SINCÉRITÉ LE LAIT Science Populaire ft Betteraves fourragères F a b n P c 1£ PI sA des ont abaissé fortement le prix des produits les industries se sont developpées, modifiant du tout au tout les assolements, l'alimen tation, les spéculations agricoles On ne peut plus nourrir d'après le système extensif, il faut au con traire nourrir vite, a bon marcbé par le système intensif. C'est ici que la science, et notam ment la chimie vient, en aide au cultivateur en lui indiquant les aliments qu'il doit employer, les doses a utiliser, le róle de chaque aliment,la valeur de chaque nour riture etc. en lui donnant les éléments constituants des matières alimentaires et leur valeur nutri tive, de facon a ce qu'il puisse les acheter et les employer le plus économiquement possible. II est a regretter qu'il y ait encore beaucoup de cultivateurs qui font fi des données de la science qu'il y en ait encore qui achètent des matières premières sans en connaitre la valeur bien réelle au point de vue alimentaire sans en étudier la richesse, alors qu'il est si simple de consulter une table de composition qui lui fera savoir si telle nourriture ne vaut pas mieux que telle autre. Souvent on achète un tourteau, une farine, sans savoir ce qu'ils contiennent d'éléments nutritifs on les achète par espritd'imitation, parcequele voisin en achète aussi; mais on ne se demande pas s'il ne vaudrait pas mieux acquérir un autre produit a valeur nutritive plus élevée. Le paysan qui ne sait ni lire ni écrire paye souvent trés cher son ignorance. Parents, donnez a vos en- fants le plus destruction possible. II fut un temps oü la réclame faite pour les engrais chimiques était basée sur les données de la science. On s'efforgait de convaincre les cultiva teurs en exposant les résultats obtenus dans des essais exécutés généralement par les cultivateurs eux-mêmes sous la direction d'hommes compétents. Les articlesconsacrés aux engrais chimiques étaient utiles et instructils pour les cul tivateurs. Encore a présent on trouve quelques produits qui sontrecommandés entoute sincéritéce sont ceux dont la valeur et les qualités sont tellement réelles, qu'ils peuvent se passer d'exagération. Mais que de produits, engrais et matières alimentaires, ne trouve t-on pas sur le marché et qui, tout en étant d'une valeur moindre, sont préconisés comme surpassant tous les autres Afin de les écouler, il faut renoncer a la sincérité dans la réclame. Nous voyons actuellement une ré clame intense pour plusieurs engrais azotés, phosphatés et potassiques, et souvent on peut constater qu'on fait violence a la sincérité. Non seulement nous pourrions citer telle annonce con- tenant des affirmations erronées, mais également des articles soi-disant agri coles et signés de noms connus, paree qü'on les trouve partout et toujours 1 Quoique déjh beaucoup de cultiva teurs jugent ces articles selon leur va leur réelle et généralement ne les lisent pas, il est bon de faire ressortir de temps en temps le peu de sincérité qu'il y a souvent dans ces articles de réclame. Nous ne résistons pas au plaisir de leur soumettre un petit article, publié récemment par un agronome hollan dais bien connu, M. K. De Vrieze. II concerne deux engrais azotés, le nitrate de soude et le sulfate d'ammoniaque Le sulfate d'ammoniaque est trans- formé dans la terre en un sel nitrique les marchands de sulfate en convien- nent. Les transformations chimiques occasionnent généra'ement une perte de la matière transformée. Ce danger de perte existe également lors de la nitrificri'on du sulfate. Le prof. Wagner évalue cette perte a i/io. Voici maintenant un petit calcul II est trés étrange que les vendeurs de nitrate et les vendeurs de sulfate proclament tous les deux que leur mar chandise coüte le moins cher. Calculons en laissant de cóté les fractions, qui n'ont que peu