SSL ,es aeux cara i lm j Cession de cloture. EXiMEiSS énumérési dans l'arrêté. Nous noas som mes adressés a l'Etat pour lui direi gue nous avions dépassé la sphere de'notr competence, el que nous avions jpns I noire charge deS frais 'd'entretj^ ne nous incombaient pas, pri de prendre sur lui les aulres frmLE- tat n'a pas agréé noire scrupu le e lP- galité. Comme nous avons .insis^e' soumis la question au comite de leg la lion Le comité a rendu un avis flu nous était défavorable. Alors nous avons propose une tra action Nous avons demande a Sé l'Ecluse et celui province aural! continue <1 Smal .le LisseWgto dyk. Cette situation a ete egalement éCNoues avons'doÏc été battus de tons les cotés. Aujourd'hui des négociatums premier dans sa categorie. Plusieurs au lres out été primés et tons méntaient d Cependant, si les .succes reinportés cette anriée ont été brillants, lis. poui- raient l'être encore davantage et les che- vaux présentés au concours de Bruxel les pourraient être surtout plus nom- breux. Les raisons de ces abstentions de la part de nos élevcurs sont peut-être di verges, mals je crois ppuvoir vous en donner une digne d'etre signalee a M. le ministre d'agriculture li pourrait, ie l'espère, y remédier. ,r, Je vise la composition du jury. En - fet, je yois dans le catalogue ol'ïiciel du' concours de cette année que le jury se composait de 5 membres des pro- vinces de Liège, de Naniur et de la Flan- dre oriëntale de 4 membres des pro- vinces du Brabant et du Hainaut 3 du moiitrera plus a'*111'1'' l>röfite (le la I éiant les meilleurs. M. earlier, en Je s„ls pc,,uadé que dès aujourdhui circonslancc, pomdem m n( hme|. mec s„cces contre de plus, que 1 Elat se deci (.eux de p;iuSieurs aulres provinces, exécuter les travaux qm doi^ P crois que si le jury était compose nir - ^ou4atmus^« U Jec^ de „otre pro- Mandel. Ce n est pas cutte nvi q I nos éleveurs en- jette dans1 la Eys c est c - q verraient plus de chevaux au concours temps de crue, refoi e. ses ca Bruxelles et la reputation de notre - me waters a Grammeue.. Les con- tribuables commencent a s impatiejite Qu'on rétablisse le cours naturel de ia Mandel, en lui permettanl de decharger réellement ses eaux dans la Lys. 'é1!Viin reproauire une observation trés juste que, dans la dis- a presentee c (kl budget, M. Bruneel de Montpellier rappelle le voeu qu'il a développ'é (lt voir le gouvernement intervenir dans l'eutretien de la vo'rie agricole empier- rée. Cette proposition a été appuyée par une pétition de nombreuses communes, dont les délégués ont été recus par M. le ministre de 1'intérieur. Le gouverne- ener. J'espère done,'Messieurs, que l obser- I vation que j'ai i hoiineur de yous 'faire a propos de 1'article 78 'du budget^ qui est en discussion sera présentée a M j ra Paif ^roitf fer^annee proühanief^ I mes reclamations. (Trés bien Bravo). Au chapilre 12 travaux réservé cheval de trait M. Feesteen. Je vois a l'art. 78, qu une somme de 300 fr. est propösce pour sub- sidier la société Le cheval de Trait Beige,établie a Bruxelles et qui don- ne annuellement un concours de che vaux reproducteurs. Ceux d'entre vous qui ont visité eet assemblage merveilleux de chevaux de ment semble disposé a entrer dans ces asseninicig i iv/roic enn iniprvpntmn s?.rait subor- gros trait, seront d'accord pour recon- naitre l'utilité de ce concours. Qui le nierait du reste Vous jtous savez: que le cheval de trait Beige est renommé dans le monde entiei et que les Américains et les Allcmands vien- vues. Mais son intervention sarait subor donnée a celle de la province. Nous ne pouvons porter de ce chef aucun chiffre ;au budget, puisque la question est en core hypothétique. Mais, éventuelle- nient, l'art. 51 b permettrait d'y impu- nent chaque année acheter a prix 'd'or ter un subside de ce genre f.o ibmup Aussi Te I Am-ès une suspension a les produits de notre élevage. Aussi je ne doute pas que vous