m m m m m m mmmm mm sa m m m m m m m n& *s ae mm e©®« CO MP AH A ISO IS Une oeuvre Yproise appelée a se répandre en Allemagne Corresponclance Choses et autres a* m e m m m ea m Foire et concours dechevaux de la Saint-Jean. ^horticulture Yproise a l'exposition de Roubaix Actes officiels Üepos dominical PHARMACIEN DE SERVICE desire céder son bail d une cave a M. Dec- nudt, a raison de 90 fr. Son bail reste encore un an a courir. Autrefois, ce bieu était mis en adjudicat on publique, depuis il a été loué de la main a la main. Le Consail aocordo un bail pour une pé riode de neuf ans, avec faculté de résiliation de la part de la ville. Propriété commuhales demande d'ester en justice. M. Ie président. Un immeu- ble de la rue du Marais, bMi sur l'Yperlée, a été vendu récemment a M. Gheldof. Celoi- ci ne croit pas devoir payer la rente de 6 fr, par an, a titre de redevance, que les prédé- cesseurs ont payée depuis 1838, pour avoir été autorisés a batir sur l'Yperlée. On tache- ra de se mettre d'accord sur le rachat de cette rente, sinon la ville sera obligée d'ester en justice. Agriculture. Concours de bétaildeman de de subside. M. Fraeijs proposede ne pas donner suite a ce concours rendu im possible par suite de la stomatite aphteuse qui règne d'une manière si véhémente. M. le président. II a été dit, parait-il, que la canalisation d'eau ne strait pas éta- blie au Kruisstraat. Je puis donner un dé menti formel a cctte nouvelle elle ne sera, au contraire, établie trés prochainement. 11 a été dit éga'ement qoe le service des vidan- ges deviendrait obligatoire pour tout la monde. Ce sont la de faux bruits qu'on n'ex- plique pas... M. Begerem. C'est l'effet de la loi sco- laire... La séance publique est levée a 6 heures. Nous étonnerons la nation par notre moderation. Beernaert. L'Evêque de Nimes eondamné Nlmes, 29 juin. Mgr Béguinot, évêque de Nimes, poursuivi pour exhibition d'em- blèmcs pontificaux, a l'occasion des fêtes de Jeanne d'Arc, a été condamné ce matin, a deux amendes d un franc. Le juge a infligé 24 heures de prison au nommé Périer qui au cours de l'audience a crié VIVE LE ROI Vive la Liberté I Vive l'Egalité 1 Vive la Fraternité Voilk ce qui se passe dans la nation voisine, un pays de Liberté En Belgique on pronaène impunément la loque rouge, l'emblème de la Révolution et on laisse passer les gens qui crient, en plein pays royaliste Vive la République Et dire que Monsieur Ernest Nolf, le dé- puté tutti frutti ose se plaindre en plein parlement de ne pas être libre Je te crois, mon fieu. Si tu veux reconquérir ta liberté, brise les chaines qui te lient a jamais, aux citoyens antipatriotes Anseele, Ilubin, et autres, du même acabit. Le Patriotisme est une Jièvre sublime,qui, dans ses acces triomphe de la nature. Y Las questions d'éducation, naguère encore presquö négligées, préoccupent actuellement tous les esprits cultivés. Le Congrès d'édu cation familiale, qui a tenu, Fan dernier, ses assises a Bruxelles et est venu visiter notre école de bienfaisance en même temps que nos monuments, a eu un succès retentissant: il a compté plus de 3000 membres, apparte- nant k 43 nationalités différentes. La Belgi que. seule, comptait 1 575 adherents. Dans l'ordre des choses naturel, e est a la familie qu'incombe la charge de faire l'édu- cation morale de l'enfant, mais ce serait une faute grave si, d'autre part, les pouvoirs publicB s'en désintéressaient. C'est ce qu'a compris parfaitement, en Aliemagne, le Ministre desCultes qui, dans un circulaire récente traite toutle problems de la protec tion de l'adolescence. M. Ch. Collard, dans la Revue sociale catholique, publie une étude sur cette