d'impor- tance Le nit ate, avec 15 p. c. d'azote, coüte en gros fr. 21,95 les 100 kg. Le sulfate d'ammoniaqu-, avec 20 2 18 p. c. d'azote, coüte fr. 31,00 les 100 kg. Le kilogr. d'azote nitrique a par conséquent une valeur de fr. 1,46 et le kilogr. d'azote de sulfate coüte fr. 1.75. Chaque kilogr. d'azote coüte 29 cen times de moms dans le nitrate. Com ment peut-on dire alors que les deux engrais sont tous les deux le moins cher Les quinze kg. d'azote qui sont contenus dans le nitrate s ibissent une majoration de prix de l'r. 4,35 si on les achète sous forme de sulfate d'ammo niaque. II me semble qu'il est inutile d'en dire plus long. Les nombres, s'ilssont bien interprétés, ne peuvent mentir. Vérifiez toujours les chiffres. L'article de M. De Vrieze met le doigt dans la plaie n'importe, dern in nous retrouverons, sous une nouvelle forme, les mêmes erreurs. On compte encore toujours sur la crédulité des cul tivateurs. Négligeons même la différence de valeur fertilisante entre le sulfate et le nitrate et donnons les prix du marché pour le kilogramme d'azote dans chaque engrais Avril 1910 1.39 Mai 1.33 Juin 1.37 Juil let 1.36 Aoüt 1.40 Septembre 1.41 Octobre 1.41 Novembre 1 40 Décembre 1.40 Janvier 1911 1.45 Février 1.48 Mars 1.49 Voila les prix comparatifs pour une année entièrecela n'empêchera pas que dernain on trouvera dans les jour- naux que le sulfate est également l'engrais azoté le moins' cher 1 Arrosez vos pommes de terre a la Bouillie bordelaise, cela vous assure une augmentation de ré- colte. Pour préparer la bouillie, vous vous servez d'une cuve qui peut contenir 100 litres. Le soir, vous y versez 50 litres d'eau, dans la- quelle vous mettez un petit sac contenant 1 1/2. kg. de sulfate de cuivre. Le lendemain le contenu du petit sac aura disparu. Vous éteignez alors dans de l'eau pure 3/4 kg. de chaux vive. Après avoir passé au tamis le lait de chaux, vous y ajoutez de l'eau et vous versez le tout dans la cuve, pour former 100 litres de bouillie. Dans les campagnes, le lait est le iquide sécrété par les glandes mam- maires des mammifères femelles, et notamment de ia vache, après la nais- sance de leur petit. A la ville, c'est souvent un produit frelaté, tripoté et jrovenant des mamelles de Ja vache et... des puits ruraux. Dans le premier cas, le lait est un aliment complet et sa valeur nutritive est en raison directe de sa composi tion chimique. Le bon lait renferme tous les prin cipes alimentaires nécessaires a l'en- tretien de la vie, a l'accroissement des tissus, au bon fonctionnement des organes. C'est surtout pour l'homme "'aliment par excellence de l'enfance et de la vieillesse chez l'animal, c'est 'aliment premier du petit qui vient de naïtre. II est insuffisant comme nourriture exclusive de l'homme et de 'animal adultes. Le litre de lait pèse 29 a 33 gr. de alus que le litre d'eau. Sa densité varie de 1.029 1.033 pour le lait entier. Elle est de 1 033 a 1.036 pour le lait auquel on a enlevéla crème. Faisons remarquer dès maintenant qu'on ne peut done pas se baser sur la densité seule pour juger de la valeur d'un lait car, d'après ce qui précède. on peut trés bien écrémer ce produit et y ajou- ter de l'eau tout en lui conservant une densité normale En effet, en écrémant un lait de densité 1.033 par exemple, on voit cette dernière passer 1.036 ou 1038. En ajöutant de l'eau, la densité peut étre ramenée a 1.033; le lait sera de el aré pur, alors qu'on y aura addition- né 15 p. c. d'eau. Le chimiste a lieu- reusement d'autres moyens de déceler pareille fraude. Un kilogramme de lait renferme en moyenne876 gr. d'eau 35 gr. de matières grasses (beurre) 36 gr. de caséine (h omage)45 gr. de lactose (sucre); 8 gr. de seis. Ces chiffres sont trés variables la composition du lait subit de telles fluctuations qu'on ne peut pas dire que deux échantillons de lait