Téléphone 53 Téléphone 52 Samedi 30 Juillet SPI 3 10 centimes Ie N 45 An ée N 4640 NECROLOGIE s« sf. m '0$. m. m m L'ENTENTE I &M. Encore un mot de réponse au Progrès On s'abonne rue au Beurre, 36, A Ypres, Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 c. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. et A tous les bureaux de poste du royaume. Les annonces coütent 15 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal So centimes la ligne. Les insertions judicaires, i franc la ligne. Les numéros supplémentsires coüteui io francs les cent exemplaires. Pour les annonces de France et de Belgique (exceptë les deux Flandres) s'adresser VAgtttOt Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse. Mort de M. Eugène STRUYE M. Struye est déce'de' a Ypres, sa ville na tale, dans la nuit du a5 au 26 Juillet, a l'êge de prés de 80 ans. Bien qu'attendue depuis plusieurs semai- nes, cette mort a e'té vivement ressentie a Ypres et dans l'arrondissement.C'est que M. Struye était un homme de bien dans toute la force de ce mot, un catholique convaincu,un lutteur vaillant, un défenseur intelligent de la vérité et de la Justice. Pour comprendre la grandeur de cette perte, dit un de nos confrères de la presse, il suffit de rappeler avec quelle énergie, avec quelle patience, avec quelle fidélitéce chrétien fervent et convaincu, dévoué de toute son ame a la cause catholique, s'ap P'iqtiJ, dans l'exercice des fonctions publi- ques a ne laisser que le souvenir d'une droirure, d'une générosite' et d'une gran- deur d'ame auxquelles ses adversaires mê- mes se plaisaient a rendre hommage. 11 fut 1 homme juste et bon qui pratiqua sans ostentation comme sans faiblesse la religion de ses pères et se conforma toujours a ses civique de première classe et la médaille commemorative du règne de Léopold II. II lui échut un autre honneur, a la fin de ses jours. Mais n'en parions pas, puisque lui- même ne l'a pas voulu. La perte d'un homme de la trernpe de M. Struye laissera derrière elle de longs regrets sa mémoire restera en benediction chez tous ceux qui l'ont connu son exemple sera fé- cond. Que Dieu lui donne le repos éternel qu'il a tant de fois demandé pour d'autres Les funérailles de M. Struye ont été célé- hier, Vendredi, 11 heures, en l'église St- Jacques, sa paroisse, au milieu d'un grand concours de monde. A la demande de la fa- mille, elles n'ont eu aucun caractère officiel. Nous avons remarqué toutefois que le conseil communal, au grand complet, suivant a pied le corbillard, a conduit le regretté défunt a sa dernière demeure. En agissant de la sorte nous forcerons les dirigeants au res, eet de nos idéés; ils seront obligés d'en tenir compte et le jour viendra oü ils se rendront a nos bonnes raisonsune petite lumièi e dormante abritée d'une main prudente jette sa clarté plus sftrement que les ampoules électriques qui s'éteignent a force d'un excès d'intensité. De la fraternité, de la charité, de la bonté maisaussi de l'énergie, et nous aurons l'en- tente qui fera réfléchir nos adversaires plus que ne peuvent le faire des écrits et des discours. 1 sur une question religieuse i pose'e par lui. jl A la fin de notre première réponse, nous t demandionsau 'Progrès de vouloir nous dire I ce qu'il entend par l'intervention DIRECTE l de la Divinité dans les phénomènes météoro- préceptes sans fausse honte, sans crainte, i e8Pnt dénigrement. II est des gens pour f d'autant plus indéniable,. qu'a la fin de son sans défaillance. Jl est mort comme il a 9m ies Pllls nobles actions sont maiière a arti vécu, acceptant sa fin avec resignation et confiance dans la Divine Providence, Eloge mérité, et que nous sommes heu- reux de rencontrerailleurs encore qu'a Ypres, J logiques —intervention qu'il rejette,etpar j Rien nest plus rare que la noblesse l'intervention INDIRECTE qu'il ne rejette pas. c ame rien nest plus commun que; certain j Notre droit de lui poser cette question est lutant plus indéniabJjr.qu'a la fin de son s article le Progrès proteste qu'il ne veut pas cutique, des bienfaits répandus autour deux traité d'impie et de mécréant. ne ti ouvent pas gihce devantleur jugeinent. J S'il ne veut pas être traité d'impie et de Pauvres êtres, puissent-ils reutrer en eux- mécréant, nous devons supposer que c'est ™emes eflsongeant au tort quils font ils paree qu'il ne l'estpas si c'était seulement qui fut le centre principal de Paction féconde - f aPerce^iaienf bien vite de la noireeur de paree qu'il ne de'sire pas passer pour ïêtre, et bienfaisante de M. Struye 1 I eur conc'ulte et de nécessité d'une répa- sa prétention serait un peu