GMKO&tQmrPAom m m cs m if. es m if m o w m m if m w f# m m m m w Nos prêtivs m m w> if w, w* if. «j De M. Dupoiit, Sénaleur et de M. fteujean, Dépulé m m if m Dimanche, a Louvain Une loi incohérente obscure et La Bente beige. ca cs esi ta es fci gs m Cê Les progrès de notre commerce Pour le Congo I e droit d'liérilage Le lion et le tigre Nouvelle visite princière Nos restaurations est-il elier Les essais de serum contre Ia fièvre aphteuse- Nominations ecclésiasliques. 2° Que pas un drapeau na-ional ne figurait dans le cortège. pas uae rr.usique, pas un 3* Qu ban^onnr I DE LIÉGE Le parti socialiste est un danger publicil prêche la guerre des classes, du travail et du capital, de l'ouvrier et du patron il représente la tyrannie des meneurs, l'as- servissement et la destruc tion de la propriété indivi- duelle, l'anéantissement du commerce et de l'indus- trie. II se réclame de la Commune de Parie, qui, par le massacre des öta- ges et l'incendie des principaux monuments de la grande Cité, a jeté partout l'épouvante et l'horreur. Tous les bons citoyens doirent s'unir nous pour repousser ces nouveaux barbares qui menacent la liberté de la civiIisation,elle-même. Notre ville verrait bientöt tarir les sources de sa prospérité et de sa grandeur si, alléchée par des pro messes fallacieuses et toujours faci- les faire, elle choisissait pour la représenter au Conseil communal des discoureurs de carré- four, des fauteurs de désor- dre, des industriels de grè- ves. Ce serait fouler aux pieds le bon renom, l'honneur mêrae de notre Cité. et eet te haine est sans merci. Cette haine va jusqu'èi la mort de eet e classc La lutte sans la haine est de la comédie. Décembre Juillet Anvers 1897 79 87 Bruxelles 1902 io3.oo 91 -75 79.87 Maritime Gand 1896 76-87 Liége 1897 76.87 igo5 85.37 75.5o Ostende 1898 69 87 Schaerbeek 1897 La Chroniquea laquelle nous emprun- ip fs® 'iP Un aveu de Y Etoilebeige» m W', W' W* 'if. if. if. if Saint-Siège Sra&S9f9i919a9 69& iSMififif if if if if Pourquoi le bcurre if 'if. 'if if if. if fjs 'pi fp A Louvain, dimanche prochain, on chan. tcra la Brabanconne on arborera le dra- peau tricolore nationalnulle pancarte n'invitera a donner des coups de pied a M. manifestant n'a en^onn^ la Bra- i' Hymans OU au F.\ Vandervelde nul calicot ne représentera 1 ex-pontife "de la msconnerie Contrairement a ce qu'ont écrit plusieurs F^némont en pochard. Cela n'empeche que de vos copains, vous avez eu la pudeur, Pro- dans- un but facile a devenir, grèsde ne pas intituler votre article maiti- k sociaIls!es crfent a la provocation 5 Cette manifestation lisons-r.ous dans un placard soc'aliste de Louvain reproduit avec Allons, une bonne fois, qu'en pense M. Nolf! Le Progrès ne répond pa», paree "que certain conseiller ne le lui "permet pas. Mai3 vou», M. Nolf, un petit manifeste, s'il vous platt. Répudiez ou MM. Dupont et Neujean de 1895, ou MM. Anseele et Vandervelde d'aujourd'hui. Qui a raison Qui a tort Quoique vous soyez le mandataire des tadicaux-socialistes, nous avons bien le droit, croyons-cous, de demander votre avis. Le 15 aoüt ont défilé dans Bruxelles des millcurs d'individus 1° qui criaient «A bas la calotte 2* qui, pour se moquer des convictions religieuses des catholiques, P3al- modiaient de» «Ave Maria» 3° qui portaient au chapeau, des images représentant des prêtres ivres et des religieuses chassées a coup de pied 40 qui déployaient des bande rolles et dessins insultants pour la religion de la