de la même vaclie sont tou jours identiques. Le lait donnó par la vache immé- diatement après la mise bas porte le nom de Colostrum, il est trés riche en albumine ét doit étre réservé pour le jeune veau, auquel il sertde purgatif. Vu au microscope, le lait est un liquide blanchatre laissant voir des globules de graisse d'une grosseur moyenne de 2 a 3 millièmes de milli- mètre. Lorsque le lait est au repos, ces glo bules viennent a la surface et con stituent la crème. En barattant cette dernière, on obtientle beurre, quin'est en fin de compte que l'agglomération des globules graisseux. Le fromage est la matière azotée du lait ou caséine elle s'y trouve en sus pension et en dissolution la chaleur, la présure, les acides la coagulentle lait tourne. Les hydrocarbonés sont représentés par le sucre lactose qui est en dissolution dans le lait. Sous Taction d'un ferment, ce sucre se transforme en acide lactique, le lait devient aigre,acide et tourne,ainsi que nous venons de le voir. Cette for mation d'acide lactique se produit de 12 a 25°; le lait cru doit done être maintenu au-dessous de cette tem- pérature pour se conserver. L'eau du lait ou sérum tient en dis solution les seis minéraux que Ton rencontre dans ce produit et dont le plus abondant est le phosphate de chaux, jouant un róle depremierordre dans Talimentation des enfants, des vieillards et des convalescents. II faut y ajouter les chlorures et les sulfates. Non seulement le lait a une précieuse et puissante valeur nutritive, mais i" 'oue un certain role comme médi- cament. II peut amener la guérison de certaines affections de l'estomac en combattant l'acidité de eet organe. Etant riche en eau, c'est un excellent diurétique dans les affections des reins, du coeur et dans les hydropisios. On le recommande dans les diarrhées et les dysenteries II ne peut convenii aux diabétiques. Pris en excès, il peut amener certaines affections de l'esto mac, qu'il surcharge Le lait est un aliment complet d'or- dre supérieur, a condition d'etre indemne de toute altération et de falsification. II n'en est malheureuse ment pas toujours ainsi; étant émi- nemment fermentescible, il peut de- venir nuisible par les microbes et les toxines qu'il peut contenir. La grande altérabilité du lait, les adultérations qu'il subit souvent, en font parfois un produit dangereux, non seulement pour les enfants, mais aussi pour les grandes personnes. De- puis longtemps les hygiénistes ont appelé l'attention des pouvoirs publics sur cesfaits, et Ton verra tot ou tard arriver l'ère des mesures radicales contre les colporteurs de laits altérés et falsifiés. Disons en terminant que Tébullition du lait assure son innocuité en tuant tous fes microbes qu'il peut contenir, notamment celui de la tuberculose et de la fièvre aphteuse. Le lait cru est plus digestible quele lait cuit, mais on 11e peut le consom- mer dans eet état que lorsqu'on est tout a fait certain de son origine et de son innocuité. The Dairyman. Reproduction réservée Pour vous assurer si la bouillie bordelaise contient assez de chaux, vous y mettez un couteau pendant quelques minutes si le couteau, mon- tre alors un dépot de cuivre, vous ajouterez du lait de chaux. En ajöutant 15 grammes de sucre aux 100 litres de bouillie, on forme un liquide qui adhere mieux et qui se conserve durar.tplus de deux muis. Dans la culture de la betterave fourragère il est un point assez intéressant a étudier: c'est Tespace- ment aobserverdans la plantation. Ce point joue un grand róle pour Tobtention d'une plus ou moins grandequantité de principes nutri tifs. Généralement, le cultivateur cherche a obtenir de forts rende- ments en poids, sans s'occuper de la valeur nutritive du produit. Souvent Ton entend dire Oh un tel a de belles betteraves Elles sont si grosses i C'est un plaisir d'avoir pareille récolte. Si