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tPMér»mmmmmmm.
Lncore le canal de la Lys
m m m m m w m
La Chambre
Conseil communal
a l'Vperlée
Hepos dominical
j
Bibliographie.
Vous marcheren derrière le drapeau
rouge ou vous ne sere\ rien a dit un jour
M. Anseele aux libéraux,
lis marchent de plus en plus derrière le I
drapeau rouge, mais nous doutons lort qu'ils
deviennent pour cela quelque chose.
Monsieur le dépuié Nolf, l'homme en-
chaïné au socialisme, voudra sans doute
bien nousdonnerune plus ample explication
uu sujet de son interruption fparue"dans les
Annales Parlementaires de Mercredi dernier?
Question posée par M, Je represen
tant Van iVferris en faveur de l'in-
dustrie houblonnière.
k la séance de la Chambre des représen
tant» du 2 juin, M..Van Merris a posé la
question suivante a M. le rninistre des
ehetnins de fer
L'Industrie houblonnière dépense chaque
année un million de franc pour le renouvel-
lement de ses perches a houbloa. Sexploi
tation est ainsi rendue difficile et coiiteuse
comme prix de revient aussi souffre-t-elle
de cette situation. Depuis peu de temps,
d'aprèsles conseils de MM. Leplae et Mise- i
rez, les syndicats houblonniers s'évertuent
d'apporter uae notable amelioration a cette
exploitatation agricole en utilisant des po-
taux en bois de sapin créosoté. La lorgue
duróe de ces potaux ((rente a quarante ans)
ïéduirait considérablement les dépenses an-
auelles.
Les syndicats agricoles du pays de Pope-
ricghe enroient done, chaque année, aux
chantiers de créosotage, h Ostende, une
grande quantité de perches et de poteaux
proveuant des forêts de VVynendaele et du
Vrijbosch (Poelcapelle).
Pour ce transport par chemin de fer, ces
perches sont taxées a la 4' classe du tarif
général, comme bois de sapin, de toutes pro
venances, en grume ou simplement écorcés.
Le prix de transport de Poperinghe in Osten
de (chantier du Sas-Slykens) est calculé a
raison de 3 fr. 84 c. par 1,000 kilogrammes
Par le créosotage, 1* poids des perches s'est
aecru d'un tiers h peu prè3.
Or, pour le retour, les poteaux injectés a
la creosote sont taxes k la 3* classe du tarif
general, soit comma mAts, soit comme bois
ayantsubi une préparation. Dans ces condi
tions»-le prix de transport est calculé a rai
son ie 5 fr. 26 c. les 1,000 kilogrammes.
Cette classification ne peut que nuire aux
intéréts de la culture houblonière. La Fédé-
ration des syndicats houblonniers a déja
adressé au département des chemins de fer
créosotés (destines a la culture houblonnière)
dans la 4e classe du tarif général.
Quelle suite M. Ie ministre des chemins
de fer, posteset télégraphes peut il donner
a la requête des syndicats houblonniers 1
Réponse En services intérieur et mixte,
les perehes a houblon sont rangées a la 4f
classe du tarif n* 3, traitement trés favora
ble, eu égard a la valeur de cette mareban-
dise.
II ne serait pas possible, en ce moment,
d'étendre ce régime aux poteaux créosotés
destiués a laculture houblonnière produit
aetuellement rangé it la 3e classe sans
concéder la même faveur k tous les produits
créosotés engéüéral (poteaux télégraphiques
et téléphoniques, mfits, etc.) transpertés a
l'intérieur du pays.
Mardi 6 Juin
La question tant de fois agitée des commu.
nications entre les deux rives de l'Escant a
Anvers fait l'objet dune interpellation de M.
Persoons. II se plaint du retard dans l'exécu-
tion des travaux decides par la Chambre.
Les travaux devaient être commence's au
plustardle3t décembre 1909; les photo
graphies produites par M. Persoons de'mon-
trent qu'ils ont éte'entamés en temps utile.
M. le ministre Helleputte ajoute que le
transbordeur en construction sera le plus
grand qui ait jamais été fait, il a fallu avoir
recours, a la competence de techniciens
e'trangers.
Quant au tunnel a grand acces pour pié-
tons, voitures et tramways, tl coftterait 20
millions. L'endroit ou il pourrait être établi
n'a pas encore été fixé.
Mercredi 7 Juin.
M. du Bus de Warnaft'e, l'un des signatai
res de la proposition de loi scolaire, conti,
nue son discours. 11 rencontre de la fa^on
suivante les objections qui ont été faites a la
constitutionnalité du projet.
