r autre .yoeu
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Chronique religieuse
Vient de paraitre
L es barbar es
La fin du biberon a tube
u sa feri
Cysteine t'ra ,rès
Pensees antialcooliques
Conseil provincial
de la Flandre Occidentale
S e 1! Juillet a Ypres
EX A MEJSS
Vous tous qui souffrez de fai-
manifestation de loyalisme, une oeuvre
de haute charité choisie par ia Reine
elle-même, profitv ra de la vente'de cette
petite fleur syml olique d-ont le prix mi
nimum est seulement de 10 centimes.
Quel es', a ce prix, celui qui ne l'ar-
borera pas, le nyagasin qui ne voudra
en orner sön étalage, p patron qui n'en
ornera la boutonnière de ses ouvriers,
te père de familie qui ne la fera porter
a Ses enfants, 1 Hotelier qui ne l'offrira
a ses holes, le n&aïtrc d'école ou le pro
fessen r qui n i Heit era ses élèves 'a la
porter, en leur inculquant au même
moment le resp^t de nos institutions et
de la familie royale, tout en leur di-
siant la haute portée claaritable él© ïa
manifestation 1
Cette année, 1© profit de la manifes-
lation ira a la Ligue eontre la tuber
culose, le fléau qui amène avec lui
le plus! de misères personnelles, faihi-
liailesj et sociales.
Les Roses de la Reine se ven-
den t au prix de 10 c. chez notre ëditeur
M. Ciallewaert, et chez: M£ Moncarey-
Criem, négociatit, Graad'Place.
Indulgence de la Portiuncule
A l'occasion du 700e anniversaire de
l'institution de l'ordre des Frères Mi
neurs, S. Si Pie X accorde aux ëvêques
le pouvoir de designer, pour celte an
née seulement, une ou plusieurs ég
ses dans les différentes paroisses de
leur diocèse oü les fidèles pourront g
gner l'indulgen©e de la Portiuncule le
2 du mois d'AoCit, ou, si le curé le trou-
ve opportun, le dimanche .suivatit cette
date.
En vertu de ces ïacultés, Sa Gran
deur Mgr. l'év^que de Bruges a dési-
gné a eet effet toutes les églises parois-
siales du diocèse.
En vertu de ces mêmes pouvoirs, il
permet aux coimnninautés pieuses de
gagner ces1 indulgences en visitant l'égli-
se ou l'oratoire de leur ïnstitut, pour-
v.u que le St Sajcrement y repose jha-
bituellement.
Sur les instances de S. S5 Pie X, Sa
Grandeur désir© et le recommande jn-
stamment que dans ces églises et ora-
toires, au jour dé sign© pour le gain
des indulgences, 'des prières publiques
se fassent pour le St. Père, les minis-
tre du, Sanctua-ire et toute l'église mi
litante et que Ja cérémonie se cloture
par l'invocatiort du patriarche séraphi-
queS les litanies des saints et la béné-
diction avec le St-Sacrement.
•Jl tA 'sJP
Le programme de la Tuindag vient
de paraitre. Ailéchant comme du ré-
chauffé auquel l'appétit prête bénévo-
l'ément les attfaits perdus, il se passé,
comme ses devanciers, du cliché, d'ail-
leurs usé ©dition revue, corrlgée ,et
considérabl em en t augmentée.
En l'examiiiant a la loupe, on y dé-
couvre néannK->Lns quelques corrections,
additions et suppressions plus ou moins
heureuses.
C'est ainsi que les chiens se voient
maintenant rêserver trois numéros jju
programme. C 'est faire beaucoup d'hon-
neur a. la gen t gUj abo!es qui mord et
qui transform te nos tro ttoirs en dépotoirs
inesthétiques et... glissons la dessus.
n'appuyons pas.
A vrai dire., q Iie serait peut-être pas
plus mal qu on fit la part plus large
encore aux anoimaux, pour pouvoir sup-
primer du pilgramme ce numéro par
trop sensatioixnel qui nous promet 1 as
cension et la chute, toujours possible,
d'aéronautes enfants. A moins que.
