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CO MP AH A ISO IS
Une oeuvre Yproise appelée
a se répandre en Allemagne
Corresponclance
Choses et autres
a* m e m m m ea m
Foire et concours dechevaux
de la Saint-Jean.
^horticulture Yproise
a l'exposition de Roubaix
Actes officiels
Üepos dominical
PHARMACIEN DE SERVICE
desire céder son bail d une cave a M. Dec-
nudt, a raison de 90 fr. Son bail reste encore
un an a courir. Autrefois, ce bieu était mis
en adjudicat on publique, depuis il a été
loué de la main a la main.
Le Consail aocordo un bail pour une pé
riode de neuf ans, avec faculté de résiliation
de la part de la ville.
Propriété commuhales demande d'ester
en justice. M. Ie président. Un immeu-
ble de la rue du Marais, bMi sur l'Yperlée,
a été vendu récemment a M. Gheldof. Celoi-
ci ne croit pas devoir payer la rente de 6 fr,
par an, a titre de redevance, que les prédé-
cesseurs ont payée depuis 1838, pour avoir
été autorisés a batir sur l'Yperlée. On tache-
ra de se mettre d'accord sur le rachat de
cette rente, sinon la ville sera obligée d'ester
en justice.
Agriculture. Concours de bétaildeman
de de subside. M. Fraeijs proposede ne
pas donner suite a ce concours rendu im
possible par suite de la stomatite aphteuse
qui règne d'une manière si véhémente.
M. le président. II a été dit, parait-il,
que la canalisation d'eau ne strait pas éta-
blie au Kruisstraat. Je puis donner un dé
menti formel a cctte nouvelle elle ne sera,
au contraire, établie trés prochainement. 11
a été dit éga'ement qoe le service des vidan-
ges deviendrait obligatoire pour tout la
monde. Ce sont la de faux bruits qu'on n'ex-
plique pas...
M. Begerem. C'est l'effet de la loi sco-
laire...
La séance publique est levée a 6 heures.
Nous étonnerons la nation
par notre moderation.
Beernaert.
L'Evêque de Nimes eondamné
Nlmes, 29 juin. Mgr Béguinot, évêque
de Nimes, poursuivi pour exhibition d'em-
blèmcs pontificaux, a l'occasion des fêtes de
Jeanne d'Arc, a été condamné ce matin, a
deux amendes d un franc. Le juge a infligé
24 heures de prison au nommé Périer qui au
cours de l'audience a crié VIVE LE ROI
Vive la Liberté I
Vive l'Egalité 1
Vive la Fraternité
Voilk ce qui se passe dans la nation voisine,
un pays de Liberté
En Belgique on pronaène impunément la
loque rouge, l'emblème de la Révolution et
on laisse passer les gens qui crient, en plein
pays royaliste Vive la République
Et dire que Monsieur Ernest Nolf, le dé-
puté tutti frutti ose se plaindre en plein
parlement de ne pas être libre Je te crois,
mon fieu. Si tu veux reconquérir ta liberté,
brise les chaines qui te lient a jamais, aux
citoyens antipatriotes Anseele, Ilubin, et
autres, du même acabit.
Le Patriotisme est une Jièvre sublime,qui,
dans ses acces triomphe de la nature. Y
Las questions d'éducation, naguère encore
presquö négligées, préoccupent actuellement
tous les esprits cultivés. Le Congrès d'édu
cation familiale, qui a tenu, Fan dernier, ses
assises a Bruxelles et est venu visiter notre
école de bienfaisance en même temps que
nos monuments, a eu un succès retentissant:
il a compté plus de 3000 membres, apparte-
nant k 43 nationalités différentes. La Belgi
que. seule, comptait 1 575 adherents.
Dans l'ordre des choses naturel, e est a la
familie qu'incombe la charge de faire l'édu-
cation morale de l'enfant, mais ce serait une
faute grave si, d'autre part, les pouvoirs
publicB s'en désintéressaient. C'est ce qu'a
compris parfaitement, en Aliemagne, le
Ministre desCultes qui, dans un circulaire
récente traite toutle problems de la protec
tion de l'adolescence.
M. Ch. Collard, dans la Revue sociale
catholique, publie une étude sur cette circu
laire. II y expose comment le Ministro com-
prend l'éducation protectiice de l'enfance
et reproduit ses censeils énumérés en vingt
paragraphes.
