'Z'lï j Union 4 Prévoyance I m m. m m m m m mm OS» S»55 SS1S&S Pensées diverses Discours d'ouverture Courtoisie Clironique Religieuse. Nécroloiiie Jubilé Fin des mauvais jours. Aux phosographes amateurs Repos dominical PHARMACIEN DE SERVICE ff' ^5 f5 TOMBOLA (le I'Exposition de Bruxelles Gros lot: 200.000francs /mm mcMW' mi têtes des fle'aux qui menacent la collectivité, ceux surtout que nous avons pu mériter par nos fautes flagella tuce iracutidicequce pro peccatis nostris meremuraverte Ici, évidemment, nous sommes en plein dans le domaine de la Poi. Libre aux scep- tiques du Progrès de douter de la puissance de la prière et de sa valeur expiatoire libre a eux de faire des gorges chaudes paree que leur étroitesse d'esprit et leur enténèbrement ne leur permettent pas de voir, des yeux de la Foi, ce qui se révèle assez rarement aux yeux du corps. Des esprits plus larges et plus sincères que ceux-la s'en doutent bien cependant et leur font ici encore la lecon. C'est Edmond Picard, non moins anticlerical que les rédac teurs du Progrèsqui avoue la difficulté de savoir quand et comment on peut dire que Dieu agit selon la Justice C est Léon Tolstoi qui s'écrie A qui est-d donné de savoir ce qui est juste ou injuste? C'est pourquoi, dans les catastrophes, dans les calamités, dans les maux quelconques qui frappent les bons et les mauvais, un esprit bien équilibré ne préjuge jamais de 1 action divine. Que celle ci déroute parfois des esprits simples, ignorants ou mal affermis dans la Foi, c'est fort comprehensible. Mais, tandis que les bons se retrempent dans 1 épreuve et dans l'humiliation bien acceptées, et bénis- sent la Sagesse divine, sans la comprendre les autres se redressent avec une joie satani- que, pour nier insolemment la Providence ou tout au moins son intervention directe dans les phénomènes météorologiques, comme si Elle ne présidait a l'ordre du monde que par des lois immuables, nécessaires, pcr- manentes et générales. C est nier une foule de faits d'intervention providentielle consi- gnés dans nos Saints Livres, tels ceux obtenus par les prières d'Elie, de Moise, de Josué, etc. C'est aussi nier le caractère libre et moral donné a letre humain par son Créateur. (Cf. h Pensées diverses Au surplus, Dieu seul étant nécessaire et immuable, pourquoi serait-il indigne de Sa Sagesse de paraitre déroger et même de dé- roger effectivement a l'ordre établi par Lui, en vue de faire éclater sa miséricorde et sa bonté envers letre libre avec lequel 11 semble avoir voulu partager l'empire du monde créé? En réalité, les dérogations les plus mani- festes a l'ordre établi, ne sont peut-être jamais que des dérogations apparentes. C'est un changement de temps et, a notre sens, une dérogation a l'ordre actuelque nous demandons? Fort bien mais ces prières ont été entendues et pesées de toute éternité et que Dieu les exauce ou ne les exauce pas, 11 n'exécute que ce qu'Il a prévu et ordonné éternellemenl. Comme le dit S. Thomas, nous prions, non pour faire changer l'ordre divin, mais pour mériter de recevoir les choses qui, selon l'ordre divin, doivent s'accomplir par nos prières. Se gausser de ces prières, comme le font les voltairiens du Progrès c'est du même coup contester notre liberté morale ct la vo- lonté primordiale de Celui qui nous dota de cette insigne faveur c'est nier la bonté et la miséricorde divines la véracité et la divinite de Celui qui nous apprit a prier et nous en- seigna la valeur de nos prières. C'est aussi rabaisser l'homme d'une facon qui contraste singulièrement avec les airs de petits dieux que ces insulteurs du Grand Dieu se donnent, car c'est donner a croire que nous sommes faits pour les éléments et pour le monde matériel en général, et non celui-ci pour nous, avec Dieu pour but prin cipal et final. Le fait de la liberté humaine étant admis (et il est incontestable), on ne peut pas dire que Dieu gouverne tout l'homme par des Ce dogme est ainsi en pleine et intirne har monie avec la nature de l'homme. Idem. ciations ouvrières. Celles-ci 'oollahot ent i avec les dirigeants du fonds communal d'associa- le conlrö- La raison qui veut se passer de la révéla- j tion ou de la foi est un enfant qui veut