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Le Peuple et Le Progrès
nmtc-W- WtHim
L'enlèvement de Ia Joconde
A propos d'un inctndie
Pensees diverses
Sft
La Stomatite aphteusè.
A Ia Mariaschool
Gxemple a imiter
Injore collective aux
fcmrr.cs hel 'ec
La mobilisation.
omina'ions
m fi m m
Louvain
Heros dominical
PHARMACIEN DE SERVICE
Congrès de Ia restauration
de Ia vie ehrétiertne
[Nous évaluons les manifestants
de Louvain 70.000.
GVst une mobilisation énor
me de forces évidentes, dont nul
n'ignore l'tx'stence.
N faudra de l energie pour
abattre ceite forcfi 1&'
70.000 Entendez vous, Progrès
c'est le 'Peuple qui le dit
1
VomimGnne ecc 1 és I sl i Cf U CS.
Sm!
5
u ^laredsous (Denép)
Est-ce que les calholiques en professant bitude de ne parlér que de l'actualité fournie 5 cation csthétique de lême populate. El j
leur opinion que vous dites respectable sent
plus provocateurs que vous ne l'êtes.Progrès,
lorsque vous manifestez la vótre, avec
M. Nolf en tête
Osez done dire que \ous condamnez ces
opinions infames et demandcz en la repres
sion. Si vous l'osez et que vous écrivez que
c'est l'oeuvre de la canaille, de la voyoucralie
et des apaches nous vous répondions que
toujours et partout la canaille, la
VOYOUCRATIE ET LES APACHES SE TROU-
VENT la oü vous êtes. C'est la que vous
cherchez des alliances sans ces alliés vous
a'êtes rien absolument rien
Ne vous déplaiss Progrès
Ne vous déplaise, M. Nolf
Criez toujours ensemble par tout l'arron-
dissement VIVE LE CARTEL
Verax.
On lira, sans aucuc doute, dans le Pro.
grès de ce jour ('estimation faite par son
rédacteur au sujet des manifestants de Lou-
vain. Saus préjuger le nombre qu'il voudra
bien fixer, en réponse a son article nous lui
signalons les lignes suivantes du Peuple
c5
Voila, Progrèscomment le moniteur
socialiste reconnait la force du parti catho-
lique.
Débrouillez vous avec lui, il est votre allié,
ou mieux encore votre maitre. Soyez franc
comme lui et ne trompez pas vos lecteurs.
Vous n'oserez pas
Verax.
par le cours de l'année liturgique et de s'en
tenir de preference a un commentaire tiès
pratique de l'évangile du jour.'
Pour le vrai chrétien, le summum de l'ac-
tualité est la le summum de l'éloquence
aussi, puisqu'il s'agit de Ia parole tombée des
lèvres d'un Dieu.
Le casino de la Panne a été entièrement
détruit par le feu, dimanche dernier, au
cours d'une représentation cinématogra-
phique qui s'y doanait.
Le même jour un cinéma flambait a pro
ximité de Pittsburg et le sinistre, en faisant
de nombreuses victimcs, rappe'ait laffreuse
catastrophe du Bazar de la Charité, a Paris.
La fréquence des incendies occasionnés,
directement ou non, par l'appareil cinémato-
graphique devrait engager partout l'autorité
n'aurai pas l'outrecuidance de vous appren-
dre a combiea de litres cette noble preoccu
pation se justifie. par ces temps de souverai-
n;té populaire gran liss snte.
Ce que je vous apprendrai, c est que l ut
est grandemenl en bonneui a la Mariaschool,
et que vous avez joliment perdu a ne pas
assister a, une lête déiicieusetnent artistique,
d'un bout a l'autre du programme.
J'ajouterai que, si nombreux que fussent
les artistes qui se firent applaudir en scène,
ii en restait dans les coulisses qui méiitaient
davantage encore les applaudissements.
J'ai nomméle savant Directeur de l'école
M l'abbé Outtier, ainsi que ses dévouées
collaboratrices, les bonnes Soeurs,qui ont su,
avec un art fini, éduquer et fagonner la pro-
géniture des classes Jaborieuses, au point d'y
faire éclore couramment, grandir et briller
des talents dont on avait pris l'habilude
d'attribuer le monopole aux classes aisées.
