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Un envoi d'aigles
m. m w m m m m m m m
és m m m m m m
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Guillaume II en Belgique
L'an quarante
Contre l'émeute,
un seul remède: I énergie
Lertificat délivré par le
Dr leuridan, de Jumet,
Repos dominical
PHARMACIEN DE SERVICE
Chronique Religieuse
ïs m *s m
Necrologie
Concours général
de l'enseignement nioyen
Un Drame de Braconnagc
d Wytschaete
Vous tous qui souffrez de
tSÏU T»-". KW
Guérie de sou mauvais
estoaiac.
8 QMfM 8 8 f
La visite de Guillaume II, que l'on
avait annoncée pour ïe 18 octobre pro-
chain, vient d'être retardée quelque peu.
L'Empereur est retenu par ses chasses
aucune date n'est arrëtée encore elle
le sera d'ici quelques jours.
1 II en est de même du programme dq
la reception qui doit naturellement ob-
tenir ragrément du roi Albert,
Au Palais Royal nouvellement restau
rs, on est tout aux préparatifs de Ia
grande aile gauche du premier étage qui
sera réservée aux souverains allemands
et a leur suite.. Les appartements com-
prendront cleux pièces de reception, une
salie a manger, une chambre a cöucher
et un cabinet de trayaih,
Les; appartements de l'Impératrice, si
elle accompagne le Kaiser, seront Con
tigus. Les officiers supérieurs logeront
au 1 étage le reste de la suite hu se
cond étage.
La colonic 'allemande projétte natu
rellement une reception chaleureuse au
monarque allemand.
Vt Tm Tm VSl T* Vk
Tout le monde emploie chaque jour
cette locution expressive et familière
«Je m'en nioque conune de l'an quaran
te Mais tont le monde (jou presque)
a oublié son origine. Littré rappelle que
ce fut jadis un dicton employé par les
royalistes pour exprimer qu'on ne yer-
rait jamais l'an quarante de la Répu-
blique
Or, on vient de le voir.
En effet, depuis quelques jours, voici
que la troisième République a dépassé
la quarantaine elle est entree clans sa
quarante-et-unième année. Alors, cpie
faire
i Evidemment on ne va pas se mettre
a dire, pendant les dix pröchaines an-
néeS «Je m'en moque com me de l'an
quarante
Le Temps écrit ces ligues, bonnes a rete-
nir
A l'égard des fauteurs d'anarchie, il n'y a
pas deux tactiques, il n'y a pas et il ne peut
pas y avoir deux méthodes. II faut, d'abord
et dès le premier moment, défendre la loi
avec énergie. S'ils ne veulent pas que le
gouvernement se place de l'autre cöté de la
barricade des syndicats n'ont qu a ne pas
ériger leurs permanences en geoles et a ne
pas se transformer eux-mèmes et tortionnai-
res. S'ils ne veulent pas que le gouvernement
se mette en bataille contre eux, ils n'ont
qu'a ne pas déclarer la guerre a l'ordre et
aux citoyens paisibles. C'est fort simple.
L'expérience d'hier et a'aujourd'hui dé-
montre que les révolutionnaires abusent
toujours de toute marque d'hésitation ou de
pusillanimité qu'ils observeut dans le gou
vernement. C'est une mauvaise tactique de
les laisser faire, car ils ne se contsntent pas
de Jeurs premiers succè3 et la situation est
toujours aggravée lorsqu'on se decide
intervenir. Que le gouvernement redouble
de vigilance en vers les usurpateurs de la rue!
Et surtout qu'il n'oublie jamais que l'on ne
peut pas composer avec les états-majors de
la revolution il faut être avec eux ou contre
eux, résolument.
De ces couseils, le gouvernement catholi-
que a fait d'avance l'application en Belgi
que. On se souvient de 1902, quand i'émeu-
te, favorisóe par les libéraux, grondait dans
les rues. Grüce a la resistance énergique a
laquelle elle vint se beurter, elle ne gronda
pas longtemps.
