Téléphone 51 Téléplione 52 m m m m.m mmm m k: m m m m m m m m b m €9 m ea m i j m m m m m m Pensées diverses m m m ma m a m m m m m m m m m Samedi 14 Janvier I 10 centimes ie IV 46 An ée W 4664 Étrennes Pontificates fêtes et Concerts I a fête du jour Cercle lïxcelsior Nous solücitons humblement I Subsides aux troupes étraneères e f undi 16 Janvier 1911 Z(ELLNER Après l'exécution de Favier Conseil communal paratt une fois par semlTf Bcmre> s6' k ^pres, et A tous les bureaux de poste du royaume. Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr 50 c »*r on, .1 pour l'étranger le port en sus. P pour tout le pays Les abonnements sont d'un an et se regularised fin Décembre Toutes les communications doivent être adressées franco de port'a l'adresse ci-dessus. Les annonces coütent 15 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal 3o centimes la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémentaires coüteut 10 francs les cent exemplaires. Pour les annonces de France et de Belgique (exceptè les deux Flandres) s'adresser l'Amms$ Hava1, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et k Paris, 8, Place de la Bourse. Lis te préoédente fr. 202 00 Messieurs et Mèsdémoisalles Baus, Ypres 100.00 Ano&yme 4 00 La SOIREE-TABAGIE, aanoncée au 'Nieuwsblad pour le 28 de ce mois, est dé- finitivement fixée au Samedi 4 Février. La date de la Soiree pour Dames subira urobablement encore un changement, mais Ie GRAND CONCERT reste fixé au Di manche 26 Février, a 7 1/2 h. a Li-Salie Iweins. Demain, Dimanche 15 Janvier, a 7 1/2 h. ;rès précises,la vaillante soc;été dramatique Règne jamais, Christ, sur la raison hunaaine. emise par M. Sobryque le public doit payer lui-même ses plaisirs. Cette considé- La fête du Saint Nom de Jésus que l'Éslise I fati<?a 80 rattache a cette grande these ca- j Lumière des esprits, tu palis, ils palissent. célèbre aujourd'hui rarrène tont nihirèua i ^olique 9U® les pouroirs publics, entities S fondement des 1'fats, tu fléchis, ilsfléehissent; ül «aturede- j esseBtie!lement neutres et dénuées de prln- 1 Sêva du genre humain, si tu taris, il meurt e° fcnr la place occupee par ce g PjnfiS v t 1 1 I Kacme de co» lois dans le sol enfoncée, le monde, ment la pensee sur la place occupée par ce g - en dehors de bos 'P-s pu* osop .iques,^ religieux, etc., n ont Partout oü tu languis, on voit languir les moeurs i pas quauté pour enseig.ier ni moraliser, pas essen tiellement neutres et dénuées de prin- Nom dans sanctuaires. Sans remonter dans l'histoire et sans nous I pla® dans les thfxilCB qne dass Ies écoles cccuper des contrées innombrables oü le - jL. 1 Ecula 1 La C0Mmune hors nom de Jésus, naguère inconnu, est aujour- I 1 tel est double idéal. Mais j d-'hui enseign'ó fet cé'.ébró, envisageons uni- 2 qU un ldéal' dont la realisation ne quement cette vieille Europe ensemencée de 6a^once Pas Preoisement rmminente. christianisme dès les premiers aces chré- Lt aPrès avoir «ongene les flammgants Willen is Kunnen, interprêtera les pièces j doctrines et les mauvaises moeurs ont larnen- suivantes au Volkshuis 1. DE «INTERPRETER vaudevil'o en 1 acte. 1. WAGEMANS OP REIS, vaudeville en 3 actes. SALLE IWEINS Mardi 24 Janvi ?r a 8 l/'l b» Jörgensen La «Vie de St Frang fis d'Assise» et les Pèlerinages Franciscains par M. Robert Havard de la Montague, homma de lettres a Paris. Les conférences suivantes, dont les öat&s seronf annoncées ineessarnment, auront lieu en février et au début du mois de mars.Elles -eront données par M. le baron de Haulleville, conservateur du Muséo colonial de Terveuren, qui a biea voulu accepter de remplacor M. le professeur Ed. De Jonghe, empêcbé par M. Joseph Cctsier et par Mme la baronne de Margueron. tiens et restée jusqua l'haura présente le j®?ati«nts' nedonuons pas dans le travers théatre principal de lóvolution et des vicis- I eDCS situdés de l'mstittffion cbrétienne. 