Aussi M. l'abbé Ryckeboer fulfil le par fait
dervelde est partisan, augmentent continued
lenient.
Les unions de cultivateurs ne conduisent
pas au socialisme, comme certains 1 ont
prétendu, mais a l'amélioration morale el
malérielle de la population rurale.
M. le ministre Poullet, applaudi a son
entree, féücite les organisat- urs de !a si maine
sociale et principalement le R. P. Kutten. I)
parle ensuite du projel scolaire, qui n est pas,
dit-il, une réforme politique, mais une
réforme sociale. I
Le P. Rutten prononce ensuite le discours
dc cloture, résumant le travail accompli. II
remercie tous ceux qui ont collaboré a son;
succès. 1
réglementer sévèrement l'ouverture de iüterprete du sentiment général lotsqu il
spectacles de l'espèce, et 1 on constate, au
contraire, a eet égard une tolerance ou une
insouciance intolérable.
C'est ains'i qu'on nous prie d'appeler "at
tention de qui de droit sur les conditions
déplorables, au point de vue dc la sécurité,
que présente rinstallation d'un des cinémas
permanents de notre ville.
La salie oü se donne le spectacle est pour-
vue de nombreuses fenêtres s'ouvrant sur la
voie publique, mais ce!les-ci sont loutes fer-
rnées et munies de volets également fermés.
En cas d'incendie ou de panique, une cata
strophe serait inévitable.
A propos du même incendie, oü l'eau a
fait défaut alorsqu'il se produisait en face
de la mer on nous prie d'appeler l'atten-
tion sur de véritables gaspillages qui se com-
mettent en notre vüle. Nos seulement les
brasseurs usent et abusent de l'eau pour les
rincages de tonneaux sans parler du bras
sage, - mais des particuliere se paient le
luxe o ironie des mots de jets d'enu
jaillissant toutela sainte journée.
j Nous tenons a dénoncer eet abus a raison
des circonstances exceptionnelles, mais nul-
lement en vue d'encour3ger des intentions
qui se sont révélées a 1 hotel de vil'e et
auxquelles fera certainement renoncer le
j prochain dévasement de l'étang de Dicke- f du Docteur Doyen, les
j bus h.
Je m'en voudrais de désobliger nos prédi
cateurs de ville, mais la vérité m'ob'ige a
dire que pour une fois qu'il m'est arrivé,
l'autre dimanche, de troquer le pröne de ma j P0UrqU01
paroisse contre celui d'un modeste village du
cceur de la Flandre, je n'ai pas trop regretté
l'opération.
Le sermon était court et bon, disons par
fait a tous égards, et j'intéresserai sans doute
le lecteur en le Iui'servanUen raccourci.
Mais j'entends des critiques irop
prompts se gausser de ma na'iveté s'aviser
de gramophoner un sermon au lendemain de
l'enlèvement de la Joconde
Eh bien, oui, tout de même, je tiens bon
pour mon sermon. Car justement il roulait
tout entier sur l'événement sensationnel qui
remplit a l'heure actuelle les colonnes de tous
les journaux.
Qu'on en juge plutót par ce pale résumé
Chers Paroissiens, /ous avez tous Iu dans
votre journal le grand événement du jour,
l'enlèvement de la Joconde. Les journaux du
monde entier, en effet, ne s'occupent plus
quedecela. Et eet émoi universel se com-
prend. On s'alarme avec raison a la pensee
que, peut-être, une oeuvre d'art d'une valeur
inestimable sera anéantie pour toujours.
Le tableau dérobé est, en effet,un des plus
purs chefs-d'oeuvres du génie pictural.
Et pourtant, y avez-vous réfiéchi 1 Qu'est-
ce done que cette creation geniale a cöté de
ce chef-d'oeuvre sorti des mains d'un Dieu et
qui s'appelle lame humaine cóté de cette
merveille des mervsilles dont le Créateur
lui-même fut si fier et si jaloux qu'il n'hésila
pas a payer son rachat du sang de son Fils
bieu-aimé
On offre un million a qui rappoiiera la
Jocondeet l'immortel chef-d'oeuvre est
digne, j'y consens, de pareille offre.
