'angle N.-O. donnant versla Place de la Station. Ce projet impli- quait primitivement la démolition du rem part et le comblement du fossé. C'est a cette occasion que les esthèfes qui ont quelquefois tort, et souvent aussi raison, ont fait valoir que le cachet pittoresque des remparts et leur aspect de vétusté étaient, a l'entrée de la ville, précurseurs des monuments anciens. La conservation des sites est certes chose trés louable, maisil y a lieu de concilier tous les intéréts. La transaction qui est intervenue est de nature a donner satisfaction a toutes les parties en cause. Le boulevard Malou serait prolongé sur une largeur de 20 mètres, et la gendarmerie s'élèveiait a l'angle, d'une part en prolonga tion du boulevard Malou, et d'autre part dans l'alignement de la rue du Progrès. Le vieux bastion conserve des remparts se dresserait en face d'une partie des bati ments, et au bout de ceux-ci, perpendicu lairement a l'axe du boulevard Malou pro longé, déboucherait un boulevard a créer qui irait rejoindre les promenades intérieure et extérieure pour aboutir a la rue de 1'Arsenal. Les batiments de la gendarmerie seraient de style dit Yprois, ce qui occasionnerait une dépense supplémentaire de 40 a 45.000 fr. L omission accidentelle de quelques lignes de texte de notre précédent compte- rendu étant de nature a prêter k confusion, nous reprenons la suite d'un peu plus haut. ville s'engage a intervenir dans la construc tion des deux maisons prés du cabaret de Peerdeposterij pour une somme fixe et totale de 12.000 fr. et cède a l'Etat le terrain nécessaire a les édifier. Elle exécutera les nivellements, plantations et trottoirs le long de la lacade de la gendarmerie du cóté du boulevard Malou, l'autre trottoir, rue du Progrès étant aux frais de l'Etat. Elle pour- voira aussi aux égoüts et a l'éclairage. Les constructions devront être terminées en 2 ans. M. Begerem. II n'y a pas de sanction a cela. M. D Huvettere. Les Hospices n'ont qu'a donner congé au bout de 2 ans, on aura ainsi la garantie de voir les travaux terminés. M. le Président estimequela convention est favorable a la ville. Le premier emplace ment choisi par l'Etat, au Nord-Est de la plaine, était malheureux. Nous aurons de beaux batiments qu'on verra au moins aux deux tiers a la sortie de la gare. Si la ville s'étend plus tard de ce cöté, d'autres admi nistrateurs pourront combler le restant des fossés. Mais ce ne sera jamais ma besogne, et j'espère que ce ne sera pas la votre non plus. M. Begerem. L'Etat aura bien soin de mettre sur la fagade: Gendarmerie nationale (Rires). M. le président. Ce serainutile, jecrois, tant en frangais qu'en flamand. On ne pour- rait que défigurer Ja fagado. Nous mettrons peut-être les plans ala disposition dn public(*) M. Biebuyck. Je tiens a motiver mon vote. Une partie seulement des remparts est entamée. La convention tient compte des Nos lecteurs ont pu juger de ces plans par notre supplément de Dimanche dernier JOURNAL TPRES ©rgane Catholique de l'Hrrondissement

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1910 | | pagina 1