46 An ée
Téléphone 52
Téléphone §2
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Samedi 1\ Janvier SHI I
10 cenucues ie i'v
W 4665
Eire mi es Pontificales
Cercle Excelsior
td M C£ m m M m P
Fêtes et Concerts
-
La date de la Soiree pour Dames subira
Oü allons-Nous
L'Enseignement heutre
Le crime fait Ia honte
et non pas l'échafaud
Réponse a i?n étourneau
O 21 s'abonne rue au Beurre, 36, A Ypres, et ii tous les bureaux de poste du
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Liete précédente fr. 306.00
Oübekend, t( r eere van de Heilige
Fami'ie, vraagt den zegen over haar,
over de koninklijke familie en over
geheel het katholiek Beigenland. 3.00
De congregatis der leerlingen bij
de Rousbrugge-Damen. 50.00
0 Pius, heilige Vader,
Wij aken luer te gader
Wij smeeken uwen zegen af,
Opdat wij voort tot aan het graf
Volherden mogen, kloek en sterk,
In onze liefde voor Gods kerk.
Et-rw. Heer Dilger, bestierder der
Knechtenweezenscbool, Yper 25.00
Eerw. Heer George, pastoor,
Boesinghe 30.00
Onbekend 2 00
V. S. Bestierder van St-Josephsgeslièht,
Yper 20.00
M. Nap. Meersseman 50.( 0
wt fm 1ras. fta fis m vst I
SALLE J WE INS
Mardi 24 Janvier a 8 1/2 ii,
Jö-geosen La «Via de St Franc .ig d'Assise»
et les Pèlerinages Fracciscains
par M. Robert Havard de la Montaguei
homme de lettres a Paris.
Les conférences suivantes, dont les dates
seront annoDcees ineessammeiöt, auront lieu
en février et au début du mois de mars.Files S
seront données par
M. le baron de Haullevilleconservateur
du Musée colonial de Terveuren, qui a
bien voulu accepter de remplacer M. le
professeur Ed. De Jonghe, empêché
par M. Joseph Easier
et par Mme la baronne de Margueron.
Entree libvc pour les a'oonnés.
Les roL-abonnés paient un droit d'entrée
de 1 fr. par conference.
i
La SOIRÉE-TABAGIE de la Fanfare
Royal aura lieu Samedi prochain 2S Jan
vier, et non le Samedi suivant, coinme nous
l'aviong annoncé dans notredernier numéro.
probablement encore un changement, mais
le GRAND CONCERT reste fixé au Di~
manche 20 Février, a 7 1/2 h. a la Salie
Iweins. i
La vie du journaliste est une vie absor-
bante. Débordé par le tohu-bohu des faits,
qui so partagent les colonnes de nos jour-
naux, il 11e nous reste qu a réflécliir stérile-
ment sur la rapidité du temps qui passe.
Nous n'avons pas l'utile loidr du recueille-
ment.
Nous le prenons aujourd'hui et, au risque
de briser le cadre trop étroit dans lequel on
veut restreindre les idéés a développer dans
un journal, nous voulons retenir, parmi les
faits qui passent, ceux qui marquent les ten
dances d'une époque, qui jalonnent le che-
min d'un pays. II sera facile alors de juger
si la tendance est saine, si le cbernin est
droit.
Le mot qui marque notre teaaps est celui
que le Pape a pris comma devise Omnia
instaurare in Christo. Car s'il semble que le
monde devient mauvais a toutes les épo
ques de l'histoire, des hommes dirent cela
c'est qu'on localise sa vue daus une petite
partie du monde. La religion catbolique
parait baisser dans les pays latins. Eile croit
dans les pays germaniques elle crott dans
les pays noufs. Qu'oa so rappelle le ccngrès
eucharistique do Londres et celui de Mont-
réal. Daus ces pays, on arrive a une période
oü le respect général que commande la reli
gion est le signe non equivoque de sou ex
tension croissante.
Au reste, les peuples oat les gouverne-
ments qu'ils méritent. Les justes sont punis
avec les autres, mais les punitions mérité^
sont salutaires pour tous. Nous
nos amis du Portugala un autre point de
vue nous vcyons sans trop d'amertume la
révolution poitugaise, parce que, dans ie
clergé, des prêlröS s'étaient relachés, parce
que les catho'iques y vivaieat dans une
negligence stérile toujours les persécutions
ont été le cbatimsnt des faiblessc-s commi-
ses et leur remède.