battre sa nourrice. Joseph de Maislre. j l SUITE DU du Baron RU'ZETTE Gouverneur de la Province. II serail intéressant, Messieurs, d'étu- dier les causes diverses du chömage in- volontaire ainsi que les moyens employ és depuis quelques ann'ées, dans la plu part des pays européans, pour en at- téntier les effets désastreux. Je crois preferable d'examiner briève- rnent avec vous, de quelle manière le Conseil provincial pourrait contribuer efficacemeut a encöurager les organis mes créés ou a créer dans notre pro vince, pour remédier aux consequences funestes d'une des plus iamentables sources de misère.; Parmi les organismes ayant pour but de combattre les consequences mallieu- reuses du chömage force, deux me pa- raissent mériter parliculièremcnt 1 ap pui de la Province: ce sont les FONDS COMMUNAUX OU INTERCOMMU- NAUX D'ENCOURAGEMENT A LA PREVOYANCE CONTRE LE CHÖMA GE IN YO L ON TA IRE et les CAISSES DE: CHÖMAGE inslituées par les U- nions proiessionnelles reconnues. Les fonds coniinunaux ou iulercom- munaux, dits de chömage, existant en Belgique, sont généralement calques MUTATIS MUTANDIS, sur le type adopté le 29 pefcobre 1901, par la ville do Gand. Et cc n'est pas saus raison, car le système gantois a fait ses prcuves. La grande ville induslriclle flaman- de a lc droit d'etre fiére d'avoir été la première au monde, non pas a cousti- fuer un fonds de chömage communal, eet honncur revient a la ville de Ber ne dont la caisse de chömage fut ion- dóe dès 1893 mais d'avoir été la première a créer un organisme viable et fonctionnant a la satisfaction géné rale. Le fonds de chömage gantois n'est pas une caisse d'assurance contre le chömage, Ce n'est pas non plus une institution qui se borne a octroy er des subsides aux organisations ouvrières, syndicates ou autres, pratiquant l'assu- rance-cliömage, C'est une institution distribuant, d'a- près un système nouveau, des encou ragements, réels ct efficaces, a tous les travailleurs, sans distinction, qui prennent des mesures sérieuses de pré- voyance pour se prémunir contre les consequences d'un chömage éventuel. Quel que soit le procédé auquel l'ou- vrier a recours, que ce soit l'épargne individuelle, ou l'épargne collective, ou 1'assurance mutuelle, ou tout autre moyen, pourvu que l'ouvrier se prému- nisse contre le risque-chömage, le fonds communal lui aceorde son appui, Cet appui est proportionné au résultat i que l'ouvrier a obtenu par son effort personnel. Au moment du chömage, le fonds communal vient majorer d'autant pour cent, soit ï'indemmté d'assuran ce revenant au 'sans travail, soit la som- me prélevée sur; les épargnes que celui ci a eu la prévoyance de réunir. Cette majoration varie quelqua peu suivant les ressources dispjönibles du fonds de et c'est par rintermédiairc tions qu'est répartie sous le du fonds communal, la huasi m- Légralilé des subventions dont celui-ci dispose, n. En 1909, II y avaii en Belgique, fonds communaux ou intercommunaux, avec 43 communes affiliées, es L°nl munes comptent une population o a e de 2,012,363 habitants, parmi lesquels se trouvent 241,421 ouvriers industnels. Les fonds communaux ou intercom munaux ont alloué pendanl menie année des indemnités a 19,194 c mineurs pour 185.918 journées de chömage. Trois fonds communaux ont fonction- né dans la Flanrde Occidentale: ceux de Bruges, d'Ostende et de Roulers, Depuis, ia ville dTseghem a porte a son budget une sonime de 20 i a nes a répartir entre les caisses mutuelles d as- surance-chömage au prorata du noiii ne de jours de chömage indeninises, Une institution siniilaire est en voie de formation a Ardoye. J'espère que, cédant aux a\is donnés par la circulaire ministérielle du 12 Janvier 1909, et encouragées par les subsides de l'Etat et éventuellement de lal Province, d'autres villes et communes de la Flandre Occidentale suivront 1 ex- ernple de celles que je viens de nien- tionner, (A suivre A propos de la visite de nos souve- rains, a Paris, le JOURNAL formule le vceu que toutes les sympathies donl ils sont robjet, parviennenl a écarter les représailles draconieniies que le gouven nement beige a preparées en réponse a notre tarif douanier. Ce serail la meil- leure conclusion des