Ton demandait quelle valeur alimen taire ont ces betteraves, on répon- drait encore que ce sont les meil- leures II n'en est rien ce pendant. II n'y a pas toujours relation directe entre la grosseur de la racine, entre le rendement a Thectare et la valeur alimentaire. Ces betteraves si grosses ont moins de valeur que d'autres plus petites. M Dehérain a démontré que les betteraves monstrueuses sont trés aqueuses. Or, plus une betterave renferme d'eau, moins elle est nourrissante. Pour obtenir de grosses racines, but envisagé par beaucoup de cul tivateurs, il suffit de planter avec plus d'espacement, car alors la plante isolée a plus de nourriture a sa disposition. Elle devient de plus forte taille que celle qui se trouve serrée entre d'autres. On en a done déduit que pour avoir un fort rendement, il fallait espacer le plus possible les plants de bette raves. M. Dehérain a démontré, par Tanalyse, que cette facon d'opérer est défectueuse. II a expé- rimenté sur la variété Mammouth, et voici les résultats obtenus par lui Espacement de o'"35 X om25 poids moyen d'une betterave, 722 grammes rendement a Thec tare, 81,000 kg. Espacement de om40 X om4o poids moyen d'une betterave, 1,188 grammes; rendement a 1 hectare, 84,000 kg. Pour le rendement en poids, le grand écartement est done le meil- leur; mais au point de vue de la richesse en éléments nutritifs, il n'en est plus de même. Par Tana lyse on trouve, en effet Petit écartement matières sèches, i3,ooo sucre, 6,000 matières azotées, 824, Grand écartement matières sèches, 11,000; sucre, 8,000; matières azotées, 5g3. M. Garola a aussi fait des expé- riences avec l'Ovoïde des Barres; il a obtenu Pour 744 betteraves a Tare rendement a Thectare, 80,400 kg.; poids moyen d'une betterave, i,o65 gr. Pour 220 betteraves a Tare rendement a Thectare, 82,900 kg.; poids moyen d'une betterave, 3,768 gr. D'après Tanalyse, quoique le rendement en poids soit moindre pour les betteraves sèrrées, on a obtenu un excédent de matières nutritives de 1,240 kg sur les racines, soit une augmentation en ces matières de 60 p. c. M. Dehérain a, de plus, établi que les grosses betteraves renfer- maient plus de nitrate de potasse que les petites. Or, ce sel, a dose un peu forte, peut être nuisible pour les animaux. M. Dehérain a trouvé, dans ses expériences sur la Mammouth, que les betteraves serrées avaient enlevé au sol 64.8 kg. de nitrate de potasse, alors que les grosses racines en avaient enlevé 219.4 kg. D'après M. Garola, la culture serrée, a raison de huit plants par mètre carré, a toujours donné un rendement brut supérieur a celui obtenu avec les grands écarte- ments. M. Dehérain conseille dix plants au mètre carré. Devant ces faits e' pour obtenir de bonnes betteraves plutót que de belles betteraves, le cultivateur doit abandonner la culture a grands espacements. II obtiendra de cette facon des racines plus riches. Le rendement en poids sera peut-être moindre, mais la valeur nutritive sera augmentée. F. PlRARD, Ingénieur agrieole. Reproduction réservée.) depuis un quart de siècle, la science météorologique semble rester station- naire. Les quesiions relatives a la tempé- rature, a l'influence lunaire et solaire et d'autres semblables. sont toujours aussi nébuleuses que jadis et les prophètes de beau et de mauvais temps ont toujours beau jeu. C'est pourquoi 011 commence a reve- nir aux vieillesconjectures demos pères, que Texperience chose a poter vient souvent confirmer et qui étaient basées sur l'observation mille fois répé- tée de certains phénomènes de coinci dence et de succession. Nous sommes portés a croire que c'est paree que les savants ont fait fi des conjectures campagnardes que la météo- rologie a fait peu de progrès. II est de fait notoire que les gens du grand air, les vieux agriculteurs et les vieux marins se trompent rarement