m m m m m m m m m - hï-igm^ Le début d'une marine coloniale beige h 4 La Culotte Disposilif du Carême Un trenuLlement de terre au Congo La cour internationale d'arbitrage Un procédé retrouvé La Chambre ut m m m m. Deux déclarations ministérielles °"g" Repos dominical PHARMACIEN DE SERVICE Football awe: docteur Lodewyckx, professeur a l'ÜDiver- sité de Stellenbosch (Transvaal), pourra se féliciter d'avoir atteint son but vendredi soir, si, comme il y a lieu de le croire, sa conférence tend a favoriser Immigration vers le Haut-Katanga. L'excellente description qu'il a donnée du*i pays était accoinpagnée de projections lumineuses. Les ressources minières de ces regions, sur lesquelles il s'est longuement étendu.auront eu pour effet de vaincre peut-être les hésitations de cer tains spéculateurs de même que les nom- breux détails sur les salaires auront fixé les ouvriers qu'aiguillonne Immigration. E9«l913f9f3i9i9l3 Au milieu de chaleureuses ovations s'est effectué il y a quelques semaines, Anvers, le départ pour le Congo de Elisabethville le premier navire beige créépar une com pagnie nationale pour le transport des voyageurs et marchandises de Belgique vers sa colonis africaine.Jusqu'a présent,produits et passagers beiges a destination du Congo avaient toujours navigué, faute de steamers nationaux, sur des bütiments étrangers aDglais, allemands, portugais. Tour a tour le Roi Léopold II et son héritier présomptif, alors prince Albert, avaient fréquemment signalé le désavantage óconomique que leur pays s'infligeait en demeurant tributaire de l'étranger pour ses transports maritimes et ils avaient proclamé que la Belgique ne sera jamais en mesure de tirer de sa eolonie tous ses fruits, que le jour oü ses enfants et sa production navigueraient bous son propre pavilion. C'est a ces judicieuses exhortations que répond enfin la création d'une flottille de navires beiges a destination de l'Afrique, navires dont le premier a regu le nom de la jeune Reine. On assure que le roi Albert s'est patriotiquementintéressé desesdeniers, dans cette exécution, en vue d'encourager la constitution d'une vaste marine marchando, capable de participer te la lutte pour le com- mandement de la mer,au point de vue stric- tement économique. Dans tous les cas, le départ de VElisabethville, sur lequel s'incor- porent ces aspirations, a été salué comme ie début d'une ère d'activité nouvelle. Ce paquebot, de dimensions importantes, est muni,comme Ie seront tous le3 batiments de la Compagnie nationale, de l'appareil de télégraphie sans til, qui lui permettrade se tenir cirectement ou indirectement en com munication, pendant une grande partie de la traversée, avec la mère-patrie. les' gardes Fores titers, l'cs employes teil Service sur les trains des cliemins de tfer et sur les trams, les employés techni ques de l'administration des télégraphes et téléphones en sendee actif Te long des lignes, les Facteurs de la poste, les. employés des accises en activité et ]es bateliers. Nous accordons la même dispense 1° a 'ceux qui log'eut et nourissent ia troupe du rant les manoeuvres on en d'autres Oc casions de ce genre. 2° Aux ouvriers Occupés aux li.au ts- fourneaux, aux fours de verreries, jdans les mines, et les carrières. iVII. Nous croyons devoir rappeler a tous nos diocésains que les1 jours tie jeune, jojutre le Carême, sont les jVfer- credis, Vcndredis et Samedis dés Quatre- Temps, les Vigil es de la Pentecóte, de l'Assomption {de l'a S'e Vierge, de la TouS- sjaint jet de Noël et que tous les Ven- dredis de Tannée il est défendu de jnan-i iger de la yiande, a 1'exception de la Noël et de la Circoucisioln jde N.