1 BeaucouP de nos amis, en pips de la plu- Quelle éclatante confirmation l'on y ob- I P&rt eS hbfraux' sont d'avis qu'un encoura- serve de cette prophétie du Christ Lui-même: gfm8üt ®olect,que reut être donné aux f qu'Il serait un signe de contradiction parmi I f11'8 da peuple' ma,s cst éclectisme se j I les hommes 1 t>orüe' malheureusement en fait, k écarter 5 Nous vivons a une époque oü les fausses f aealef8nt des ^Teur8 communales les com- j i t)a's de coq8 et les ecrabouillages defemmes f sur piste. Pardon II faut ajouter a la liste 3 de proscription les sociétés dramatique3 i locales qui s'eflorcent de réaliser pour le peuple un theatre flamand, au répertoire I Lain ft moralisateur I Qu'on offre au peuple, dans la jargon des f saaauvass lieux parisiens, le sempiternel dé I hallage de tnoeins décadentes ou d'un esprit I qui jure avec le sien, on n'y regardera pas de prés, la qualité de professionnels et d'étrangcre, exigée des acteurs#; épurant et j ennoblissant par elle-même la marcbandise offerte en échange de nos écus commu- naux!... Lecabotin étranger est tabou voila la plus claire affirmation de ce singulier éclectisme 1 Les anomalies de pareille attitude sont flagrantes, et il faut féliciter MM. Begerem et Sobry de s'êtres refusés a en prendre leur Chaque fibre a ton nom s'émeut dans tous les coeurs, Et tu re vis partout, jusque dans la pensóe, Jusque dans U haine insensée De tes ingrats blasphémateurs Ade Lamartine. tablement décimé par ici le troupeau du Christ. Tel pays est devenu l'Eldorado des mécréants; Tirréiigion et 1'indifférentisme l religieux n'y caurent aucun risque d'être s inquiétés, bien au contraire. Dans ces conditions, il semble que le sou- venir du Dieu abandonné ne doive plus gréoccuper les consciences afïranchies. Les j morts qui ne gardent point une parceile de j notre coeur sont bien vita oubliés a plus förtë'raison les mythes qui occupèrent un instant nos imaginations d'ecfants... Ah tel est certes I'ardent désir des soi- disant libérésmais c'est en vain qu'ils pour8uiveut sa réalisation. Le Christ est vivant, et son Nom remplit I l'univers, On peut profaner ce Nom et le maudire on ne peut pas le supprimer ni l'effacer de sa mémoire. C'est souvent le seul supplice imposé dès j Pa^- ici-bas aux ennemis de Jésus. Heureuxs'ils j f*™™ quue' ,lorBque Je theatre sara reetaure et embelli, ses patrons feront faire y reconnaissaient un suprème témoignage de sa miséricordieuse bonté peau neuve, a leur tour, a quelques-uns de leurs principes. Entree libre pour les aboanés. Les noh-abonnés paient un droit d'entrée 0 1 fr. par conférence. Theatre d® la Vllle d'Ypres a 5 heures précises du soir, Une fois de plus, das subside?, ont été votés en faveur des troupes étrangères quiviennent donner des représentations théütrales en notre ville. Une fois de plus.malgré la désapprobation bien connue d'une grande partie de l'opinion I publique et dont deux conseillers commu- naux se sont faits les organes. j En critiquant, une fois de plus, a notre tour, l'octroi de ces subsides, nous n'enten- f dons pas burner absolument ceux qui les es»» ra j*e,rf*. ont votes, en suite de consideiations ayast RliSl RtlNI.^ R I leurjustesse. U -v w 8 's W sas Tels conseillers, membres de lacommis- sion des fêtes, sont au conseil les défenseurs attitrés d'Ypres-attractionsetestimentqu'une ville qui veut attirer et retenir les étrangers J doit leur offrir ces distractions du soir qu'ils trouvent dans toute ville soucieuse d'éviter le renom de trou iDbospitalier. DE GALA audition de musique ancienne et moderne) PAR LE Célèbre Quatuor d'Arehets des grands concerts de Berlin, New-York et Bruxelles Quelle est notre force, sinon la force qu'il j y a dans le nom du Christ Quelle est notre j arme, si ce n'est le nom du Christ Quelle I est notre cuirasse? Encore le nom du Christ! I Comment s'appelle notre victoire sur les I démons Elle s'appelle le ChristQuel sera uotre triomphe après la victoire Encore et toujours le Christ II faut entrer dans la forme de ce corn et ne rien entreprendre I qu'en lui. Perreyre. i »-« i A prendre le? choses au point de vue seulement humain et historique.Jésus-Christ I est inccmparablement le personnage le plus J illustre, le plus retentissmt et le plus glo- rieux qui ait occupó la mémoir9 et le coeur j des hommes. Jésus a.humainemeut parlant, les prérogative3 de toutes les gloires. II a les gloires du plus grand des conquérants sa