Pour se faire ure idéé vraie du ieinps oü
nous sommes, il iniporte de remonter a la
Révolution francaise et de voir en elle un
juste cbétiment dont les executeurs furent
fort coupables. La religion était davenue
chose officieuse c'était de la religiosité la
chariié était m jrte, elle préparait sa paro
die, la pbilantbropiele roi de France
avait créó entre lui et le ptuple un abtnae-,-
paree qu'il avait déiruit le lien qui le liait
au peuple, en^attirant les grat ds a la cour,
par soif de luxe et d'autocratie les provin
ces de France, oü les seigneurs restèrent
cb-sz eux, füreut les plussaines la Vendée
et la Bretagne.
Lo cours des évéuements devait au:ener
la pbilosophie a l'individaaüsme 11 n'y avait
plus cette communion d'idées et de vie qui
avait fait la force cu moyen-üge. La loi
Cbapeli'-r abolit les corporations. 11 fallait
1 individualisme a tout prix, car les carac-
tères n'étaient pas assez marquants pour
avoir leur personnaüté propre.
C'est contre eet état de cboses qui amena
la Révolution fran^aisa que nous réagissons
aujourd'hui et nous retournons vers la civi
lisation chrétienne, cbrétienne dans le fond
et dans la forme. Ci-des3ous nous parcour-
rons un tiiple domaine religieux, social et
politique.
Avant d'aborder Ie point de vie religieux,
il faut signaler le retour k la pbilosophie du
moyea-age. Elle était tombee, parce quelle
avait négligé Ie progrès des sciences. Au
jourd'hui, se basant sur les données scienti-
fique3 iravaillant a la science d faire »,nos
philosopbes catboliques ont re&tauré la
pbilosophie de Sunt Thomas. Ce mouve
ment se maniFstait dès le milieu da XIXe
siècle Léon XIII en fut le g'and promoteur;
il reneontra des hommes a ia hauteur de la
tache dans ce mouvement la Belgique fut
au premier raug.
A signaler 1'ignorance de certains phra-
seurs d'aliure neutre, e'est-a dire anticléri-
cale ainsi, VAlmanack ITachette da cette
année, qui, traitant de' l'histoire de la pbilo
sophie, déclare que toute la pbilosophie du
moyen-age fut «la servante de la théologie».
L'auteur de 1'article ignore le tnoyen age il
ne sait pas qu'il y avait au moyen-age des
philosopbes tres peu orthodoxes i! ne con-
nait ou du moins ne cite pas même la
philosophic arabe (11)
Venons en au point de vue religieux.
Qu'on lise les documents pontificaux sur la
liturgie et sur Ja communion de enfants.
Lorsque ce vieil'ard.qui s'appelle le Pape,
et qui de tous les rois et souverains est le
plus grand et le plus pauvre, parle devaut
l'Univers, tous écoutent et Ies plus avides de
ses paroles sont ses ennemis. Quoi que fasse
le Pape, ils critiquent. S'il fallait les en
croire, le Pape aurait oublié de lenr demau-
der conseil.
Les catholiques mettent k exéeution les
volontés pontificates et voila que le peu de
foi de beaucoup est surpris et leur obéissan-
ce récompensée. On exécute le chant grégo-
rien et on procédé aux cérémonies selon les
régies de la liturgie. Aussitöt les bienfaisants
effets en appara'ssent a tous ceux qui regar
dent. A un simple point de vue psychologi-
que, le cardinal Mercier, partant do princi
pes sur lesquels la psychologie contemporai
ne s'appuïeavec prédilection, conclut Les
cérémonies liturgiques réveillent en nous
éts dispositions des habitudes elles
Févèlent l'homme a lui-même l'association
multiplie les forces et les capacités de l'in-
dividu les perceptions, dont les manifesta
tions religieuses sont l'objet.éveillent le sen-
timentjTe^sentiment incline a Paction l'idés
est un levier 011 Pa appeló idée-force
La communion des enfants Que de flots
d'encre furent versés l'instruction religieu-
ce ne serail plns assez longue le Pape
légiférait pour l'Jtalie il ignorait la situa
tion beaucoup d'enfants ne s'aoproche-
raient plus du tout de la Sainte Table.
En revauche, ou oubliait que la commu
nion re serait plus officieuse que si des
branches tombent, c'est qu'elles sont mor-
tes que la foi des enfants et des parents
s'intensifierait a, la réeeptioa du Christ.
Au point de vue social
De toute3 parts, on n'entend plus qu'un
mot Association! Association La tendance
est tout a fait auti-individualiste. Ede es" le
csntre pied de l'esprit de la Révolution
franchise, aboüssaut les corporations,
Et encore ici, il y a uu document pontifi
cal De rerum novarum, oü, a l'encontre
des philanthropes (le mot est sonore),le Pape
proclame que tous les contrats entre patrons
et ouvriers ne sont pas justes du seul fait
qu'acceptés par les deux parties, que la
situation des contractante est différente; qua
la justice demands que l'ouvrier honnête ait
Ia capacité de subvenir a 3es besoins par son
travailqu'il y ait égalité entre la presta
tion et le dü.
