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Restaurations
ourbe rentrante
Le jubilé du Congo
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Encore un jubilé
ei m ei es tf'
i. 'oeuvre de la Goutle de Lait
!e89e91f9f9ffeeS9
PENSÉES Dl VERSES
L'éducation des mères
Nominations ecclésiastiques
ècic (le vandalisme
Accident de voiture
Vélodróme d'Ypres
Tram Ypres-Dixmude-
Repos dominical
PHARMACIEN DE SERVICE
Les maladies de poitrine et
les affections des poumons
sont dangereuses
on a jugé que la brise ferait flotter les j, rien faire pour le bien public, pour l'édi-
fication générale, c'est n'être ni un vrai
La restauration de l'aile occidentale 1
des Halles est commencée depuis une
huitaine de jours. L'es préparatifs pour
la démolition et la reconstruction de cer-
taines parties du monument ainsi que
le placement d'un puissant échaffauda-
ge permettent d'augurer que le travail
sera conduit lestement et exécuté dans
les meilleures coadi lions.
Tous nos cöncitoyens sönt unanimes
a louer radministration des Hospices
pour la restauration parfaitemenl réus-
sie de la belle facade de la maison,
rue de Lille, attenant a l'hospice Belle.
Nos félicitations a M. l'architecte Ler-
nould.
Nous espérons que l'administration
höspitalière encouragée, par voic de sub
side, de la ville, entamera sans re
tard la restauradon de la belle série
de facades a pignons attenant k 1:hos
pice Belle. C'est le voeu de la grande
majorité de notre population désireuse
de voir embellir eons'a.nmTnt noire an
tique cité. C'est d'ailleurs un argent
bien placé.
A propos de restaurations nous re-
nouvelons la demande faite déja plu-
sieurs fois a radministration communa
le de bien vouloir exposer les plans des
différente®' restaurations en cours Aile
occidentale des' Halles Eglise St-Pier-
jre Tour de St-Jdeques petite sa-
cristie do St-Martin, el, éventuellcmenl,
nouvelle gendarmerie.
Belzébutb plongé. la tête la première,
dans le vaste bénitier de Bernini ne
se débattrait pas plus vivement que ne
le fait notre confrère de la rue de Dix-
mude pour se tirer de la fausse position
ou I'd raise une satanée toésaventure.
II y a de quoi, en effet.
Allez done, de longs mois durant, pro
tester et jurer... comme un beau diable,
qu'on n'en veut pas a la Religion vous
échiner a stylet* vos hommes conformé-
ment au fameux Manuel du propagan
diste libéralafin que personne ne fas-
se l'enfant terrible réussissez même a
inspirer une fausse sécurité de con
science a des catholiques que tente Ja
félonie le résultat du scrutin a peine
proclamé, voila que, le vin aidant peut-
êlre, in Vino Veritas1 le na
turel chassé revient au galop et la
Religion est outragee dans ce cju'elle
a de plus auguste, après la Divinité.
■O,ui, nous comprenons l'émbialrras de
notre confrère. Et nous ne nous éton-
,'nons pas trop de le voir a la fois nier
effrontément et... plaider de son mieux
les circonstances atténuantes. On ne
peut pps, évideminent, publier le pré-
cepte du maitre mentez, menlez enco
re, il en restera; toujours quelque cho
se.
Mais les témoignages accusateurs sont
si précis et si accablants qu'a s'ob'sti-
ner dans des dénégations sans réserves
on s' expose falalement a un regain de
confusion, d'autant plus désagréable que
plus personnel. Et alors on opère plus
ou moins savamment une courbe ren
trante et on se rejette sur des 'échappa-
loires certains témoins n'ont rien ,en-
lendu,nous n'étions pas entre nous,
la porte cochère étant ouverte a tout
venantnous ne sommes pas responsa-
bles des incartades de pochards... Et
patati, et patata.
Ah quelle mauvaise grace Et quelle
piloyable contradiction dans ce Bafouil-
lage, oü l'aveu mal dissimulé se mêle
d la dénégalion obstinée
Quelle maladresse aussi, cher confrè
re, de repousser ainsi la planche de
sal ut que nous vous öffrions Nous n'a-
vions déclaré plus ou moins publique
l'insulte a la Vierge que paree qu'elle
avait été assez bruyante pour traverser
les fenêtres de la salie. Vous ne faites
que l'aggraver en disant que la porte
était ouverte toute large et que la réu-
nipn était publique. f
Nous n'insisterons pas davantage,
malgré vos invectives. Nous actons mê
me avec plaisir le désaveu que vous
infligez au fait. Pourquoi serions-nous
plus sévères que le Maitre
Mais comme lui, c'est a l'aveu sin-
cère et non a la confession d'excuses
que nous accordons volontiers l'absolü-
tion.