Le gouvernement de son pays voit, dans
la protection de la jeunesseeu éga d a sa
graude importance pour l'avenL' du peuple,
l'une des principals tSches des temps pré
sents.
La transformation qu'ont subits, dans
ces dernières années, les conditions des sa-
laires, et qui a eu une influence pernicieuse
sur la yie familiale et sociale, a mis, dit le
Ministre, ungrandnombre denesadolescents
dans une situation qui nuit considérable-
ment a leur bien être physique et, eECore
plus, a leur bi en-être moral.
II ne faut pas qu'on suive un modèle
bureaucratique ce qui. est indispensa
ble, c'est le développement, aussi libre que
possible, de loutes les forces convenable dans
les limites du cadre tracé par le but a at-
teindre et avec le concours de ceux qui
poursuivent le même but.
Le Ministre insise, a différentes reprises,
sur la nécessité de conserver et de dévelop-
per avec soin les ceuvres existantes, et, s'il
est nécessaire d'en créer de nouvelles, d'imi"
ter celles qui out déja fait leurs preuves,
notammeut celles qui sont anntxées a des
écoles.
Les 20 paragraphes de principes ot con-
seils, malgré tout l'intérêt qu'il3 présentent,
ne saur&ient trouver place dans le cadre de
notre journal. Nous nous bornerons done a
en extraire quelques passages.
L'ceuvre de la protection de la jeunesse a
pour mission de contribuer a former une
jeunesse joyeuse, forte physiquement et
moralement, remplie de l'esprit de solidarité
et de la crainte de Dieu, de l'amour du pays
natal et de la patrie.
La protection des jeunens gens sortis de
l'école comprend lage de 14 ans jusqu'a
leur entrée dans l'armée, e'est-a-dire jusqu'a
l'Age de 20 ans.
L'individualité, les beseins. les conditions
spéciales de chaque adolescent doivent ètre
pris sérieusement en consideration.
Parmi les moyens, qui ont déja fait la
plupart du temps leurs preuves, nous rele-
vons les suivantsMettre en état d- s loeaux
qui serviront de lieux de réunion et oü les
jeunts geus pourront trouver, aux heures
de liberté' l'occasion de lire, d ec- ire, de jouer
et de re iivrer a d'antres récréations.
Fonder des bibliothèques a l'usage de la
jeunesse. Organiser des soirées de musique
vocale et instrumentale, de lecture et de
conférences, de représentati >ns dramatiques
avec distribution de roles, et, en général,
fournir des occasions de se voir en société
et de se récréer,.
Visiter des monuments, des musées, si
gnaler ce qui peut offrir de l'intérêt, dans la
région, au point de vue de l'hisloire, de la
géographie, des sciences naturelles, du
paysage, etc.
Propager de saias exercices physiques de
tout genre suivaut les saisons, la logalité
et l'occasion.
Cette protection doit se faire sans faire
grand bruit au dehors, de manière que, tout
en tenant compte de son légitime besoin de
se récréer, on permeite a la jeunesse d'en
retenir ua profit durable pour le corps et
pour lame. C'est une tache pédagogique
difficile, mais en même temps méritante,
qui est proposée aux instituteurs, médecins,
ecclésiastiques, juges et avocats, agricul-
teurs, industriels, ingénieurs ct officiers,
ainBi qu'en général a tous ceux qui veluent
coliaborer a la protection de la jeunesse en
faisan; des conférences, en organisant des
discussions libres, etc.
23
La circulaire ministérielle, d'après ie ré
sumé trés succinct que nous donnons, denote
une grande largeur de vu»s. El'e n'impose
rien, elle conseille elle fait appel a tous les
dévoüments et a toutes les iniatives ella
n'entend rien détruire elle demande seule-
ment d'améliorer ce qui existe et de s'aider
de l'expérience des autres quand on crée des
oeuvres aouvelles. Elle n'a pas une foi aveu-
gle dans les règlements elle pense avec
raisou qu'une oeuvre vaut surtout ce que
vaut celui qui la dirige.