Pour cela, il faut que la solidarité chré
tienne unisse les ouvriers dms un même
esprit que, sans haine, conscients de leur
devoir et forts de son accomplissement, ils
reveudiquent leurs droits que les patrons
y réponlent.
Nous entrons dans un domaine moins réa-
lisé, mai3 dont !a réalisation s'annonce. Lo
parlementarisme est une plaie.Lesdeux-tier3
des députés sont avocats. Le système
électoral veut de continuels remaniements.
Déja s'entrevoit Ie jour oü la société, lassée
de eet individualisme qui nousohsède,saura
que les intéréts qui lient les gens d'une
même profession sont plus grands que ceux
qui lient des gen3 d'une même et trop limi-
téa région jue les organismes profession
eels ayant a leur tête des hommes aptes a
les diriger et constitués de membres intéres
sés k leur développement seront des grou-
pes d'électeurs mieux instruits et plus capa-
bles. Les représentants do ces organismes
constitueront le parlement. Voici ce qui se
prévoit dans un avenir qui pourrait n'être
pas trop éloigné..
Nous concluons Notre civilisation sera
chrétienne. Elle se développera par la
solidarité chrétienne qui, se manifestant
dans tous les domaines, religieux, social
et politique nous soutiendra. Notre de
voir est de travailler a cette restauration de
tout dans le Christ. Nou3 la voyons venir.
Nos enfants le verront se faire. Alors règnera
Gelui que tous nous recherchons et qu'en
ce temps de l'année liturgique, l'office glori-
fie en le nommant avec Isaïe le Prince de
la Paix.
Extrait d'une Lettre Pastorale de Son
Eminence le Cardinal Mercier
L'éducation que vous donnez a vos en
fants, que vous voulez pour eux, qu'est-elle
sinon la preparation a la vie
Et si la vie a pour terme unique l'état de
grêce et la charité, que vaudrait une educa
tion qui ne conduirait pas l'enfant jusqu'a
l'état de grice et la charité 't
Trop souvent ïonse représente l'ensei-
gnement du catéchisme a l'instar d'une lecon
de religion donnée aux jeunes enfants pour
les instruire, et l'on se persuade alors que le
but de Venseignement est atteint, lorsque l'en
fant parvient a répéter, avec exactitude et
avec une compréhension appropriée a son
age, les notions spéculatives qu'il est parve
nu a s'assimiler.
Non, chers parents, mille fois non, vos
enfants eussent-i!s la science approfondie de
tous les mysfères de la religion leur foi füt-
elle assez-forte pour soulever des montagnes,
tout ce savoir, c'est Saint Paul qui vous le
dit, serait de mille valeur, si vos chers petils
enfants n'aimaient pas leur Seigneur et leur
Dieu, Notre-Seigneur Jésus Christ, de tout
leur coeur, de toute leur ame et de toutes
leurs forces, et s'ils n'avaient pas appris que
l'on ne peut sincèrement aimer Dieu qu'a la
condition d'aimer en même temps tous nos
frères en Jésus-Christ par amour pour Dieu.
Et voila pour quoi, laisse^-moi vous le
dire en passantvous êtes strictement obliges,
au nom de voire foi chrétienne, de répudier
pour vos enfants un enseignement que l'on
appelle neutrec'est-d-dire un enseignement
sans religion.
1 Et pour les mêmes motifs, au nom de
cette même foi que vous professen et qui fait
Lhonneur et la force traditïonnelle de vos
families chrétiennes, vous êtes strictiment
obliges de répudier pour vos enfants un en
seignement religieux qui serait donné par
un homme qui n'a pas foi a la religion qu'il
enseigne.
n Je suppose eet homme intelligent et sin
cere. La supposition contraire serait gratui.
tement injurieuse pour lui.
Or, un homme intelligent est-il capable
d'enseigner une doctrine sans la juger ni se
dire intérieurement tout au moins, qu'il la
croit vraie ou qu'il l'estime fausse
Et s'il est sincere, s'il a le souci de met-
tre sa parole, ses gestes, son attitude, l'accent
de sa voix et la puissance communicative de
ses sentiments en harmonie avec sa pensée
intérieure, lui sera-t-il possible de toujours
dissimuler
Concevez-vous un maitre d'école intelli
gent et loyal qui ne pense rien, ni en bien ni
en mal, sur Dieu, sur Jésus-Christ, sur l'Egli-
se et sur l'Evungile, ou qui, pensant bien ou
mal de ces grands mystères qui sont a la fois
ce qu'il y a de plus intime a l'ame et de plus
considerable dans l'histoire, ait le triste cou
rage de n'en jamais rien dire et de se réduire
au róle humiliaat de machine pariante sans
ame et sans vie
Non, mes frères, ce maitre d'école est un
mensonge.