yoterez ayec enthousiasme le crédit de 300 fr. 9c- mandé. Seulement ,jusqu'a present notre pro vince n'a pas brille de tout son éclat au concours' de Bruxelles. Du cheval flamand on ne parlail.guè- re, il n'avait 'aucune chance de succès. Mais si la chose était vraie il y ia) quelque vignt ans, elle ne l'est plus au jourd'hui. Grace aux généreux subsides de la province et de l'Etat, grace a la pci- sévérance et aux sacrifices de nos éle veurs, le cheval s'est transformé et aujourd'hui il peut subir la comparai- son avec tons les chevaux du pays. Je n'en veux pour preuve que le con cours de ceLte année a Bruxelles. Un cheval de notre province fut classé le Après une suspension de séance, le conseil adopte le budget avec un bom de 7920 fr. 23, M. Bruneel de Montpellier, Fidéle aux traditions qui semblent faire partie in- tégrante du mandat de rapporteur du budget, me voila forcé de me trans- 1'expression de nos sincères sympathies. (Applaudissements.) Au siècle de l'épopée napoleomenne, il arrivait que des soldats blessés, au passage du grand empereur, ramas- saienl leur force pour crier:Vive.1 Em pereur Et alors Napoléon leur répon- dit Mes amis, vous êtes de braves gens Sans doute, it n'entre pas dans ma pensee de vouloir établir une oom- paraison entre ces soldats héroïques et le dévoüement tout pacifique du bu reau; mais -dégageant ces paroles bien simples de leur cadre, je dis a notre bureau Vous êtes de braves g ns, vous avez rempli voire mission avec zèle et competence le conseil est content de vous (Applaudissements.) M. le Président, Le budjet est bou clé et nous pouvons bonder nos paquéts Quanid nous étions a l'école, au moment oü nous allions prendre un repos peut- être pas toujours mérité, nous remeici- ions nos professeurs. Sans vous compa rer 5 nos mat tres, je vous dirai, chers collègues, et amis, que tous vous avez mérité nos remerciments par voire aide précieuse et voire collaboration a nos Ir^Vciux. M. Bruneel de Montpellier a agile 1 en- censoir devant nous. De cat encens, ou, si vous voulez, de ce bouquet ample- ment mérité par nos secrétaires, je lie prends qu'une bien modeste fleur pour Permettez moi de féliciter M. Bruneel de la facon magistrale dont il a remp i sa mission de rapporteur du budget. Au scrutin secret, il avail ete appele a ce poste par i'unanimité 'de ses col leen es. (Applaudissements)* Leur con- ïiance n'a pas été trompée. (Adhesion.) Que 1'honorable commissaire du Hoi nous permette de lui dire, une fois de plus, toute notre reconnaissance, pour les intmmhrables services qu'il rend a la province et a tous ceux et lis sont légion qui ont recours a lui. Ja mais il ne rébute personne. Son affa- bilité est proverbiale, sa serviabilité in- 1 as sable. Et a nos séances, il a toujours donné l'exemple de 1'assiduité la plus exemplaire. (Applaudissements prolon- gés). Un dernier devoir m'incombe. Celui de vous remercier tons de votre zèle a participer a nos travaux. Grace a voire dévoüment, noes avons pu nous tenir dans les termes de 1 art. 4 qui assigne a nos travaux un délai normal de deux semaines En deux se- maines vous avez terminé votre tache. C'est un record dont vous avez lieu d'être fier. Le conseil de la Flandre occidentale détient un autre record celui de It courtoisie exquise et des rapports ex cellents qui y règnent il n'est pas 'de conseil provincial oü les relations soient plus amicales. Enfin, il me reste a adresser des re merciments chaleureux a celui qu'en une autre circonstance et lavec raison on a appelé notre incomparable gref- fier (applaudissements) et a ses zélés former en enfant de choeur, chargé de collaborateurs. Grace a eux not - donner des coups d'encensoir. j che se trouve suigu lerement facditce J'ai si peu l'usage de eet instrument les dossiers complets, methodiqueme que je craindrais d'endommager et 1 in strument et le profil de ceux devant lequel je devrais l'agiter, Mais