RESTAURATION ¥l4fAii ABBAYE DE ST MARTIN m m m m m m w m m Le bon seolaire La plus ancieone n ton na ie d'Vpres Repos dominical PHARMACIEN DE SERVICE Les souvenirs de la «Gazette» Le bon seolaire incoristitutionnel frécrologie. Actes Oftïciels Avis important m cr Adjudication publique teaions compte. M. Picard, aujourd'hui, jet- te un appel nouveau dont le sous titre Sen- tinelles, preneq garde a vous dit assez la tendance. Aussitot il signale les ravages de lapénétration pacifique et décrit longuement le mal causé. Le remède Le voici Que faire pour conjurer le mauvais sort probable, tout au moins possible, qui ampu- terait notre Congo Y aller nous tnemes en masse. Pour cha- que intrus anglais, y eavoyer au moins deux Beiges. Notre ministre de colonies Ia compris. II fait ce qu'ilpeutmalgré les stupides oppo sitions qu'il rencontre, en Belgique, malgré des publications aussi décourageantes et éner- vantes que le livre récent de De Leeaer. II seconde des efforts du secrétariat du Ka- tanga fondé en juin 1910, dont voici 1'objet i» Publier des brochures périodiques dans les deux langues et renseigner ainsi le plus exactement possible les Beiges sur les condi tions de la tie, des moyens d'accès, les res sources et les difficultés qu'offre le territoire. Les auteurs se tiennent a la disposition de j ceux qui désirent se ïendre au Katanga, pour leur donner, a titre gracieus, tous renseigne ments utiles. Le secrétariat est ouvert a eet effet les premier et troisième jendis de chaque mois, de 13 15 heures et lei dimanches ma- tin, a 11 heures, place Royale, 5, au premier étage a® Organiser des conférences dans le rnêra? but 3° Créer au Katanga un organisme corres- pondant pour recevoir, guider et aider nos immigrants. Déjè ce programme est realise dans une large mesure plus de 45,000 brochures de vulgarisation ont été distribuées le bureau de renseignements fonctionne régulièrement et récoit chaque semaine un nombre plus considérable de visiteurs Le secrétariat or ganise des comités locaux dans les grandes villes de pays. KMfPi 'i Le bon seolaire seul retient l'attention de nos adversaires. Tous les autres articles du j projet Schollaert, dont ils ne peuventmé- j QDnnaitre l'importance, dont ils ne peuvent nier qu'il constitue an matière d'enseigne- p ipent un progrès considerable, sout laissés daus l'otnbre. II serait difficile d'ailleurs d'y i trouver matière a critiquer. En revanche, ^innovation du bon seolaire suggérée rappelons-le par ceux mêtnes qui le com- x crier contre le3 couvents. Remarquons, en effet, que la seule crainte que l'opposition anticléricale manifeste vient du bénéfice que le bon ponrrait accorder aux congregations. Cast cette crainte qui a fait farier dans leurs opinions MM. Lorand, j Vandervelda et tous les chefs a la dévotion i des Loges. CeJa les irrite de ce que Ton f rnette en évidsnee cette docile soumission aux mots d'ordra franc-magonniques et ils «'•fforcent de toutes fagons de nier les vraies raisons de leur opposition L'babile M. Vaadervelde lui-même trouve nécessaire de s'expliquer et de montrer comment en principe il admet la liberté du père de familie, mais pas dans le c$g pré sent, ni dan.s aucun des autres caa qui lui «•ront soumis. MéÜons-nous, dit ii, de la piperie des mots. 1 Lorsqua les cathoiiques, dit-'il, proppse&t de mettre k la charge des pouvoirs, pubü' ca tous les frais d'entretien de leurs écoles, I gréganistes, c'est au nom de la