naive. Après de brillantes études au Collége St- l ra^011 il Nous prenons done franchement acte de la eci est vrai, notamment en politique. protestation du Progrès et nous voulons bien Que est done le mobile de ces égarés supposer qu'il admet une certaine action Bien peu critiquent par estime et en vue j indirecte de la Divinité dansle monde maté- du bien général le moi jaloux et insa- r}el. liable vit au fond de leurs coeurs c'est la s Nous avons cependant conscience d'y convoitise qui dicte leurs paroles et régie mettre une certaine générositécar, après leurs actes. Ils consument leur vie dans les I nous avoir dit qu'il ne peut admettre cette arrieres pensées. intervention directe de la Divinité dans les est avec le coeut plutót quavec le juge- j phénomènes météorologiques que les prières ment qu'on doit apprécier les mobiles de 1 Vincent, M. Struye suivit, a Louvain, les cours de Philosophic et Lettres. II ne poussa pas plus loin ses études universitaires, a cau se d une tïmidité alors invincitle et qui provenait d'une quaüté qui fut, toute sa vie, son unique défaut une trop grande modes- tie. Sa carrière n'en fut pas moins brillante et utile. Dans la vie privée, le bien du pauvre le préoccupait il lui consacra toutes les for ces de son intelligence, toutes les ressources de son coeur, soit comme Président de la Conférence de St Vincent de Paul, soit com me fondateur, avec M. N. Meersseman, du patronage de la Ste Famillle pour vieillards. Les oeuvres le trouvèrent a leur tête ou parmi leurs membres les plus zélés Prési dent de 1 Association des anciens professeurs et élèvesdu Collége StVincent,Secrétaire de la Fabrique déglise St Jacques, Président d honneur de la Fanfare Royale. Dans la vie publique, il fut un des chefs les plus marquants et les plus écoutés de son parti. Dès 1876, il fut élu membre de la Chambre des Représentants, en remplace ment d Alphonse Vanden Peereboom, qu'un revirement politique avait rendu a la vie privée II siégea dans cette assemblée jus- qu en 1894 et ne la quitta que pour devenir sénateur provincial, a la demande de ses amis et sur l'otdre de ses chefs. On se rappelle l'intervention de M. Struye dans toutes les questions oü les intéréts de j son arrondissement étaient en jeu, et no- tamment l'accise sur le tabac indigène, l'a- chèvement du canal de la Lys a l'Yperlée et, dans une sphère plus élevée et plus géné- rale, les droits du St-Siège, la liberté d'ensei- nement, les lois concernant l'organisation des pouvoirs publics. II ne nous est pas possible de retracer ici toute la carrière de M. Struye. Rappelons un trait qui marque son caractère et son esprit d abnegation. Trop modeste pour accepter les fonctions d'échevin a l'age de 60 ans, il les brigua a 72 ans et les exerca pendant cinq anuées, a la satisfaction de tous, avec un zèle et un dévouement qui ont peut-être contribué a user ses forces. M.Struye ne recherchait pas les honneurs, '1 préférait les charges. Les honneurs ne lui toanquèrent pas, a vrai dire. Le Roi le cre'a hevalier, puis Officier, enfin Commandeur e 1 ordre de Léopold. Sa longue carrière politique et administrative lui valut la croix ceux qui ont la charge du pouvoir. Les catholiques ne manqueront pas de s en ressouvenir. Songeons-bien qua les juge ments que la malignité aura portés sont rapides a se répandre. Aux regards d'esprits senses, ces jugements, il est vrai, tombent d eux-mêmes et le sentiment vil qui les dicte est bientöt deviné, mats la majorité des hommes est cornposée d'esprits curieux, dis posés a donner créance it ce qui ridiculise autrui. Daucuns agiesent sous le couvert d'indé pendance c'est la un mot superbe dont s'empare l'orgueil humain. Indépendant, on ne peut l'être que par la soumission aux lois divines et sociales dès qu'on est guidé par l'orgueil, on s'éloigne de cette soumission et on tombe dan9 les régions de l'esclavage. Visons done a une entente parfaite et faisons triompher les principes. Vivons et I luttons pour ceux-ci, ne transigeons pas avec eux ayons la charité. Sans charité, que les raisonnements et les jugements, en politique surtout, sont vains I Est-ce a dire que tout droit d'apprécia- tion doit être enlevé Oh, que non. Car toujours prendre le parti des siens est chose qui peut être injuste. II ne faut pas blesser la raison sous prétexte de devoir d'ami. Ju^eons et raisonnons tint qu'il nous plaira, mais toujours sous l'égide de la cha rité et du désir d'entente. Pas de dénigrement systématique pas de servilisme non plusl'un est l'arrogance, l'autre est le manque de caractère, deux écueils éviter. Tout esprit droit