KABEL van RIJN Téléphone 52 Téléphone 52 üÉl m m m m m w m m m m m a ês sa s m ei m m w la Chambre w Samedi 25 Mars K i l 10 ceniimei le ft1 46 Anisée N 4674 Sermons Francais I avidsfonds Grande Soiree Értistique 1q Jeudi 30 Mars Les pères et les enfants Sévère mais juste Oa s^afeoraaxe rue au Beurre, 36, ik Vpres, et Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. SO C. par ail pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. A tou© les bureaux de post© du royaiim©» Les annonces coütent 15 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal So centimes la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémenfcsires coötept <0 francs les cent exemplaires. Pour les annonces de France et de Belgique (exceptê les deux Flandres) s'adresseï VAggtSêg Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse. par Ie Rév. Père GODTSCHALCK, S. J. Le Jeudi 2 Mars, et tous les Jeudis suivts, jusqu au Jeudi Saint, 13 Avril inclus, 00 son sens l'église de St Nicolas, au salutde 5 1/2 li. Sujet Les passions humaines contre Jésus (Conférences Eyangéliques). d j h. du soir, au VOLKSHUIS organisée par la Section Yproise du DAVllSFONDS avec le bienveiilant concours de du Théd'.re Royal F lam and dW nvers. camaraderie chargée de faiblesse comme dit Corneille, et qui ne peut avoir que de funestes suites. Aimer ses enfants saus les respecter et c'est-a-dire ne point leur cacher ses fautes, ses erreurs, ses faiblesses, disons plus vrai, ne pas savoir s'interdire a cause d'eux, faiblesses, erreurs et fautes, c'est ne pas les élever prenez le mot dans tout c'est les ra'oaisser ou les tenir 1 dans leur abaissement originel. II faut, par I respect pour les enfants, se laisser purifier I par eux, Ce père parlait vrai qui disait I Je les garde ils me gardent aussi, et eux I moi plus que moi eux. I D'autre part, se laisser aimer par ses enfants sans s'en faire respecter, c'est égoïsme puéril, plus puéril que tous les sentiments a que peuvent avoir les enfants eux-mêmes. L'enfant qui aime son père sans le respecter ne sait pas ce que c'est qu'être enfant. II ne g mesure pas la distance d'une génération a I l'autre, ce qui est l'essence même des rela- tions de familie et des devoirs de familie. 11 p aime son pere comme un frère, sa mère comme une soeur. II dispute avec eux, ce qui jj fils de quatre ans ne peut cspérer que c u'a rien d'incompatible avec l'amour, mais ce I ci le respectera jamais. cette admosphère d'apothéose, devient con- descendant et protecteur, souvent railleur a l'égard de ses parents versdix ou douze ans, Puis, tout ce qu'il peut faire s'il a un bon naturel, c'est de se ramener, vers quinze ou seize ans, aux termes d'égalité avec ses parents égalité de courtoisie, du reste, lais- sant au for intérieur du j :une hornme le sen timent de sa supénorité, égalité cependant.. comporlant eompagnonnage, familiarité et camaraderie de bon garcon. Mais c'est tout ce que i'on peut obtenir du jeune homme de bon naturel ainsi éievé. II n'y a rien de plus amusant que les réactions et courtes révoltes et trop tardives des parents contre leurs enfants a eet égard quand la familiarité va décidément trop loin ou simplement, quand ils s'en apercoivent, ils se rebiffent brusque- ment, et, recalcitrants, rappellent a la pudeur et au respect avec un étonnement et ün scan- dale burlesques. Le respect ne s'impose pas par soudains éclats. 11 s'établit lentement insensiblement, par l'habitude qu'on donne de lui Le père qui a été en extase devant son 1 ui- bonnes a ceux qui nous combattent et qui ne uceès éphémère a tourué la tête. Déja elle se feront pas faute, chaque fois que nos en veut un nouveau, précisément par rap- amis ne'seront pas au poste, de les surpren- port a la nouvelle loi scolaire dont l'examen dre. Lalutte est ouverte et les oris de A bas J en sections doit commencer le lendemain. les convents qui out accompagné le début j Les gauches protestent contre cette héte, el- des hostiiités ind:quent assez l'orientation de les ne sont pas armées; il faut laisser l'occa- nos adversaires pour rappeler a nos amis la sion de se préparer a la résistance notion de leur devoir. L'abseotéisme dans ces conditions devient une faute assez grave pour exprimer l'espoir qu'elle ne se renou- vellera plus. Chaque fois que, par hasard, le fait se re- présentera il y aura une surprise. Ce fut le cas hier. On discutait les pen sion de vieillesse et M. le baron Drion ve~ nait d'achever son discours commencé ven- dredi, quand M. Vandervelde s'aperqut que la droite n'était nas en nombre, il trouva que