fêtes qui se pré paren!. Sans doute, nous ne demandons pas mieux que d'être gentils et nous ne se- rons jamais en reste d'amabilité avec la France. Mais dans cette affaire, il semble que ce n'est point nous qui avons commence. Au moment oü ta|nt ti in dustries sont gravement nienacées par •le nouveau tarif, industries importantes qui assurent le pain a taut d ouvriers, il est de notre premier devoir de chei- cher le moyen d'enrayer le mal, menie par les mesnres draconieniies pi vues, quand les amicales négociations n'ont rien produit. Nous aimons beaucoup la France(. mais nous aimons encore plus la Bel gique, - lois générales et permanentescar c'est mé- chömage, A Gand, olie s'elève entre 50 connaitre et abolir la part de la liberté dans la vie de l'homme, e'est-a dire méconnaitre et mutiler l'aeuvre de Dieu. L'homme prend des déterminations libres, et fait ainsi, dans sa propre vie, des événements qui ne sont point le résultat de lois générales et extérieures. La Providence divine assiste a la liberté humaine ct en tient compte. Elle ne traite pas l'homme comme les astres du ciel et les flots de l'océan qui ne pensent et ne veulent rien elle a, avec l'homme, d'au- tres rapports qu'avec la nature et un autre mode d'action. Gui\ot. ••t La religion chrétienne montre Dieu tou jours présent et accessible a l'homme,comme le père a l'enfant elle exhorte, elle encou rage, elle invite l'homme a demander, a se confier, a prier Dieu. Elle réserve absolu- ment la réponse de Dieu a la prière; II exau- cera ou refusera, nous n'en pénétrons point les motifs Les voies de Dieu ne sont pas nosvoies. Mais a la prière sans cesse renais- sante le dogme chrétien lie constamment l'espéranee Rien n'est impossible d Dieu. de coton ou même en passant legèrement ks doigts sur ia plaque abondamment Les lavages doivent ensuite être comme d habitude, de manieie a assurer l'élimination du révélateur et de 1 hyposulfite dont la couche est restée imprégnée. e effectués Compaq n ie (TEpargn e de Retraited'Assurances sar la Vie et de Rente Viagèr -. Un agent général pour Ypres et les Bonne rémunération. est demandé environs. Pour ren- «S5 ÊI tf5 CS Visitez dans la Section beige d alimen tation (Grand Palais) le Stand de la So- ciété en notn collectif ADOLPHE DEL- HAIZE et Cie (voir plus loin annonce). La section liturgique du Congres Eucharistique de Roulers sera certainement une des sections les plus intéressantes de ce congrès c'est l'avis una- nime de tous ceux qui ont pris connaissance des rapports quelle présentera. Aussi, nous n'insisterons pas davantage les titres seuls de ces études préliminaires la seule mention des questions portées a l'ordre du jour aura achevé de décider les hésitants. Ce fut d'ail- leurs un desvoeuxdu dernier congrès de Ma- lines, et il n'est pas un prètre, pas un homilie j d'eevre, pas un artiste chrétien qui ne doive contribuer a sa realisation nos populations j chrétiennes ont besoin d'une piété sérieuse et solide faisons leur saisir davantage les j homme d oeuvre. *éle._ Sa mort est una perte enseignements si profonds de notre gainte i sensible pour nos institutions catlioliques et. i dl fL 1*1 1 liturgie. Nous donnons done rendez-vous, 1 au congrès de Roulers, a tous ceux que cette Nous reüdons d sa mémoire ua hommage grande oeuvre intéresse. Qu'ils se procurent ému et prions Dieu de donner a soa-serviteur les rapports publiés déja par les soins du üdele 1 éternelle recompense, comité, qu'ils les lisent attentivement et qu'ils aillent discuter alors, en toute liberté j les veeux que leurs auteurs ont cru devoir 1 émettre il s'agit de se concerter, de s'instrui seignements s'adresser au bureau du Journal. Jeudi dernier ont eu lieu, en l'église St Pierre, au milieu d'une grande affluence, les funérailles de Monsieur llenri Roets, inspecteur honoraire des écoles libres ca tlioliques du district d'Ypres. Le regretcé défunt était un homme de bien dans toute Tacceptation du mot. Sa longue carrière dans i'enseignement a été toute de dévouement Educateur émérite, il tut a l'école St-Michel un père pour beaucoup de aos jeunes gens Yprois.et un modèle pour le corps professoral. M. l'inspecteur llallaevta prononcé en