Uberf/des vères da f^nille. Mais qui done s'y labsera 'prer,<ire et a supposer même que cette formule du inauchestérianisme seolaire ne. SOjt pas un mensonge aussi hypocrite qu-e la liberté du j travail du manchestérianis'me capiialiste, a j supposer qu'elle réponda a la réalité dss choses, encore pourrior.s-nous ïaccepter I Tai répondu négatWement, i'autre soir, k ia Maison du Peuple i Liberté des pères de familie see suis-je écrié cela sonnet bieu. Néaamoins, je i n'hésite pas a le. dire, eu principe, je ne I "admeta poi&L i Pour tons ceux qui ont entendu, et qui I ont lu la suite de mon discours, ma pensée était trés clait e. La liberté absolue du père de familie, o'est 1'omnipotence du père de familie, et cette omnipotence, le projet Schollaert, lui - inême. ne l'adnaet pas. j Aux tsrmes de ce projet, en effet, le père de familie n'est pas libre de laisser son enfant dans l'ignorance. II n'est pas libie ■on plus da l'eavoyer, avant 14 ans, a j l'atelier ou a l'usine. M. Schollaert admet done, comma nous, que la liberté du pèra de familie a des li- 1 mites, et des limites.sur l'étendue desquelles on peut discuter, se justifiant par le fait 1 qu'au-dessus du droit du père, il y a le droit de lenfant. s Sans doute, il y a Ie droit de l'enfant, le droit a la vérité notamment, le plus impres criptible et le plus respectable. Or nous le demandons, ce dro t n'est il pas violé outra- geusement dans les écoles neutres oü non seulemeat on ignore lx religion, mals oh elle est en butte aux pires sarcasmes. M. Vandervelda est frop intelligenx pour 11e pas reconnaitre que le mot liberté, méme q-tiand il s'orlhegriiphie en lettres capitales, n eat qu'un mot vide de sens s'il ne corres pond au bonheur corrélatifbonheur de travailler, de gagner sa vie, d'éc'airer son intelligence, d'apprendre, d'aimer.de croire La liberté Ju socialisme est une liberté negative, limifée aux seules anróes de l'exis- tence humaine, courte et breve, une liberté soumise aux impératifs catégoriques d'une discipline étroite.faite de haine, de préjugés, de défenses. Oui, il y ale droit de l'enfant, mais pour le socialiste corame pour le catholique c'est au père de familie qu'il appartient de révêler a 1 enfant l'étendue, la valeur, l'importance de ce droit. Les socialistes sont mal venu3 de vouloii' forcer les cathoiiques d'agtf, autrement qa eux-mêmes en cette matière. Mais conformea en cela aax traditions des ennemis de l'Eglisa, qui ae varient guère, M. Vandervelde et ses amis estiraent que toute liberté n'est bonne que pour autant qu'elle serve sa cause et qu'elle restreigne par le fait même les droits des croyants. Seulement, comma celui-ci veut se donner des aliures de penseur aux idéés iarges et généreuses.il entoure sa pensée de raisonne- ments spémeux qui ne la resident que plus clangereuse. Qu on la dégage de la vaiue rhélorique qui la pare, on y retrouve la même formule chère a tous les combistes öfe tousles partis d opposition Le cléricalisme est l'ennemi. Et voila pourquoi le mot de 185T A bas les couvents est a l'ordre du jour. A nous de montrer ce que cette campagne a d'odieux nous n'y f&illirons pas De même que, naguère 'encore, certain» massifs montagneux de l'Europe étaient moins connus de nos astronomes que l'oro- graphie lunaire, de mêr.ne la euinismatique du moyen-age était moins familière aux sa vants d'il y a un denji-siècle que celle, ce. pendant beaucoup phisreculée, de l'antiqui» té grecque