d'abord, je dois exprimer un re gret cellui de l'absence forcée de pM. Van Hee, auquel le conseil tout entier a témoigné sa sympathie en 1'appelant de nouveau a la présidence. Nous lui transmettrons done nos ^egrets et oom posés, ab régent nos travaux. Je suis sur que je serai voire inter- prète a tous en envoyant un salut sym- pathique a notre cher président. (Ap plaudissements). Que Dieu nous le fet* - de bientöt, ragaillardi et prêt prést- der pendant de tongues années encor^ le conseil de cette province a laquelle il a rendu de multiples et éminents ser vices. (Nouveaiix applaudissements.) M. le gouverneur.; Je remercie yive- ment rhonorable président des trois gra- cieuses paroles que suivant la' coutume, it a bien voulu adresser au Commissairt du Roi, a votre éminent et trés modeste greffier, et aux fonctionnaires' de mon administration. Ces paroles, beaucoifip trop élogieuses en ce qui me con eer ne^ sont une juste réeompense pour mes chers et dévoués collaborateurs et a ce titre elles me causent autaht de sa- 1 tisfaction que de gratitude. Au premier jour de la session, M. Van Ilee nous écrivait que c'était la première fo-is, depuis 3S ans, si 'je ne me trompe, qu'il s'est trouvé empêché de participer a vos travaux. Je me joins a votre honorable président pour sou- haiter que la regrettable exception de cette année-ci ne se reproduise plus ja mais au cours de la longue série d'an- nées: pendant laquelle nous souhaitons voir M. Van 'Hee rester a la tête dn conseil provincial. (Vives acclamations.) Messieurs, je remercie et félicite et ici vous ne m'accuserez pas non plrws d'eiicenser a faux M. le vice-prési- dent du Conseil pour la distinction, 1'au torité et la dextérité avec lesquelles i'i a su diriger nos travaux et les mener aussi promptement a bonne fin. (Ap plaudissements.) Ainsi que je l'ai dit dans une autre enceinte, M. Reué Fraeijs a prouvé qu'il est, dans toute la force du terrne, le digne second d un président modèle. I (Nouvelle et viva approbation). II me reste le trés agréable devoir de remercier le conseil provincial tout en tier de 1'attention et du zèle qu il a ap- portés, line fois 'de plus, dans l'laccom- plissement de sa 'tache annuelle. Vous avez montré que les 'intéréts provin- ciaux de notre chère Wiest-Flandre sont I confiés a de bonnes mains. Vous faites votre besogne avec soin et vous expé- diez rapidement les affaires qui vous sont soumises. Puisse votre excellent exemple trouver de nouveaux imitateurs parmi les élus du peuple a tous les degrés les affaires du pays s'en 'trou- veraient fort bien. (Vive approbalioTtj MM,, au moment de clölurer nolre ses* sion par 1'affirmation 'de loyalisme qui est dans nos traditions, no'.re pensée s'en ira rejoindre nos chers Souverains dans la capitate de la grande nation dont notre province touche les fron- lières. (Vives acclamations). Nous som mes fiers et recoimaissants de 1 a'ecueil chaleureux qu'ils ont trouvé et nous sommes heureux des sympathies qui'ils y ont su conqüérir dans l'intérêt de notre patrie. Au nom du Roi, je déclare close la session ordinaire de 1910. Vive le Roi! Le conseil se sépare aux cris de VIVE LE ROI LEVE DE KONING! II est midi et demi. subis par les anciens élèues du College St-Vincent a Ypres. M. Walter Van de Putte d'Ardoye, a se bi avec succès l'examen de candidature en droit- M. Albéric Lauwers d Ypres, a passé avec distinction 1'examen linal decandidut-notaire- M. Jules Decaesteeker d Ypres, aj asse avec grande distinction l'examen de candiuat en médecine (2e épreuve). M. Wilfrid Van Eecko de Boesingbe, a passé avec la plus grande distinction et les félicitations du jury le deuxième examen ue candidat-notaire. Typ. CALLEWAERT-DE MEULENAERU t ue S Anelefprrp rip fait» ICS i\IirClTv:cLlll^ c mw) I 1.11 DUItmei, Illü VUilcl 1U1LU uro a x f nnic raxrcniY 1 ;C

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1910 | | pagina 4