circu laire. II y expose comment le Ministro com- prend l'éducation protectiice de l'enfance et reproduit ses censeils énumérés en vingt paragraphes. Le gouvernement de son pays voit, dans la protection de la jeunesseeu éga d a sa graude importance pour l'avenL' du peuple, l'une des principals tSches des temps pré sents. La transformation qu'ont subits, dans ces dernières années, les conditions des sa- laires, et qui a eu une influence pernicieuse sur la yie familiale et sociale, a mis, dit le Ministre, ungrandnombre denesadolescents dans une situation qui nuit considérable- ment a leur bien être physique et, eECore plus, a leur bi en-être moral. II ne faut pas qu'on suive un modèle bureaucratique ce qui. est indispensa ble, c'est le développement, aussi libre que possible, de loutes les forces convenable dans les limites du cadre tracé par le but a at- teindre et avec le concours de ceux qui poursuivent le même but. Le Ministre insise, a différentes reprises, sur la nécessité de conserver et de dévelop- per avec soin les ceuvres existantes, et, s'il est nécessaire d'en créer de nouvelles, d'imi" ter celles qui out déja fait leurs preuves, notammeut celles qui sont anntxées a des écoles. Les 20 paragraphes de principes ot con- seils, malgré tout l'intérêt qu'il3 présentent, ne saur&ient trouver place dans le cadre de notre journal. Nous nous bornerons done a en extraire quelques passages. L'ceuvre de la protection de la jeunesse a pour mission de contribuer a former une jeunesse joyeuse, forte physiquement et moralement, remplie de l'esprit de solidarité et de la crainte de Dieu, de l'amour du pays natal et de la patrie. La protection des jeunens gens sortis de l'école comprend lage de 14 ans jusqu'a leur entrée dans l'armée, e'est-a-dire jusqu'a l'Age de 20 ans. L'individualité, les beseins. les conditions spéciales de chaque adolescent doivent ètre pris sérieusement en consideration. Parmi les moyens, qui ont déja fait la plupart du temps leurs preuves, nous rele- vons les suivantsMettre en état d- s loeaux qui serviront de lieux de réunion et oü les jeunts geus pourront trouver, aux heures de liberté' l'occasion de lire, d ec- ire, de jouer et de re iivrer a d'antres récréations. Fonder des bibliothèques a l'usage de la jeunesse. Organiser des soirées de musique vocale et instrumentale, de lecture et de conférences, de représentati >ns dramatiques avec distribution de roles, et, en général, fournir des occasions de se voir en société et de se récréer,. Visiter des monuments, des musées, si gnaler ce qui peut offrir de l'intérêt, dans la région, au point de vue de l'hisloire, de la géographie, des sciences naturelles, du paysage, etc. Propager de saias exercices physiques de tout genre suivaut les saisons, la logalité et l'occasion. Cette protection doit se faire sans faire grand bruit au dehors, de manière que, tout en tenant compte de son légitime besoin de se récréer, on permeite a la jeunesse d'en retenir ua profit durable pour le corps et pour lame. C'est une tache pédagogique difficile, mais en même temps méritante, qui est proposée aux instituteurs, médecins, ecclésiastiques, juges et avocats, agricul- teurs, industriels, ingénieurs ct officiers, ainBi qu'en général a tous ceux qui veluent coliaborer a la protection de la jeunesse en faisan; des conférences, en organisant des discussions libres, etc. 23 La circulaire ministérielle, d'après ie ré sumé trés succinct que nous donnons, denote une grande largeur de vu»s. El'e n'impose rien, elle conseille elle fait appel a tous les dévoüments et a toutes les iniatives ella n'entend rien détruire elle demande seule- ment