*4 12.' 14 *4 %4 «4
qui s'est rendu a Lourdes, le 8 aoüt, pour
constater l'état de son malade, guéri le 5
aoüt, aprè3 immersion dans la piscine de
Lourdes
Je soussigné, A. Leuridan, déclare avoir
donné mes soins a Depasse Emile, de Jumet
(Belgique). Ce jeune homme, agé de 26 ans,
exer<jant la profession de boucher, était an-
térieurement un gaillard bien charpenté,
solide, et de tempérament plutot sanguin.
Depuis plus de quatre ans, il est atteint
d'une maladie du système nerveux, assez
mal déterminée jusque vers le milieu de
l'année 1908. Cette maladi3 se caractérisait
par une certaine parésle des membres in
férieurs et supérieurs, des douleurs en cein-
ture, des irradiations douloureuses dans les
euisses, de la douleur a la pression, le long
du rachis notammentdans la région dor
sale et b la naissance de la nuque trou
bles de la sensibilité zones anestbésiées
ou byperesthésiées réflexes rotuliens,
acbilléens exagérés, clonus épilepto'ide pré-
rotulien et du pied.
II faut noter qu'après une grande fatigue,
un écart de régime, en particulier des üba
tions quelque peu copieuses, auxquelles
d'ailleurs Depasse n'était nullement habitué,
un refroidissement intense et prolongé, le
sujet éprouvait parfois une crise d'allure
hystériforme, disparaissant au but de quel
ques heures, tout en laissant une aggrava
tion de tous les pbénomènes décrits plus
haut.
Depuis deux ans environ, les crises ont
complètement disparu, en même temps
qu'al'aient en s accentuant et se précisant
tous les pbénomènes symptomatiques de la
myélite chronique. C'est vers cette date
que, coupant court a ma réserve quant au
diagnostic, je crus pouvoir le formuler et
conclure a l'existence d'une myelite chro
nique.
Quant au pronostic, je ne crus pas pou
voir laisser entrevoir de guérison par les
moyens dont dispose aujourd'hui la science
médicale.
Depuis cette date (deux ans environ), en
effet, tous les symptómes caractéristiques
de cette affection médullaire se sont accen-
tués, se précisant toujours davantage, au
point de ne laisser aucun doute sur l'existen
ce de la myelite chronique, dont M. De
passe offrait le tableau clinique précis et
complet.
Depuis huit mois, le malade gardait le
litles membres inférieurs refusaient de le
porter les mollets étaient flasques et atro-
phiésles mains, tout aussi impuissantes,
secouées de tremblements ataxiques, ne
pouvaient répondre ala poignée offerte. Je
redoutais l'imminence de l'extension des
lésions médullaires a la moelle allongée, et
le denouement fatal pour une date qui ne me
semblait pas devoir être bien éloignée.
J ai revu Emile Depasse, le lundi 8 aoüt
1910, au bureau des constatations, a Lour
des. II marchait normalement, d un pas fer
me et dégagé. II vous serre la main d'une
etreinte vigoureuse et ferme, telle que je ne
la lui ai jamais connue tous les réflexes,
loin d'être exagérés, m'ont plutot paru pa-
resseux, les clonus ont aujourd'hui disparu
Le sujet declare se sentir comme rénove, il
se sent trés bien.
Fait a Lourdes,'le 8 aoüt 1910.
Dr Leuridan.
Sous cetitre, la Gazette du Centre écrit un
article oü elle signale d'amusante fa$on les
résultats des examens devant le jury central
de Tournai pour les élèves des fameuses
écoles normales provinciales du Hainuut
ces résultats ont été déplorables.
Cóté des élèves de l'école normale de
filles
On nous bavait promis, nous allions assis-
ter a une manifestation épatante de science.