Et cependant, que fera-t-on peut être
aujourd'hui, dans ce village, a l'occasion de
la fête de Saint Barthélémy, patron de la
paroisse Pour gagner une poiguée de
billon, on provoquera la perte de plusieurs
ames
Quelle abherration La rappeler a votre
bon sens et vos méditations chrétiennes
suffira. je n'en doute pas, pour vous inspirer
l'horreur de prêler le moindre concours a
l'acte criminel que d'aucuns méditent.
Est-il besoin de dire que, n'eüt été la sain-
teté du lieu, je saluais d'applaudissemenis
cette éloquente predication
Nous avons tant d'éco'es de toute sorte,
ne fonderait-on pas l'école du
bonheur
Elle existe dans l'Evangile, au chapitre
des Beatitudes. prince de Ligne.
'#i
Les catholiques ne recoivent pas lonction
de la confirmation uniquement pour sauver
leurs ames et payer leur place a l'église I!s
doivent penser, travailler, organiser, lire,
parler, agir, sclon les circonstances. Au
jourd'hui, l'église a particulièrement besoin
de Faction la'ique. Les laiques ont a notre
époque une vocation spéciale.
Mgr Ireland
Le suffrage universel, c'est
yeux crévés, qui ébranle tout.
Samson, les
exprima la stupefaction qu'il éprouvait en
presence de la transformation rapide et pro-
fonde opérée dans notre grande ccole popu- j
laire.
Et ceci sans détrimentbien au contraire
de ce qui fut toujours le premier titre de
gloire de 1 e'cole l'éducation foncièrement
chtétienne.
Aussi le rév. Curé de St-Nicolas eut-il
raison plus que jamais de s'écrier, en ter-
j minant son speech de reconnaissance a
l'adresse du Direct.ur et des Mattresses de
s l'Ecole Que serait cette école sans vous,
et que serait Ypres sans la Mariaschool
La reunion orgmisêe a Oostcamp pat* la
ligue de 'a F:ardro Occidentale contra la
I Stomatite aohtSuse a en lieu Dirmncbe
passé. Un grand nombre de vétérinaires
et de pnysuns a'étaient rassemblés pour
1 assister aux <?xpérienc°s faites par le Dooteur
Doyen avec son remède contre la Stomatite
aphtense. Ces experiences se faiseient dans
la cour située derrière le Gasthof van
1 Vlaanderen oü se trouvaient 14 vaches,
atteintes de la maladie et anrmées par M.
1 Hoste fils, eève vétérinaire. Sius la surveil-
aides tmbi-
baient d'abord le cou de cbaque vaehe avec
dela créoline; puis leur injectaient au mnyen
d'un petit, instrument un liquide brftnatre,
la Microlisine (sorte de liquide qui
détruit les microbes) Entretemps, un ap-
pureil cinématografique photografiait les
différentes operations. Pendant que celle-
ci se continuaient, le Dooteur pronon-
Qa un discours, dans lequel il raconta sa vie,
ses études, ses inventions, on un mot tout ce
qui pouvait intéresser les assistants. D'après
les révélations du Docteur, son invention
ne servirait pas seulement a guérir la Sto
matite aphteuse, mais encore toute maladie
contagieuse. Si le Docteur pouvait en arriver
a ce point, ce serait vraiment un remède
prodigieux, appelé a rendre les plus grands
services k l'humanité toute entière.
Dans une quinzaine de jours on pourra
se rendre compte de l'efïet produit par le
remède Doyen, auquel sous soubaitons une
réussite dans l'intérêt de l'Agriculture.
Mme la marquise de X avait ïnvile a sa
table un évêque... plusieurs dames décolle-
tées...
barrette entre ses
Monseigneur tenait sa
mams...
La maliresse de la maison
I seigneur, veuillez vous couvrir
vous
madame
ii
Dieu est le pain
Mon.
Après
blanc des
L'espoir en
pauvres.