C'est M. Hymans qui a fait la déclara- tion. Jusqu'ici il n'avait pas voulu donner son avis, aujourd'hui il a parlé et a déclaré avec les anticléricaux que le projet est un véritable défi a l'opinion publique. Pour- quoi L'honorable membra est embarrassé de le dire maintenant, autant que M. Lorand sera embarrassé de dire en quoi la nouvelle loi scolaire ne repond pas a l'idéal qu'il avait proposé dans le projet qui porte soa nom. Les cris de A bas les convents qui c'était i'occassion de lui jouer un bon tour et jj ont ponctué la discussion ont donné le vrai bre italienne ses plus cordiales felicitations j prendre contre le gouvernement,contre l'en- proposa a la Chambre d'adresser a la Cham- j sens de la lutte que les gauches vont entre- PEOGRAMME Quatre monologues comiques par KAREL van RIJN BRAND IN DE JONGE JAN grande scène de genre—KAREL van RIJN joue les 7 röles principaux. S'il est un artiste qui a su conquérir la sympathie du public, c'est bien le populaire KAREL van RIJN. Artiste consciencieux, il vitses roles et nul mieux que lui ne parvient a typer ses personnages, dormant a chacune de ses interprétations une r-ote personnello et originale. II y aura, h n'en pas douter, Jeudi 30 Mars, salie comble au Volkshuis pour fêter KAREL van RIJN. On a redemandó le fameux Brand in de Jonge Jan C'est la certainement une pièce oü le héros de ia fête peut donner libre cours a son talent de faire des l êtes et de f typer ses personnages. f Tous ceux qui ont assisté a la fête Van enfants- sans amour ou sans manifestation Rijn en Décembre 1909 reviendront Jeudi j d affection est aussi une crainte C est la soir et grand sera le nombre des amateurs ij qui, n'ayant pas encore vu sur la scène l'artiste populaire, tiendront a venir l'accla- qui ne laisse aucune autorité dans la maison et en rompt pour ainsi parler i'équilibre. II met l'ariarchie et le désordre dans un groupe humain qui doif être une société bieu réglée, c'est-a-dire une sorte d'organisme. s Maïs il VsT vrat aussi qüT respecter ses tj' enfants et s'en faire respecter sans les aimer ou sans leur témoigner de l'amour, sans qu'ils vous aiment et sans qu'il leur soit permis de j vous manifester leur affection, détruirait la I familie tout de même ou presque autant. C'est I que, remarquez-le bien, le respect sans amour n'est pas le respect, il n'est que la crainte. Se l faire respecter par ses eufants sans leur per- I rnettre de montrer leur affection, c'est sim- plement leur montrer qu'on est puissant, I qu'on est redoutable, qu'on est la force. II en résultera non pas la ruine immédiale de la familie, mais la ruine, sa dislocation future, a assez brève éche'ance. Un enfant qui n'aura que craint son père, ne le connaitra plus quand il n'aura plus a le craindre, a vingt ans. Tout lien sera rompu puisqu'il n'en existait qu'un, qui u'a plus lieu d'etre. De même le respect du père pour ses line faut pas tomber dans l'autre extré- rnité j'ai été élevé a me considérer comme un imbécile. II y avait du vrai et beaucoup mais a me le répéter sans cesse on me donnait une timidité, non de manières que je n'eus a l'occasion du cinquantenaire de l'Indépsn- j l'enseignement libre, contre les congre'ga- dance de la péainsule. M, Janson appuya tions. cette motion que nos amis de droite, on le C'est ce que M. Verbaegen a démontré comprend, ne pouvaient accueilir. dans un excellent discours qu'il a prononcé Aussi M. le président proposa de faire ce au milieu des huées de la gauche. Finale- quelonfit, il n'y a pas bien longtemps, j inent un ordre du jour est venu de MM. Mas- jamais, mais de fond, la pïi'süasioii que j'étaia -la Gbambrs qui enles-t -adrees-,r Ac» füioi. rner Jeudi prochain. M. Verstraete tient avec un ré6l talent le role de juge d'instruction qu'il rend avec beaucoup de naturel. Une bonne note pour M. Cautereels qui joue trés bien le róle de l'huissier. Prix des places Réservée Carte de familie 5 fr. Carle personnelle 2 fr. Première Carte personnelle 1 fr. Seconde: Carte personnelle 0.50 fr. Les membres du Davidsfonds re$oivent gratuitement une carte personnelle réservée. Les membres de deur familie peuvent se procurer la même carte moyennant 0 50 fr. Les personnes qui désirent s'inscrire comme membres du Davidsfonds pour 1911 cotisation 5 i'r. par an jouissent des mêmes faveurs. Elles peuvent s'adresser au secrétaire, M. 1'avocat Sobry, rus Suimont de Volsberglie, Ypres. Hier et aujourd'hui Ce qui londe moralement la familie c'est le respect uni a l'amour, le respect descen dant du père et de la mère et remontant des enfants