dans les pronoslics du temps probable pour le lendemain, sans devoir se baser pour cela sur les données météorolo- giques des observatories. Tout ce qui les entoure et les intéresse est mis a profit pour prédire le temps a venir. Dans les villes, oü l'horizon est trés borné, oü l'on se rend même difficile- ment compte de la direction du vent, on se contente d'examiner le baromètré et de lire les bulletins de l'Observatoire. C'est beaucoup moins certain. Les remarques les plus intéressant es faites par nos aïeux portaient surtout sur l'influence de la lune, la direction du vent et l'observation des animaux et des plantes. Le météorologiste n'ayantpas d'inté- rêt immédiat a prévoir le temps qu'il fera a préféré trop souvent se tenir en chambre, étudiant sur la carte la distri bution des pressions et des tempéra- tures suivant les données que lui apporte le télégraphe. II s'enquiert peu des observations faites par les cultiva teurs et les marins dont les entreprises sont toujoursa la merci des intempéries. II y a cependant beaucoup a glaner, a coordonner, a contröler dans ces racon- tars de vieilles gens, dont beaucoup, sinon tous, sont le résultat de Texpé- tience des siècles. Nos ancêtres avaient attribué a la lune une influence énorme sur les changements de temps, la réus site des cultures, la croissance des ani maux, etc. On allait même jusqu'a déterminer les périodes favorables, a certains semis ou a certaines opéra- tions. C'était peut être outré. Afin de ne pas être en reste, les météorologistes ont taxé ces choses de Contes de ma grand'mére ils ont rejeté tout, contestant a l'astre noc- I turne toute espèce d'influence. II y avait e> agération de part et d'autre, car on doit admettre, sans être lunatique, que l'astre pale de la nuit a une in fluence incontestable sur les variations du temps. Cette question est loin d'être élucidée; mais il arriveia peut-être un jour oü l'on pourra s'appuyer sur cette influen ce pour faire de la prévision a longue échéance chose que Ton ne peut faire dans l'état actuel de la science météo rologique Quoi qu'il en soit, voici deux régies empiriques, dont la preniièreest connue sous le nom de regie de Bugeaud. Le temps se comoorte onze fois sur douze pendant toute la durée de la lune comme il s'est comporté ie 5e jour, si le 6ejour est resté le même que le 5eet neuf fois sur douze comme le 4e, si le 6° ressemble au 4e. Le maréchal Bugeaud, ou le Père Bugeaud, comme disaient ses soldris, Météorologie Alors que quasi toutes les sciences ont progressé d'une fagon stupéfiante dfcouvrri cette règle dans un vieux manuscrit espagnol. Elle était déja connue dans les pays du Nord sous forme de dicton latin transmis par tradition Prima et secunda nihiltertia aliquid, Quarta, quinta, qualis, tota lima talis. On dit de même en frangais La seconde règle est qu'a la pleine lune, le temps est souvent incertain, et qu'il pleut en moyenne un peu moins dans la seconde moitié de la lunaison que dans la première Ces régies ont le tort de se laisser parfois démentir, car il serait trés agréable de pronostiquer avec certitude le temps qu'il va faire. En attendant, mettons a profit le dic ton populaire wal Ion Ou son équivalent frangais Prévoir le temps qu'il ferademain est un problème difficile a résoudre, surtout sous un climat aussi girouette que le nótre. F. de VINESKY. Reproduction réservêe.j O F. PlRARD, Ingénieur agrieole. Dans le nitrate. Dans le sulfate. Fr. c. 1.46 1.44 1.44 1.44 1.46 1.47 1 49 1.50 1.50 i-57 1.62 1.65 Au cinq de la lune on verra Quel temps tout le mois donn^ra Pourvu que dos jours le sixième Reste le même qu'au cinquième. I tome des gottes Mett' ti calotte Qwar.d i frè bai T' mett'rè t' chapai. Quant il fait beau, Met ton chapeau, Quand il fait laid, Met c'qui t'plait.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 6