Nous recevons le billet suivant dont nous
aurions mauvaise grace a refuser 1 insertion
sous prétexte que nousy sommes un tantinet
malmenés
Au cours
donné des
d Ostende,
de la séance, le P. Rutten a
nouvelles de M. J. Verhuist
qui devait suivre la
semame
attention les voeux e'mis par les rapporleurs
ont"été dis:utés avec une grande animation
de nombreux orateurs out proposé et
adopter de8 amendements aux voeux href,
on voyait que tous prevalent un reel intérêt
aux questions a l'ordre du jour. Soubaitons
que les travaux du congrès portent des fruits,
qu'il soit le signal d'un veritable réveil de
l'csprit chrétien, c'est-ü-dire de eet esprit de
devoir qui devient si rare a notre époque.
C'est ce qu'a dit M.Bonaevie qui a résumé
les voeux du congrès en un éloquent discours.
Le R. P. Plentier, de 1' Action populaire
internationale de Reims dans une intéres
sante conférence, recherche quels seraient,
non seulement pour la Belgique mais aussi
pour les autres pays les fruits a retirer' des
travaux de ces deux belles journées.
Enfin, M. I'avocat Jacquier, doyen de
l'Université de Lyoa, un orateur d'un magni-
sociale, et avait été blességravement dimanche fique éloquence, a montré que !e seul remède
dernier, par les socialistes, d'un coup de
bouteille. II a annoncé que l'état de M. Ver- v
hulst s'amêliorait.
au mal terrible de paganisation dont
Nos amis du Limbourg ne lai-seront pas
refroidir lenthousiasms qu'a provoqué la j
manifestation Schollaort.
Dimanche prochain, saus la piésidence
du sympathique dépufé de Tongres-Maes-
eyek, M. G. Helieputte, ils léuniront toute
la ji-un'-sse catholique de eet arrondissement 1
et le dimanche 17 septombre ils vont réunir
StTrond tous les lutteurs catholiques du i
Limbourg. Une tioisième reunion aura lieu j
a Bree le même mois.
Dans ces deux arrondissements nos amis I
veulentreconquérirles deux sièges dont les j
souffre la société moderne réside dans !a
veritable restauration de l'esprit chrétien.
I A l'assemblée générale présidée par Mgr
j Heylen, avaient pris place au bureau M.
i Henry Carton de Wiart, ministre de sciences
et des arts le Rév. Père Abbé de Mared-
sous ;.le marquis de Beauffort et le baron de
Gitysénateur M. Alberic de Pierpont,
sénateur suppléant, le baron Adrien de
1 Montpellier, le vicomte Eugène de Jonghe,
j M. Paul Thibaut.
Honneur a la Ligue agricolo, et a son vail-
lant président, !e comte de Villermont, qui
ont organisé ce superbe congrès
libéraux se sont emparés il y a tiois aos
gi ace a la désunion de nos amis.
Getto fois-ci, ils iront a la lutie schouder j
tegen schoudercómme ils l'ont premis i b
dimanche a I,ouvain oü ils ont invité notre
i Des journaux anticatholiques font bruyam-
i ment, grossièrement écho a M. Planckaert,
I que les libéraux ont empêcbé d'arriver a la
oprès avoir piofisé de son tra<:a;l
l électoral, quand il écrit, en haine du
ami M. Ch. Beyaert a p endre la parole dans j droit de vote (jcs femmes
ces tr is reunions.
De la vost surgir do nombr. ux propagan
distes qui d'ici au mois de mai prochain
iront dans'es 225 communes du Limbourg
parler aux élecieurs, aux lutteurs, dans
tous les cercles de jeunes gens, aux cercles
des formfères et des femmss chrétiennes.
Puisse eet exemple être irnité dès drrnain
da;' s tous las arrondissements.
C'est l'ordre de M. Scholiaert qui a pris
dimanche !e commasdement en chef de la
bataille electoraleil a promis de nous
conduite a la victoire si nous voulons nous
m.'ttre a la lutte sans perdre un jour.
f La femme beige, en général, et spécial-;.
ment la femme firmand?, est letrc ie plus
ption faite -
ies 'Ju1
arriéré de la terre, ex
laises
C'est aussi vrai que galant; les femn s
idéules ce sont les pétroleuses de 1871. -V
celles-la, le droit de suffrage 1
Le général Heliebaut a prié les comman
dants dss positions fo; tifiées de la Meuse de
mettre les forts en éfat. Cela signifie qu'on
a fait rentrer le matérial en réparation,
qu'on a complété l'armoment. et que le géaie
a été prié d'achaver rapidement les travaux
qu'il avait pu entreprendre. C'est pourquoi
certains officiers de cette arme ont été rap-
p lés de congé, ce qui a pu faire croire a
une mobilisation compléte.