(3
Nos concitoyens ne regarderont certes
pas comme una nouveauté le programme
tracé par le Ministre ailemand. lis peuvent
se flatter, eux qui, dès les temps passés ont
été les précurseurs de tant d'oeuvres pbilan-
thropiques, de posséder dans leur ville des
oeuvres qui pourraient être proposées com
ma oeuvres-types aux organisateurs alle-
maeds ce sont d'abord le patronage (con-
grégation) pour jeunes gens, de St. Martin,
instituée depuis 1845 et qui fêta si brillam-
ment son cinquantenaire en 1895; ensuite
son affiliation, qui date déja de 25 ans, de la
paroiss® de St. Pierre. Ces deux patronages
sont dirigés, l'un par M. Jt lien Antony,
l'autre parM. Ley3, avec un tact et un dé-
voüment au dessus de tous éloges. Ces deux
oeuvres, toujours également prospères, mé-
ritent toute la bienveillante attention des
classes dirigeantes.
$9B9&9H93S98S!3f9Si?
Ypres, le 26 Juin 1911.
Monsieur le Rédacteur
Pcrmettez que je vienne encore vous im-
portuner je ne serai pas long.
Le vieil Yprois nous apprend qu'il est de
l'Académie francaise Qu'il me le pardonne,
je le croyais simple officier d'Acade'mie.
C'est done lui qui a trouvé la moelle de
Vossaïure administrative léguéed nosmaitres
et qu'il a offerte au Progrès. S*il n'était pas de
l'Académie, je lui dirais, comme on dit dun
des 40 immortels Quand done, rare
horame.,. Mais, puisqu'il en est.félicitons
le trés cordialement, et offrons lui des pal
mes.
A propos de 1399,notre illusf mcitoyen
demande pourquoi je ne pas a
l'Antiquité
Plus de cinq siècles, mon viêux, n'est-ce
pas assez pour être Yprois Faut-il remonter
a l'époque de la bataille de Groeninghe, ou
de la construction des Halles, ou de l'arrivée
a Ypres des moines de St Augustin
Ne suffit-il pas que mes anc'êtres aient
connu les gueux du XVI' siècle prédé*
cesseurs de ceux d'aujourd'hui et les ré-
volutionnaires de 1794 doux agneaux a
cöté des modernesmalfaiteurs publics qui
nous ont léguéla moelle desséchée de leurs
os décharnés, après avoir pillé nos monu
ments civils et religieux et volé nos tre'sors
Mais voila que j'ai l'air d'envierles lauriers
du vieil académicien. Descendons de quel
ques dégrés l'échelle du bel esprit.
Le vieil Yprois a compté les arbres qui ont
été vendus par nos Ediles. Nous l'avons sui-
vi, et void ce que nous avons trouvé En
trois années, la ville d'Ypres a vendu pour
fr. 26,793,62 d'arbres en moyenne 9.000
francs par an. C'était dans les années 1886,
1887, 1888, sous 1 administration de M. Van
Heule,qui n'était pasprécisément un clerical!
Nous continuefons nos recherches, si cela
peut faire plaisir au vieux.
Le vieil Yprois nous rappelle encore les
largesses faites par les Vanclenpeereboom,les
Carton, les Merghelynck, les Hynderick.
Pourquoi ne cite-t-il pas le chevalier G. de
Stuers, qui a légué, entre autres a la ville,
une somme de cent mille francs,qui n'est pas
tombée et qui ne tombera pas, elle, dans le
fonds roulant de la ville 1
Ce silence est il voulu Serait-ce paree que
le père de Stuers était un e'tranger, ou paree
que, conseiller communal, M. le chevalier
Gustave de Stuers, son fils,votait le plus sou
vent avec les Surmont et les Colaert
Mystère
Le vieil Yprois pretend que c'est avec
I'argent des contribuables et non avec le leur
que les Colaert, les Fraeijs, etc., ont pu
embellir la ville. Tiens, tiens, la ville est
done embellie? Mais est-il vrai que c'est avec
l'argent des contribuables Oui, en partie
mais la plus forte part provient tout de même
des libéralités faites par les prédécesseurs des
Ediles actuels les Van Heule, les Cornette,
etc. Sommes-nous justes, mon vieux f
Le vieil Yprois semble abandonner sa
thèse faut pas de ces élrangers cela ré
volte mon cceur. II s'apercoit peut-être
qu'en excommuniant les étrangers quel
osterracisme dirait Beulemans, qu'on pré-
tend être le cousin germain du vieil Yprois
il a commis une gaffe incommmensurable. Il
s'efforce visiblemeut de se ressaisir.