M. L. Huysmans dit que nous créons des
droits permanents, alors que le subside est
esaentiellement variable. Mais cette objec
tion n'est pas fondóe, car si elle l'était, toutes
hos lois organiques seraient inconstitution-
nellss, ainsi que dos lois sur les pensions, y
comprt» celles relatives 4 la pausion des mi
neurs.
La garantie de notre li bei té de legislature
reside dans l'annalité budgétaire nous
avons le droit de repouïser les budjets, et la j
gauche n'y manque pas.
M. Jan8on dit que renseiguement libre
est incompatible avec l'inspection, ear il n'est 1
plus libre alors. Ce n'est pas une objection j
nouvelle on l'a fomulée i propos de la loi
de 1842, et M. Nothomb l'a victorieusement
réfutée,
Toute la question est de savoir si nous,
catholiques, nous eonsidérons ou non que
notre liberie de conscience est atteiute par
le subside et sa consequence 1 inspection.
La liberté de conscience est chose subjective
et il suffit que l'iaspection ne nous effraie
pas pour que tout srcupule soit levé
On nous reproche encore de nous proela-
mer leBdéfenseurs del'autonomie communale
alors que nous préconisons un projet qui
serait directement attentatoire a cette auto.
nomie. Il est curieux de voir la gauche dé-
fendre ainsi l'aiitonoaiie communale, alors
qu'en 1904, M. Janson a repris, dans
Ralliement, une proposition d'après laquelle
dans les petites communes l'Ëtat serait mar
treabsolude renseignement. Trés bien!
d droite.) Et en 1879 interruptions d gauche)
la loi prira les communes de son action dis
ciplinaire sur le corps enseignant en leur
enlevant )e droit de suspension et de revo
cation de p'us, la loi défendit a la commu
ne d'adopter des écoles libres et instaura des
comités scolaires, agents du gouvernement,
dans les communes. Nouvelles approbations
a droite.)
A bout d'arguties, vous en êtes reduits a
crier A has les convents
Combien y en a-t il parmi vous a qui ce
cri droit bruler les lèvres Combien d'entre
vous a'ont pas des proches parents dans ces
ordres religieux, modèles de sacrifice et de
dévouement (Trés bien d droite Bruit
a gauche et d extréme gauche). Combien
d'entre vous n'ont pas recours, dans leurs
souffrances et leurs douieurs, a l'assistance
admirable des religieux Combien d'entre
vous ne placeat pas leurs enfants dans les
écoles religieuses, usant ainsi d'un droit
qu'ils ielu8ent aux paurres Combien n'y
en a-t-il pas parmi vous et vos amis qui aient
trouvé avautageux de prêter de l'argent a
ces couvents que vous vouez a la haine popu
laire I Combien parmi vous et vos amis n'ont
pas dü retirer leurs enfants des établisse-
ments religieux, en presence des inquisitions
et de menaces seetaires dont ils étaient
l'objet
C'est pour cela que le pays nous accorde
sa confiauce, et voila pourquoi il reste sourd
a votre appel Protestations d gauche.
Approbations d droite.) C'est paree que le
peujde helge a le sens profond de la vérité
et de la justice que le pays ne répond pas a
vos clameurs.
M. Mechelynck, député libéral de Gand,
combat la prise en considération de la pro
position.
La Chambre rejette par *4 voix contre
7-1 2 abstentions lordredu jour Persoons,
L un des abstenants, M. Hoger, député
libéral d'Anvers, declare ne pas pouvoir se
rallier a eet ordre du jour paree qu'il est
inexact que rien n'a été fait jusqu'ici pour
l'exécution de la loi.
L'ordre du jour de MM. Raemdonck, de
Bergeyck et Van Brussel est adopté par assis
et levé.
M. Woeste ne comprend pas que 1 op
position se refuse a discuter la question
scolaire et quelle combatte la prise en con
sidération du projet.
On a, dit il, parlé du renvoi du projet a
une commission mais je crois que c'est un
bruit vague, car il est «Tusage dans cette
assemblée de renvoyer aux sections les
projets politiques.
On ne peut pas soutenir sérieusement l'in
constitutionnalité du projet. Dés lors, pre
nons le projet en considération et poursui
vons en, dans les sections et en section
centrale, l'examen, qui nesera, du reste, pas
l'examen d'un jour
Peut-être verra-t-on alors ce qui s'est
déja vu les partis se mettre d accord sur
certaines réformes.
L'orateur examine la conception de l'en-
seignement public de nos adversaires. Ij
Séance publique du Samedi 3 juin, a
5 heures.