ou rome,ine. 11 fallut qu'un Polonajs J'oacbiin Leiewei. rut exne en noa regions, pour que la numis- matique du moyen-3.ge,si curieus« et si abon- danfe, (fit eu quelque sorte déoouverte. II eut cepsEdanfc des précurseurs effi un cha- noine de labbaye de Tongerloo. M.. Heylen, qui publia, en 1777, un mémoire, sur las villes des Pays-Bas qui flrent be.ttre mox* naia aux XIV® et XVe siècles, et en un de noa concitoyens, l'archiviste Jeat-Jacquet I.ambin, auquel r,ous sommes redevables de tant de travaux d'érudition. Ln 1833, le savant yprois publiaït un ar ticle sur la fabrication de la monnaie ai Ypres, ou qj S6 bornait a constater qu'a la fin du X7.II siècle, la ville d'Yprea avait vu frappar de la monnaie daes ses murs. La prenv a en était fournie par un document ,nt de 1297, par lequel Gui de Dampierre denait 1'aBsontiment du magistral de battre monnaie a Ypre». D'autres documents lui avaient permis detablir que, loDgtemps avant l'ancée 1861 ,il ne se iabriquait plus de monnaie a Ypres. üepuis cette époque déja lointaine, la nu- mismatique yproise s'est accrue dans des proportions telles qu'elle est devenue l'une des plu3 considerable» du pays. 11 suffit de feuilleter les planches gravées du volumi- neux Essai du plus méritant des enfants d'Ypres, Alphonse Vandenpeereboom, pour être tixé sur toute l'étendue de cette matière. Une monnaie nn pen mystérieuse est dé- crite par M.Vandenpeereboom comme étant la plus anciennedu monnayage yprois. Elle a conservé eet henneur jusqu a ce jour, et, comme son style permet de l'attribuer au XI* siècle, il fst peu probable qu'elle soit jamais détrönée de sou rang d'ancienseté. Ce premier denier yprois porto sur le droit une tête de profil coiffée d'un casque a nasal; devant elle, une épéa en pal. Si l'inscription Iperea ne venait péremptoirement dé- montrer son origins, cette tête casquée et cette épée ne constitueraient aucun indioe en faveur de son origine yproise. Les deux seuls exemplaire3 connus de ce précieux denier se tronvaient dans la riche collection de M. Vernier, banquier a Lille, actuellement léguóe au cabinet da Palais des Beaux-Arts. Tous nos efforts, jadis, n'ont pu réussir a faire rentrer uu de ces deux exemplaires rarissimes dan3 nos collections locales. Journal de Roubaix. Dimanche a3 Avril J. DECHIÊVRE, rue de la Station, 15. D'après ce journal, le projet seolaire doit être ajourné paree qu' en votant une loi par six ou même par huit voix de majorité a la Chambre, on risque de méconnaïtre, de bra ver la volonté de la majorité réelle. En 1879, rappelle le Patriote, la loi seo laire élaborée par les amis politiques de la Gazette fut votée a une voix de majorité. Se sont-ils préoccupés de savoir s ils bravaient ou mécontiaissaient la volonté de la majorité réelle n Et, pour demeurer au pouvoir de 1879 a j 1884, malgré l'opposition ardente a la loi, l votée par une voix, celle de M. Boyaval, qni, lui-même, avait été élu a une voix de majori té a Brugies, les amis de la Gazette, appuyés par elle, ont, a cinq diverses reprises, am- puté le corps électoral de diflérentes caté gories d'électeurs, tous suspects d'hostilité au pouvoir. 