-S. (1 Janvier), lorsque Ces 'fêtes tombent jm .Vendredi1. VIII. Vu les circodstances du temps, 'et eu vertu des pouvoirs spéciaux que N. S. Père le Pape Nous a accordés, Nous penneltcns a tous nos diocésains jde faire, cette aunée, usage de vian'dje, 'même plusieurs fois, les jours de Saint Mare et des Rogations. Pour les tnêmes motifs et en vertil des meines pouvoirs, Nous permettons, jus- qu'au Carême de l'année prochaine, a tous 'nos diocésains de faire également usage de viande, même plusieurs fois l'e jour, tous les Samedis en dehors du Ca rême, qui ne sont pas des jours de semble en dix fois moins de temps qu'il no 1 arme'e, que eet esprit qui dispose le soldat faut pour les décrire. exécuter comme a contre-ccEur les ordres minute les fruits de dix- de ses cbefs doit être attnbue particuliere- ment a l'affaiblissemeut de ce quej'appelo En moins d'une sept ans de labeur ont été en grande partie dótruit8 1 Toutefois quelque grave que soit ce désastre, nous pouvocs nous féliciter de ce qu'il ne soit pas survenu quelques instants plus tard. Les 700 enfants qui suivent les i voir ómane de Dieu ot que, dès lors, les classes chez nous et cbez les soeurs, se se- raient trouTÓs en récréation sous les muis rai l'obéissance religieuse, l'ofcéissance de la foi que eet f sprit doit étre attribué a l'affaiblissement de la notion que tout pou autorités établies doivent étre respectées. M. Heemskerk, chef du cab'net, a dit, de dont les faites ont été abattus. Sans aucun gon cöté doute nous aurions eu a enregistrer quelques malheurs. Il nous faudra maintenant calculer l'ét-en- due des dégats. Tous nos btetiments, église, maison, classes, ateliers, magasins, étables, sont tendus, lézardés, en partie écroulés. II nous faudra examiner ce qui pourra être réparé. Nous commenceroos par le déblaye- ment et la réparation des toits, car nous sommes en pleine saison des pluies. L'infil- tration des eaux démolirait ce que le trem- blement de terre a respecté. Nous nous remettrons courageusement a l'ouvrage nous ne mesurerons ni nos pei ne», ni nos sueurs pour remettre en état cette mission, la plus belle a tous les points de vue, de fout le Congo beige. Nous osons espérer que noscompatriotes nous viendront généreusement en aide. Pour tout réparer reconstruire il nous faudra au bas mot 15 000 francs. I Je crois que la disparition de la dernière éeole cfflcielle serait un événement heureux j' peur la Hollande. La première qui, d'aventure, En culotte psa s'avancer, C'était hier, ce qu'on m'assure, Fit un scandale a tout rasser, Comfne aussitöt la raillerie En mots; sonores explosait, Elle du t, la pauvre chérie, Fuir au' fond d'u,n water-closel. Mesdames, nous jsavons, jde reste, Que depuis1 longtemps, j'cn rougis Vous portez, et de f'agoin preste, La culotte en voire logis'. Mais si,' la risquant dans la rue, Yens faites; hurl er les geus doux, Pour ljal mettre sans qu'on vpus hue, i'ntcresser, feröttt la même preparation qii,e pour la colle, mais eu remplagant tori t jou partie de Tamm'oniaque, par une quanUlé double ou triple de lait |de fchaux i\ 200 gr. par litre. Pour ce pi ment, Paction de la chaleur esl inu tile, lal dessication pure et simple suffit a provoquer le durcissement. La caséiuc jétant jdu from age blanc (lait Caillé), lavé et déssêché, a basse 'température, on peut toujours rempla- jcer la1 caséine par le lait Caillé, en met- tant natiirellement moins d'ean. Qu'on n'aille, toutefois, pas exiger la caséine de ses locataires Comme au temps jadis. Lés redevances, autant quo les seigneurs, put fait leur temps. Toux - Rhume - Pastilles Keating, voir aux annonces G£ £i SJ Ci Ci CJ Eh vertu iles facullés spéciales que Nous avons