Revision des
listes électorales
Téléplione 5?
Téléplione 52
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La F.*. M/, et la Révoluiion
portugaise
Samedi 22 Öctobre 19:
10 centimes le ft0
45 An>ée W 4652
A VIS IMPORTANT
Cercle Excelsior
Ypres
Castelfidardo
Le domalne colonial
Les valeurs coloniales beiges
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Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et i Paris, 8, Place de la Bourse.
M M
Nous engageons vivement nos
amis de toutes les communes de
l'arrondissement a veiller attentive-
ment a la revision des listes électo
rales.
Les nouvelles listes pour 1911-
1912 sont a la disposition du public
au Secretariat de chaque commu
ne, au Commissariat d'arrondisse-
ment a Ypres et au bureau electo
ral catholique (Cercle catholique,
16, rue de Menin, Ypres).
Le bureau électoral catholique se
charge gratuitement de toutes les
réclamations électorales et répond a
toutes les demandes de renseigne-
ments qui lui sont adressées.
Toutes les réclamations ayant
pour objet l'inscription d'un e'lee-
teur sur les listes ou l'attribution
d'un ou plusieurs votes supplémen-
taires doivent être présentées au
collége échevinal le 31 OCtobre au
plus tard, avec toutes les pièees
justificatives.
Ire Se'rie de Conférences
Trois conférences d'apologétique réservées
aux Messieurs.
Carte d'abonnement 8 fr.
Carte pour une conférence 1 fr.
llme Série de Conférences
comprenant six conférences.
Cart© de familie 10 fr.
Carte d'abonneinent personnel 4 fr.
Carte pour une conférence 1 fr.
Ces conférences ont lieu en la Salie Iweins,
cimetière St Jacques,a 8 1/2 heures précises.
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cliez MM. Bras-Tavernier, impritneur, 62,
rue au Beurre, et Tyberghein-Fraeijs, 17,
rue des Chiens, ainsi qu'a l'entrée de la salie
Iweins le soir des conférences.
Les abonnés et toutes les personnes qui
en feront la demande recevront une carte de
rappel la veille de chaque conférence.
Les anciens zouaves pontificaux viennent
de célébrer le cinquantième anniversaire de
Castelfida.rdo. Le 8 octobre a eu lieu, a
Sainte-Clotilde, le service pour la général
de Pimodan, tué dans ce combat inégal.
A cóté des Lamsrcière et des Charette,
cette belle figure apparait au premier plan
comma celle des héros, parrni tant de subli
mes dévouoments mis au service du pouvoir jj
t®mporel de Pie IX. Plus beaux sont ces
souvenirs que ceux de3 Mille de Garibaldi,
fiui étaient plus de mille, et dont les facilss
succès étaient préparé3 I'avance par la
h'&hison. A Roaae, au contraire, les soldats
Pape devaient lutter contre des difficultés
de toute serte. lis firent voir qu'iis n'avaient
'ren a redouter des bandes gavibaldisnnes
qu'iis pouvaient encore lutter glorieuse-
^nt contre larmée piémontaise dans ia
Proportion de un contre dix.
On riait auparavant des soldats du Pape,
Parce que les troupes recrutées dans les
ktats romains étaient composées d'hommes
fiaon n'osait pas assujettir une forte disci
pline et dont plusieurs, acquis a l'unité de
1'Italië, devaient refuser de se battre costre
l'armée piémontaise. On le vit, en effet, a
Castelfidardo. Mais les troupes étcangères,
les Francais, les Beiges, les Irlandais, les
Suisses, les Autrichiens, firent preuve d'un
merveilleux courage, et depuis lors on n'a
plus ri des soldats du Pape on les a salués.
Le général de Lamoricière avait été le
premier arrivé a Rome, a l'appel da son
ancien camarade d'Afrique, Mgr de Mérode,
qui allait être nommé pro-minisfre des
armes. Le 18 mai 1860, M. de Charette
arrivait a Rome pour offrir ses services, et
l il recrutait aussitót une quiuzaiae de jeunes
I gens pour former l'embryon dont Pie IX lui
donnait le commandsment.C'était le premier
j noyau des zouaves pontificaux. En même
temps se formaiest les Guides de Lamori
cière, dont le commandement était dooné a
un Frangais portant un des plus beaux
noms, le comte G de Bourbon-Cbalus. Par-
mi eux.oa trouvaitle vicomte de Saintenac,
le comte Auguste de Gontaut-Biron, M. D.
de Grisard, le comte d'Agoult, M. P, d'An-
thenaise, M. H. de La Béraudière, MM. de
Bonay, de Cadaran, de Cbanay, de Ciinc-
j hamps, Louis de Charette, de Cossède, des
1 Dorides, de Dufort de Lorge, d9 France, de
j Frémeur, de Fumel, Le Gonidec, de Penlan,
j de Laistre, de Legge de Kerléan, de La
Martonnière, de Montgermont, de Montma-
rin, de comte Henri de Maillé, MM. de Pas,
I de La Perrandière, de Puységur, da Rain-
neville, de Ribiers, de La Rochethulon, de
j Rotalier, de Sapinaud, de Sinéty, de Ter-
j rouenre, de Terves, de Touchebceuf et le
comte de Tournon-Simiane.