d'améliorer ce qui existe et de s'aider de l'expérience des autres quand on crée des oeuvres aouvelles. Elle n'a pas une foi aveu- gle dans les règlements elle pense avec raisou qu'une oeuvre vaut surtout ce que vaut celui qui la dirige. (3 Nos concitoyens ne regarderont certes pas comme una nouveauté le programme tracé par le Ministre ailemand. lis peuvent se flatter, eux qui, dès les temps passés ont été les précurseurs de tant d'oeuvres pbilan- thropiques, de posséder dans leur ville des oeuvres qui pourraient être proposées com ma oeuvres-types aux organisateurs alle- maeds ce sont d'abord le patronage (con- grégation) pour jeunes gens, de St. Martin, instituée depuis 1845 et qui fêta si brillam- ment son cinquantenaire en 1895; ensuite son affiliation, qui date déja de 25 ans, de la paroiss® de St. Pierre. Ces deux patronages sont dirigés, l'un par M. Jt lien Antony, l'autre parM. Ley3, avec un tact et un dé- voüment au dessus de tous éloges. Ces deux oeuvres, toujours également prospères, mé- ritent toute la bienveillante attention des classes dirigeantes. $9B9&9H93S98S!3f9Si? Ypres, le 26 Juin 1911. Monsieur le Rédacteur Pcrmettez que je vienne encore vous im- portuner je ne serai pas long. Le vieil Yprois nous apprend qu'il est de l'Académie francaise Qu'il me le pardonne, je le croyais simple officier d'Acade'mie. C'est done lui qui a trouvé la moelle de Vossaïure administrative léguéed nosmaitres et qu'il a offerte au Progrès. S*il n'était pas de l'Académie, je lui dirais, comme on dit dun des 40 immortels Quand done, rare horame.,. Mais, puisqu'il en est.félicitons le trés cordialement, et offrons lui des pal mes. A propos de 1399,notre illusf mcitoyen demande pourquoi je ne pas a l'Antiquité Plus de cinq siècles, mon viêux, n'est-ce pas assez pour être Yprois Faut-il remonter a l'époque de la bataille de Groeninghe, ou de la construction des Halles, ou de l'arrivée a Ypres des moines de St Augustin Ne suffit-il pas que mes anc'êtres aient connu les gueux du XVI' siècle prédé* cesseurs de ceux d'aujourd'hui et les ré- volutionnaires de 1794 doux agneaux a cöté des modernesmalfaiteurs publics qui nous ont léguéla moelle desséchée de leurs os décharnés, après avoir pillé nos monu ments civils et religieux et volé nos tre'sors Mais voila que j'ai l'air d'envierles lauriers du vieil académicien. Descendons de quel ques dégrés l'échelle du bel esprit. Le vieil Yprois a compté les arbres qui ont été vendus par nos Ediles. Nous l'avons sui- vi, et void ce que nous avons trouvé En trois années, la ville d'Ypres a vendu pour fr. 26,793,62 d'arbres en moyenne 9.000 francs par an. C'était dans les années 1886, 1887, 1888, sous 1 administration de M. Van Heule,qui n'était pasprécisément un clerical! Nous continuefons nos recherches, si cela peut faire plaisir au vieux. Le vieil Yprois nous rappelle encore les largesses faites par les Vanclenpeereboom,les Carton, les Merghelynck, les Hynderick. Pourquoi ne cite-t-il pas le chevalier G. de Stuers, qui a légué, entre autres a la ville, une somme de cent mille francs,qui n'est pas tombée et qui ne tombera pas, elle, dans le fonds roulant de la ville 1 Ce silence est il voulu Serait-ce paree que le père de Stuers était un e'tranger, ou paree que, conseiller communal, M. le chevalier Gustave de Stuers, son fils,votait le plus sou vent avec les Surmont et les Colaert Mystère Le vieil Yprois pretend que c'est avec I'argent des contribuables et non avec le leur que les Colaert, les Fraeijs, etc., ont pu embellir la ville. Tiens, tiens, la ville est done embellie? Mais est-il vrai que c'est avec l'argent des contribuables Oui, en partie mais