Jnais ne venciems pas la mèche.
Un meilLeur changement apporté
au programnv.© classique, c'est la sup
pression du ©onoours de pinsons, aveu-
glés ou non.
Dommage Seulement que les senti
ments huma nitaires de nos édiles ne
s'ëtendent pa^ jusqu a la race humai-
ne. i 1
On ne pon era plus crever les yeux
aux pinsons mais nos belles dames
pourront confcinuer d éborgner xla gent
barb'ue qui no se tieadra pas a distan
ce toujoqrs lpdus respectueuse d'elles.
Car leurS épingles a chapeaux. crois
sant avec le xliamètre de ces derniers,
sont devenues. de véritables épées... ide
Damoclès, tor».jours suspendues devant
nos têtes et p*>nvtées sur nos prunelles.
Le concours. de pinsons est rem placé
par un concours d'o-iseaux de basse-
pfiur. G'e§t un.© délicate attention pour,
M. Rostand, a l'Keure ou Chantöcler se
trouverait bien d'un petit regain de suc-
cès.
Combien mieux inspirés cependant se
fussent montrés les auteurs da program-
me en ouvrant un concours de cha
peaux féminins raisonnables et vierges
de toute ornithologie!
C'est que les pinsons et leurs congé-
nères des bois ne sont pas seulement'
aveuglés pour mieux nous anluser, mais
plus souvent encore occis pour embelliy
de leurs dépouilles les couvre-chefs
du sexe au coeur 'tendre.
Nos édiles, en rappelant la loi qui
interdit ce massacre, se sont montrés
vraiment trop confianls dans les yer-
tus du code. Ils ne semblent pas se
douter que tant qu'une Femme voudra
une plume d'oiseau, il se .trou vera mille
j transgresseurs de la loi pour la lui pro
curer.
Mais un numéro qui, sans hesitation,
devrait être rayé du programme, c'est
la course en sacs. Qui done se déran-
gera encore pour aller voir cela au
Zaalhof, alors que nos ébgantes lui pf-
frent un savbureux perfectionneni^ni de
ce sport réjouissant NeLs voiL-pii pas
aujouixl'hui porter une crinoline sur la
tête et la ceinture au bas de 1 eujupe
A propos du Pluniage bill pro-
jet de loi déposé au Parlement anglais
et qui interdit aux fenimes le port de
plumes sur leurs chapeaux, M. James
Buckland écrit, dans le Seiborne Ma
gazine f
La moderne Hérodiade emplumée ne
peut certes: pas plaider rignorajice. Lè
fait est que, en dépit de leur raffinement
trop vanté, certaines femmes sont res-
tées, dans leur impulsivité, de simples
barbares, parfumées. .Victimes d'une va
nité imbécile, elles suivent les plus stu
pides fantaisies de la mode, et si la
mode décrète qu'il faut porter des plu
mes, elles font taire leur conscience et
leurs sentiments d humanitë pour porter
des plumes.,.
En réalité, l'emploi des plumes com
me embellissement personnel est un
vieux restant de barbaric. Quelle est
la femme, même d'intelligence moyen
ne, qui s'imagine vraiment qu'elle s'em-
bellit en portant sur la tête le cadavre
d'un ppulet ou d'un pigeon
Ces gouls, bassement vulgaires, font
de la: femme a la mode moderne un
véritable dan,ger pour rhumanité....
Leur effronterie, leur défi ouvert hu
sentiment public montrent qu'il ny ;a
qu'un seul moyen de mettre une limite
a leurs: constantes transgressions: :une
sanction pénale.
M. James Buckland ne vise évidem-
.ment pas a être galantmais qui done
oserait soutenir qu'il public d'être jus-
te f
Et il ne quitte pas le chapitre des
plumes
Cela nous permèt de juger avec quelle
vigueur il stigmatiserait la barbarie fles
épingles logées au même endroit.