Ypres, en province, a célébré provin-
cialement le 25e anniversaire du Congo.
OnasupputéleS prqbabilités depluie;
drapeaux un peu trop fièrement.... et
on a laissé soigneusement au fond de
son armoire le carré d'étoffe, cher aux ,j
yeux et au coeur, dont nous faisons l'in- 4
terprète de nos sentiments. De la sorte, f
le soir venu, on a pu se couch er l ame
en paix Ie drapeau n'avait pas été abi- j
mé. i
Parmi les rares exceptions, il faut ci
ter la Ville. Par ses soins, 7 heures du
matin, l'étoile d'or congolaise brillait,
sa place, bien haut, bien haut dans
l'azur. 1
Le drapeau congolais flottait, en ef
fet, k 60 mètres de hauteur.
Seule se profilait au-dessus de lui la
croix du Rédempteur .Et ces deux sym-
boles associaient magnifiquement leur
grande voix, dans les airs, pour chanter
l'ceuvre de régénéralion morale et de
civilisation accompli'e par nös 'cö'mpa-
IrioteS sur le Continent noir.
Et les regards se reposaient délicieuSet-
ment sur ce double emblême d'idéal du
spectacle de foutes les mesquineries d'en
bas.
Mais! bientöt la douce vision s'éva-
niouit.,. Deux heures plus tard, les cou-
leurs congolaises sont arborées au bef-
fx*oi. Renseignements pris, c'est le dra
peau qui, a 7 heures, flottait sur la tour
de Saint Martin, qu'on a péniblement
descendu par les 360 marches de l'es-
calier-colimacon pour le monter ensuite
jusqu'a mi-hauteur du beffroi
Pauvreté n'est pas vice, sans doute;
mais! il semble tout de même qu'une
Souscrip tion s'impose.
F.
L'année 1910 n'aura pas été seulement
l'année de la comète et celle de l'Exposi-
tion de BruxelleS, mais encore celle des
jubilés jubilé du Congo, cenlenaire de
Louis Van HouIte, centenaire de Jules
Malou, tricentenaire du telescope, etc.
etc.
En voici encore un autre en perspecti
ve, qui ne mettra peut-être pas toutes
les cervelleS en ebullition, mais qui mé-
bi terait bien tout de même les honneurs
d'un petit feu d'artifiee, ou tout au
moins une salve de Comblains avec
banquet a la clef, bien entendu. Nous'
avonS nommé le
25e anniversaire de la Conception du
Stand.
C'est, en effet, le 10 octobre 1885 que
l'administration communale prit acte,
avec bienveillance, d'une communica
tion émanant de la Commission direc
trice de la Société de tir de la Garde
jCivique, et dans laquelle était formulée
la demande d'un nouveau stand de tir.
La gestation de l'enfant devait pour-
tant être longue et hasardeuse. La ma-
man n'était pas riche et redoutait plu-
töt ravènement de l'enfant. Elle l'avou-
iait notamment le 11 décembre 1886.
Eleine de complaisances déja pour la
morale indépendante et les amours li
bertines que celle-ci autorise, elle devait
fatalement devenir accueillante aussi
pour les! theories malthusiennes. Et le
Stand une charge en perspective
risquait beaucoup de ne jamais voir le
jour.
Ileureusement pour lui, sa inère de-
vint plus sage et plus cathjolique, et
en même temps elle se releva de sa mi
sère.
Elle attend maintenant avec une con-
fiance sereine et joyeuse 1'événement
tout prochain.
La layette est même déja prête. Elle
a co li té 847 fr. 90, Oh oh c'est [un
enfant princier 1
On jubilera doublement.
AD MULTOS ANNOS
chrétien,
ni un vrai citoyen.
card.
Pie
On ne fait son bonheur qu'en s'occu-
pant de celui des autres.
K.
Dans le jardin de la vie, il est une
fleur nécessaire, c'est celle de la foi
hi oü ne croit pas cette plante céleste,
bien d'autres fleurs se dessèclienl ra-
pidement, surtout celle du vrai bonheur.
Mgr. Landrioh
EXPOSITION DE BRUXELLES. -
TOMBOLA. Gros lot 200,000 francs, con-
vertissable en espèces. Tirage prochain.