la plus forte part provient tout de même des libéralités faites par les prédécesseurs des Ediles actuels les Van Heule, les Cornette, etc. Sommes-nous justes, mon vieux f Le vieil Yprois semble abandonner sa thèse faut pas de ces élrangers cela ré volte mon cceur. II s'apercoit peut-être qu'en excommuniant les étrangers quel osterracisme dirait Beulemans, qu'on pré- tend être le cousin germain du vieil Yprois il a commis une gaffe incommmensurable. Il s'efforce visiblemeut de se ressaisir. Troptard.mon vieux Les Yprois d'outre- Vlamertinghe, d'outre - Brielen, d'outre- Langemarck, d'outre-Zonnebeke, etc. con- naissent la haine libérale pour les soi-disant étrangers. Ils perceront toutes vos outres, et vous laisseront chanter avec le poète déca- dant Flopette Je voudrais être un gaga, Et que mon coeur naviguat Sur la fleur du séringa I Et le public vous répondra Gaga Mais vous êtes un gaga, mon vieux, et vous l'avez toujours été. Un Jeune yprois. M §6 m Outre Poelcapelle, ir Juillet 1911. La science consiste non pas d en avoir beaucoup, mais a bien savoir ce qu'on doit savoir. BUFFON. Monsieur l'Editeur, Je suis un vieil abonné du Journal d Ypres et j'en possède la collection depuis sa fonda- tion. Comme les journées sont longues a la 1 campagne, j'utilise délicieusement mes dimanches a fouiller dans mes vieux bou- j i quins. II fut un temps oü je m'occupais quelque l peu d'administration c'est de cette époque que date mon entrée a l'Académie Fran- I gaise. Tout en n'étant pas né a Ypres, j'y habite depuis plus de cinquante ans, pendant au moins dix mois de l'année. J'y ai presque tous mes intéréts j'y suis électeur et je pos sède quatre voix sur lesquelles vous pourrez dorénavant compter. Je lis régulièrement le Progrès, l'organe libéral-socialiste de l'arrondissement je n'y suis pas abonné mais je le trouve a la Con corde ou a la Bibliolhèque. C'est la aussi que je consulte les documents communaux. Je suis done en mesure de me faire une opinion indiscutable et indiscutée sur la faijon dont notre chère citéest administrée pas les aigles de l'hötel de ville. J 'ui mis en parallèle la gestion de mes anciens amis pendant les vingt dernières années de leuradministratioa et celle des catholiques conservateurs, depuis le mémorable soulagement de 1891. Le Progrès a beau ergoter sur des chiffres, il est aujourd'hui surabondamment établi que le reproche lancé par Monsieur Fraeijs a l'adresse des anciens administrateurs libé- raux d'avoir mal géré les finances communa- les, était bel et bien exact. Votre honorable Echevin, qui malgré ses trent cinq ans de séjour dans votre ville reste aux yeux du Vieil Yprois, un élranger de naissance et de coeur, aurait mieux fait d'user de moins d'indulgence dans sa harangue du ir mai et de déclarer carrément que mes anciens amis avaientscandaleusement délapidé les finances communales. J'ai lu avec grande satisfaction les derniers numéros de votre excellent journal. La dé- loyale attitude et l'effronterie que met le Progrès a soutenir le bien fondé de leurs faux bilans ne parviendra jamais a donner le change al'opinion publique. II faut toutefois reconnaltre que si peu d'Yprois ont l'honneur d'appartenir comme moi, a l'Academie Francaise, ils sont nés plus matins que ne le fait croire l'oïgane libéral- socialiste et que ses patrons, (si honteuse- ment chassés de l'hótel de ville, l'inoubliable nuit, par les moyens que nul ne per dra de la mémoire,) convoitant encore audacieusement notre MANSION HOUSE, irrémédiable- ment perdue pour eux, auront de longtemps rejoint les cendres des dieux, chers a leur coeur, avaut que nos concitoyens intelligents et