Qu'on y songe done Jusqu'a présent, les
élèves n'avaient pas recu la formation com
pléte des institutions provinciales mais cette
fois, le cycle des cours avait été complet,
1'éducation rationnelle avait été inlégrale
Malheureusement les faits viennent de répon
dre avec une sévère brutalité
Vingt-six concurrentes
Douze succes
Quatorze échecs
Franchement, le jury ne s'est point montré
galant envers le beau sexe I...
On ne peut pourtant pas non plus, comme
certains journaux peu délicats l'insinuèrent
a l'avance, dire qu'il se montra partial, puis-
que M. Masson et quelques amis influents de
la députation permanente assistèrent a l'exa-
men et constatèrent la candide ignorance de
leurs postulantes sur Ja definition de l'are
sur le titre et la composition des monnaies
beiges, etc., et ils ajoutèrent ainsi l'estam-
piile libre-penseuse a l'estampille officielle,
sur l'incapacité des candidates provinciales 1
Cöté des jeunes gens
La proportion des échecs est plus mar-
quée
Dix sept candidats
Six succes
ONZE ECHECS
La oü l'on s'attendait a voir planer des
aigles, on ne rencontre que des... buses
Dimanche n Septembre
J. DEHOUCK, j6, rue de Dixmude.
Une touchante cérémonie aeu Jieu Marei
dernier en l'Eglise St-Pierre. Le R. P.Devos,
cbanoine prémontré de Tongerloo, fils de
notre bonorabJe percepteur des postes, y
célébrait sa messe d'honneur.Eti mêice temps
il avait la joie de donner la première Sainte
Communion a sa plus jeune sceur.
Cette double cérémonie co'iucidait avec un
joyeux événement de familie le 25me acni-
versaire de mariage des beureux parents du
nouveau prêtre.
Nous présentons a Monsieur et Madame
Devos et leur familie, nos cordiales félicita-
tions.
te, commune assez importante du can
ton judiciaire de Messines, située non
loin de la frontière francaise, Eu fai-
sant une tournée sur les terres dont
il a la surveillance, le garde-chasse
Everaerdt a stirpris deux individus bra-
connant a l'aide d'un bac a lumière, et
a ten té de les arrêter avec l'assistance
de sou fils Evariste qui l'accompagnait.
L'un des braconniers s'est retourné et
a fait feu sur le jeune homme. Celui-
ci, blessé mortellement a la poitrine, a
sucoombé peu 'après. 1
La Semaine Sociale flamande
de Lcuvaiu
Le syndicat el la charité
Mercredi après-midi, une lecon des plus in
téressante a été donnée par M. l'abbé Lau-
wers, de Bruges. Cëlui-ci a parlé des rapports
entre les syndicats et la charité ou la bienfai-
sance sont souvent trés mal comprises et plus
souvent encore mal pratique'es. Avant tout,
il s'agit de bien distinguer entre justice et
charité, car beaucoup se croient des modèles
de générosité, alors qu'ils ne donnent que
strictement ce que Ia justice commande. Cette
fausse conception de la charité est contraire
au mouvement syndical et constitue une en-
trave a la solution de la question ouvrière.
L'ouvrier, s'il occupe dans la société la pla
ce a laquelle il a droit, doit être a même de-
pourvoir, a l'aide du produit de son travail,a
toutes les nécessités de la vie. Or, notre mou
vement syndical a pour but primordial de
donner a l'ouvrier cette place qui lui revient.
Ceux qui combattent ce mouvement ou y
restent indifférents, manquent aux devoirs de
la justice et de la charité chrétienne.
La bonne charité ne consiste pas dans
l'aumone, mais dans les moyens d'en prévenir
la nécessité.