Troptard.mon vieux Les Yprois d'outre-
Vlamertinghe, d'outre - Brielen, d'outre-
Langemarck, d'outre-Zonnebeke, etc. con-
naissent la haine libérale pour les soi-disant
étrangers. Ils perceront toutes vos outres, et
vous laisseront chanter avec le poète déca-
dant Flopette
Je voudrais être un gaga,
Et que mon coeur naviguat
Sur la fleur du séringa I
Et le public vous répondra Gaga
Mais vous êtes un gaga, mon vieux, et vous
l'avez toujours été.
Un Jeune yprois.
M §6 m
Outre Poelcapelle, ir Juillet 1911.
La science consiste non pas
d en avoir beaucoup, mais a bien
savoir ce qu'on doit savoir.
BUFFON.
Monsieur l'Editeur,
Je suis un vieil abonné du Journal d Ypres
et j'en possède la collection depuis sa fonda-
tion. Comme les journées sont longues a la 1
campagne, j'utilise délicieusement mes
dimanches a fouiller dans mes vieux bou- j
i quins.
II fut un temps oü je m'occupais quelque l
peu d'administration c'est de cette époque
que date mon entrée a l'Académie Fran- I
gaise.
Tout en n'étant pas né a Ypres, j'y habite
depuis plus de cinquante ans, pendant au
moins dix mois de l'année. J'y ai presque
tous mes intéréts j'y suis électeur et je pos
sède quatre voix sur lesquelles vous pourrez
dorénavant compter.
Je lis régulièrement le Progrès, l'organe
libéral-socialiste de l'arrondissement je n'y
suis pas abonné mais je le trouve a la Con
corde ou a la Bibliolhèque. C'est la aussi que
je consulte les documents communaux. Je
suis done en mesure de me faire une opinion
indiscutable et indiscutée sur la faijon dont
notre chère citéest administrée pas les aigles
de l'hötel de ville. J 'ui mis en parallèle la
gestion de mes anciens amis pendant les
vingt dernières années de leuradministratioa
et celle des catholiques conservateurs,
depuis le mémorable soulagement de 1891.
Le Progrès a beau ergoter sur des chiffres,
il est aujourd'hui surabondamment établi
que le reproche lancé par Monsieur Fraeijs
a l'adresse des anciens administrateurs libé-
raux d'avoir mal géré les finances communa-
les, était bel et bien exact. Votre honorable
Echevin, qui malgré ses trent cinq ans de
séjour dans votre ville reste aux yeux du
Vieil Yprois, un élranger de naissance et
de coeur, aurait mieux fait d'user de moins
d'indulgence dans sa harangue du ir mai et
de déclarer carrément que mes anciens amis
avaientscandaleusement délapidé les finances
communales.
J'ai lu avec grande satisfaction les derniers
numéros de votre excellent journal. La dé-
loyale attitude et l'effronterie que met le
Progrès a soutenir le bien fondé de leurs
faux bilans ne parviendra jamais a donner le
change al'opinion publique.
II faut toutefois reconnaltre que si peu
d'Yprois ont l'honneur d'appartenir comme
moi, a l'Academie Francaise, ils sont nés plus
matins que ne le fait croire l'oïgane libéral-
socialiste et que ses patrons, (si honteuse-
ment chassés de l'hótel de ville, l'inoubliable
nuit, par les moyens que nul ne per dra de la
mémoire,) convoitant encore audacieusement
notre MANSION HOUSE, irrémédiable-
ment perdue pour eux, auront de longtemps
rejoint les cendres des dieux, chers a leur
coeur, avaut que nos concitoyens intelligents
et pratiques, aient modifié leur facon de
penserde parler et de voter.
Nous nous reverrons encore, Monsieur
l'Editeur.
Entretemps, je crie bien haut du fond de
ma retraite estivale
Arrière les sectaires Voltairiens du Pro
grès, arrière les sans Patrie arrière les
révolutionnairesIGNARUS.
L'homme qui naperqoit pas
le bien dans les autres, n'est pas
bon lui-mêtne.