doit admettre la hiërar chie sociale. II faut rendre a César ce qui appartient a César. Ne soyons pa3 petits esprits les petits esprits sont malveillants parcequ'ils attachent trop d'importance a des puérilités. Serrons les tangs. Donnons notre avis c'est notre droit quelque modeste que soit le soldat, il consfitue une force. it pour la cessation des pluies lui semble sup- poser, plus loin dans lemêmearticle, réitérant son affirmation, il oublit d'y mettre la petite restriction... qui lui ménageait une si bonne tangente pour échapper au reproche é'athéis- me, et se déclare tout «rondement» sceptique sur toute l'intervention de la Divinité dans les phénomènes de la nature,... sans plus restreindre son scepticisme a l'intervention directe..., etc. Mais nous nous attardons trop a ces.... minuties Est-ce que nous avons le droit, calotins que nous sommes, d'exiger, quand on attaque nos croyances, qu'on y mette un peu de scrupule de vérité, d'exactitude ou de mesure Est-ce que les pilliers de cabarets s'en soucient dans leurs gouailleries Alors, quoi Le Progrès ne peut-il pas aussi en prendre it son aise Pourvu que par cette réflexion nous n'ayons pas ménagé au Progrès une nouvelle tangente, en lieu et place de celle qu'il s'était coupée, et qu'il n'en profite pas pour se dra per dans sa dignité et refuser de... continuer la discussion I Done, nous nous hütons de l'assurer que nous lui passons son oubli et que nous per- sistons a croire qu'il ne s'en prend qu'a cette intervention directe de la Divinité dans les phénomènes de la nature, intervention que I la prière, dit-il, suppose, et qu'il ne peut admettre. Avant de continuer la discussion, nous devrions, pour procéder avec ordre, attendre que le Progrès se soit expliqué sur cette in tervention directe et indirecte de la Divinité dans ce bas monde, mais, pour être franc, nous sommes si sür d'avance que le Progrès n'en fera rien, que nous passons outre. Nous supposons done que par intervention directe le Progrès entend l'intervention MI RACULEUSS, qui fait que dans des circon- stances données les phénomènes naturels qui devraient se produire ne se produisent pas ou vice-versa. L'intervention indirecte sera done celle par laquelle Dieu, au commencement des temps, a déterrainé la série des phéno mènes qui se produiraient dans la suite, par l'ordre et les lois qu'il a établis dans la na ture. Un esprit réfléchi ne peut d'ailleurs pas se refuser a admettre cette intervention de la Divinité dans la marche des phénomènes naturels? De deux choses l'une, en effetou ces phénomènes sont ce qu'ils sont par eux- mêmes et de par leur essence, ou ils sont tels paree que Dieu les a ainsi disposés. Dans la première hypothèse, ils sont nécessairement ce qu'ils sont, tout comme un cercle a néces sairement tous les points de sa circonférence a égale distance de son centre. Or, qui ne voit qu'il n'y a nulle telle nécessité dans l'ordre de la nature. Les hommes eux-mêmes ne peuvent-ils pas modifier, et ne modifient- ils pas tous les jours, dans la sphère de leur action, la série des phénomènes météorolo giques, par exemple Lorsqu'on dérode une forêt, lorsqu'on déssèche un marais, lors qu'on modifie le cours d'un fleuve... ou d'un simple ruisseau, ne modifie-t-on pas les con ditions climatériques de la région oü ces tra- vaux ont lieu Les vapeurs d'eau ne s'y élèveront-e'les pas autrement après les tra vaux qu'avant? Leur condensation en brouil lards et en nuages, ne sera-t-elle pas néces sairement autre qu'elle n'aurait été sans ces travaux Les phénomènes météorologiques sont done si pen 'nécessairement ce qu'ils sont que l'intervention libre de l'homme suffit pour les modifier. Et ici nous ne pouvons manquer de faire remarquer comment les mécréants se... fou rent le doigt dans l'oeil... jusqu'au coude, quand sur un ton de triomphe ils nous disent qu on voit bien que la Divinité n'est pas in- tervenue dans le règlement des phénomènes météorologiques, puisqu'il pleut sur les pro cessions Que parfois il pleut tróp, et par- fois trop peu I 1 etc. Peut-on, en effet, affirmer plus clairement que notre raison (même celle de Gros Jean), voit avec évidence que la manière dont les phénomènes météoroliques se déroulent et se succèdent, n'est pas fatalement déterminée par l'essence même des choses et n'est par conséquent pas la seule possible que tout cela pouvait être disposé de mille autres ma- nières, et que par conséquent cela ne peut exister disposé de telle faijon plutot que de toute autre que paree qu'une Cause intelli gente a choisi et déterminé la manière dont tout devait exister. Mais