Prix du billet1 franc. i ,1
Les bienfaiteurs qui contr ibuèrent, il y a
quelqucs mois a peine, a instituer en notre
ville cette oeuvre humanitaire de la Goutte
de Lait, doiveM être heureux de constater
les résultats réalisés jusqu ici. Lf»s consulta
tions hebdomadaires avec pesées d'enfants
sont, a présent, suivies par 37 femmes, dout
23 reQoivent du lait. II est délivré journelle-
ment 136 boutteilles de lait stérilisé.
Chaque après-midi, le lait est apporté de
l'école de bienfakance et aussitót stéiilisé.
Un tiers de la quantité est mis dans une
éciémeuse qui sépare la crème du petit lait.
La crème ainsi obtenue est incorporée dans
les deux tiers restants du lait, et la quantité
de petit lait éliminée est remplacée par de
l'eau addition; ée do trois et demi pour cent
de sucre lutose de mélange est versé aussitót
dans ies bruteilles que l'on bouche herméti
quement. Celies-ci sont placées ensuite dans
une étuve et soumises a la vapeur d'eau
fuurnie par un réscryoir ehauffé au gaz.
A leur rentree, les bouteilles que l'on
present de maintenir toujours remplies
d'eau, subissent un nettoyage a fond a l'eau
et a la sonde. Remplies a nouveau, elle sont
placées sur des étaj. ères numérotées.
Les huiiles de pesées sont d'une consulta
tion des plus facile., grace aux diagrammes
qui indiqu-nt le prqgrès ou le r>.cul réalisó
par l'enfant. A quelques rares exceptions
prés, tous les nouirissous augmentent sen-
S'blemrnt de peics apiès pc-u de temps. Les
résuitats sont pleinement concluauls et les
organisateurs n'ont qu'un désir, c'est celui
de vcir augmenter sensiblement enco;e le
nombre des inscrits. lis n'en seront que plus
Icccupés, mais leur dévouement ne connait
point de bornes.
Vous avez lu ce livre Mais. il est
d'une saleté révöltante.
Ah mon Père, ne me grondez
pas pa ne m'a pas fait de mal.
Eh, Madame, si voire enfant, après
s'être roulé volontairement dans 1 ordu
re pendant une demi-journée, venait
Vous dire Maman, pa ne m'a pas 'fait
de malvou,s disp.enseriez-vous de le
ïouetter?
P, Monsabré
Le domuine de l'bygiène s'est agrandi,
depuis quelques années, d'une branche nou
velle la puériculture. Des rtvues se sont
fondées et des hommes de science, des fem
mes de coeur out consacré leur loisirs a la
piopagation des principes nouveaux d'hy-
gièae infantile.
Ma'gré tous ces efforts, on peut dire, sans
crainte d'exagération, que les neuf dixièmes
des mères en sont encore k ignores* les élé-
mr-nts même de ce qui est le but de leuv
existence l'éducation de i'erfant. Nous en
üvods eu un triste exemple ces jo irs der.cier
dans lc train entre Courtrai et Ypres. Uoe
femme des environs de notre ville revenait
de Louvain oü sou jeune enfant avait été
opéré d'un bec de lièvre. Le maiheureux
petiot poussait des oris a f'endre l'üme. Des
voyageur8 interrogèrent la mère. Elle avona
que son enfant pleurait de soif. Cette mère
imprévoyante était partie de Louvain sans
se munir d'une goutte de lait pour sou
nouirison.
Ce beau róle de la maternité reste vrai-
ment incompris de quantité de femmes du
peuple. Les préjugés suiventleurs cours, et
l'on suit plus volontiers les pratiques des
com mères que les conseils des médecins. Ce
serait une oeuvre hautement philanthropique
que de répandre a des milliers d'exem-
plaires, principalement dans nos campa
gnes, ce petit ouvrage intitule Catechismus
der huismoeder.
Dien ayant cr'éé lhomme pour la so
ciété, et Jésus-Christ, sou Fils, ayant
fondé une Eglise catholique et univer-
,'selle, la vie humaine, la vie chrétien-
ne est une vie trés appauvrie, une yie
1° 5 trams par jour quittent Ypres 5 30-
7.52-11.05-15.02-18.17. pour arriver a Dix-
mude a 6 58 9.10-12 16-16.12-20.32.
2° 4 trams par jour quittent Dixmude
9.22-13-05-16 32-18.40, pour arriver a Ypres
k 10.35- 14.29 17.57-19.58.
3o Un tram quitte Merckem a 6 31 pour
arriver a Ypres a 7.20.
4° 5 trams par jour quittent Poperinghe.
5.15 7.50-12,25-15 58-18.40, arrivant a Dix
mude a 6.58 9 48 14.02-17 31-20.32.