revues du Saint-Siège, Nous ójccordons, du ran t le Carême de la pré sente année, les dispenses: suivantcs[: I. II lest permis de faire usage de beur- re et jcle 1 ai lage, coinme aussi de graisse fondue, tous les jom-s jdu Cjarêine. II. II est permis de manger des ceufs tous les jours, excepté le Mercredi des Cetidresi et le Vendredi-Saint. Les per- sonnes tenues au jeune ne pen,vent en manger qujune seule fois Ie jour, jen jdehors' Ides Dimanches, et cela au repasj principal, et nojn a la collatilojn j Ce qu'el- les dojvent observer les autres jours jde jeune pendant l'année. II est permis jde se servir d'oeufs pour preparer d'autres mets, jtous les jours du Carême. •III. Nous permettons l'usage de la vi ande les Dimanche, Lundi, Mardi, Jeudi et Sarnedi de chaque semaine, excepté lo Sarnedi des Quatre-Teinps (11 Mars) ehlö Samedi-Saiut. Lés per spun es tenues,1 aji j'eüne ne peuvent nianger de viande qu'une seule fois le jour, en dehors des Dimanche et cela au repas principal, et jicn a la cpllatiojn il en est de même du bouillon et idu jus. de viande. IV. II est défendu, même a ceux qui peuvent faire gras, dei manger de la yiany de et du poisson au même repas, non settlement tons les jours du Carême, y compris les Dimanches, mais encore tous les autres jou,rs de jeune pendant l année. j V. On est oblige de réciter trois Eater et trois Ave et line fois, les actes de Eoi, id'Espérance, de Chaxité et de Coiutriliou, chaque jour qu'on profitera de la dis pense de manger de la viande. On pour ra (dependant s;e libérer de cette obliga- tioix, ten versant dans le Lr one du Carême une gumöne, chacun selon sa dévolion, VI. Nous acoordons aux militaires jde tout 'grades, a leurs femines, a leurs en fants; et a leurs domesLiques, pinsi qu'aux autres personnes attaehécs de fait au service militaire, la perinission de faire gras tous les jours de l'année, ex cepté le Vendredi-Saint. L'usage des oeufs leur est pernn tous les 'jours gans exception. Aux militaires Npus assimilons1 les gendarmes, les douaniers et lés agents de la police prbaine de Service ja'ctif, IX. Nous accordons a tous les Curés et cöhfesseurs le pouvoir de dispenser jdans des Cas particuliers, en tont ou en partie, du j'eüne et de l'absfinence pil de changer ces obligations en d'autres oeuvres de piété, a condition que la de- mande se jus tifie par un mdtif raison- nable et ne provionne pas uniquement de la crainte qu'inspire la mortification chrétienne. Cette dispense ne peut s'é- tendre au de 1;\ d'un an. Les malades et les personnes faibles Idc santé se règleront d'après les ordon- nancesj d'un médecin Coinsciencieux. X. Conformément au désir du Sou- verain Pontife, Nous engageons les fid te les, qui1 ferOnt [usage de ces dispenses, multiplier les bonnes oeuvres et sub top t a observer exactemcnt lejorécepte du jeune et de l'abstinence. Nous avons dit qu'un tremblement de terre avait éte ressenti au mois de décembre der- nier depuis Dare8salem, sur la cote est d'A- frique jusqu'au Tanganika. Une lettre de Mgr Iluys, évêque coadju- teur de Mgr Roelens,datée de Baudouinville le 14 décembre dernier, apporte des détails navrants sur les ravages causés a la station de la mission de Baudouinville par ce trem blement de terre Les tremblements de terre sont fréquents dans les régions du Taganyka et du Kivu. Du mois de novembre 1909 au mois d'avril 1910,on en a noté neuf a Bsudouinville.Mais jamais ces mouvements sismiques n'avaient été assez forts pour produire quelque dégét. Le 18 mai 1910, jour oü la terre passait dans la queue do la comète de Halley, il se pro- duisit une secousse plus forte. Quelques lé zardés déchirèrent les murs de