conquête, c'est le monde. Il réunit les gloires du géuie il est le premier inspira- j i teur des docteurs, des poètes, des artistes, Tels autres conseillers ont peut être voulu des grands esprits. II rassemble auteur de PRIX DES PLACES: éserve'es Premières Secondes 2.00 i.5o 0.75 SE 31 35 On peut se procurer des cartes chez M. berghein, rue des Chiens, 17, Ypres, oü plan de la salle est a la disposition du blic depuis Jeudi 12 Janvier 1911. réagir contre l'ostracisme injusle dont la f langue de nos proches voisins une trés j importante langue nationale, est de plus en plus l'objet de la part des fiamingants impatients. Et nous declarous iranchement qu'a l'heure actuelle une legon de modéran- tisme était opportune. Cette considération guida notammcnt M. le Bourgmestre. D'autres, laissant de cótéla question des langues, et sans macquer de sympathie pour Ce concert commencera a heure fixe pour j nos (r0 es Scales,out cru trés sincèrement ir vers 7 heures. Piano a queue STEYNWAY remière audition en la ville d'Ypres des CEuvres de Dvdrak. ne pouvoir mettre ces dernières, simples I troupes d'amateurs, sur le même pied que les troupes de professionnels.Et leur opinion se justifie également dans une certaina me- SUt'9. Mais toute3 ces considératicns doivent céder le pas devant cette autre, plus juste, lui toutes les gloires de la sainteté c'est lui qui fait les purs, les charitables.les humbles parmi les hommes, et nul autre que lui. Id. El Prenez les plus grands des ""modernes antichrétiens quiconque a méconnu Jésus- f Christ, regardez-y bien dans le coeur ou f dans l'esprit il lui a manque quelque chose. 1 Ceux qui le nient absolument en portent la peine. Sainte Beuve. I Je voudrais voir un homme sobre, mo- déré, chaste, équitable, prononcer qu'il n'y a point de Dieu il parleraitdu asoins sans intérêt, mais cet homme ne se trouve point. La Bruyère. A la fa^on d'un vulgaire socialiste, le vieux lion flamand vient de semer partout des con fetti parlants, portant avec son effigie, l'ex- pression d'une de ses volontés wij eischen de vervlaamsching der Gentsche Hooge- school i). Notre intention n'est pas, pour le moment, d'examiner le fond de cette exigence, mais d'en relever incidemment la forme leonine. II est certain que la Wallonië ne pourrait pas se permettre cette arrogance de ton-la, même pour une revendication pareillement fondée. Un rugissement du lion, que dis-je, un simple cri d'angoisse (angstschreeuw), exhalé en uue série de huit consonnes, ferait bien vite rentrer dans son trou le doux Doudou de Mons.,.. pardon de Bergen Aussi nous garderons-nous bien, ici sur les bords de l'Yperlée et a un pas des plaines de Groeninghe, de bombarder nos presbytè- res de confetti chargés de signifier a nos dignes pasteurs les volontés de la popu lation francaise, francisante et wallonne de notre ville. C'est en toute humilité que nous Ies prie- rons, une fois de plus, de vouloir examiner encore la possibilité de créer une messe do- minicale avec prone francais. Une seule mes se sur les 3o ou 40 messes publiques qui se disent le dimanche, reconnaissons oue ce n'est guère. Cela ne saurait mettre en périls les droits des Flamandspar contre, cela sauverait peut-être de périls graves des ümes exposées a se damner, a force de n'entendre que des sermons flamands. Que d'instructions d'une utilité primordi ale perdues pour elles 1 Depuis les éléments de la Religion jusqu'a ces avis pontificaux ou e'piscopaux sur les mauvaises lectures, la profanation du dimanche, les dangers du socialisme, la communion fréquente, les fianijailles, les devoirs des parents en matière d'éducation, etc., etc. Et l'on se plaint de ce que le peuple wallon soit moins catholique que le peuple flamand, lorsqu'en pleine Flandre on l'empêche de s'instruire de ses devoirs de chrétien Certains méfaits de la franc-magonnerie internationale, en France, en Portugal et ailleurs, ont trouvé une précieuse complicité dans l'inaction et la faiblesse, plus ou moins explicables, du clergé de ces pays. Ici oü, Dieu merci, l'indépendance du clergé est encore sauve, on se demande avec effroi si nos pasteurs n'ont pas sur la con science le libéralisme de