I ©étaient tous de superbes cavaliers. Le
j général de Lamoricière avait pour aide de
camp le comte Francais de Maistre, qui était
j depuisjplusieuri années officier detat major
au service du Saint Siège, et qui, peu après
allait épouser sa fille.
D'autres aussi étaient accourus le mar
quis de Pimodan, ancien élève de Saint-Cyr,
ancien colonel au service de l'Autriche, oü
il avait mérité, par sa bravoure, les plus
hautes récompenses; le comte de Quatrebar-
j bes, qui fut gouverneur d'Ancöne pendant
le siège le comte de Mortillet, M. Léon de
Lorgeril, le comte Arthur de Chevigné, en-
j trés au service du Saint-Siège comme offi-
ciers d'état-major.
j On voit quel magnifique mouvement en-
trainait les gentilsbommes francais vers la
f défeuse de la légitimité, dans la personne du
Pape-Roi. Et nous n'avons pas encore nom-
mé les zouaves pontificaux.
rin
l Vers la fin de mai, les bandes garibal
diennes avaient déja pénétré dans les Etats
pontificaux M. de Pimodan, nommé géne-
ral de brigade, les repoussait vigoureuse-
ment au village des Grottes. M. de Charette
abtient de vo'er a son aide et il recoit trente
nouvelles recrues.
Le 1 juin, le bataillon est forméaRome
sous le nom de Franco-beiges, et le comte
Louis de Bscdelièvre, ancien officier fran
cais, en recoit le commandemeat. ©est lui
qui l'organisa et lui donna, a la demande de
Pi© IX, le nom da zouaves pontificaux.
©était boaucoup d'audace de se comparer
aux zouaves francais l'avenir k jnstifié
celta appellation.
Le bataillon se composait d'environ sept j
cents hommes, parmi lesquels figuraient les j
plus beaux noms, a cöté de noms qui de- j
vaient acquérir droit de noblesse par la
bravoure et le dévouement.
Le 19 jnin.le bataillon quittait Rome pour
le camp de Terui, commandé par le général
de Pimodan, et s'instruisait en attendant les
événements. Le 9 septembre, des bandes
révolutionnaires envahissaient de nouveau
le territoire pontifical et le 15, sans déc a-
ration de guerre et malgré les assurances
que le gouvernement francais donnait a
Rome, les troupes piémontaises franchis-
saient la frontièra. Le 15, Spoléte, attaquée
12,000 Piémontais, devait capituler
par
après une héroïque résistance de douze heu
res. II n'y avait la que 300 Irlandais com-
mandéa parle major O'Reilly, 23 zouaves
pontificaux et 160 recruss suisses ou au-
trichiennes. Pérouse, surprise la nuit, se
rendit après quelques heures de combat, sur
le conseil de l'archevêque Ie cardinal Pecci,
plus tard Léon XIII.
Ancöne allait être assiégé. Le général de
Lamoricière comprit que la seulement il
pourrait faire une sérieuse résistance, et il
résolut d'y porter le gros des troupes ponti
ficates. II trouva la route déja coupé©, ou
peu s'en fallait, et e'est alors que, de Loret-
te, oü était son armee, il résolut de faire
une fausse attaque sur la gauche, pour atti-
rer Fenneini, afin de passer a Ancone pen
dant ce temps, avec le reste de ses troupes.
Cette fausse attaque devint des plus sérieuses
etc© fut la bataille de Castelfidardo.
Comment les Pontificaux se pré-
parèrent d la mort
Le mardi 18, dès l'aube, a la Santa-Casa-
de-Lorette, on assista a des scènes dignes
des plus beaux épisodes des croisades. A
quatre heures, Lamoricière,PimodaD, l'état-
major, les guides, les franco-beiges, tous
enfin, recurent le corps du Seigneur dans
l'Eucharistie. Ou les vit tous prosternés, le
front toucbant la dalle da la Sainte baeili-
que. M. de Bourbon-Chalus resta longtemps
dans cette posture suppliants. Le rec-ueille-
meni des deux généraux avait quelque cbose
de si solennel que personne ne pouvait
retenir ses larmes.
Un peu plus tard.au moment oü Pimodan
rcontait a cheval, son aumöuier s'approcba
pour lui serrer la main et, sur la demande
du général, lui donna une dernière absolu
tion. Enfin, pendant toute Taction,un prêtre
bollandais, de Lorette,debout sur la terrasse
d'oü il apereevait les combattants, le bras
tendu vers Castelfidardo, ne cessa de pro-
noncer la formule qui remet les péchés.