majorité des citoyens beiges. Un seul cri de protestation s'est-il élevé des rangs du public, poussé par un catholique outragé I Aucun. L'ordre a-t-il été trouble' par ceux que quatre htures durant on traina ainsi dans un fangeux mépris Pas un in. stant. testation NATIONALE.C'est que vous savez sans doute que vos CITOYENS, quel que fut leur nombre,cherchent a étouffer chez leg autres, comme ils l'ont fait chez eux-mêmes, tout sentiment de loyalisme. Est-ce la RÉPUBLIQUE que vous voudriez faire acclamer Allez y done plus ouvertement vous et M- Nolf. N'arborez plus le drapeau national a votre balcon et ne criez plus Vive le Roi Nous vous signalons enfin, Progrès, qu parlez des bourgeois et des ouvriers frater nellement unis la phrase du Vooruit en réponse 4 la Flandre Libérale La lutte des classes implique la haine, Une réplique de la part du Progrès serait intéressante. Mais il serait plus intéressant encore de connaitre l'avis de M. Nolf, qui est plus di- rectement en cause. Comme il a plu quelque peu il trouvera peut-être de l'eau pours'en laver encore les mains et continuer jusqu'a la fin son triste role de Pilate. Attendons. VERAX. empressement par le Peup'e est une provocation préméditée a l'opinioipublique, un attentat au sentiment de justice de tout ouvrier et bourgeois a l'esprit equitable. Eile l'est d'autant plus qu'elle se produit au lende- main du spectacle grandiose de la ruissante demonstration duri5 aoüt, en faveur du S.U. et contre la loi Schollaert, manifestation a laquelle participèrent les libéraux, les démo» crates-chrétiens et les socialistes. Souls les partis de gauche ont le droit de manifester la rue n'appartient pas aux ea- thoiiques 1 L'intolérance, la mauvaise foi, l'hypocrisie socialises sont done incurables? Ne sachant comment s'y prendre pour ca chet' son jeu et provoqtter aux troubles tout en ayant l'air de recommander a ses amis le calme, le Peuple de ce matin souffle, en quatre articles le froid et le chaud. Une loi sur les retraites ouvrières vient d'entrer en vigieur en France. Le Journal des débats la quabfie en ces termes II s'agit d'une des lois les plus mal faites qui soient jamais sorties de l'atelier lécislatif, et cette loi intéresse tres vivement la population tout entière Certains Beiges, atteints de l'esprit de déoigrement pour tout ce qui concerne leur pays, prétendent qu'on fait des lois défec- tueuses Bruxelles. Ce n'e3t pas a Paris qu 'il nous faut aller pour prendre les lecons. A diverses reprises, nous avons eu l'occa- sion de parler du fléchisse^ent de la rente beige et nous avons indiqué que les journaux d'opposition s'acharnent a dévoiler cette baisse comme une suite de mauvaise admi nistration de nos ministres des finances. Nous avons com'batru cette calomnie, en prouvant que la politique n'a rien a voir dans le fait qui nous occupe. II s'agit unique- ment d'une question économique, d'un phénomène naturel. L'activité industrielle attire les capitaux vers les titres a revenu variable et plus élevé que notre fonds d'Etat. Les gens de mauvaise foi dirontC'est la une apréciation dont la vérité n'est pas marli^matiqnpmcnr démontrcp Soit. Com me nous voulons convaincre tout le monde, nous allons done citer des chiffres dont la brntalité devra ébranler nos contradicteurs les plus obstinés. Voici la comparaison das cours pratiqués de fio décember 1910 a juillet 1911 pour les lots de nos principales villes 1910 1911 102.25 90.50 1903 92 25 96.00 1905 