Présents MM. Colaert, Bourgmestre,
PrésidentM. Vandsnboogaerde, échevin
Fiers, Vanderghote, D'Huvettere, Bouquet,
Sobry, Iweins d'Eeckhoutte, Lemabieu, liie
buyck, Begerem, conseillers H. Van der
Donckt, Secrétaire communal.
M. l'éckevin Fraeijs da Veubeke, era-
pêché, s'est fait excuser.
M. le secrétaire donne lecture du texte
des resolutions prises a la dernière séance.
En comité secret, Messieurs Goeie Maurice
et Spotbeen Arthur, ont été nommés, a titre
provisoire, employés a l'administration
communale.
Ce texte, non plus que le procès-verba! de
cette même séance, ne donne lieu k aucune
observation. En consequence le dit procés-
verbal est déclaré approuvé.
termine par 1 apologie de l'enseignement
catholique.
Jeudi 8 Juin.
M. Schollaert, ministre des sciences et des
arts, chef du cabinet, annonce a la Chambre
que les membres du conseil des ministres ont
prié le Roi ei accepter leur démission. II
propose a la Chambre de suspendre ses déli-
bérations jusqu au moment ou un nouveau
cabinet aura été constitué.
(La droite se lèveet ovationnechaleureuse-
ment le chef du cabinet démissionnaire aux
cris de Vive SchollaertCette manifes
tation se prolonge pendant plusieurs
minutes.)
La Chambre s'ajourne jusqu'a convocation
ultérieure.
Tous les membres de la droite, d I excep
tion de M. Woeste, s'avancent la main
tenduevers les ministres,ils leur font escorte
et continuent leurs acclamations au milieu
des clameurs de la gauche socialiste.
Culte Adjudication des travaux de restau-
ration de l'ancienne abbaye de St-Martin.
M. le Président donne lecture du procés-
verbal d'adjudicafion des travaux de restau-
ration de Pancienne abbaye de St Martin,
a Ypres.
Le clevis était de fr 180.779,73.
Cinq soumissions ont été déposées, dont
laplus basse est cellede M. Aug. Oasteleyn,
entrepreneur a Ghistelies, qui soumissionne
au prix de fr. 107.482.06 sans minimum
de saiaire,et de fr. 168.48k.0G avec minimum
de salaire.
Une délibération de la fabrique d'Eglise,
en date du 30 mai, et dont M. le Président
donne également lecture, se prononce pour
1 adjudication des travaux a ['entrepreneur
Casteleyn, au prix ci-dessus.
M. le Président regrette que le résultat de
l'adjudication n'ait pas été favorable a un
entrepreneur Yprois; mais il n'existe aucune
raison d'écarter l'offre de M. Casteleyn,
réguliere ea la forme.
De plus, les renseignements recueillis
sar eet entrepreneur, taut par le Collége
Echevioal que par la fabrique d'Eglise,
sont nettement favorables.
Si M. Casteleyn a pu soumissionner h des
conditions aussi avantageuses, c'est en par
ticulier, qu'il est assisté de plusieurs Hls
expérimenté8.
II y a done lieu d'appliquer la loi.
Le conseil est invité a émettre uu avis
favorable sur la susdite délibération de la
fabrique d'Eglise.
Une discussion s'ouvre a laquelle plusieurs
membres prenuent part.
M. le conseiller D Huvettere demande
quelques explications. II a vainement cher
ché, dans le dossifer, les pièces se rapportant
a un bail emphytéotique conclu ou a con
clure entre la fabrique d'Eglise et la rille
d Ypres. Si ce bail existe, il faut un arrêté
royal le ratifiant s'il n'existe pas, quelles
garanties avons-nous comme contre-partie
de notre intervention dans un travail de
pareille envergure
Cette intervention même, estimée aujour-
d'liui a 40.000 fr.,sera insuffismte, le cbiffre
de l'adjudication devant, de l'avis de toutes
les personnes compétentes.être notablement
dépassé, pour permettre l'achèvement com-
p'et des travaux prévus. La part de la
fabrique d'Eglise étant arrêtée au cbiffre
invariable de 20.000 fr., cettte majoration
éventuelle tombera a charge de la caisse
communale, qui, prise dans l'eiigreuage,
devra continuer ses payements.
En l'absence d'un bail emphytéotique, nos
frais seraient faits en pure perte si, par suite
d'un changement de gouvernement, les
droits de la fabrique d'Eglise cessaieul detre
reconnus et si le bötimeut recevait une
autre affectation.