Le Progrès et son Patron daigneront-ils j
répondre bientot aux nombreux questions
que le Journal d'Ypres leur pose depuis
plusieurs semaines 1
Elles sont sans doute trop embarrassantes
et i.e Progrès tout comme Monsieur Nolf,
l'ami de Vandervelde et de Hubia. estiment
qu'il est plus sage pour la quart d heure, de
garder de Conrad le silence prudent I
Nous vous attendrons paisiblemeut, mais
l'arme au pied jusqu'a la plus prochaine
consultation électorale.
Ce jour la, Monsieur le député, notre pai-
sible et hoanête population veus dira
Halte la, on ne passe pas.
II n'y a pas de place dans la aaaisen com
munale pour les fauteurs de troubles et les
gougats de la Chambre.
Modeste a ses débuts, la foire de Saint-
Jean gagne en importance d'année en anne'e,
autant que le concours. Malgré le mauvais
temps, un beau trafic a été réalisé hier, et un
nombre assez important de chevaux d'une
valeur de plus de 3.000 francs ont été ven
dus. De nombreux marchands allemands ont
traité des affaires et contribué a élever les
prix.
Le concours a réuni le chiffre respectable
de 120 concurrents et a donné les résultats
suivants
I. Concours pour hongres. A. De 3 ans
etau-dela: 1 prix, méd. d'or et 25 fr., Van
Issacker Alo'is, Langemarck 2 prix, méd.
d'arg. et 20 fr., Verraes Oscar, Wytschaete
3 prix, méd. d'arg. et 15 fr., Plamon Henri,
Boesinghe 4 prix, méd. d'arg. et 10 fr.,
Devlies Alo'is Becelaere 5 prix, méd. d'arg.
et 10 fr., Desein Charles, Gheluwe 6 prix,
méd. d'arg. et 10 fr., Butaye Alo'is, Noord-
schote 7 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Vv« Ver-
sick, CortemarckS prix, méd. d'arg. et
5 fr., Henri Vereecke, Vlamertinghe9 pri.t,
méd. d'arg. et 5 fr., Maes Edmond, Hout-
hem.
B. De 3o mois 1 prix, méd. d'or et
20 fr., Dochy Camille, St-Jean 2 prix, méd.
d'arg. et r5 fr., Jules Samain, Becelaere;
3 prix, méd. d'arg. et i5 fr., Vv<= Hollevoet,
Zantvoorde 4 prix, méd. d'arg. et 10 fr.,
Frimout Jean, Zantvoorde 5 prix, méd,
d'arg. et 10 fr., Vandeputte René, Boesinghe;
6 prix, méd. d'arg. et 10 fr., Parrein Pierre,
Langemarck 7 prix, méd. d'arg. et 5 fr.,
Top Marcel, Proven 8 prix, méd. d'arg. et
5. fr., Vermeulen Fidéle, Zonnebeke 9 prix,
méd. d'arg. et 5 fr., Demuydt Ivon, Boe
singhe 10 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Soenen
Henri, Becelaere.
C- De 18 mois 1 prix, méd. d'or et 20
fr., Samyn Hector, Saint-Jean 2 prix méd.
d'arg. et i5 fr., Vandenberghe Jules, Boesin
ghe 3 prix, méd. d'arg. et 10 fr., Desein
Charles, Gheluwe 4 prix, méd. d'arg. et
5 fr., Vve Blootacker, Voormezeele 5 prix,
méd. d'arg. et 5 fr., Samyn Fidéle, Boesinghe;
6 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Vandenberghe
Jules, Boesinghe.
D. Poulainst prix, méd. d'or et 15 fr
Claereboudt Henri, Houthem 2 prix, me'd
d'arg. et 10 fr., Donck Emile, Boesinghe
3 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Rommel Camille
Ypres 4 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Lenoit
frères, Langemarck.
II. Concours pour jut ients. A. De 3
ans etau-dela 1 prix, méd. d'or et 25 fr.,
Henri Pillaert, Loo; 2 prix, méd. d'arg. et
20 fr., Désiré Demeersseman, St-Jacobscapel-
le 3 prix, méd. d'arg. et i5 fr., Henri Clae
reboudt, Houthtm 4 prix, méd. d'arg. et
10 fr., Xavier Dick, Hooghlede5 prix,
méd. d'arg. et 5 fr., Cyrille Vandenbulcke,
Boesinghe; 6 prix, méd. d'arg. et 5 fr.,
Louis Leterme, Wytschaete. B. De 3o
mois 1 prix, méd. d'or et 20 fr., Demeersse
man, prénommé 2 prix, méd. d'arg. et i5 fr.