5° De même 5 trams par jour quittent
Dixmude 4.58-7.23-10.05 14.12-18 40, ar
rivant a Poperinghe 6.36 9.08-11 50-15 48-
20.25.
Nous croyons que ce nouvel horaire qui
est trés bien combiné pourra être définitive-
rneut maintenu.
Mgr l'óvêquede Bruges a nommé
Curé a Lapscheure, M. Huys, aumönier
de la Maison do Refuge pour femmes, a
Bruges.
Curé k Caneghem, M. Claeys, curé Brie-
len.
Curé a Brielen, M. De Myttenaere, vicaire
Ardoye.
Directeur des Soeurs de St Vincent, a
Anseghem, M. Uoose, vicaire de St Amand,
a Roulers, en remplacement de M. Delva,
qui prend sa retraite.
Vicaire de St Amand, a Roulers, M. Leleu,
vicaire a Beeist.
Vicaire a Be rst, M. Toussaint, prêtre au
Séminairo.
Vicaire de St Rocb, a Courtrai, M. Amez
coadjuteur de M. le curé de c tte paroisse.
Vicaire a Mo taleux (Mouscron), M. Boet,
professeur a l'école moyeune de Banken
berghe.
Directeur de l'Ecole de Mario (Lamothe),
a Ypres, M. l'abbé Oultier, professeur do
religion a 1 école moyeune de l'Etat, en cette
vido.
«K «K
«i
Yisitez dans la Section beige d"alimen
tation (Grand Palais) le Stand de la So
ciété en nom collectif ADOLPHE DEL-
II AI ZE et C'c (voir, plus loin annonce).
Danslanuitde Dimancbe a Lundi, des
inconnus out brisé la vierge et les vases de Ia
cbapelle placé a la barrière de la ferme
Hoedt, liamean Verloronhoek. De plus, on a
constaléla disparition das crndélabres.
Après uno active enquête faite par la
p slice, un des auteurs vient d'etre découvert.
C'est un nommé Aecke Servais, demeurant
a Zo.nnebeke (Westhoek). Procés-verbal a
été dressé.
Une voiture de louage avait été comman-
dée chez M. Iloflack, Hotel des Trois Rois,
pour uaenocequi devait avoir lieu Mardi ma
tin. L'attelage étant prêtbien avantl'heure, le
fits M. Gaston Hofhek alia faire une course
a la campagne de M. Vercruysse, prés de
St Eioi. Pendant qu'il éiait k 1 intérieur, les
chevaux priront peur et s'engagérent entre
deux tas de pavés posés le long de la route.
Quand il r^vint, il vou!ut retirer son atte-
lage, mais en faisaut des efforts pour sortir,
chevaux et voiture cuibutérent, et M.
Hoflack tut reaversé. Dans sa chute, il se
brisa plusieurs donts, se fractura l'épauie et
foula un doigt. II fut transporté aussitót a
son domicile oü il requt les soins d'un
médecin.
if'% p* i&s %jf*
'J$ u» ru$. 'J§ *2? sf; sA
Depuis hier, D Juillet, les communications
directes par Chemin de fer Vicinal entre
tronquée et incomplete, la oü elle n'est Ypres et Dixmude ont subi une heureuse
pas la vie active, la vie fructueuse. Ne amélioration.
Dimanche 3 Juillet 1910, a 3 h. précises,
Course de 100 Km., avec prime tous les
5 Km., pour protessior nels, avec la partici
pation de Vander Stuyft Arthur, rscordman
du monde, Masselis Jule3, vainqueur du
tour de Belgique, Vandeubarghe René, vain-
Poperinghe queur de Bruxel'es-Roubaix,Buysse Marcel,
vainqueur de !a course de 2 heures avant
Van Houwaert et Lapize, Spiessens Alph.,
Defraye OJile, Debaets Michel, Burggraevè
H., etc.
Dimanche 3 Juillet
E. GAIMANT, rue de Menin, 6.
Huwelijksaankondigingen
Achiel Mabiou, handolvertegenwoordiger ge
huisvest te Koekelberg, verblijvende te Yper>
en Martha Vansteenkiste, z. b. te Wovelghem.
Petrus Grooten, kleermakersgast en Maria
Hanard, kleermaakster, beiden te Yper.
BURGERSTAND VAN YPER
Geboorten
Geeraerd August. Meenensteenwog
Vanwynsberghe Agnes, Kasteelgracbt.
Claeys lilisa, Rijselstraat.
Staelen Joanna, Zonnebskesteenweg.