d'excellents termes i'óloge funèbre de sou prédécessear, retra^ant avec emotion cette noble carrière. M. Henri Roets était en même temps un re, d'arriver a des moyens pratiques les organisateurs du congrès ont surtout visé a cela. Qu'ils aillent revoir aussi, aux offices reli- j gieux du matin, ce que nos cérémonies ca- j tholiques ont de beau et d'impressionnant j quand on y observe les prescriptions litur- i giques. Le service de l'autel, a ces services, sera assuré, tous les jours, par les élèves de notre grand séminaire, qui, grace aux soins éciairés du T. R. cbanoine Callewaert, y au- S roet été düment préparés. Qu ils aillent visiter enfin l'exposition si intéressante qu'organise la même section 1 liturgique dans le local ou elle se réu.iit. Nous ne signalerons qu'un point, et nous le signalerons surtout aux curés, aux architectes et aux artistes qui font cos églises. A l'ordre j du jour de la réunion du matin figure cette j question délicate A quelles conditions doit répondre un maitre-autel qui porte le taber- nacle et sur lequel doit se faire parfois 1 ex position du T. S. Sacrement Or, M M. les architectes Viérin et Hoste croient avoir trouvé un type certainement liturgique, émi- ne^ meet pratique, et qui s'adapte parfaite- j Mercredi dernier a eu lieu une cérémonie i touchante a l'Eglise des RR. PP. Cannes de j notre ville. M. Valentin Andries, depuis soixante ans j chanlre au jubé y célébrait son jubilé. j Une grand'mc-sse solennelle a été célébrée, et tous les chantres de la ville ont participéa I la cérémonie, par l'exécution d'une messe en I musique en l'honneur de leur confrère. A l'issue de la cérémonie, une téception a eu lieu au couvent, et un beau cadeau aiusi que son portrait, ont été remis au héros de la fête. Nos sincères felicitations a notre digne concitoyen. Si vous êtes dans les mauvais jours, dans les jours de souffrance et de maladie, vous pouvez en sortir. N'hësitez pas, si votre maia- j die a pour origine la pauvreté du sang, la j faiblesse des nerfs, a essayer les Pilules Puik. i Elles ne peuvent que vous faire le plus grand 1 bien. Comme votre organisme n'est pas autre- j ment fait que les autres, les Pilules Pink vous j guérirorit puisqu'elles en ont déja tant guéri. j Voyez ce que les Pilules Pink ont fait et 75 o/o Re la stompie conquise par 1'effort personnel Pour empêclier que I'dncouragemenl ne s'élève au point d'etre disproportion- né, soit a Telfort de l'ouvrier, soit a ses besoins, les statuts: du fouids de chö mage fixent trois. lhnites a son inter vention ;v 1° La m q'j or at inn n'est accordée que sur 1 franc par joifr payö a titre d'in- demnité ou soustrait a l'épargne 2° La majoration ne peut jamais dé- passer 100 C/o de ce pr.omier franc 3° Elle n'est jamaijs allouée pour plus de 60 jours par art. Des stipulations trés minutieuses et trés 'pratiques règleht le) fonctionnement de rinstitution et en ifssurent le con- trble En principe 1'encoimalgemenL a la pré voyance, do uné par le fonds communal gantois, est am encouragement indivi du el en fait, la granjde masse des ou vriers gantois pratiquent la prévoyan ce, soit sous forme d'assurance, soit sous forme c l'épargne, au sein d'asso- Les procédés les plus rapides sont généra lement ceux qui sont préférés des photogra- phes amateurs. Jusqu'ici 1« opérations du développement et du fixage étaient bien distinctes et séparées par de copieux lavages qui prenaient un temps assez long. De pius, le développement exigeait une surveillance continue qui. retenait 1 amateur dans ia chambre noire. Une notable simplification vient d être introduite par M. V. Crémier dans les pio- cédés photographiques, gr^ce a^ la combi- naison du développement et du fixage. De puis plusieurs années déja, le développement chronométré a fait ses preuves. Une fois la possibilité adrnise de laisser agir le révélateur pendant un temps déterminé, toujours le même, quelles que soient les circonstances de la pose, il est devermaisé de combiner les deux opérations par un mélange convenable du révélateur et du fixateur. La formule adoptés par M. V. Crémier et publiée par la Revue scientifique a le métite d'être extrêmement simple Eau filtrée ïoocc. Sulfite