4» La gauche libérale et la gauche socialiste ont adopté chacune, dans leur ordre du jour, sin grief stupéfiant contre le bon seolaire c'est que ce bon est inconstitutionael Qui l'eilt cru L'article 17 de *otre pacte fondamental est ainsi congu L'enseignoment est libre. Toutej mesure preventive est interdite. La repression des délits n'est réglée que par la lei. L'enseigaement public donné aux frats de l'Etatest également réglé par la loi. On a beau écarquiller lea yeux, on ne voit point dansce texte ce qui pourrait condam- ner le système du bon seolaire. Ne condamne t-il point, par contre, les prétentiens da nos adversaires Quelle» sont ces prétentions 1 La Chronique il y a quelqties jours, le» résumait en cette phrase Si le projet de loi seolaire piésesité par Ie gouvernesaent rencontre une ti vir# et si legitime hostilité, c'est paree qu'il comporte des sanction» qui ont pour but de permettre a l'enseigneinent confessionnel de se déve- lopper au détriment de l'ensedgnement offi- ciel. Et le Peuple dit, encore plus briève- ment La liberté de 1'enneigc ement, érigéesubsi- diairement a cöté de rorganigation nationa le de l'enseignemeat public, d'aocord i Par exemple I eelle-et est forta Ainsi done, ce que les anticléricaux veu- lect, c'est l'accap«.rement total de l'enseigne- meat par l'Etat et... le reste pour la liberté Serait-ca la le régime constatutioniiel 11 II faudrait de l'audace pour le prétendremais le» gueux voadraient bisa qu'on le croit,car ils ont toujours été aussi forts pour s'em- parer adroit,ement dei écoles publiques qua faibles pour créer des écoles libres de leurs denierB. Examinons brièrement la question Eviderament, dans son texte, JaConstitu* tion instaure la libarté d'eniieignement. Ce qu'elle place a la base du système seolaire, ce n'est pas L'école offlcielle» mais 1'école libre, l'école privée. Et elle esr.t si peu favo rable a l'école cfficielle qu'elle jprend même le soin de dira que l'Etat ne pourra inter- venir qua moyennant une loi, efc non arbi- trairemant. Ce sens, qui ressort ai clairement du texte, est encore mis en lumière par les événement» qui précédèreat et déterminèrent sen élabo- ration; c'est par reaction contre les lenvahis- «ements du pouvoir hollandais que fut pro- clamée la liberté das écolesc'est pan,1.» que l'Etat avait trop fait sentir sa féruia qu'on voulait l'écarter désormais. Dans les premières ann.ées de l'irjdépen- dance, du reste, tout le naonde connidérait cette théorie coastitatiounelle de liberté comme l'évidence même. Les sections du comgrès.avaient été pleine- ment d'accord sur le tex te de l'article 17 une seule disait M. de lirouckère dans son rapport qui traduit la pe nsée même du con gres, une souls aurait üésiré une redaction plus large du 2® paragra>phe,eraigaant qu'on ne tirat ie la redaction primitive la conse quence obligée d'un ensieignement aux trais de l'Etat. Un membre del'extrt im«-gauche,M.Dams, avait dit,pour sa part.l.ers de la discussion La liberté illümitée en cette «atièie serait sans doute la plus gvande garantie que le gouvernement ne s'em.parerait pas de la di rection de riaBtruction, de la jeunesse mais ae transporterait-elle. pas le monopole en d'autres mains Sans doMte,cet ar gument de M.Darns était dirigé contre la liborté, paree que la liberté était susceptible da favorissr les cathoiiques, mais ne contient -il pas implicitement la reconnaissance üa Taecord ananime des constituants contre l'Etat maitre decole Que nous voila loin de la conception du Peuple la liberté de l'enseignemeat sub- «idiaire de l'organisation nationale Cette dernière conception, faut-il le dire, est pré- cisément le contrepied de l'article constitu tioneel C'est en eflet, tout au contraire,l'organua- tion