au père et a la mère, l'amour descen dant du père et de la mère et remontant ües enfants au père et a la mère. Auour et respect sont ici absolument nécessaires. L'amour seul ne constitue qu'une sorte de crainte de leur montrer de la faiblesse, c'est avoir peur qu'ils ne profitent de votre amour pour eux pour vous dominer, pour empiéter, pour vous moins craindre. Le respectal'égard des enfants, sans amour, c'est la crainte de n'être pas craint. Les siècles semblent osciller enfre ces deux destine' aux tout petits emplois, aux profes sions les plus humbles et cette timidité et cette créance, il fallut lescombattre plus tard trés énergiquement et sans grand succès. De ce que je n'ai songé que trés tard que je pou- vaistout commeun autreêtreagrégé, docteur, etc. du temps que j'ai perdu dans ma jeu- nesse, j'en incrimine cette résignation a ma faiblesse d'esprit qu'on m'avait inspirée dans mon enfanee incrimination du reste sans amertume car ce que je me rappelie avec le plus de plaisir c'est le temps que j'ai perdu mais encore les parents ambitieux sont aver- tis. Seulement en général, ce n'est pas dans eet excès que je viens de dire que donnent les parents francais. Concluons que, sans déprimer l'enfant, il ne faut pas l'admirer, quelque admirable que votre amour-propre, que vousprenez pour de l'amour, vous persuade qu'il soit concluons qu'il faut i'aimer avec respect et se (aire aimer de lui avec respect. L'enfant a djux tendances trés marquéescelle, bien natu relle, de se considérer comme centre de tout celle aussi, qui lui manque rarement, de con sidérer ses parents comme des êtres supé rieurs, extraordinaires et surnaturels. Rien n'est plus facile, si l'on est a pen prés sensé, lorsqueM. Vandervelde proposa d'adresser des felicitations a la nouvelle Chambre tur- que. (Bruit a gauche.) Le bureau se mettra volontiers a la disposition des membres de tations au Parlement italien. M. Vandervelde a insisté A l'égard d'une nation amie, l'abstention de certains membres de la Chambre pour- rait être sévèrement appréciée. j M. le président a répondu Le Parlement allemand, dor-t a parlé M. j Vandervelde, est le seul qui soit infervenu j jusqu'a présent. Mais Ia nation allemande a avec l'Italie des rapports politiques tout par- ticuliers. Le débat se poursuit assez agité. M. Ver- j haegena défendu le point de vue cathoiique 1 tandis que M. Lorand fait un discours vio- lent oü il s'en prend a Ia papauté. M. Woes- jj te enfin est intervenu pour reprocher a la gauche son manque de courtoisie et de loy I son et Furnémont ainsi concu I La Chambre invite le bureau a, remettre j après Paques la réunion des sections char- gées d'examiner le projet scolaire. président, car iln'exprime qu'un vcou, et le l bureau lui donnera telle suite qu'il appar- j tiendra. A gauche. Aux voix I aux voix 5 M. Masson. La droite est d'acord avec I nous. (Rires). M, Vandervelde. Les sections ne seront i done pas réunie3 demain, mais après Pa- 1 ques (Protestations a droite M. le président. Non pas Soyons de bon compte. J'accepte votre invitalioa tt les sec tions ne seront pas convoquées demain. Je les remets a une autre date. (Protestations a gauche.) L'ordre du jour de MM. Masson et Fur némont est voté par assis et levés. (Aux gau ches libérale et socialistes, qui votent pour, prejudice de la première et de ne pas, comme on le fait si souvent, cuJtiver la première a la ruine de la seconde. Il faut respect et amour il faut, dit Montaigne, se rendre respectable par sa vertu et par sa suffisance et aimable par sa bonté et douceurs de ses moeurs. Emile FAGUET, de l'Académie francaise. excès, respect sans amour, amour sans res- i que de cultiver cette seconde tendance, au peet. On sait qu'autrefois un père était une f espèce de suzerain et le fils une sorte de I vassal. Le père romain eut longtemps le droit de vie et de mort sur ses enfants Chez l les anciens Gaulois, a ce que nous apprend César, les enfants ne se présentaient aux pères et n'osaient se trouver en public en leur compagnie que lorsqu'il commencaient a porter les armes. Chez nous, les fils jusqu'au XIX8 siècle, devaient se tenir en attitude de révérence et quasi de servitude devant leur père. II ne devaient même pas se dire leur fils en leur presence, puisqu'ils devaient dire Monsieur et non mon père Ce manque de communication alïectueuse «tait si contraire a la nature et a la raison que les hommes de ces temps ne laissaient pas de s'en apercevoir eux mêmc-s et de sen Tepentir. Le siècle d a présent est bien loin de ces mceurs et nous sommes tombés