77.62 70 00 71.12 71.00 71.00 71.25 71 00 tons ce tableau, ne pouvant nier 1 évidence, ajoute :«Ce que la capitale cherche aujourd'- hui c'est le placement industriel a revenu rémunéraleurce qui se trouve et d horizon d'avenir large Nous signalonB ce que nous venons d'écrire a l'attention de nos propagandistes. Pendant la prochaine campagne électorale, le gouver nement sera encore accusé de mauvaise gestion et lts énergumènes, qui voudront prouver cette these, recourront aux taux de la rente. Que cos amis s'arment des chiffres indiqués ci-dessus pour leur répondre. Nous verrons de quel cóté seront les rieurs. La situation comparée de notre commeice spécial atteste une progression do plus en plus marquée. En effet, les importations, de 2 milliards 354 058.000 francs pour les sept premiers mois de 1910, sont montés a 2.525.087.000 fr. ea 1911, soit 171.029.000 fr. en plus, ou 7.3 p. c. Les exportation, de 1 831.379 pour la même période de 1910, se chiffrent a 1.938 588.000 fr. en 1911, soit une augmen tation de 107.209.000 fr. ou 5 9 p. c. Le mouvement de la navigation maritime pour les naêmes mois comparés s'établit ainsi A l'entrée, 9.233.G78 toDnes pour 8 mil lions 678.000 tonnes en 1910, soit une pro gression de 555,678 tonr es, ou 6.4 p. c. A la sortie, 9 268 897 tonnes contre 8 millions 653,618 tonnes en 1910, soit en p'us 515 *79 tonnes, ou 6 p. c. M. Frère-Orban reconnaissait le mérite de nos prêtres. II écrivait dans sa fsmeuse brochure grise En aucun pays, l'Eglise catholique n'a uae influence égale a celle qu'e'le r-xerce en Belgique. Elle la dot au principe religieux, le plus puissant sur les hommes, qui, dominant le sentiment de la familie et celui du p <ys, exerce un empire souverain sur des populations croyantes elle la doit a son organisation, qui n'a rien d'égal dans le monde, et a son c'ergé, qui chez nous, on géi éral, par ses moeurs et son instruction, a conserve le respect des fldè- les. II faudrait done 'des actes graves pour l'ébranler. Le 2 septembre prochain s'embarqueront a Anvers, sur le Leopoldville 2 mission- naires de la Compagnie deJésus, le P. Syl- vain Van Hee, de Mouscron et le Frère Jean Englebert, de Nioder-Wampach (Q. D. de Luxembourg). J'ai la conviction que bientot la Belgique sera dotée du Suffrage ^Universel pur et simple a 2t ans, qui donnera aux socialistes des majorités de gouvernement. La propriété individuelle rentrera dans la collectivité par l'impot successoral. j Pour constiiuer le domaine collectif, i' suffira de prendre argent aux capitalistes morts et de laisser aux héritiers ce dont ils ont besoin pour vivre. Le parti socialiste atteindra ce but en con- quérant le pouvoir par l'abolition du suffrage plural, en établissant I'impot progressif sur le revenu et en revisant la legislation succes- sorale. 1 Emile VANDERVELDE. Découpons dans 1' u Etoile du 22 un avcu véritablement dépouillé d'artifice. L' Etoile t, a recu, dit-elle, d'un vieux manifestant libéral un héros du 7 sep tembre, probablement 1 une lettre qu'elle public avec admiration et componction. Ce vieux libéral est somnambule. 