Les journaux ont signalé plus d'une
fois les sinistres niéfaits de ces rapiè-
res fémiuines. Voici u,n petit exploit
tout récent, peu sanglant, a la vérité,
mais bien révélateur du bon cfigur de
ces dames
Une dame, au chapeau armé du re-.
doutable engin, descend de la plateforme
encombrée d'un tramway et meurtrit,
au passage, le nez d'un monsieur. ,Ce
dernier hasarde une timide observation,
.tout en épongeant le sang de sa bles
sure C'est malbeureux ces épingles
démesurément longueS.r.» L'a dame ge
'retou rne et, pour toute excuse, riposte
fièrement C'est malheureux surtout
ces nez kilométriques,
i»-* f.-* fffS fff» jff* g/5 fér, ^5
Le biberon a lube est en bonne voie
de dispai'ition. i I
Samedi dernier est entrée en vigueur,
en France, la loi interdisant la vente,
1'exposition et l'imporlation des bibe-
rons a tubes. Les infractions a la loi
seront punies d'une amende de 25 a
100 fr., et la récidive, d'un emprison-
,'nement de huif jours A un iïiois.
C'est grace une active campagne hfe-
née par la Société de 1' Hygiëne de
1'Enfance et la Ligue contre la Mor-
talité infantile, et a la suite des voeux
formidés tant par l'académie de méde-
cine que par les médecins inspecteurs,
que la législature francaise décida la
suppression absolue de ces bil.erons a
tube, si dangereux pour la santé des
nourrissons.
A quand, chez nous, quelques bon
nes lois de ce genre, notamment l'in-
terdiction de la vente et de l'emploi
des graines de pavot La réforme des
abus, 1'extirpation des préjugés s ob-
'tiennent trop lenleinent, dans la classe
ouvrière surtout, par l enseignement et
la persuasion, poar liésiter a recourir
plulöt a la manière forte et aux rigueurs
de la loi.
Dernièreinenl eaeore, une jeune mere,
j agée de 20 ans, laillit tuer son bébé,i
en recourant au per dci.ux sopörifique.
Ci'était dans le train allant de Cour-
trai a Tournai. Pour calmer son hébé
de trois mois qui ne cessait de pleurer,
la mère lui fit prendre une décoction
de graines de pavot. Soucjain ('enfant
devint violacé 011 eüt dit qu'il se möu-
j-ait. La mère se mit a pleurer et a
gémir. Un voyageur voulut, en faisant
ïonctionner le signal dalarme, arrêter
le train qui approchait de la station
de Froyennes. Mais l'appel resta sa:ns
effet. A l'arrivée a Tournai, le voya
geur fil chercher le D Lambillotte jqui
ranima 1'enfant et le fit admettre a Tho-
pital civil.
Nous n'en aveas plus eu de nouvel-
j.es. depuis. i
Une fois de plus, le PROGRES vient
de recourir a i'mm de s s arguments fa-
voris dans lba lali surtout Us bles-
santes personnaiiités.
Celui de nos collafcorat urs auqu T il
s'en prend el son choix égalemenl est
devenu systématique, nous prie fie
ne point rel ever ces attaques.
Ce sera encore déférer a ce désir
que de nous bonier a acter, une fois
de plus, chez le confrère libéral, cette
fayou de combaitre que ne désavoueronl
pas, nous le reconnaissons, ceux qu'il
a entrepris de defend re PER FAS ET
NEFAS el qu'il cherche a faire bëni-
ficier de ce genre de «knock out»,
moins courageux, sans doute, mais Won
moins révoltant que celui des Johnsons
et des Jeffries. j j i„,j
CJ Ci ti Ci tè tï C»
Le buveur et le üébauché, souvent
ne font qu'un. Souvent its; sont frères
en perversion. Le libertin croit trou-
ver dans' la boisson une surexcitatkm,
artificielle de ses sens affaiblis par les
excès, et l'ivrogne cherche a cuyer- son
vin dans: la débauche, l i
Dr, De Boeek.