pratiques, aient modifié leur facon de penserde parler et de voter. Nous nous reverrons encore, Monsieur l'Editeur. Entretemps, je crie bien haut du fond de ma retraite estivale Arrière les sectaires Voltairiens du Pro grès, arrière les sans Patrie arrière les révolutionnairesIGNARUS. L'homme qui naperqoit pas le bien dans les autres, n'est pas bon lui-mêtne. Le Progrès et son Patron daigneront-ils j répondre bientot aux nombreux questions que le Journal d'Ypres leur pose depuis plusieurs semaines 1 Elles sont sans doute trop embarrassantes et i.e Progrès tout comme Monsieur Nolf, l'ami de Vandervelde et de Hubia. estiment qu'il est plus sage pour la quart d heure, de garder de Conrad le silence prudent I Nous vous attendrons paisiblemeut, mais l'arme au pied jusqu'a la plus prochaine consultation électorale. Ce jour la, Monsieur le député, notre pai- sible et hoanête population veus dira Halte la, on ne passe pas. II n'y a pas de place dans la aaaisen com munale pour les fauteurs de troubles et les gougats de la Chambre. Modeste a ses débuts, la foire de Saint- Jean gagne en importance d'année en anne'e, autant que le concours. Malgré le mauvais temps, un beau trafic a été réalisé hier, et un nombre assez important de chevaux d'une valeur de plus de 3.000 francs ont été ven dus. De nombreux marchands allemands ont traité des affaires et contribué a élever les prix. Le concours a réuni le chiffre respectable de 120 concurrents et a donné les résultats suivants I. Concours pour hongres. A. De 3 ans etau-dela: 1 prix, méd. d'or et 25 fr., Van Issacker Alo'is, Langemarck 2 prix, méd. d'arg. et 20 fr., Verraes Oscar, Wytschaete 3 prix, méd. d'arg. et 15 fr., Plamon Henri, Boesinghe 4 prix, méd. d'arg. et 10 fr., Devlies Alo'is Becelaere 5 prix, méd. d'arg. et 10 fr., Desein Charles, Gheluwe 6 prix, méd. d'arg. et 10 fr., Butaye Alo'is, Noord- schote 7 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Vv« Ver- sick, CortemarckS prix, méd. d'arg. et 5 fr., Henri Vereecke, Vlamertinghe9 pri.t, méd. d'arg. et 5 fr., Maes Edmond, Hout- hem. B. De 3o mois 1 prix, méd. d'or et 20 fr., Dochy Camille, St-Jean 2 prix, méd. d'arg. et r5 fr., Jules Samain, Becelaere; 3 prix, méd. d'arg. et i5 fr., Vv<= Hollevoet, Zantvoorde 4 prix, méd. d'arg. et 10 fr., Frimout Jean, Zantvoorde 5 prix, méd, d'arg. et 10 fr., Vandeputte René, Boesinghe; 6 prix, méd. d'arg. et 10 fr., Parrein Pierre, Langemarck 7 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Top Marcel, Proven 8 prix, méd. d'arg. et 5. fr., Vermeulen Fidéle, Zonnebeke 9 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Demuydt Ivon, Boe singhe 10 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Soenen Henri, Becelaere. C- De 18 mois 1 prix, méd. d'or et 20 fr., Samyn Hector, Saint-Jean 2 prix méd. d'arg. et i5 fr., Vandenberghe Jules, Boesin ghe 3 prix, méd. d'arg. et 10 fr., Desein Charles, Gheluwe 4 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Vve Blootacker, Voormezeele 5 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Samyn Fidéle, Boesinghe; 6 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Vandenberghe Jules, Boesinghe. D. Poulainst prix, méd. d'or et 15 fr Claereboudt Henri, Houthem 2 prix, me'd d'arg. et 10 fr., Donck Emile, Boesinghe 3 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Rommel Camille Ypres 4 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Lenoit frères, Langemarck. II. Concours pour jut ients. A. De 3 ans etau-dela 1 prix, méd. d'or et 25 fr., Henri Pillaert, Loo; 2 prix, méd. d'arg. et 20 fr., Désiré Demeersseman, St-Jacobscapel- le 3 prix, méd. d'arg. et i5 fr., Henri Clae