Le conférencier a fait surtout le procés de
la bienfaisance publique. II a montré, a l'aide
de quelques exemples frappants mais fami-
liers a tous a cause de leur généralité, com
bien elle énerve et paralyse le mouvement
syndical. Il montre ensuite quelle est la vé-
ritable mission de la charité privée et pu
blique, et il termine en disant que c'est de la
pratique de la charité chréaenne seule que
depend, comme l'a montré Leon XIII, la
veritable solution de la question ouvrière.
I.'srateur a insisté également sur la néces
sité d'une modification profonde a apporter a
l'organisation de nos bureaux de bienfaisance.
Un arrêté ministériel du 7 septembre paru
au Moniteur de ce jour, publie les résultats
du concours en langues modernes des élèves
de la rhétorique et de la seconde des huma-
nités anciennes (sections réunies), de Ja rhé
torique et de la seconde des humanités mo
dernes (sections réunies) et de la rhétorique
des humanités modernes (section industrielle
et commerciale).
Nous publions les résultats pour les insti
tutions d'enseignement libre de notre pro
vince
i° Rhétorique des humanités an
ciennes. (Sections réunies). Composition
flamande. - i« accessit V. De Coninck,
d'Elver din ghe, du collége patronné de Pope-
ringhe. 2e mention honorable Ach. Ver-
hamme, de Lendelede, du collége patronné
de Courtrai. 3e mention honorable L.
Standaert, deSwevezele, du collége patronné
de Thielt. 4® id. H. Depuydt, de Lich-
tervelde, du collége patronné de Courtrai
A. Dezutter, de Lichtervelde, du collége pa
tronné de ThieltW. Hollevoet, de Crom-
beke, du collége patronné de Poperinghe.
2°SECONDE des humamités anciennes.
Composition flamande. i«r accessit J.
De Laere, de Wyngene, collége patronné de
Thielt. 2e accessitA. De Leersnyder,
d'Ingelmunster, collége patronné de Thielt.
ire mention honorable J. De Maeght,
d'Eine, du collége patronné de Courtrai.
2e id. M. D'Haese, d'Avelghem, du collége
patronné de Courtrai, R. Van de VVinckel,de
Rumbeke, du collége patronné de Poperin
ghe.
Composition francaise (seconde langue).
Mention honorable: J. DePoortere, de Cour
trai, du collége patronné de Courtrai.
Un drame sanglant s'est déroulé dans
la nuit de Jeudi a .Vendredi a .Wytschae-
Voici les: renseignements que nous
avons' pu nous procurer sur cette affai-
re. 1
M. Henri Everaerdt est garde au ser-
groupe de chasseurs francais qui ont
lpue les' terres de Mme Veuve Mahieu,
d'ATmentièreSi Toutes les nuits, prin-
cipalement a cette époque oü la chas-
se est ouverte, il' fait des rondes; pn
compagnie de son fils, agé de 23 hnsj
Ce dernier est un robuste gaillard taillé
en liercule et redoutable aux bracon- j
uiers qui pullulenl dans la région. N
Nous avons déja eu l'occasion d'expli-
quer a nos lecteurs en quoi consiste Je
braioonnage a la lumière^ II faut au
moins deux hommes pour se livrer a
cette chasse, l'un portant le fusil, l'au
tre le bac. Get engin est for mé' d'un
lantern© a acétylène munie d'un réflec-
teur trés puissant dont 011 peut découvrir
ou caclier la lumière a volonté. Aulre-
fois les braconniers le portaient a la
main, mais plusieurs d'entre eux ayant
été surpris par les gardes, ils l'attachent
actuellement a rexlrémité d'une perche
de fa con a rester eux-memes dans fom-
bre3 En braquant la lanterne devant eux,
ils déoouvrent facilement le gibier pla
cé dans la direction des rayons lumi-
neux, et le capturent aisément, les pau-
vres bêtes étant tellement hypnotisées
qu'elles se laissent même tuer a coups
de baton. On devine combien cette chas
se est fiTictucuse. Aussi est-elle répri-
mée sévèrement par la justice, lorsque
les coupables sont arrêtés.