L'ivrogne boi I le sang, la yie ide sa Fem
me et de ses enfants.-
L'amennais, t
C'est une folie d employer son ar
gent a acheler sow repentir.
Regardez autour de vo.us-voyez les
ravages: de 1'alcooldes centaines ide
families' ont {'aim, sont clésorganisées
de robustes constitutions softt renver-
séesde pauvres petits êtres souffrent
dès le hërceau, sont malingres, rachiti-
ques, difformes, idiots nos asiles U'a-
liénési sont trop étroits nos prisons se
peuplent de brutes grossières, impudi-
ques, homicideset nous, nous: Chre
tiens, nouS catholiques, nous prêtres,
nous évêques, nous assisteriQns impas-
sibleS a ce déluge montaut de füisères
physiques et morales i.
Cardinal Mercier.
procédé a ce travail. En effet, fce
moment, Tadministralion fait goudron-
ner la route d'Ostende W Njeuport, de-
puis lp pont de Snaeskerke vers Nieu-
port.
Loin de moi la pensee de critiquer ce
Iravail il est aussi utile que néces
saire. Mais les aulomobilistes protestent
paree qu'on interroinpt la circulation'
j sur une route aussi fréquentée a cette
époque de Tamme, sans qu'on prévienne
1 personne. Cela entraine de graves in-
j convénients.
Je puis parler de science personnel-
le. Engage, samedi dernier, sur la elite
j route, en automobile, après un kiloinè-
j Ire de distance, on se Irouve roulant'
dans le goudron liquide bienlöt on est
I arrêté par les tombereaux et le rouleau
I compresseur. C'est une impasse doiit
J on sort difficilemeut et dans quel tris-
te 'état
A cet endroit, la route n'est pas trés;
largeelle est biorjdée d'un cöté par!
un large fosse et de 1'autre coté p;arj
le canal de Nieuport il ne faut done
pas songer 5 faire demi-lour. Devinez
eomme on se dépètre de ce bourbierl
Je demanderai done rhionorabl'e
commissaire du Roi s'il ne pourrait pas
demander a 1'administration compéten
te qu'on prévienne le public des' tra-
vaux qu'on execute a la route, gou-
dronnage, déchargement, etc. A' cet ef
fet, on pourrait se servir des moyens
nabituels de pub'licité, et notamment hp-
poser des affiches aux earrefours de la
route. De cette Fa?on on éviterait les'
graves' inconvénients que je yiens Ide
signaler.
M. le gouverneur, L'an dernier, j'ai
transmis au gouvernement les recom-s
mandations produites ici par M. Ernest
de Thibault de Böesinghe. II seirible ré-
sulter de la motion de M. le baron Pec-
sleen que les ponts et eh'aussées ont te-
nu cömpte, au moins 'dans une certaine
ïncsure, des observations 'émises.
M. Bruneel de Montpellier. On a avan
cé le goudronnage de huil jours'
M. le gouverneur. On pourrait de
mander que ce travail soit encore avan
cé. J'insisterai certainement auprès de
('administration competente, dans le
fcens des observations de M. Feesteen
je les trouve judicieuses. On devrait
prévenir le public et les automobilistes.
M. Pecsteen remereie Ma le gouver
neur vu sa grande influence, on .peut
espérer un bon résullat.
La séance publique est levée a midij
Demain séance des commissions a 9.
1/2 h., séance publique a 11 heuresa
iJ
La saison des bains de mer S'o.wvre
pt M. X>. consulte son dbcteur.
CroyeZ-vous qu'il n'y ait aucuW jn-
convénient a ce que, malgré ma crise
de goutte, je me plonge dans l'pnde
amère f j
Je n'en vois pas. Que vouleZ-ypus
que fasse une goutte de plus ou de
inodnsi dans Tocéan.? !.M i
Papa, qu'est-ce que c'est que lal-
coolisme.?,
Mon ami. c'est le t'noyeii de faire
des crétins; avec de l'esprif.