Avant de se mattre en rnarche, Pimodan
paria longuement k ses troupes elles se
composaient de volontaires de diverses i
nations, ©est tour a tour en italien, en
francais, en allemand, en anglais, qu'il leur
adressa les paroles les plus niartiales, les
plus nobles et les plus cbre'tiennes. Les
survivants ne perdirent jamais Ie souvenir
de cette si émouvante éloquence.
L'eDnemi occupait les collines qui descen
dent du mameion de Castelfidardo vers la
plaine et s'étendent a 500 mètres de Musone.
Un fort détachemont était placé dans une
ferme a nai-cöté, et un aufre tenait une
deuxième ferme située k 600 mètres en
arrière, sur le haut d'un mamelen qui forme
le couronnement de cette première position.
Un bois, situé prés de cette ferme, était
aussi occupé par de fortes troupes, et une
nombreuse artillerie battait les pentes de
tous cótés. Vis-a-vis de la première ferme se
trouva un guó de Musone, praticable pour
l'artillerie, suquel conduisait une bonne
route, et de Tautre cóté duquel était un bon
ohemin rural allant rejoindre la route de
Crocetfes Umana.
L'ennemi, placé dans deux fermes, corn-
mandait le gué au confluant de l'Aspio et du
Musone parlequel devait passer Lamoricière
pour gagner Ancöne Pimodan devait done
enlever les deux fermes et les garder le plus
longtemps possible.
Pimodan avait a franchir le Musone,
s'emparer de la première ferme et a y faire
monter son artillerie, afin de nettoyer la
deuxième et le bois qui 1'avoisiDait. II dis
posalt seulement, pour cette opération si
périlleuse, d© quatre bataillons et demi de
sa brigade, de 8 pièees de 6 et de 4 obusiers
aux ordres du colonel Blumenthil. Les Irlan
dais avaieat été mis a la disposition de l'ar
tillerie pour aider a franchir le gué. Enfin
cette colonne était renforcée de 250 chevaux,
formé3 des cbeveaux-légers de deux esca-
drons de dragons et des volontaires a cheval,
le tout aux ordres du major Odescalcbi.
Lamoricière gardait en réserve quatre ba
taillons formant le reste de ses forces et
quelques gendarmes a cheval.
La première colonne, conduite par Pimo
dan lui-même, se mit en marche a huit
heures et demie la seconde, aux ordre3 du
major Odescalchi, k neuf heures. Pendant
que les premières pièees d'artillerie traver-
saient la rivière, les carabiniers suisses,
suivis du l'r bataillon de chasseurs et de
tirailleurs franco-beiges, se formaient en
trois colonnes derrière la digue, sous les
ordres du colonel Corbucci. A peine les
canons eurent-ils franchi le gué, que Pimo
dan donna aux carabiniers l'ordre de s'eaa
parer de la première ferme et au ler chas
seurs, ainsi qu'aux tirailleurs, de les ap-
puyer.
A suivre
Le rapport soumis aux Chambres sur l'ad-
ministration du Congo Beige constitue un
document d'importance, que ne manqueront
pas de consulter avec intérêt tous ceux qui
se préoccupent du développement de notre
domaine colonial. La valeur des renseigne-
ments qui y sont produits, leur nombre et
leur exactitude permettent d'établir le degré
d'avancement de l'oeuvre de civilisation en- i
treprise et de constater les réformes qu'il
sera le plus urgent d'établir.
Comme il importe de se borner dans l'exa-
men de ce document, nous nous arrêterons
aux chapitres qui méritent le mieux de rete-
nir Tattention du lecteur.
A ce point de vue, celui des Missions reli-
gieuses peut arriver en premier lieu et vaut I
d'etre cité en entier. On y verra notamment
que les efforts des missionnaires catholiques
sone dignes d'admiration et qu'en dépit de
M. Vandervelde, qui les a mal jugés, ils ont
rendu a la colonie, même au point de vue
matériel et pratique, les plus signalés servi
ces.
Le rapport sur Tadministration du Congo
beige du 3i aoüt 1909 constatait les piogrès
de l'évangélisation.
Ces progrès se sont accentués depuis. Des
arrangements ont été pris avec les Bénédic-
tins de Saint André et les Pères Capucins
pour doter d'établissements de missions le
Katanga et l'Ubangi qui, jusqu'a présent,en
étaient dépourvus.
Les Bénédictins établiront une abbaye sur
un des hauts plateaux du Katanga cette j
abbaye constituera un centre de rayonne-
ment pour tout le pays et un noyau de colo-
nisation blanche. Ils organiseront immédia-
tement a Elisabethville le service religieux.