Mgr l'évêquè de Brug- s a nommé
Directeur des Soeurs dc la 81e Fa mi h\ a
Ypres, M. Daelde, vicaire a Wy: gene
Vicairede St Vaast, a Menin,Vt. B liiou v,
vicaire de St Joseph, en la même ville.
1 Vicaire de St Joseph, k Men in, M- Neve-
jao, professeur a rinstitut St Léon.a Bruges.
Vicaire a Becelaere, M. Dewulf, prof-.s-
seur au collége de Notre Dame, a Ostende.
Vicaire a Wyngene, M. Delporte, \i:aire
a Denterghem.
Vicaire a Denterghem, M. Hallaert, vi
caire Ernelghem.
Vicaire a, Emelghem M. Moulaert, coad-
juteur de L u M. le curé de La Panne.
Vicaire a Gits, M. Top,vicaire a Woester.
Vicaire a Woesten, M. Meu'eman, coa
juteur de feu M. le curé da RunscapeFe u-z
Heyst.
r Vicaire a Moere, M. Decraemer, chapol in
Les officiers dartillerie partisen vacances de gt BerÜQ) Poperinghe.
f fin r.oet'i ofn nvótrnr.na ónolAtrmnf mn'ila
De notre corres-
Et pourtant, qui sait ou p'utót, je ne
doute nullement que le sermon dont je me
suis privé ne füt éloquent et actuel au moins
autant que celui qui me goüta si fort.
Car le curé de ma paroisse a la bonne ha-
Monsieur le Rédacteur en chef,
J'ai 1 honneur de vous adresser un petit
paquet de soltises, ou plulót des reprocbes
dont vous pourriez difficilement contester le
fondement.
A tout propos vous posez en ami. prota-
goniste et défenseur de l'art a tout propos
vous lui consacrez de longuos colonnes.
Et, d'autre part, a lout moment aussi vous j
passez sous silence des solennités arlistiques
dignes de tous les éloges et de tous les eri.
coursgements.
Ainsi, pour ne signaler qu'une seule de
vos dernières negligences, vous nc dites mot
de cette veritable manifestation d'art que fut
la récente distribution des prix a l'Ecole
Larnothe.
Votre negligence est d'autant moins par-
donnable qu'on s'occupe beaucoup, dtpuis
quelque temps, de 1 art a i'éco'.e et de lédu-
La Semaine sociale.
p ndant, 3i
M. Kempeneer, d'Anvers, reeommande
l'oeuvre contre l'abus des boissons et préco-
nise la limitation du nombre des cafés.
M. Degrève, de Bruges, parle de la questi
on firmande et la fkmandisation de l'Uni
versité de Gand.
Le P. Vermeersch fait l'Examen théorique
de l'enseignement socialiste.
Contrairement a fenseignement de Marcx,
la classe moyenne ne disparaitra pas. En ce
moment la petite industrie est trop florissante
et l'ouvrier est trop bien payé.
Marcx et Vandervelde disent que les riches
deviennent toujours plus riches. C'est inexact;
il est étabü que g ,'ur 10 les riches sont issus
de families modestes.
L'Etat social est une utopie. Tout ce qui
va a l'Etat ne profile pas au peuple. Exemple:
la plupart des bureaux des hospices et de
bienfaisance cmploient leur capitaux et
revenus'a d'autres choses que le bien être du
peuple.
Selon les meneurs, le travail seul repré-
sente une valeur, comme si i'eau après une
longue sécheresse n'avait pas de valeur.
Ii y aura toujours différente» classes grêce
aux progrès des connaissances et a l'a" éliora-
tion des moeurs il en résultera nécessairement
une amelioration pour chacun.
M. le professeur Vliebergh expose le pro-
gramme agricole£sociali»te selon les conclu
sions des congrès internaiionnaux, qui
démontrent une grande division parmi
les socialistes.