Sï f3 f3
Suite et fin.
M. Pecsteen, Il y a un an? yp Ernest
de Thibault de Böesinghe se plaignaif
ce 1 époque a laquelle Tadministration
es pon Is et eh'aussées effectue le gou
dronnage des routes de TEtat vers le
littoral. Cette année, pn a devancé de
quelques jours Tépoque h laquelle pn
Les fesbvités de cette aauoe ont étó cólé-
brée3 avec plus de soleenité que piécédem-
ment.|
Dimanche soir, la Far fare Loyale a donné
un brillant conceit, comp eê d'ceuyres de
premier ordre de nos grands compositeurs
flamancls.
La vaste Grand'Flice était garnie dun
public nombreux qui a apprécié a sa jusle
valeur l'exécution v.a'mcnt ar istlque do
notre société royale.
Le dor nier numéro du programme censti-
tnait uue heuretse inreva ion !a Fanfare,
traosforinée en excelle. to choral a era;.té
une suite de w liedor du uos uiaiti'es iia-
mands.
Le Vlaarnsche Leeuw puis la Bra
banponue cntc!ót:ré cette belle manifes
tation patriotique, provoquant l'eiULousias-
me parmi la r.ombreuse assistance.
L'ovation laite aux musicieus et k 1, ur
chef méritar t M Louis Arscbodt, a pr juve
que cetteheurcuse it itiativc recevait Tup-
probation générale du public Ypioisqui, ia
prochaine fois, espérons le, se joiudra aux
choristos pour l'exécution de ros chants
patriotiques
Lundi, 11 Juillet, la drapeau nalimal
flottait au beffroi et a la tour de la catlé-
drale. Le petit nombre de drapeaux arborés
chez quelques ran s autorités er particuliere
semble signifier que nos coneitoyens, itnbus
de maints préjugés, con'iauent h se souve
nir de certaLes extravagances qui, nous le
tenons d'expérienee, déplaisent au caractère
pondéré de notre population. II serait oppor
tun pour nous tous de lire la dernière lettru
magistrale de Mgr Rullen, évêque de Liége,
dans laquelle il jusiilie, par des considéi ca
tions justes, modérées et pleines de bon
sens, le mouvement flamand.
A 6 1/2 heures du soir, ui; concert du
carillon a été donnée par l'excellent carii-
lonneurM. Seghers. Son programme oxclu
sivement composé de liederen populaires
et patrietiques a été exécuté a la satisfaction
générale.
Notre bel instrument aérien est bien ap
précié depuis qu'il eet entre les mains d'un
artiste qui saura, nous l'espérons, inculquer
sa bonne méthode et ses connaissancrs
d'harmonie a notre futur carillonneur.
A part la fausse cloche n° 9, qui ghte
''ensemble, et devia absolumenl être rempla-
cée, noire cai illon tst d^ci pi us hurmouieux
et ses cloches graven, sujtout, ont un son
ideal. Nous espérons bieia que pourla Tuin-
j dag, tout sera en or ire. Alor s nous sci ons
fiers de notre L. au earilU-i-
j A 8 heures, une fête de unit était orgaui-
sée par'e (i Muzi kfcring dans les ja'dins,
brülammeut iLumiré ,d cc;clo catliolique.
La jeune sympbonie.dt-» igóe par le dévoué
I M. Lucien Veihaegb-, a docué une bonne
j exéciifion de, son progr miue bien tou'ni.
Les solistes méntect un brevo tout spécial_
La fête s'est terminée au milieu de Tenthou-
siasme géuéral par l'exécution des chants
flamands évuquant les bc-autés, les énergies
et le p.'itriotiamu de notre Flandre et de ses
héros de 1302.