Le bail emphytéotique devrait done pié-
voir les droits du propriétaire du fondset
ceux du propriétaire des batimeuts. Si ce
bail n'est pas conclu sous quel régime
vivrons-nous
M. le Président. Pour répondre ii tous
vos scrupules, qui viennent un peu tardive-
ment, je vous dirai que le projet de conven
tion, intervenu entre la ville d'Ypres et la
fabrique d'Eglise, constitué un bail emphy
téotique. Quand ii y aura lieu de régulariser
ceüe convention en lui donnant la forme
autbentique, on le fera, et un arrêté royal
la ratifiera ensuite. Nous altendons pour
cela quel'immeuble soit reconstruit.
M. Begerem constate que la fabrique
d'Eglise demeurera, moynnant 20.000 fr.,
propriétaire d'un immeuble auquel il aura
été fait pour 180.000 fr. de travaux. Quelle
sera notre situation, a nous ville, Bi l'arrêté
royal, nécessaire pourque nous puissions
prendre jouissance de l'immeuble en vertu
d'un bail emphytéotique, ne vient pas
Qu'adviendrait-il si d'autre part, les pou-
voirs supérieurs ne pouvaient tenir leurs
engagements Les subsides promis sont a
répartir sur trois budgets, Dans J'bypothèse
oh le ministère viendrait a changer, le
ncuveau ministère obtiendra-t-il de la
Chambre, l'inscription aux budgets suivants,
des crédits nécsssaires
Dans ces conditions il est absolument fac-
tice de soutenir que Ja ville ne s'eugage que
I
pour 40.000 frs. On ignore ea fait, quel
les peuvent être les dépenses futures.
M.le Piésidentexpliqua que les subsides
promis étant a prendre sur les crédits ordi-
naires affectés chaque année a la restaura-
tion des monuments, la Chambre n'a pas a
se prononcer sur leur affectation ii tel ou tel
travail dóterminé. D'autre part il ne s'est
jamais vu qu'un gouvernement nouveau ne
tint pas les engagementsdesesprédécesseurs.
Quant a Facte authentique dont a parlé
M. D'IIuvettere, M. le Président croit qu'il
peut se passer valablement devant le Bourg
mestre agissant comme officier public.
M, le notaire D'Huvettere regrette qu'a
piopos de eet acte authentique, M. le Prési
dent alt pensó pouvoir le viser, et ai rabais-
sé ainsi la discussion des personnalités.
M. le Président proteste vivement contre
semblableallegation. II prend tous ses col-
lègues du Conseil a témoin de ce quo rien,
dans ses paroles, ait pu laisser transparaitre
l'allusion que l'honorable M. D'Huvettere
y a trouvée.
M. le Conseiller Begerem reprsnd son
argumentation. II pease qu'en l'ab3ence
d'un arrêté royal autorisant la convention
dont il a été question, le vote que le Conseil
va émettre sera nu'. C'est ce bail emphytéo
tique qui a servi de base a la mise en adju
dication. Le bail emphythe'otique n'existant
pas, l'adjudication elle même est nulle. Le
Conseil approuvera done le nóant.
M le Président objecte qu'il était impos
sible que la convention défiuitive préeédat
la restaaration. Ce que nous prendrons a
bail, ce n'est pas le monument en ruines,
c'est le monumsnt restauré. Aujourd'hui
cette restauration ssule est en cause. L'in-
tervention des pouvoirs supérieurs est chose
assurée et ue peut faire défaut par la suite.
M. le conseiller D'Huvettere demande
encore s'il n'y aurait pas lieu d'insérer dans
la convention la faculté pour la ville de
reprendre l'immeuble, a l'expiration du bail,
pour une somme déterminée.
Avant l'arrivée du terme prévu.les meines
opinions n'étant plus au pouvoir, l'immeuble
peut changer de propriétaire et passer, par
example, aux mains de lEtat. Ne faut-il
pas nous prémunir contre cette éventualité
M.le Président juge que le sort problé-
matique de l'Eglise de St Martin et de ses
dépendances n'est pas ici en cause. Il de
mande qu'il soit passé au vote sur ca qui est
uniquement a l'ordre du jour de cette
séanceavis favorable a émettre sur la
délibération de la fabrique de l'Eglise de
St Martin, adjugeant les travaux de restau
ration de l'ancienne abbaye de St Martin, a
M. Auguste Casteleyn, entrepreneur ii
Ghistelies, au prix de fr. 167,482.06 sans
minimum,et de fr. 168,482.06 avec minimum
de sa! ai re.
Deux membres déclarent s'abstenir, MM.
D Huvettere tt Sobry, ce dernier en sa
qualitéde raembrö de la fabrique d eglise
Un membra vote non M. Begerem.