L'instituteur qui est neutre n'est pas un
maitre, et du jour oü il devient maitre il
cesse d'etre neutre.
Les chefs de tous les partis devraient
tenir a honneur de se mettre d'accord sur
cette vérité fondamentale, dont la negation
est une insulte a la personnalité ou au carac-
tère de ces hommes dévoués qui, a tant de
titres, ont droit a nos égards, les maltres et
les maitresses de notre enseignement public,
officiel ou libre.
13 13 O 0 0 0
L'opinion pubüque a approuvé le prési
dent de la république juive d avoir rompu
avec la tradition de Ponce-Pilate, lequel
élargiss&it les criminels et livrait les justes
au bourreau.
Le bandit Vantaz méritait d'êtra gracié,
araisonde l'acte de dévoüment qu'il avait
accompli en sauvant un homme au péril de
sa vie tandisqu'on cherchait vainement
F
dans la vie de Favier de quoi lui mériter la
même faveur.
N'empêche que, si mérité que füt le cbati-
ment par lequel Favier expia son crime, la
foule et parmi elles de proches parents
de la victime la foule a trè^ mal agi en
pouisuivant jusqu'ü la fin le criminel de sa
haine implacable et en l'accablant de ses
cris incessants a morta mort
Cette attitude de la foule n'était pas seule-
ment d'uno suprème inconveDanceelle
était doublés d'un singulier pharisaïsme.
Combien parmi ceux qui ss soDt voilé la
face devaut !e crime de Favier tant parmi
les Lillois que parmi les étrangers mis au
courant de son crime par leur journal
combien out la conscience chargéa de for
faits plus graves encore, aux yeux du
Justicier suprème
Combien ont peut-être épargné la vie de
leurs semblables, mais ont toé des araes
Combien de pères de familie ont app'audi
au sunplice d'un jeune homme égaré par la
soif des plaisirs, qui ont assez mal éduqué
leurs lils pour leur donner une mentalité
ideatique et en faire dès raaintenant de mé-
prisables jouisseurs, injustes et voleiirs,
prêts a tous les attentats, prêts au duel,
prêts au suicide, prêts aux sabotages les plus
criminels, prêts aux atroces boucheries anar
chistes.
II est certes odïeux ce crime de Faviér,
ravissant leur père a deux ou trois enfants
en bas-age. Mais plus execrable encore le
crime de3 gouveraants qui envoyèrent ce
criminel a l'échafaud et qui se servent de
leur puissance pour priver des miUiers de
pères de familie de leur droit Ie plus sacré,
celui d'assorer le boaheur véritable et la
vraie dignité do leurs enfants.
Ces hommes-la, lev pharisaïques vengeurs
de Thain ne les enverront pas a l'échafaud
tout au contraire, ils leur éïèveront des
statues, comme ils en ont élevé a leurs de-
vanciers. Mais qu'coaque sait mesurer
l'énormité de leur crime, songe au mot de
de Maiaire et e=time que s'il faut élever des
statues a ces criminels-la, c'est plutot par la
main du bourreau.
Nous avons relevé récemment I'étourderie
commise par le Proarès le jour oü il
recueillit l'entrefi'et tendaneieux d'un ex-
officier au sujet de la baisse de la rente.
Notre confrère récidive et, sans plus re-
courir, c^tte fois, au concours d'un guerrier,
dégoüté de la caserne sinon de la politique,
il reprend le thème de la mauvaise gestion
linancière de nos amis. Mais combien
maladroitement
II prétend que la faute en est au gou
vernement et, sitot qu'il se dispose a le
prouver, il approuve ingénument que nos
capitaux.au lieu de soutenir la Rente d'Etat,
cherchent d'autres emplois plus rémuné-
rateurs
Nous n'avions d'ailleurs pas besoin da son
aveu pour savoir que les affaires industriel-
les ont requis et accaparé les faveurs, gr&ce
au gouvernement sage et modéré qui préside
aux destinées du pays.
Ce n'est pas tout. Le «Progrès» recon-
nait, avec notre ministre des finances, que
la rente anglai6e a baissé tout comme la
notre. II n'a pas l'air de se douter que ce
rapprochement achève de nous rassurer a
l'endroit d'une situation qui, de son aveu
encore, n'est pas inquiétante.
Est-il encore nécessaire après cela de faire
observer que si l'Angleterre n'a pas hésité
a laisser fléchir ses fameux consolidés pour
s'annexer le Transvaal, nous aurions eu bien
tort de ne pas faire de même pour nous
annexer le Congo, et cela a bien meilleur
compte
Qu'en pensent les patrons du Progrès
car le jeune M. des Ciseaux nous fait
«ïöty
D'TPKES
©rtgane Satholiqué
de l'Arrondissement
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