Nos vives felicitations a la vaillante jeu-
nesse du Muziekkring. Sa louable initia
tive a été un grand suceès auquel le nona-
breux public assistant a la fête a applaudi
cordialement.
L'élan est donné. Puisse-t-il s'étendre
avec plus de vigueur aux fêtes nationales du
21 juillet prochain.
Yisitez dans la Section beige d'alinien-»
tation (Grand Pal ais) le Stand de la Sö-
ciété en nom collectifADOLPHE DEL'-
TIAIZE' et Cie (vain plus loin annonce).
subis par les anciens élèves du Collége
St Vincent a Ypres.
M. Jean Van der Ghote d'Ypres, asul>i
avec succès Texamen de candidat en philo-
sophie et lettres préparatoire au dro:t (lre
épreuve).
M. Jean Motel de Houtbem-lez Uo ar ia us,
a sttbi avec succès Texamen de candid it en
sciunces iiréparatoires a ia pharniacie (2e
épreuve).
M. Gabriel Oecaestë ik or d'Ypres, a subi
avec succè.; i'-. xamm d candidat ea sciences
préparatoire a la móJLeire vétérinaire (2e
épreuve).
Mi Lucien Rolüaen d'Ypres, a subi avec
succès lYxtmm do candidat en sciences
prépa-atoire a, !a pharr icie (2e épreuve)!
M.MarcelCasiei del: mthem-lez-Comines,
a pa sé avec distinction i'examen de condi-
dat en science i prépa: A lire a la phanuacie
(2e épreuve).
M. Daniel Coene de Dickebusch, a passé
avec distinction l'exaoien de candidat en
sciences préparatoire a la médecine (lre
épreuve).
M. Emile La Grange d'Ypres, a passé
avec grande distinction I'examen de candidat
en sciences préparatoire a la médecine (lre
épreuve).
M. Odile üebeuckelaere de Handzaeme,
a passé avec grande distinction 1 examen de
philosopbie et lettres préparatoire k la
pbilologie classique.
M. Tabbé Charles Van Merris, docteur en
philosophic a passé brillamment son second
examen de bachelier an théologie.
M. Auguste Van Merris, licencié du degré
supérieur ea sciences commerciales et con
suiaifÉS a passé son examen Je licencié du
degré supérieuren sciencescokmiales.
Ces Messieurs sont les fils du sympatbique
öourgmestre de Poperioghe, M. le député
Félix Van Merris.
Nos plus sincères féiicitations
I EXPOSITION DE BRUXELLES.
TOMBOLA. Gros lot 200,000 fr, con-
verlissable en espèces. Tirhgle ie 26
juillet. Prix du billet 1 franca
iP éss
r ctes officiels
Les brigades de gendarmerie suivautes,
créées par arrêté royal du 28 mai 1910,se
ront installées le 20 juillet courant
La camposition des cantons de gendar
merie de ces brigades ainsi que la désigna-
tion des districts dont ils dépendront sont
déterminées comme snit
Brigade de Locre commuues de Dranou-
tre, Kemmel, Locre, Reningbelst (district
de gendarmerie d'Ypres).
Brigade de Warneton communes de
Messines, Warneton, Wytschaete (district
da gendarmerie d'Ypres).
Brigade do Wervieq communes de Ghe-
luwe, Wervieq, (district de gendarmerie
d'Ypre Etc.
Par arrêté royal du 11 juillet 1910, est
nommé greffier-adjoiat au tribunal de pre
mière instance d'Ypres, M. Dethoor (F. E.-
C.), greffier-adjoint surnuméraire a ce tri
bunal, en remplacement de M. Dumon,
décédé.
iilpeco d'épuisement ou d'anémie, employ®2
,k- 'f la Pilule Ferrugineuse du D1' RapbaëJ
et vous jouirez bientöt d'une parfaite santé. 1,1®
fr. la boite.
a
r*1
I 1
r*i
i
1 1 i
fl.'
4!