certains ba timents et deux voütes de l'église de Bau douinville furent fendues. Mais ces fentes ne présentaient aucun danger. Le 13 décembre 1910, a 1 h. 47 de l'après- midi (temps local), un bruit souterrain se fit entendre et la maison d'habitation des mis- sionnaires se prit a trembler. En même temps on entendit un ftacas épouvautabledepier- res et do briques qui s'abattaient sur les toits, sur les planchers et sur les trottoirs qui entourent les batiments. Tout le monde se sauva.Un père malade de la fièvre,depuis plusieurs jours, dut être emporté dans la cour.Lalesmissionnairesassistèrenlterrifiés, mais impuissants a un spectacle désolant. Nous vïmes les portos arrachées de leurs gonds, écrit Mgr Huys, les briques se déta- cher et tomber avec fracas, les murs se lé- zarder. Les cheminéas arrachées de leur base, s'abattaient sur les toits de tuiles et les défoncaient. La tour de l'église balancait comme un jauue arbre agité par la tempête. Les clochetons et la balustrade qui la cou- ronnent furent enlevés et tombèrent avec fracas sur le trottoir, la flèche, construite en maconnerie, s'agitait comme un roseau, se disloquait et se disjoignait de tous cótés. La balustrade qui court le long du toit de l'église se tordit comme un reptile et se dó- chira. Tous ces dégats se produisirent en- iF Ifë ifè Ditcs-hioi, comment l'erez-vous En voiture, courbant Téchiue, Cette cour qui se réunit en ce moment a La Haye, sous la présidence de M. Beer- naert, est appele'e te trancher le cas de Savar- j kar. Vinayak Damodar Savarkar, doit il, con formément aux règ'es du droit internaiional, être restitute par le gouvernement anglais au gouvernement de la République fran^aise Tel est le point de droit que la Cour per manente aura a examiner. Savarkar a été condamné deux fois a mort depuis son évasion d'un paquebot anglais sur la rade de Marseille il appartient aux criminels politiques car eet Hindou authentique ne poursuit qu'un but repren- dre les Indes aux Anglais. Savarkar fut, d après la tbèse frarcaise, la t victime d'une extradition irrégulière et cette irrteguiarité entraine la nullitte de sa remise et la ne'eessilé de le rendre au sol frangais. C'est, a déclaré M. Beernaert, la pre mière fois qu'un procés del'espèce, engageant l'indépendance nationale, est soumis te un arbitrage. Cet arbitrage est sans appel. Le problème est trés vaste en ce sens que toute la matière de ['extradition va être examiné au cours des débats qui prendront huit audien ces. M. Beernaert a bien voulu donner te un confrère, certains renseignements sur l'orga- nisation du tribunal arbitral. Chaque partie l'Angleterre et la France est représentée par un agent, avec mission de servir d'entermédiaire entre elle et le tribunal. Le tribunal arbitral pourra, s'il l'estime né cessaire, demander a l'un ou a l'autre des agents de lui fournir des explications orales ou écrites auxquelles l'agent de la partie adverse aura le droit de répondre. II aura la faculté d'ordouner la comparu- tion de témoius. Les parties peuveut fiire usage de la lan- gue frangaise ou de la langue auglaise. Les membres du tribunal pourront se seivir, a leur choix, de la langue frargaise ou de la laugue anglaise. Les decisions du tribunal seront rédigéts dans les deux langucs. La decision du tribunal devra être rendue dans le plus brei' délai possible, et, dans Resterez-vous trés prudemment Pour éviter qu'on ne yous chine, Oa vaudra rnieux évideminent. Mais si l'ön yeul suiyre la mode Dans tee qu'elle a de plus rupin, Ci'est une drole jde méthode Que de la porter en sapin Vous entourerez-vous d'un yoile Biarrant le regard jndiscret, Comme la scinlillante étoile Sous