alors, quelle outrecuidance insensée que celle de ce même Gros Jean qui nous déclare sans sourciller que si LUI avait été cette cause intelligente, il aurait bien mieux disposé toutes choses 1 Laissons pour aujourd'hui Gros Jean sous l'impression de cette réflexion salutaire et réservons le dernier mot de réponse a un prochain numéro. Nous reproduisons aujourd'hui la pre mière partie du remarquable DISCOURS prononcé par M. le Baron RUZETTE, Gouverneur de la Province, a la séance d'ou- verture de la session du Conseil Provincial le 5 Juillet dernier. MESSIEURS, "j Dans votre séance du, 16 juillet der nier, leS honorable» MM. Carpentier, Goethals, Maes, Ernest Fraeijs et [Van Glabbeke firent une motion d'ordre par laquelle ils attiraient votre attention .«sur la rapide multiplication dans le pays et dans notre province, des caisses de pré- voyance contre le chömage involontai- ire. Après avoir fait observer que toutes les provinces fi part celle du Euxem- bourg et la notre subsidient régu- lièrement ce.s utiles institutions, les ho- norables membres exprimaient le voeu de voir la Deputation Permanente ét ti dier la question et examiner s'il n'y aurait pas lieu d'inscrire au budget de 1911, un crédit spécial destiné a l'en- co ubagem ent de tels organismes. Ce voeu, obtint l'adhésion unanime de FAssemblêe. Da nombreuses petitions sont venues montrer depuis, que Finitiative prise par MM. Carpentier et consorts répoiulail aux vcBu x de notre class'e ouvrière'. Successivement la Fédération des' Unions! professionnelles de la Gilde des Métiers de Bruges, les Unions profes- sionnellesj chrétiennes des ouvriers de 1 industrie textile a Sweveghem, Moen, Th iel t, Ingel muu.ster e't Ardoye, enfin les Syndicats neutres tres ouvriers [y- pographeS et relieurs de Bruges, s'adres- sèrent au Collége pour appuyer la pro position et demander que l'étude de la question soulevée soit prompteinent ine- nëe a bonne fin. A l'appui de leur demande, les péti- tionnaires sign al ent a votre particulière attention les couséqüjênces douloureuses qu entraïna pour la clas'se ouvrière W estflamande le chömage resultant de lal dernière crise induslrielle de 1908- 1909. Votre Deputation Permanente, Mes sieurs, vous conimunlque, dans un mes- •s:,Se; les) elements qui vo[us permettront de prendre, au cours de la présente session, une décision sur Fobjet de ces requêtes. Peimette'z-mbi de vous smunettre a mon tour quelques considérations sur le même sujet, iavec le désir de vous en faciliter Fétude. Jusqu ici, nous n'avons pas dans no- tre pays', de statistiques permettanl d'ap- précier Fimportance relative des! diffé rente» causes de misères. (1) Ces statistiques existent en Allema- gne. Elles1 éiablissent le pourcentage des principal es! causes d'indigence de la ma nière suivante": maladie, 28.4 p c ïnfir- milé et vieillesse, 27.2 p. c.; accidents, p.j c.chömage involontaire, 5.4 p. C.mort du chef de familie, '17.81 p. c.- familie trop nombreuse, 7. l p/c; ivro- ignerie, 3. 3 p, c.causes Idiverses, 7 9, p. c. L examen de ces chiffres approxi- mativement applicables dans notre pays, ime parait laisser place a Fesp'éran- Ce. f 1 En effet, jl résulte de eet examen quel parini les1 causes de misère, celles occa sion nant 81. 7 p, c. des cas d'indigence, ppurraient êlre efficacement com battues par le grand remède de l'assurance. Cotnme le dit M. Cyrille Van Overber- ghe, dans! son beau livre sur la RE- FORME DE LA' BIENFAISANCE EN BELGIQUE tant que les assurances sodales n'auront pas fait face aux ris- queS qui menacent la classe ouvrière. la bienfaisance publique et privée sera débordée par la misère et ne pourra ja mais espérer vaincre le paupérisme qui ronge notre söciété comme une lèpre. On peut ajouter que jusqiFa ce mo ment nous[ n'aurons pas le droit de nous sentir la conscience tranquille ni de croire la siociété dans un état normal. Le bon combat contre les causes (de la misère a commence dans presque tous' lesj pays du monde civilisé et Dieu. merci la Belgique tient un rang ho norable parmi les combattanls. Au risque-maladie, gux consequences, de la vieillesse, plus récemment au ris que de Fjnvalidité, nous opposons pos innombrables mutualités dont Fessor es't éritablement magnifiqne. L'e lé^islateur paré au risque-accident. Enfin depuis quelques années a commencé la lutte contre le risque du chömage involontai re. fyMêê (1) Voir le Discours de M. Bertrand, séance de la Chambre des Représentants, Avril 1910. JOURNAL Organe Catholique YPRES de I'Arrondissement '♦J '*1

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1910 | | pagina 1