nationale qui doit être subsidiaire de la liberté, et comma le disait M. deGerlacbe, encore un conntituant, comblar les lacunes laissées par celle ci. Les parties étaient si bien d'accord sur ce point, au début, que les troi3 premiers pro jet de loi seolaire qui furent guccessivement présentés en 1831,1832 et 1834,»'inspiraient avant tout de la preponderance de la liberté. Le dernier de ces projets fut présenté par le libéral Rogier. Or, voici ce que disait son exposé des motifs La seule part d'intervention que le projet conserve au gouvernement dans 1 instruction primaire, c'est le pouvoir qu il lui laisss d'établir aux frais de l'Etat, comme exem- pl8, et en quelque sorte comme moyen d'é- mulation, un petit nombre ^d'écoles modèles dans chaque province, une par arrondisse ment judiciaire, et celui d'avoir dans tout le royaume au moins une'et au plus deux écoles normale». Ain»i, MM., 1'iuterTention du pouvoir central contre laquelle le système suivi par l'ancien gouvernementa fait naitre tant de defiances qui, pour n'&Toir plus de fondement reel aujourd'hui, n'en sont pas moins fatales a l'instruction publique, cette intervention, dis je, se trouve restreinte par le projet aux bornes du strict nécessaire. Voila comment les libéraux d'alors conce. vaient le rê'e de l'Etat dans l'enseignement. Depuis lors, Involution a été compléte. Les libéraux trop pingres pour organiser un enseignement libre de leurs deniers, ce qui, écrit Huysmans lui-même, le père du leader actual, 1 aurait épargnó bien des querelles non encore aplanies aujourd'hui ces libéraux comrnirent la faute de s'en rapporter trop exclusivement aux pouvoirs publics. En c'est ainsi que, mils par leur égo'isme, ils en arrivèrent bientót ii retourner complè- tementle principe constitutionnel et a met- tre l'école pubüque, au lieu de l'école libre, a la base du système scalaire. Les cathoiiques se sont quelque peu laissé gagner par cette théorie. Dès 1812, ils sous- crivaient a uue premièie concession, qui, en introduisant l'Etat a lecole, prépara le ter rain a la loi de malheur de 1879. C'est cette loi funeste, réalisation adequate du programme seolaire magonnico-libéral, qui marque l'apogée de la théorie anticoasti- tutionnelle. Elle a sicgulièrement ob'itéré dans les esprits la notion de liberté inscrite dans notre pacte fondamental. Oa s'est babi tué a vivre sous divers régimes légaux qui faisait nt assez bon marebé de la Constitu tion. Et maiutenact, au momeut même ou l'on commence k se rapproeher de celle ci, il se trouve des sens pour trouver que l'on s'en écarté. Nous apprenons ie décès, survenu hier, a l'hospice Belle, de sceur Marie, dans le mon de Julie-Emerence Ghesquière, née a Ghelu- we Ie 25 septembre 1839, religieuse hospi- talière depuis les 21 mars i!65, supérieure depuis le 20 janvier 1874, décorée de la croix civique de première classe. Armée. Promotions. Est nommé lieutenant le sous lieutenant Wagemans, G.