de soude anhydre 5 gr. Diamidophénol 1 8r- Hyposulfite de soude 2 gr. Ce mélange ne se conservant pas, ne doit être préparé qu'au moment de l'emploi. Le diamédophénol a l'avantage, comme on le sait, defournirdes images trés douces. La plaque ant introduite dans le bain, il suffit de placer un couvercle sur la cuvette, après quoi rien n'empèche de sortir du labo- ratoire. Au bout d'une demi-heure, on uou- vcra le cliché entièiemeüt terminé. On peut d'ailleurs le laisser davantage, sans exagérer toutefois, de même que le résultat peut être obtenu en moins d'un quart d heure, si i on a soin d'agiter constamment la cuvette. Le mieux est de ne pas sortir des limites com prises entre ïo et 42 minutes. Si la cuvette n'a pas été agitée, on remarquera bien une j sorte de voile, roais ct n est la cju un depot r qui s'enlève aisément au moyen d'une louffe j i Prix du billetI franc, -' vV'.v? -VaAvV'-v i.A I» I H 'A. i pour Mme Emma Vermeiren, qui demeure ment aux différents styles de ['architecture k Lokeren, rue du Moulin. Elle nous a écrit religieuse. C'est un gabarit de cet autei quon s ce qui suit exposera dans la salie même oü la question sera discutée. Un autel modèle done avec tous ses accessoires et tout son mobilier ciborium, antipendium, conopée, chandeliers etc. le tout conqu avec l'exactitude la plus rigoureuse, selon les préceptes de la liturgie. On exposera en outre, une série de croquis et de dessins d'autel, et le bureau nous prie d'avertir MM. les architectes, que les plans qu'ils enveiront, seront requs avec reconnais sance, pourvu qu'ils répondent aux mêmes désidérata liturgiques. L'exposition comprendra encore un nombre assez considerable d'ornements étoffes di verses, chasubles et dalmatiques, chapes et étoles, corporaux, voiles de ciboires, etc., dans les différents modèles qu'aulorisent les différents styles, avec, pour beaucoup d'entre eux, une indication somraaire qui en signale les défauts et lesqualités. Enfin, un exhibera des modèles de brode ries religkuses que tous les amateurs auront le droit de copier. Nous terminons en engrgeant une dernière fois tous ceux 4UC l'art religieux intéresse, a aller vol'' c tte petite exposition, et nous les prions 2e s'arrêter également devant les tablesseront étalés les livres liturgiques lts plus utiles aux prêtres et aux fidèles. La section liturgique du congrès tiendra ses assises le vendredi matin, a 10 h. pour les reprendre, s'il le faut, a 2 heures de l'après-midi. ig* jp* i?° Dimanche 14 Aoüt E. GAIMANT, rue de Menin, 6. Lundi 15 Aoüt (Assomption) C. L.IBOTTE, Marché au Beurre, 3i. J'ai le plaisir de vous informer que les Pilules Pink ont été' favorables au rétablisse- ment de ma santé compromise par suite d'un accouchement difficile. 1 A la suite de mes couches, j'êtais restée dans un. état de faiblesse extraordinaire ja' vais eu beau prendre des fortifiants, une nourriture choisie, je n'avais pas pu retrouver ma santé ni reprendre des forces. J'étais épuisée et il semblait que ie n'avais p'us trés et que je de sang dans les veines. Je mangeais peu, car je n'avais pas retrouvé iappétit que, d'autre part, mes digestions étaient p nibles et me faisaiant beaucoup souffrir. i-n présence de l'inutilité des médicaments pllS pour me rétablir, j'ai voulu essayer les P"u les Pink. J'ai voulu prendre ces pilules, P®r. ce que je savais qu'elles avaient déja gu plusieurs pers onnes a Lok eren et dans les en 'virons. -J'ai done pris les Pilules Pink je dois convenir qu'elles m'ont fait tout suite beaucoup de bien. Grace elles, bo-nne santé d'autrefois est revenue. J'ai repr^ bonne mine et tous mes malaises ont dispara Les Pilules Pink sont souveraines pou' mener dans les organismes troublés ly9 libre du bon fonctionnement. Elles visi toutes les parties de l'ogranisme et font ce q est nécessaire pour leur bon entretien. Elles sont souveraines contre l'anémic^ chlorose, la faiblesse générale, les maux d s tomac, Lépuisement nerveux. Elles sont en vente dans toutes les pharI1^ cies et au dépot Pharmacie Derneville, Boulevard de Waterloo, Bruxelles 3 fr- la boïte 17 fr. 50 les 6 boites, franco.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1910 | | pagina 2