Les socialistes veulent natiouoliser les pro-
p iétés agraires. les terres/les bois, leseaux,
etc Or. les petites propriétés, dontM. Van-
out du reste été préveuus également qu'ils
pourrait être rappelés éventucllem nt.
I.e 12e de ligne, en garnisou a Liége, de
vait partir mercredi matin, pour Arlon. Un
télégramme vient de contremander ce dé-
part.
Les forts de Boacelles et de Chaudfon- j
taine seront mis sur la pied de guerre pour le 1
4 septembre et seroat occu és par 366 et!
287 hommes d'artil'erie et d'infanterio.
Hier 18 canons avec leurs munitions et
I accessoires, ainsi que 12 mitrailleuses sont
i arrivés alacitadelledela Chartreusoa Liége.
I.e 14e de ligne a re.Qu de son có ua mil- j
f li' n 800,000 cartouches de guerre.
Enfin le génie a insp c'é mercredi matin
'e pont de Vise.
Les généraux de la position de Liége ont
eu mercredi m^tia ure nouvelle conféren- j
ce chez 1généra' circonscriptionnaire lleim. 3
burger.
Un train spécial de vingt et un wagons
est arrivé mardi a Narour venant d'Anvers,
Cinq wagons élaient chargés de munitions
d'arlillarie les autres r.vöient un charge-
ment de canons de campagne, quatre ou
cinq par wagon.
Ce matériel a été conduit dans les fort
de la position. II est desfiné au groupe de !a
garde civique Hainaut-Namur qui, en cas de
guerre, serait concentréa a Namur.
Chapelain de St Bertin, a Poperinghe, d.
Catry, vicaire a Eeghem.
Vicaire h Eeghem, M. De Brio, vicaire d 1
St Autoine de Padoue, a O-tende
Vicaire de St Antoine de Padoue.a Osfer-
de, M. Ghesquiè m professeur a 1'EoIe nor
male de Thourout.
M.Schreurs, coadjuteur de M. le cm
d'Oostvleteren, est nommé au nouveau vica-
riat de !a paroisse Sto Catherine a Asse-
broucke.
Dimanche 3 Septembre
E. GAIMANT, rue de Menin, 6.
:it. lib t
BURGERSTAND VAN YPER.
Verklaringen van den 25 0ogsttotden 1 Sapt
Geboorten
Pyck Daniel, Maenensteenweg.
L»royOmer, Pattealstrast.
Lobrun Walther, Wstarkasieelstraat.
Hullaart Jean, N-erstraat
Carlior Harri, Grimminckstraat
Verschoore Eugenie, Grimminckstraat
Huwelijk
j V-rspranghe Julian, mekaniok werk er aan d 11
'.ivorenweg.en Vandevyver Louisa,zonder bero; p
beiden to Ypep,
Sterlgovallen
co Ossieur Willy, 3 m.. Dlxmudosteonwog
Debruyno Frangiis, 7A ,jlai dwerkman, onge
huwd, Mocnenslra >t.
Lambrecht Artliur, 16 j., lerrling in de Weid1*
digheids,school, Maenons teen weg.
j Thittjci Gérardine, 8 ra Veemarkt.
Didier Ivonne, 1'7 d Lange^Meerschstraat.
Sobry Charles, 65 jz. b., wedr. Cool Rosalia.
Lange Ttiouroutstraat.
Ossieur Miroel, 10 jkleermaker. Casselstr.
Geeraard Louise, 5 w., Maenonsteen weg.
Van Elverdinghe And-2 m., Hoornwerk.
Le congrès a obtenu un plein succès.
Plus de 700 personnes, de toules les classes
de la société, ont tenu a venir assister a ces
assises de la familie chrétienne. Toutes les
reunions de sections ont été suivies avec
ETAT-C1V1L DE COMINBS-BELGiQöE
Naissanees
Robert Forret,Godshuis - Géneviêve Lals?.Va
rue Neuve. Maurice Del porti, rue'.du SantW-
Décès
j Julien Ysobaert. 56 ans, médeoin, rue: ''-3 !,a
Gare. Delrue Marie, 49 a.'-s, ménagére. Gomi-
nes-Ttn-Brielen. Wollecan Charles, 85 a""-
sans profossion, (tor- iilje, Grymonprez JosepJ.
68 ans, cabaretier, rue du Faubourg