un nuage disparalt Pour éviter qu'on n'aocompagnc Vos pas de propos discourtois, Déploierez-vous, tel un grand pagne, Les quatre pages du Gaulois Si la foule, aptour de vous1, rode, j En quête de charivari, i Direz-voius «Je suis Esquimaude .Vive l'e öbmnnindant Peary l Ou bien: Moi, Fatma, Jeune Turque, Aimer Parisien blond ou br.un Djans tee cas, je suis presque sur que j Vous pöurrez lancer un empruilt Cette culotte a, tout de même, Quelque chose de bien gênant Vculez-vous mesdames, que j'aime, Un conseil d'homme maintenant MetteZ par dessus cette sotte, Une jupe longue... Rrtivo Et raccourcissez la culoll'e... C'est ga qui paraitra nouveau!! Adrien Yély. D'après' une tradition, qui a cours jdans nos régions, la solidité1 exception- helle de ceriaines magonneries datant duj moyen-age proviendrait de ce que les: seigneurs, lürsqu'ils faisaient teenstruire leurs tehateaux, exigeaient de lteurs serfs l'apporl de tou,tJ le lait jde leurs jtröu- peaux pour en confectiojnner le mortier desliné a ces constructions. II nous serait impossible de garantir 1'exactitude de cette tradition mais elle no vis semble bijen dans TeSprit de la féddalité. Defacqz, dans sou Ancien 'droit belgiquedit que, dans nos pro vinces, les seigneurs en général ©xi- geaient do leurs nasseaux une infinite jde redevances1. La nature de ces taxes* tous les cas, dans les trente jours qui sui- 1 Varlait dans' chaque seigneurie. vront la date de !a réunion a La Haye ou (^u<>i(Iu iI cn soiL le mortier au lait celle de la remise des explications écrites k jredevietU en honneur sous la dénomina- qui lui auraient été fournies a sa requête. I plus! m°derne de ciment a la caséi- Ce litige, qui met en branie tant de hautes 1 n\T personualités et qui a fait couler déja tan* 1y'°iusi teutons que nos leclcurs a d'encre le dossier comporte une vine-faino 'ir'i0['ns 'd'être marchands de frOmages de volumes A—uBe iDtoussent la oi,ri»»iM 4j gÓ3 entre 1 1 1 1 H» IÈ Mardi a8 février. M.Mabille,député catholique de Soignies, interpelle M. lo ministro de l'industrie et du travail, sur le lock-out des 2500 ouvriers carriers de Lessines qui dure depuis !e 11 novembre. L'honorable membre expose les éléments du cosflit qui divise patrons et ou vriers il regrette vivement qu'on n'ait pu concilier les parties il attend beaucoup de l'intervention du minisfre qui aura droit ainsi a de nouvelles félicitations de la Cham bre. M. Hubert fait connaltre la crise dont souffre l'industiie dis pavés depuis plusieurs années et les moyens que les patrons ont voulu employer pour y porter remède. De nouvelles propositions d'entente ont été faites sarnedi par M. Cooreman,pré.-ident de la Chambre el'es out été acceptées par les patrons. M. Mabille estimequeles propositions ne sont pas fort c'aires. A la suite de l'intervention de M.Mansart, M. le ministro propose qu'on travaille le sarnedi jusqu'a 4 heures et que la paie ait lieu tous les deux samedis. La suite de la discussion est remise au len- demain. M. Vandervelde interpelle M. le minis- tre des sciences et des arts au sujet de3 vexations dont aurait eu a souffrir nue ex- religi8use,institutive communale a Muysen. Mercredi i' Mars. Suite de la discussion du projet de lui sur les mines. MM. Persoons et Vict. Delporte, médecins l'un et l'autre, s'occupent de Ia situation sanitaire des mines. M. Caviot dépose un amendement tendant a la création de caisses de secours de maia* dies dans chacun des charbonnages, ces cais ses 8eraient alimentées par un versement égal des patrons et des ouvriers. M. de Gbellinck proteste contre cet amen dement. La mutualilé beige qui est repré sentée par un million d'hommes s'est pro- noncée