11 rève tout haut. a Ou en serions-nous, se demande- t-il, si le gouvernement^ libéral était resté au pou voir i) Il se répond lui-même en ces termes Les écoles primaires cléricales ne seraient plus quun phénomène sporadique le nerf de la guerre leur aurait manqué et les écoles normales officielles auraient formé des insti- tuteurs sicapables qu'une foule d'ignorantins auraient renoncé a la concurrence. Voiia qui est parlé 1 Si le gouvernement libéral était resté au pouvoir, les écoles catholiques seraient aussi rares en Belgique que les merveilles de la charité libérale. Ah la liberté d'enseignement a la de jolis défenseurs 1 La convalescence du Saint-Père Les médecins du Papa font l'historique de'a maladie de Pie X. «Lel'apeeut le 6 aoüt une attaque da goulte avec forte fièvre et dou1eur8 au genou, empêchant le som- rneil les trois jours suivants l'état du ma- lade empira a cause du mauvais fonctionne ment des reins, do l'élévation inquiétante de la température et de la prostration com pléte du malade. Les personnes qui appro- chèrent le malade furent vivement.' préoccu- pées par l'accumulation des symptömes mena^ants. Pendant la crise le Pape conserva toute la lucidité de son esprit. Jeudi une légère amélioration se produisit qui s'accentua vendredile Papa put prendre du lait. A partir de ce jour l'améfioration fit des progrès élonnanls. La température rede vint normale. Les yeux perdirentrexpression qui alarma tant l'entourage. Le Pape retrou- va son teint coloré. Les reins fonctionnè- rent normalement et Pia X ne souffrant plus du genou, fit quelques pas dans sa chambre coucher sans difflculté. Le Pape n'est pas guéri complètement, mais étant donné la nnrv&illeuso améliora tion de ces demiers jours, on peut dire qu'il est entré en pleine convalescence. La maladie de Pie X fut comme un jour d'orage en été dit la professeur Marchiafava. Pie X s'est levé mercredi matin plus tót que d'habitude. II est resté d'abord assis sur son fauteuil, puis il s'est promené dans sa chambre a coucher. II S'est assis ensuito a son bureau et a expédié quelques affaires. Le Pape a recu le cardinal Merry del Val avec lequel il s'est entretenu. Une menagerie vient de s'arrêter dans une ville pour exhiber pour deux sous les fauves les plus féroces de ia création. Un homme sans travail se trouve a passer par la et de- mande au patron'de l embaucher pour faire n'importe quoi. Sais-tu rugir lui demande le directeur de la menagerie. Rugir moi répond l'homme ahuri, mais, se ressaisissant a temps, il ajoute Comment done Je rugis comme un cochon qu'on égorge. C'est bien, je t'embauche. Et il aide le patron a écorcher un lion trépassé la veille. Lorsque l'opération est terminée, le patron ordonne a son ame damnée d'endosser la peau qu';l rembourre ensuite de manière a donner l'illusion d'un fauve bien vivant et terrible a voir. Et maintenant, dans la cage et plus vite que ca Une fois enfermé a double tour, le pauvre diable avait pour consigne de rugir, de secouer les barres de fer et enfin de se con- duire en tout, au moins devant les specta- teurs, comme un vrai lion encagé. II le fit avec un tel entrain et une ardeur telle que, dans son zèle a vouloir dépasser la nature elle-même, il abattit, d'un coup malheureux, la cloison qui le séparait du tigre, un vrai cette fois-ci, avec le résultal qu'il s'ensuivit un sauve-qui-peut général... Cet accident, auquel notre pauvre diable ne s'était certes pas attenau, mit fin a sa bravoure, d'autant plus qu'il voyait dans sa terreur le tigre s'apprêter a lui sauter a la gorge et n'en faire qu'une seule bouchée. Ne trouvant aucune issue sa prison, le roi du désert se retire dans un coin de sa cage et, croyant son dernier moment arrivé, il ne rugit plus, mais se met a hurler Au secours 1 Au secours Au secours Au se... Qu'as-tu done a brailler