reboudt, Houthtm 4 prix, méd. d'arg. et 10 fr., Xavier Dick, Hooghlede5 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Cyrille Vandenbulcke, Boesinghe; 6 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Louis Leterme, Wytschaete. B. De 3o mois 1 prix, méd. d'or et 20 fr., Demeersse man, prénommé 2 prix, méd. d'arg. et i5 fr. Charles Gheerardyn, Noordschote 3 prix, méd. d'arg. et 10 fr., Jules Vandeputte, Boe singhe 4 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Hector Vermeersch, Voormezeele. C. De 18 mois; 1 prix, méd. d'or et 20 fr., Alphonse Van denberghe, Boesinghe 2 prix, méd. d'arg. et i5 fr., Henri Claereboudt, Houthem 3 prix, méd. d'arg. et 10 fr., Pol. Pattyn, Zon nebeke 4 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Emile Desmedt, Zonnebeke. D. Juments Pouli- nières 1 prix, méd. d'or et i5 fr., Xavier Dick, Hooghlede 2 prix, méd. d'arg. et 10 fr., au même 3 prix, méd. d'arg. et 5 fr., Lenoir frères, Langemarck. En outre, un grand nombre de primes de 10 fr. ont éte altribuées a des propriétaires qui exposaient en vente un lot d'au moins cinq chevsuxou poulains. Le jury était composé de MM. Ernest Vandromme, Locre Henri Decorte, bourg- mestre de Zuydschote Paul Vandatnme, Wevelghem CharlesBrutsaert, bourgmestre de Watou Florimond Debrabandere, Wiels- beke Alphonse Degroote, vétérinaire agrée de l'Etat, a Courtrai. La Commission était composée de MM. Cyrille Lemahieu, Hip- polyte Vandenboogaarde, Charles Swynge- dauw et Edmond Canepeel. Les fleurs sont de toutes les fêtes. Elles ont leur place et une place d'honneur marquée dans une exposition générale ou, parmi la multitude des merveilles offertes a l'aeil satn du visiteur, elles apparaissent comme le gracitux témoignage du génie de la nature. Pour permettre aux amateurs de fleurset tout le monde ne l'est il pas de trouver rassemblé tout ce que l'imagina- tion la plus exercée et la plus féconde peut rêver de plus enchanteur dans l'art de Florr un concours d'horticulture a été organisé au sein de l'exposition internationale de Rou baix. Dans la 3e,ne section, consacrée aux plantes de pleine terre et fleurs coupées, la Société horticole d'Ypres a remporte' le diplome de grande médaille d'or pour son superbe lot de 20 oeillets coupés d'espèces différentes. La Société horticole d'Ypres excelle vrai- ment damt la culture de 1 oeillet américain dont la vogue est devenue si grande, et la réputation de ses cultures s'étend de plus en plus k l'étranger. Armée. Promotion. Est nommé capitaine en second le lieutenant Pascal (L. du 3« régiment de ligne. Administration de l'enregistrement et des domaines. Est nommé receveur a Messi- nes, M. Trogh (O.), receveur des actes judi- eiaires et des domaines a Courtrai. BURGERSTAND VAN YPER Verklaringen van den 23 tot den 3) Juni 191 i. Geboorten Deruyter Maria, Poperingsche steenweg. Breyne Raphaël, Groole Markt, Moniez Antoin, Wenninckstraat. Van Elverdinghe André, Hoorwerk. Maes Marielte, Cartonstraat. Bau Maurice, Rijsselsteenweg. Lebon Marie, St-Janstraat. Beun Albert, Penneslraat. LsBras Isabelle, Boterstraat. Baetens Hilda, Penneslraat. Odent Pharaïlde, Kaaistraat. Huwelijken Maddelein Hector, paardengeleider te Boesin ghe en Lecleer Julie, kantwerkster te Yper. Derous FranQOis, polierder en Macoq Am kantwerkster te Yper. Sterfgevallen Selos Elie, 77 jaren, daglooner, echtgenoot van Bouye Pnilomène, Veemarkt. Buseyne Rosalie, 87 jaren, z. b. weduwnaar Lesage Louis, Rijkeklaarenstraat. Verslype Louis, 79 jaren, z. b. weduwaar Philips Mélanie, Rijsselstraat. Dimanche 2 Juillet J. DECHIÊVRE, rue de la Station, 15. i

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 2