Les braconniers de .Wytschaete con-
naissent 1© bac a lumière et s'en Per-
vent, en dépit de la surveillance rigou-
reuse dont ils sont l'objet.
M. Everaerdt et slon fils étaient partis
de ciiez eux ala nuit tombante, Tojfs
deux étaient armés. Au moment oü jls
arrivaient sur un terrain occupé par Mc
veuve Coudyser, a une dizaine de mi
nutes de la place d'IIollebeke, c'est-a-
dire a l'extrémité du territoire de Wyt
schaete, leur attention fut atlirée par
une lueur per cant Fobscurité. C'était un
l3ac a lumière mance.uvré par deux bra
conniers. Les gardes tinrent conseil et
dócidèrent ld© faire un détour afin Itle
surprendre les délinquants par idèrriè-
re. Ils arrivèrent ainsi prés d'eux sans
leur avoir jdonné 1'éveil. 1
N'écoutant que sa hardiesse naturel
le, Evariste Everaerdt s'élanfa sur l'un
des deux hommes et voulut s'en envpa-
rer. Mais celui-ci qui pOrtait le fusil,
se rctourna brusquement, et apercevant
le fils du garde, épaula et tira a bout
portant. La charge fit balie et atteignit
le jeune homme au sein droit, II s'arrê-
taj net, chancela, lournoya sur lui-même
et s'affaissa, perdant du sang en abon
dance, tandis que les braconniers pre-
naient la fuite a Ia faveur de l'obslcu-
rité3 f
M. Everaerdt père s'était précipité vers
son fils. II le releva et lui comprimant
Ia plaie, le traina jusqu'a la petite fer
me de M, Leplat, peu éloignée du tliéa-
tre du drame.
Des soins furent donnés a l'infortuné
pendant qu'une personne allait prévenir
M, le curé d'Hollebeke. Lorsque le prê
tre arriva a la ferme, Evariste Everaedl
avait déja rendu le dernier soupir, Tou-
tefois, avant de mourir, il avait déclaré
a son père qu'il croyait avoir reconnu
les braconniers, deux frères habitant'
Wytschaete,
Afix prémières heures du matin, la
gendarmerie d'Ypres est arrivée a Wyt
schaete pour commencer une enquête.
L'après-midi, le parquet descendit a
son tour et se rendil sur les licux du dra
me, Le garde-chasse aecompagnait les
magistrats, afin de leur expliquer com
ment les faits s'étaient passés, Après
avoir recueilli les témoignages et fait
les constatations utiles a l'enquête, le
parquet a regagné Ypres,
Ce drame, on le concoit. a produit
une vive emotion a Wytschaete et a Hol-
lebeke. On se demande s'il s'agit d'une
vengeance on si les braconniers ont ti-
rés pour ne pas être rcconnus.
La gendarmerie continue les "recher
ches, r i i
On annoince de Wcrvicq la mort de
M. J. Franchomme, capilaine-comnian-
dant le corps sapeurs pompiers, vice-
president du comité de patronage des
habitations ouvrières de l'arrondisse-
ment d'Ypres, conseiller communal
membro do la fabrique d'é'glisè, Le re-
gretlé défunt était chevalier de l'Ordre
de Léopjold,
faihlesse d'éPu1sement ou d'anémie, em-
J Pioyez la Pilule Ferrigineuse du
Dr Raphael et vous jouirez bientöt d'une paifaite
santé. 1,15 fr. la boite.
BURGERSTAND VAN YPER
Verklaringen van den 2 tot den 9 Sept. 1010.
Geboorten
Duprez Francis, Molenstraat.
Dnprez Margareta, Poperingbesteenweg
Vanleeue Alida, Oude Konijnstraat.
Deweerdt Irena, Dixmudestraat.
Glorie Nelly, Blverdingbestaat.
Dumortier Der.ysia, Veurnestraat.