comme ca, entend-il enfin de la cage voisine, ne vois-iu done pas que je suis tigre comme tu es lion Après la Princesse Clémentine, qui vt-it voir Ypres ilya que'ques semaine*, voici que sa soeur, la Princesse Stephanie, a passé par notre ville, dans le plus strict incogni'o. Venant d'Ostende en automobile, accom- pagnée du Comte Lonyay, son époux, et de sa Dame d'hontteur, la princesse est arrivée hier aux Halles a 6 heures du soir. M. le Bourgmestre, aussitot prévenu, a regu les illustres visiteurs, ic-ur montrant d'abord les sallesjdu monument, dont ils ont admiré la grandeur et la beauté. Le Comte et la Comtrsse écou'èrent avec le plus vif intérêt les explications et ren- seignements que leur donna M. Colaert sul les origines de la ville, la construction des Halles, etc. Avant de quitter l'Hótol de ville, ils signèrent le livre d'or. M. le Bourgmestre les conduisit ensuite a l'église St Martin, dont les proportions et la richesse frappèrent les visiteurs. Aplusieurs reprisei le Comte et la Corn- tesse de Lonyay exprimèrent a M. le Bourg- Biestra la satisfaction qu'ils éprouvaient de visiter la ville d'Ypres, que jusqu'ici ils ne connai88aient qua de nom. Avant de partir ils promirent de venir, avec plus de loisir, voir dans tous leurs détails nos superbas monuments, en même temps que les monu ments secondaires et les facades anciennes, dont ils avaient vu quelques spécimens en passant. Nous constatons, avec uu réel bonheur et une légitlm© fierté, quo noire ville est de plus en plus connue et visités, grdce k la pu blicity que lui font donner nos édiles. Et, que sera ce le jour oü le cloitra St Martin restauré ajoutera un Joyau de plus et non e moindrea notre patrimoine artistique Nos concitoyens admirent avec une grande satisfaction les cinq statues qui depuis hier ornent les niches si longtemps vides du porche occidental de notre cathédrale (entrée principale). Au dessus du trumeau central séparant les deux portes est placé le Sauveur du monde, k droite St André, apótre patron de la cha- pelle primitive qui devint p'us tard l'Eglise de St Martin, ensuite St Berlin, patron de l'ancienne abbaye de Poperinghe gauche St Martin patron de la paroisse, et St Augus- tin patron des chanoines de babbaye qui des- servirent primitivement l'église St Martin. Ces belles statue:, en Roche d'Euville sortent des ateliers du statuaire gantois bien connu Remi Rooms. Elles sontremarquables et produisent un excellent effet. Les six autres statues sont promises pour le début de l'année prochaine. Elles seront placées a la suite des autres: a droite St Fran, cois de Sales, patron de notre généreux Doyen, le Bienheureux Idesbald et St Char les le Bon patrons de la Flandre a gauche Ste Godelieve spécialement honorée par les Yprois, St Omer patron de l'ancienne partie des Flandres (aujourd hui frangaise) jacjis annexée k l'évêché d'Ypres, enfin la Bienheu! reuse Marguérite d'Ypres dont la vie" édifiante fut si bien écrite par feu le Rd Père Iweins notre concitoyen. Espérons que ces dernières statues ne se feront pas attendre trop longtemps, l'en- semble'promettant d'etre magn;fique D abord, dit un specialiste, paree que le paturages aynnt été mange's >1 par le soleil il faut donner aux vaches des nourritures achete'es a gros prix ou il faut sacrifier les provisions d'hiver, quitte a acheter l'hiver prochain de quoi alimenter le be'tail. Et puis' aussi, pour une autre cause généralemcnt inconnue. L élevation excessive