II est nécessaire qu'il soit pourvu sans délai
aux besoins spirituels des Européens qui af
fluent au Katanga.
Les Capucins se dévoueront aux popula
tions particulièrement sauvages, farouches et
mobiles de TUbangi.
Les missions déja établies au Congo riva-
lisent dezèle pour propager Tinfluence de la
civilisation et faire des adeptes au christia-
nisme. La Congrégation de Scheut multiplie
ses établissements au Kasai et fonde des sta
tions dans le bassin de la Lukénie et Monga
la les Pères Blancs, après avoir assis leur
influence dans le Marungu, s'avancent vers
le Kivu oü ils ont fondé deux stations nou
velles les Trappistes remontent la Busira et
s'établissent a Bokote dans la région des
Cataractes, les Rédemptoristes renforcent
leurs postes et complètent leur enseignement
professionnel. Plusieurs missions protestan-
tes ont fondé également des postesnouveaux:
notamment la Congo Baloio Mission s'est
fixée Mompono et Yuli, et la Foreign
Christian Missionary Society a Bala.On peut
dire que partout les missions sont en progrès
marquant.
Le Sainl-Siège vient de régierune question
importante de juridiction ecclésiastique. Le
territoire au nord du 4' parallèle, faisant an-
térieurement partie du vicariat de Soudan
central, est rattaché a la préfecture apostoli-
que de I Usle.
L'accroissement du nombre des mission
naires des deux sexes a marché de pair avec
l'essor des oeuvres de missions. Le régime
inauguré par les mesures législatives nouvel
les est de nature a favoriser davantage les
missions et leur est une preuve de la bienveil-
lance du gouvernement, Toutes les charges
fiscales qui grevaient leurs oeuvres ont été
allégées et réduites au strict minimum. L'im-
pót personnel, leseul qui leur soit réclamé,
I est réduit de 5o °/0 et ne porte d'ailleurs que
sur les maisons d'habitation et dépendances
propres aux missionnaires et sur les bateaux
et embarcations. L'impót sur les travailleurs
est supprimé, et les édifices du culte. les hö-
pitaux, hospices et écoles sont complètement
exonérés de toute redevance fiscale. La nou
velle législation sur les terres a sirapbfié
beaucoup les formalités a remplir pour l ac-
quisition d'emplacements nouveaux.
Lactivité des missions s'exerce dans l'édu-
cation et 1 instruction des populations sur
lesqueiles elles étendent leur influence. Tou
tes les stations des missions possèdent au
moins une école. Ces étabiissements sont
indépendants de ceux créés par le gouverne
ment ou agréés par lui. Les résultats obtenus
dés a présent sont fort appréciables. Bon
nombre de missions comptent même des
écoles bien outillées; en général, elles visent
a la formation de bons artisans et agricul-
teurs. Les religieuses ont ouvert des écoles
ménagères.
D'après les derniers reuseignements, les
écoles des seules missions catholiques ont une
population scoiaire de plus de i5,yoo enfants.
Les missionnaires ont spécialement étudié
les langues indigènes dont ils ont dressé le
vocabulaire et la grammaire. Ces travaux,
entrepris surtout dans l'intérêt des noirs, sbnt
aussi d'une grande utilité pourles Européens.
Ils constituent la source a peu pres unique
pour l'étude des langues.
Le Borden Courrier de Berlin, consacre
un Jong article l'avenir du territoire du
Katanga, dans lequel son auteur constate que
les achats de ces jours derniers ont été faits
en grande partie pour compte de capitalistes
allemands, comme ce fut le cas également en
décembre et en janvier derniers, ce qui ame-
na la hausse de cette valeur.
L auteur de l'article explique ces achats
par le fait que, dans certains milieux finan
ciers allemands, on regrette que l'Allemagne
ait pris, jusqu'a présent, une part si minime
dans la mise en valeur économique du Con
go, et que notamment dans la Katanga elle
se soit laissé dépasser parl'initiative anglaise.
Quant a savoir si la situation actuelle au
Katanga jüstifie les cours du moment, l'au-
teur de l'article dit que la réporis a ce'te
question est difficile a formuler, maïs qu il
est certain que l'avenir du Katanga est le plus
brillant qu'il y ait jamais eu pour un terri
toire quelconque, et qu'on peut envisager
pour bientót la réalisation de toutes les cspé-
rances,
A la presse catholique qui affirmait le ca-
ractère maconnique de la Révolution portu
gaise, les journaux gueux ont répondu en
niant Taction des loges et en accusant les
Jésuites
Nous avons déja signalé les déclarations
faites au Secoio, par le député republicain
Barzilai, qui revendique pour Ia Ma^onnerie
Thonneur d'avoir fomenté la Révolution
La Lanternea son tour, publie l'article
suggestif que voici
©rgane Gatholique
TPRES
de l'Arrondissement
V
0JH