maints Yprois, des deux sexes, privés par eux de toute instruc tion religieuse. £3 Q *1 £2 Gi£S Si la guillotine s'adresse toujours intensé- ment a notre sensibilité, elle ne parle pas toujours a l'esprit. Cette fois, au contraire, la voix de la sinistre machine se fait entendre avec force, en écho au bruit du couperet tran- chant les jours du criminel. C'est que Favier ne saurait être confondu avec le gibier d'échafaud babituel. II ne s'agit pas ici d'un vulgaire bandit qui fut préparé et poussé au crime par des influences atavi- ques ou de milieu, paries inspirations de la misère ou d'une nature vicieuse livrée a elle- même il ne s'agit pas même d'un déséqui- übré ou d'un impulsif ayant agi dans un moment de jalousie ou d'excitation passagère. Favier a tué froidement, après avoir pré- médité et combiné son crime, d'un esprit pleinement conscient et responsable. II a tué pour voler tout en étant a l'abri de Ia misère. II a tué, malgré Téducation et l'instruction j revues et malgré ses origines et se£ relations j honorables ou passant pour telles, j Au surplus, jusqu'a l'heure de l'expiation il s'est montré inaccessible au remords. Le cas de Favier semble done, a première vue, de nature a dérouter. Et pourtant il est parfaitement normal. La mentalité criminelle de Favier est courante de nos jours. La pru dence seule et non la conscience, fait renoncer au meurtre ceux qui poursuivent un but iden- tique le vol destiné a procurer, sans peine, les ressources réclamées par la soif de jouis- sances. La fin de Favier proclame l'impuissance de l'éducation sans Dieu et de la civilisation la plus raffinée a former un honnête homme et empêcher que ie parfait gentleman ne soit trés souvent doublé d'un sinistre gredin, capable de tous les crimes. VILLE D'YPRES Séance publique du Samedi 3i décembre zgio. (Suite et fin) M. le président propose de majorer de 5oo fr. le credit relatif au frais de représen tations. Pour l'année 1910 le crédit de 1000 fr. aura été insuffisant. Cette majoration est adoptée a l'unanimité moins les voix de MM. Sobry et Begerem. Au sujet du fond de chomage, M. le prési dent dit que la ville de Roulers iascrit a son budget un crédit de 1.000 fr. mais que 700 fr. en moyenne tombent en boni. Une som- me de 3oo fr. aufflra done certainement. L'an dernier nous n'avions prévu que 100 fr. Le conseil aborde ensuite le chapitre consa- cré aux dépenses extraordinaires. L'amélioration du Paddevyverstraat donne lieu a une longue discussion. M. le président, rappelle que la commune de Saint-ïean s'est imposé de gros srcrifices. Si nous ne conti- nuons pas, tout ce travail est inefficace. Une somme de 6.240 fr. est inscrite au budget. L'élargissement de ce chemin est nécessaire. Nous aurons des difficultés avec des riverains, nous n'en continuerons pas moins les négo- ciations. lis arriveront a d'autres sentiments quand ils se rendront compte que le chemin vaudra le double. M. Vandenboogaerde. Sans exproprier même, il faudrait doublerla somme. Et si la ville recourt a une expropriation dans ce cas- ci, il faudrait aussi exproprier dans les autres cas. M. le président fait valoir que pour accé- derau stand, le chemin devra avoir une lar- geur suffisante pour les troupes qui s'y ren dront et que la ville pourra sans doute pré- tendre a un subside pour le travail effectué. La question de l'aqueduc et de l'évacuation des eaux est examinée également par M Le- mahieu. Divers crédits sont inscrits au budget pour la refection du pavage dans les rues suivan tes rue des Chiens et des Boudeurs (fr. 7-®17)» rue Neuve St-Jacques (1.889), rue Ravelin (800), rue de la Boucbe, (1 i.8oo), Marché aux Fripiers (3.102), rue de la Halle i.o36), rue de la Lune (914), rue du Vieux Lapin (1416), rue du Chevalier Jean (1074), rue Ste-Godeliève (1015), rue du Canon (2.949), rue de Haerne (3.740), boulevard de la Station (408 fr.) M. le président dit qu'il a fallu renoncer définitivement a placer la balance publique RNAL ©rgane Catholique TPRES de FArrondissement 1 m 1AUfiurrra na donu'w.r, Ji_ L*J 1 4/\ i 1 n e. AiMAft /S A In nn.nrrttA /i i\n4- 1 L* 1 i

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 1