de la tempe rature a fait que beaucoup de petits fermiers, ne sont plus parvenus a écrémer le lait et it le battrecavec fruit.jDans les laiteries dispo- sant de frigorifères, cette chaleur n'avait pas d'autre inconvénient. Mais les plus pauvres, éloignés des laiteries ou n en faisant pas par- tie, ont dü donner le lait aigri aux veaux. Consolons nous :nousne sommes pas les plus a plaindre Les veaux non plus, d'ailleurs. lis se rappeleront avec attendrissement, si on leuFlaisse le temps, ce famaux ét oü ils out bu du lait, tant de lait. Oa annonce que le service vétérinaire du département de 1 Agriculture organise a Oost- camp une experience méthodique en vue de se rendre compte de la valeur du serum découvert par un savant francais. Ces essais devaient être purement scientifiques. Mais 1 intervention d un particulier, d'accord avec le professeur étranger, transforme l'expé- rience en demonstration publique. Imitant Ia réserve du gouvernement fran- ?ai.«, qui attend le verdict des faits avant de favoriser la vulgarisation de la méthode préconisé, M. van de Vyvere, ministre de l'agriculture, a informé le praticien francais quJl accepte volontiers son concours, mais qu il ne peut admettre que les expériences des vétérinaires de l'Etat soient remplacées par des démonstrations publiques. En con- séquence, l'hororable ministre interdit a ses fonctionnaires d'y prendre part. Cette décision a été notifiée jeudi soir au? professeur francais actuellement descendu avec son fils dans un hötel bruxellois. I.'expérience dont il s'agit ci-dessus se ferademain, Dimanche,a 11 heures a i'Hötef de Flandre a Oostcamp. Mgr l'évêque de Bruges a nonamé curés r k Aertrycke, M. Flour, curé de Coolscamp a Coolscamp, M. De Poortere, curé de Wes- tende Westende, M. Bonte, directeur k Ypres a Alveringhem, M. Volbout, curé de Jonc- kershove a Moerkerks,M.Declerck,curé de Bekeghem; a Jonckershove, M.Bylo,vicaire a Becelaere a iloultave, M. Calmeyn, vicaire a Moere a Ramscapelle (Bruges), M. Cossey, vicaire a Gits éi Bekeghem, M. De Winter, vicaire de St- Vaast, k Menin. BURGERSTAND VAN YPER Verklaringen van den 18 tot dan 25 Oogst 1911 Geboorten Mirlion Ivan, Edouard Fiersstraat Cauwe Paul, Oude Hout markt. Behague Elisabeth, Bukkerstraat. Weyne Marguerite, St Jacob straat. Melsens Mari tto, St Jacobs Nleuwweg. Kerrinckx Lucien. Korte Thouroutstraat Legrand f'uzanne, Paddepoelstraat. Legrand Simonne, Paddepoelstraat. Gorrissen Maurice. Gustavede Stuerstraat. Ingels Godelieve, Moscoustraat. Ewertz Jean, Rjjke Klarenstraat. Huwelyk Mareels Edouard, mfjuwerker, 4 Leleu Louise, kantenwerkster, te Yper. Sterfgevallen Th^uroiUsh-aat'68'Z b' on®e'luwc'- L»nge LouerGermaine, 1 m., Neêrstraat. n i'/ulieïl' 44 J-» tnagazynweKker,. e^htgt van Gallens Romanie, Paddepoelsircat. Rijke iflarenstraatf''6' j" b' 0B«ehuwd' Versaevel Esther, 4 j., Hallestraat. Vermeersch Jeanne, 2 na., Bukkerstraatc, Deknudt Antoine, 10 Patteelatraat. Bo?nngstraat.rt Léonle' 59 L z- b- «fcfehuwd, Delvoye Amelie, 78 jz. b. Wed, van Maerten Auguste, Poneringi.esteenweg. Houvenaeghel Marie. 8 m., Beurzestraat. Timmerman Henri. 14 m., Meenensteenweg HnohiL°«Ul?tSjrN 73 1'' handelaar, eohtgt ven Hugtmbaert Melanie, Tempelstraat. Vandevivere Simonne, 1 m., Kalfvaart. Ioitel André, 7 m Poperlnghesteenweg. Victor, 43 j Statie werker,. echtgt Labit Marie, Poperingesteenweg. Desmedt André, 17 dag., Doorgangstraat.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 2