Debergb Martha, Boterstraat
Coquel Daniel, Poperinghesteenweg
Biebauw Julius, Dickebuschsteenweg.
Huwelijken
Emiel Waerebeke, statiebediende, gehuis
te Thourout, en Julia Gasior, z. b. gehuisvest m
per. 19
Georges Pauwels krjjgsveearts, bii da rii
^n9° üvend0 te Yper, gehuisvest te st
Gillis by Brussel, en Estella Cantaert z. b w
huisvest, te Yper. ge"
Jules Peekei krygsveearts, gehuisvest te Ff
terbeek, en Gilbei ta Duthoy z. b. gehuisvest, ie
OverlijJeLs
Vercouter Joseph, 3 weken, Tegelstraat.
Brion Alberic, 6 maanden, Nazarethstraat
P,mJ:brigghe SnsHius 5Gj„ z. b. ecbtgt Van De
Putte Maria, Lange Tbouroutstaat.
stra'at86 Virgil ia'74 Z' b' onkelluwJ, Rijsel-
strma"dr0rnme üeorges- 1 Jul0s Gapron-
L.^Thouroutstaatf77 j3ar' Z' b °ngehuwd'
Talon Robert, 8 111., I„ Thouroutstraat.
Delaire Emile, 32 j., j., tegeldekker, ecbtgt
Libberecbt Maria, Neêrstraat.
Los DPFsnrtru's ont 1111 vioe dl)
pciauiHits sang) (bou!onS) rou.
geurs, dartres, eczénia, démangeaisons) seront
viie guéries si elles prennentla Pilule anliglai-
reuse Walthéry. 1 fr. la bolle.
La dyspepsie est une condition mauvaise
dans laquelle Testomac est complètement ou
partiellement incapable de digérer la nourri-
ture. L'indigestion se reconnaït aux renvois
acides, Ia sensation de brülure et de pesan-
teur au creux de l'cstomac. Dans les cas
graves, on éprouve des maux de tête, des
vertiges, des douleurs entre les êpaules et
alternativement do Ia constipation ou de la
diarrhêe.
Le seul rnoyen de güërir la dyspepsie est de
rendre l'estomac suftisamment fort pour faire
son travail. II n'y a pas d'autre manière de
gueiir Ia dispepsie. L'cstomac d'une personne
nen portante fait toujours convenablement
son travail.
Le travail de la digestion ëtant sous la
dependance du sang et des nerfs, le meilleur
moyen de guérir d'un mauvais estomac est de
prendre un médicament tonique et rcgénéra-
teur du sang. Les Pilules Pink donnent du
sang avec chaque dose et tonifient les nerfs.
M^De Mey (Cl. Sterckf
C est par les Pilules Pink que Mile Marie
de Mey, denteliière a Zeele, 21, Kamerhoek-
sewegel, a été guérie de son mauvais esto
mac.
8 J ai souffert d'anémie et de maux d'esto-
mac, êcrit-elle. J'ai été trés faiMe, j'ai eu des
vertiges, des éblouissements, des bourdonne-
ments dans les oreilles. j'ai eu aussi des rui"
giaines tenaces. Mes digestions m'occasion-
narent de vives douleurs et pour ëviter la
souffrance, je me privais de nourriture. J'at'
lais de mal en pis j'étais devenue trés pale
j avais été obligée de cesser mes occupy*
uonS; J'ai pris les Pilules Pink paree $ue
j avais été témoin de guérisons données Par
©es pilules. Les Pilules Piulc m'ont parfait®"
ment guérie.
On trouve les Pilules Pink dans toutes I®5
pbarmacies et au dépötPharmacie Den*
vitte 66, boulevard de Waterloo, Bruxelksi
d fr" j0 la boite 17 fr, 50 les 6 boites, fra*
co,
JU au jty au
CnZ rrc, r»i rre. rrSr. fflr crar
1 P6F,
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