Charles Gheerardyn, Noordschote 3 prix,
méd. d'arg. et 10 fr., Jules Vandeputte, Boe
singhe 4 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Hector
Vermeersch, Voormezeele. C. De 18 mois;
1 prix, méd. d'or et 20 fr., Alphonse Van
denberghe, Boesinghe 2 prix, méd. d'arg.
et i5 fr., Henri Claereboudt, Houthem 3
prix, méd. d'arg. et 10 fr., Pol. Pattyn, Zon
nebeke 4 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Emile
Desmedt, Zonnebeke. D. Juments Pouli-
nières 1 prix, méd. d'or et i5 fr., Xavier
Dick, Hooghlede 2 prix, méd. d'arg. et
10 fr., au même 3 prix, méd. d'arg. et 5 fr.,
Lenoir frères, Langemarck.
En outre, un grand nombre de primes de
10 fr. ont éte altribuées a des propriétaires
qui exposaient en vente un lot d'au moins
cinq chevsuxou poulains.
Le jury était composé de MM. Ernest
Vandromme, Locre Henri Decorte, bourg-
mestre de Zuydschote Paul Vandatnme,
Wevelghem CharlesBrutsaert, bourgmestre
de Watou Florimond Debrabandere, Wiels-
beke Alphonse Degroote, vétérinaire agrée
de l'Etat, a Courtrai. La Commission était
composée de MM. Cyrille Lemahieu, Hip-
polyte Vandenboogaarde, Charles Swynge-
dauw et Edmond Canepeel.
Les fleurs sont de toutes les fêtes. Elles
ont leur place et une place d'honneur
marquée dans une exposition générale ou,
parmi la multitude des merveilles offertes a
l'aeil satn du visiteur, elles apparaissent
comme le gracitux témoignage du génie de
la nature. Pour permettre aux amateurs de
fleurset tout le monde ne l'est il pas
de trouver rassemblé tout ce que l'imagina-
tion la plus exercée et la plus féconde peut
rêver de plus enchanteur dans l'art de Florr
un concours d'horticulture a été organisé au
sein de l'exposition internationale de Rou
baix.
Dans la 3e,ne section, consacrée aux plantes
de pleine terre et fleurs coupées, la Société
horticole d'Ypres a remporte' le diplome de
grande médaille d'or pour son superbe lot de
20 oeillets coupés d'espèces différentes.
La Société horticole d'Ypres excelle vrai-
ment damt la culture de 1 oeillet américain
dont la vogue est devenue si grande, et la
réputation de ses cultures s'étend de plus en
plus k l'étranger.
Armée. Promotion. Est nommé
capitaine en second le lieutenant Pascal (L.
du 3« régiment de ligne.
Administration de l'enregistrement et des
domaines. Est nommé receveur a Messi-
nes, M. Trogh (O.), receveur des actes judi-
eiaires et des domaines a Courtrai.
BURGERSTAND VAN YPER
Verklaringen van den 23 tot den 3) Juni 191 i.
Geboorten
Deruyter Maria, Poperingsche steenweg.
Breyne Raphaël, Groole Markt,
Moniez Antoin, Wenninckstraat.
Van Elverdinghe André, Hoorwerk.
Maes Marielte, Cartonstraat.
Bau Maurice, Rijsselsteenweg.
Lebon Marie, St-Janstraat.
Beun Albert, Penneslraat.
LsBras Isabelle, Boterstraat.
Baetens Hilda, Penneslraat.
Odent Pharaïlde, Kaaistraat.
Huwelijken
Maddelein Hector, paardengeleider te Boesin
ghe en Lecleer Julie, kantwerkster te Yper.
Derous FranQOis, polierder en Macoq Am
kantwerkster te Yper.
Sterfgevallen
Selos Elie, 77 jaren, daglooner, echtgenoot
van Bouye Pnilomène, Veemarkt.
Buseyne Rosalie, 87 jaren, z. b. weduwnaar
Lesage Louis, Rijkeklaarenstraat.
Verslype Louis, 79 jaren, z. b. weduwaar
Philips Mélanie, Rijsselstraat.
Dimanche 2 Juillet
J. DECHIÊVRE, rue de la Station, 15.
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