- C., du i«r régiment de lanciers, instructeur adjoint a l'école d'équitation. Decoration civique. La médaille de l®r classe est décernée a MM. Peelers H. et De- vos H., surveillants de itr classe a la prison d'Ypres la médaille de 2'classe a Mm' Beau- welinckx P., surveillante religieuse a la pri son d'Ypres. La direction de la Société de Musique de Tournai informe le public que l'exécution de La Passion, de j. S. Bach, fixée au Dimanches 23 Avrilaura lieu bureau fer me, aucune place numérotée ne restant plus disponible. Cinquantes places a 3 francs seront mises en vente cinq minutes avant le Concert et se ront placées dans le couloir d'entrée. Communiqué Oh' f Afo Lecteurs, si vous souffraz ie ILIL. d0 la tete (vertigQSi mi_ graines, lourdeurs, assouptssements, bourdon- nements d'oreilles) prenez la Pilule antiglaireu- sa Waltbéry et veua serez tout ioulsgé, l franc- TOCtmn'aüm burgerstand van yper Verklaringen van den 14 tot den n April ipu Geboorten I Depuydt Daniel, Aardestraat. I elong Rogfir. Paddepoelstraat.—Duboseh Gaston, Pannestraat' Duprez Robert, F.lverdinghestraat, Huwelijken Gikiere Maurice, steenkapper, en Buseyn9 iïélöne, kantenwerkster, beiden te Yper. Can- deet Theodoor, steenkapper, en Viaene Alice, dagloonster, beiden te Yper. Eggermont Jo. seph, meubelmaker, en Hubert Marie, dagloor,- ster, beiden te Yper. Doinbrecht Florent, bleekersgast, en Ronsse Leonie. wasehvronw, beiden te Yper. Dubois Florent, kleermaker' en Woussen Albertine, zonder beroep, beiden té Yper, - Gallens Pierre, aaadewerker, en Sab bert Emerence, Wwe Hosdey Thóopile, dagloon ster, beiden te Yper. Sabben Hubert, kleerma ker,eu Bollengier Honorine, dagloonster, beiden te Yper. Ghys Emits, kleermaker, en Ver- plancke Urbanie, zonder beroep, beiden te Yper. Vierstraete Marcel, werkman aan de statie «n Beun Emma, dienstmeid, beiden te Yper. Verbeke Isidoor, brijkkenbakker, en Ganein Julie, dagloonster, beiden te Yper. Vander- straeten Jean, lintwever,te Komen (Vr.).en Wey. ne Julia, spoelmaakster, te Yper. Gronten- rath Clément, stokar, te Verviers, en Odaert Berths, winkeldochter, te Yper, Diagre Al- bert, metsersdiener, te Néchtn, on Derunaux Leonie, dienstmeid, te Yper. SteHgevallen Leclercq Juiien. 82 jaar. z. b echtgi. Clique Sophie, Lange Thouroutstraat. Gilles Pierre, 70 jaar, schoenmaker, echtgi. Vanleene Marie, St-Jabobstraat. Thieren Leonie, 43 jaar, z. b! Wwe. Plancke Alphonse, Popericghesteenweg Va r.dergbote Paul, 3 maanden, Hoi dstraat. Larnahieu Albert, h maanden, Jfonnebekesteen- weg. RufTelet Colette, ÜJ .jaar, z. b., Wwe Ruf. telet Charles, Nee rstraat. Disramout Charles, 62jaar, schoenmaker, ongehuwd, Meenenstiaat Cd iff. ea O. O c\ a. W OS O Cd -c 2 0 a© S 2 .s o .SP o DE DE L'ANCIENNE A YPRES Le bureau des Marguilliers de la paroisse de St-Martin A Ypres fait eonnaitre qu'il sera procédé le Samedi 20 Mai 1911 a 2 1/2 h. de relevée a l'Hótel de Ville d'Ypres, a l'adjudication publique de l'entre- prise de travaux susmentionnés dont le montant, suivant devis, s'élèveafr. 180.779,73 L'adjudication aura lieu suivant le mode A,c'est-£i-dire que les amateurs devront envoyer leur soumission sur timbre par lettre recommandée ci la poste, au plus tard le quatrième jour avant celui fixé pour l'adjudication, soit le 16 Mai. Les devis, cahiers des charges et plans de l'entreprise susmentionnée sont déposées h l'Hótel de Ville d'Ypres et mis h la disposition des intéressés, les jours ouvrables de 9 12 et de 2 fi 5 heures. Le devis imprimé est mis en vente au prix de 3 fr. Pour tous renseignements s'adres- ser chez M. J. Coomans. ingénieur- architecte, Place de la Gare, Ypres. Le ff. de Président, L. BIEBUYCK, t Kn11> 1t «aj.u^'Lu. cot uj..'V.to o c. U v. •oaiN o O O 00 '-O O - O AX O C O -ü 3 O X Om <M C7 -© CC a CL O. m -r» m O in ir, o O Cs PI m O r—I o cr In o o o co - H M O fl D a W) O O o o - a 'S c <u T3 o DES kTïhü

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 2