Les aufres membres voteut oui.
En conséquenca, l'avis favorable est adop
té. II sera transmis avec la délibération de
la fabrique d'óglise, a i'approbation de
l'autorité supérieure.
Bureau de bienfaisance procés-verbal de
location d'immeubles.
Le notaire Vandernaeerscb, it Ypres, a
procédé, le 9 mai dernier, a la location
publique d'immeubles appartenant au bu
reau de bieniaisance, et dont lea 1 aux
expiraient le lr Octobre 1911 ou Je 1' Oct.
1912. Cette location qui avait produit pré-
cé lemment la somme de fr. 15.902, attaint
cette fois un total de fr. 18.331, soit une
majoration de 2.492 fr.
Le CoDseil a l'unanimité, moins l'absten-
tion de M. Biebuyck, membre de la commis
sion administrative, émet uu avis favorable
sur le procés-verbal de cette loocation, et
sur l'état des frais du notaire instrumentant.
Bureau de bienfaisance Substitution de
colocation d'une pature, d Loo.
Le Conseil émet un avis favorable pour
approbation par l'autorité supérieare sur
une délibération du bureau de bienfaisance
portant substitution de colocataire solidaire
dune pature a Loo. Le locataire, M. Cam.
Vandenbroele, march iud de bétail, a Boa-
siughe, sollicite la substitution de M. Arthur
Snick, médeciu a Boesinghe, a .VI. Charles
Houtekiet, boucher a Ypres, primitivement
désigné au procés-verbal de la location pu-
bliq e.
Bureau de bienfaisance libéralités d l'occa
sion de roctroi de concessions de sépul
tures.
Dcb concessions out été accordées a M.
Decaestecker-Pype, Emile, pour sa familie
M Ve Samyn-Fache, pour son ópoux
M. Angloo, Nestor, pour M«»« Degmeve,
Elodie
M. Breyne Jules, pour sa inère, née Vlae-
mynck, Rosalie
M. Van Isacker, iienri, pour sa mère, uée
Lozie, Julie.
M De Sagher, Louis, pour la familie
M, Deleforterio, Auga,
L'ensemble dos indemnités proposées par
1 le bureau de bienfaisance s'élève a 606.25 fr
Approuvé
VI. le Président propose la mise a l'orq,tt
du Jour, d'urgence, d'un cinquième objet
Hospices civils ven te d'immeubles
Plusieurs membres déclarent désirer
prendre plus ample conna-ssance du dossier
L'urgence est done écartóe, et eet objet
sera traité a une séance ultérieure.
La séance publique est levée a 6 1/2 h.
Le budget extraordinaire, déja voté par
les sections de la Chambre des Représen-
tants, prévoit un nouveau crédit de
1.700.000 fr. pour l'achèvetneüt du canal
de... Monsieur le député libéral-radical-
socialiste Nolf
Le Progrès et son Patron continuent,
d garder de Conrad, le silence prudent.
PHARMACIEN DE SERVICE
Dimanche 11 Juin
A. DONCK, rue de Lille, i3.
Successeur F. Van Wind-keus.
Pour répondre au voeu exprirné par leur
clientèle, les pharmacies Libotle et May
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Vermeersch Jeanne, Bukkerstraat.
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Lenoir Jilien, Dickebuschsleenweg
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Huwelijken
Delmael Guiliaume, kalseiiegger, wedr God-
deris Amelie, Cleenwerk Ameiie, kanten-
werkster weduwe Parein Edouard, beiden te
Y per.
Moerman Julion, polijster, Knockaert Marie,
kantenwerkster, beiden te Yper.
Mayfroodt Oscar, winkelknecht te Boesinghe,
Victoor Marie, z. b. te Yper.
Sterfgevallen
Goene Charles, 78 j., schilder, eehtgt Rosez
Octavie, St-Maartens Klooster.
Vandevyver Marie, 5 weken, Dickebuscli-
steenweg.
Vandamme Charles, 5? jwijnhande'aar, wod'
Goddoris Florentine, eehtgt Vancayzeole Maria,
Dixmudestraat.
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Henri, Poperinghesteenweg.
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Lazaire Colette, en Noliet Marie, Kaai (West)
Titeca Jéróme, 32 j., landwerker, ongeliuwd,
Meenenstraat.
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Poperinghesteenweg.
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ri, St-Jacobstraat.
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ancien évêque du Mans, daus une lettre a
auteur un kon livre car il est, bien fait,
de büre et solide doctrine, pratiqus et pieux.
uuo i'orjuoto tondemi roir Uxor lot» potoaux
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