a maintes reprises pour le maintien du libre choix par chacun de la société d'as- surance8 a laquelle il voudrait s'afTilier. M. le ministre de l'industrie et du tra vail fait part a la Chambre des propositions transactiounelles acceptées par Vs patrons carriers de Lessines au nom des ouvriers, MM. Mabille et Mansart déclarent y adhé- rer. Le travail sera done repris. BURGERSTAND VAN YPER Verklaring, van den 21 Feb. tot den 3 Maart 1911. Geboorten Demeulin Simonne, Dickebuschsteenweg Dehouck Sertha, Zonnebekesteenweg Ollevier Suzanne, Pennestraat. Mangin Simonne. Gustaaf de Stuersstraat. Maes Willy, Bellewaerdestraat. Vanlimburg Joseph, Zonnebekestee weg. Philippart Rosanna, Patteelstraat. Huwelijken Casieleyn Edouard, steenhouwer, wedr. Mon tague Sidonie. en Legrand Clementine werk vrouw, beiden te Vper. Houvenaeghel Georges, bloekorsgast, en Olle- vmr Juha, kanten werkster, beiden te Vper. Tillie August, brouwersgast,en Lacroix Agnes, dienstmeid, beiden te Yper. Vanhoorne He; ri, metser, en Dethoor Auna, z. b., beiden te Yper Cleenewerck Camille, mijnwerker, en Pallois Juha, kantenwerkster, wed. Casteleyn, beiden te Yper. Lussaert Henri, bleekersgast, en Blieck Pha- railde, dienstmeid, beiden te Yper. écrits par les deux pays et'échan- curtöfté -i,lfciu?a voufoir fen" 1 Dumon ChatleM^vóddenkooper wedr eux depuis six mois - a done experience tie se batir une maison Quinten Pheremie, Blomme Emerentie en Logis pour but de trancher une bonne fois la ques tion relative au droit d'asilo la police a-t- elie le droit da s'emparer d'un fugitif qui a gagné un autre pays que le sien Toute la question est la. M. Beernaert considère, la mission Jont il vient d'etre investi a la fois par la Franca et par l'ADgleterre, comme un honneur saus précédent pour lui Ce sera, a t-il dit, le couronnement de ma vie. en Hollande M. Colyn, le nouveau ministre de la guerre, a dit ces jours-ci a la Chambre d après les A nnales Parlementair es J ai toujours la conviction que l'esprit de désobéissance qui se manifeste ga et lte dans nvec dn ciment a Ia caséine. Notts you,- jlons leur olfrir quel'que chose de plus pratique une recette qu,i n'est pas en latin et tout a fait gratuite, contraire- ment a celles de njo(s niortiooles, une recette de colle. a la caséineCette ctelljc! est instanlanéei, a; condition jde lui fai re subir une chaleur de 80 a 100 degrés. Caséine en poudre 200 gr. Eja,uj froide li trie. AmiUoiniaque 40 gr> ;Ou dilue la caséine dans l'eau, et jou njoute peu après rammoniaque Ia $aj- 1 'séine qui est d'abord simplement eln sus- i pension, sie dissout au.s,sitöt cn formant iUne colle bien homogèiie, que Ton peut (c elaiyer, suivant les besoins, dans l'eau ordinaire et qui se conserve si l'on prend Ia precaution d'y m'élanger im antiseptique quelcjonquc, tel que le nhé- W, Ie sublimé. jUesi restauraleiu's öu les balisseurs cn stylo gothique que le procédé moyena- geux du. ciment jt la caséine pourrait Rosalie, echtgt. Kestelyn ÈugeniV. '^onnebekè* steenweg. Vandeuberghe Henri, 5 m„ Meenensteenweg. Decroix Suzanne, 6 j., Groenestraat. »TTr iHte?rL'68 1 K0P0nslonneerde stad- buisbode, echtgt. Gremonprez Melanie, De Haer- nestraat. Seys Henri, 3 m. Eukkerstraat. Deprez Mathilde, 66 j., z. b., Wwe Lapiere Edouard, Popennghesteenweg. eemit'i1!11,! Emer®DCe- 55 j herbergierster, echtgte Labaere Henri, Statiestraat vaiidendriessehe Simonne, 3 m., Vandenpee- Dimanche S Mars A. YVECKESSER, rue de Dixasude, 6S Dimanche 5 Mars, a 3 heures, au Vólo- «rome, grand match de football entre P. C. Poperiughe et F. C. Ypres. Entrée 0.25 Tribunes 0.50 ■GSBcSSi 9 i i-e»

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 2