proprement dans le contraire excès. La camaraderie des pères et des enfants commence ainsile père et la mère, en France surtout, peut être uni- quement en France, admirentl'enfant, l'enfant de six mois, d'un an, de quatre ou einq ans ils sont comme stupéfaits de son intelligence. Leur vanité leur persuade qu'il n'y a pas d'enfant sur la terre qui ait mani- Si les gauches se sont distinguées au dé but de la session par un absentéisme qui leur a valu les plus vives remontrances dans les journaux de l'opposition, il semble qu'en ce moment des roles soient renversés et que la droite, a son tour, se relache de son assidui- té de la première heut'e. Le fait est regretta ble. II n'a pas suffi pour elle d'avoir recu une lecon mortifiante un nouvel échec est venu s'y ajouter hier. II est a espérer que, cette fois, cela suffira et que nos amis re- prendront leur ardeur première. II ne doi vent pas oublier, en eflet, que la guerre est déclarée, le dépot du projet de loi scolaire sera le prétexte d'une agitation qui ne ces- festé de si bonne hcure un tel génie. Voila le sera qu'au moment oü celui-ci sera voté. ■commencement. L'enfant, grandissant dans Dans l'entretemps toutes les occasions seront auté. Répondaat a M. Lorand il montre sejoignent une partie des membres de la droite.) M. Vandervelde. Le voeu que nous venons de présenter a d'autant plus d'importance qua l'unasimité de la majorité de gauche, plusieurs membres de la minorité de droite se sont joints a nous pour le voter. (Rires a gauche.) M. Verhaegen. Nous l'avons tous voté (non I non a gauche) a cause de l'adhésion donnés par M. le président et dans les con ditions de cette adhésion. M. le président. L'incident est clos. A fin de la séance on a repris la discus sion de la loi sur la pension des mineurs. L'Absentéisme La droitede la Chambre des Représentants s'est laissé prendre, mardi, dans un guet- apens, dressé par les libéraux et les socialis tes coalisés. Certes, il ne faut pas s'exagérer la portee politique de eet incident qui, au fond, ne change rien a la situation respective des partis. II n'en demeure pas moins vrai, cependant, que ce relêchement de l'exactitude et de la discipline, particulièrement indispensables dans les circonstances actuelles, laisse une impression de tristesse et d'humiliation. Cette impression, tous les organes de Ia pres- se cathoiique sont unanimes l'éprouver et on la retrouve partout dans les conversations particulières. Les membres de la majorité ne devaient pas ignorer, cependant, la strategie de l'enne- mi des scrutins récents leur avaient montré combien les votes se serraient de prés et a quel point la situation était tendue enfin la pres- combien l'honorable membre connait peu l'histoire aussi peu l'histoire comtemporai- ne que celle du passé au moyen ége, la pa pauté a été a la tête de la civilisation et de la science en Europe. Rappelez-vous, dit-il, les déelarations fai- tes par le gouvernement du Roi d'Italie lors de l'entrée a Rome. II déclarait ne pas vou- loir faire acte d'hostilité vis-a-vis de la pa pauté il se réjouissait, disait-il, de voir dé- sormais a Rome, cóte a cöte, deux gran deurs celle du Roi Victor Emmanuel et cel le de la papauté. Et pour donner a ces sentiments une sanc tion efficace, le gouvernement a maintenu I la loi des garanties, par laquelle le Souve- S rain Pontite possède une véritable royauté avec toutes les prérogatives qui s'y atta- j chent et un corps diplomatique, J'avais done le droit de dire qu'on cherche a nous placer dans une situation impossible et que l'ho norable membre a travesti l'histoire. C'est la conclusion de ce débat, et je suis convaincu que l'Italie ne saura aucun gré a l'opposition d'avoir non pas voulu féliciter Iltalie, mais de s'être sorvi d'elle pour pla cer la majorité de cette Chambre dans une fausse situation. L'Italie, qui a avec le gou vernement actuel les meilleurs rapports, n'approuvera pas cela. Ces rapports, nous entendons les maintenin. Notre conduite est absolument correcte, alors que l'honorable membre veut faire du gouvernement italien un instrument de par ti pour servir ses passions Cela, nous ne le permettrons pas Au vote par assis et levée, les 75 membres de la gauche se lèvent. A la contre épreuvo, les ministres et nos amis restent assis. Par la faute de nos amis, la motion est adoptée gauche contre droite.Ces succès est longue- ment applaudi par l'opposition a laquelle ce JOURNAL ©rgane 6athólique de I'Arrondissement rrri 1 oritffi d" jnxir AN M lo «a.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 1