Wenes Gustaf, St Nicolaasstraat.
Verbrugghe Godelive, Dickebuschsteenweg.
Coulleit Lydia, Frezenbergstraat.
Segeis Odilo, Pennestraat.
Huwelyken
Maes Leo, brouwer, te Brugge, Seys Irena,
z. b. te Yper.
Wartop René, smid ta West-Roosebeke,
Robaeys Maria, modenwerkster, te Yper.
Sterfgevallen
Vansteenkiste Albert, 19 jaar, z. b. Lange
Thouroutstraat.
Vanpoucke Ksrel, 61 jaar, paardsngeleider,
Wedr Gisquièro Stephanie, Bukkerstraat-
Aernout Rosalia. 83 jaar, z. b. Wwe De Turck
Karei St Jansbospitaalstsaat.
Dutoit Achilles 32 j., z. b. ongehuwd/; L. Thou
routstraat.
Turkry Henri, 52 j z. b. Wedr Blanckaert
Emma, L Thouro. tstraat.
Arfeuille Julia, 31 j., echtgenooto Deconinek
August, Schuttelaerestraat.
Marvellie Karei, 6i j., zaagzetter, eebtgenoote
Cornille Julie, Brakkeslraat.
Viaeminck Rosalie, 84 j., z. b., ongehuwd,
Bollingstraat.
L'Asthme et le rbume sont les précurseurs de
la phtisie. N'hésitez pas, prenezle
Sirop de I'Abbaye
le soul reraède eff.cace. Déja it a guóri des mil
liers de personnes. L'Emploi du SIROP t*E
L'ABBAYE, COUVEiNTSANCTAPAULO,éloigue
lamert du chevet des phtieiques.
Souffrez vous de l'Asthm Etes vous gêné a
la respiration? Vous santez-vous afïaibli et
fatiguó après un leger effort Ne pouvez vous
dormir, toussez vous. votre respiration est elle
difficile et !ourde, expectorez vous, êtes vous
sujet a desaouleurs a la poitrine? II importe peu
que la ma'adio soit déja avancée, que vous la
traiciez depuis longtemps, le SIROP DE L'AB
BAYE vous donnera bien vite du soulagement,
et vous guérira radicalement en peu de tomps.
'WÊK
Si vous expectorez copieusement et sans répit,
si vous toussez, si vous crachez, dites-vous bien
qu'il est de toute importance d'y mettre fln dés
ledébut. Savez vous bien qu'en négligeant de
vous soigner, que si vous laissez aller les choses,
vous préparez la voie k la phtisie ou k une mala-
die analogue On peut encore vaincre les germts
de la phtisie lorsque ceux ei font leur apparition
dans le corps d'une personne saine, mais a la
condition de prendre sans tardez le seul r- méde
qui convienne le SIROP DE L'ABBAYE.
Asthmatiques, vous savez tous combien voire
mal est désagréablene l'aggravez pas en atten
dant plus longtemps, prenezle Sirop de i'Abbaye,
11'attendez pas que la phtisie vous prenne.
Le Sirop de I'Abbaye coütela bouteille de
230 grammes, 2 fr. de 550 grammes, 4 fr., et
de 1000 grammes, 7 fr. - Ooho avantage
tie prendre les jyi-nntles Douteit-
lesll! Dépöt principal pour la Belgique,
O. de Beul, Longue Rue Neuve, 57, Anvers.
En vente a YPRES L Aertsens, pharmacie
Becuwe, Marché au Beurre 7, pharmacie Cen
trale G. May, Grand'Place, 35G. Libotte, Marché
au Beurre; POPERINGHE. Gb, Monteyne,
Grand'Place, 18 GOMINES, F. Van Windekens,
Lucien Wasslein; ARMENTIÈRES, 26, rue de
l'Humanité, Jeau Fiéfetet dans toutes les bon
nes pharmacies.
Dépöt généralL. I. Akker, Rotterdam.
Lo Dentiste M. MEIER a l'honneur d'in-
former sa nombreuse clientèle qu'il ne pourra
plus se rendre provisoirement k Ypres pour
y être consullé et qu'il n'y sera remplacé par
personne. Les clients qui auraient cependant
te désir de le consulter, sont priés de se ren
dre sa maison k Courtrai, coin de la rue de
Mouscron, 2, maison porte-cochère, prés de
la prison. j i i
Les personnes qui auraient l'intenlion de se
faire placer des dents artificielles n'ont qu'è
nous prévenir quelques jours k l'avanceen
ariivant le matin k Courtrai, elles pourront
repartir le même jour avec leurs pièces den-
taires.
r.