w sa w d* 3
Le jeu du carlel
La situation des insiituteurs
Un avertissement
los allies
Sur le rail
Pensées diverses
La restauration de Tabbayc
St-^lartin
Les insanités du Progrès
Le ProQrès
et Vooruit
Elections communales
4u Cirqae Wilke
bondes de nuit aux halles
Neuvaine de Datiizeele
j Tombola de l'exposili|ri
de Brux
e«'
tielle de I'enseignement; si on avait demandé
aux manifestants socialistes qui veulent le
relèvement de la classe ouvrière pourquoi ils
ont refusé la loi scolaire a but exclusivement
et éminemment social, les érudits et les
lettrés litéraux et socialistes seraient resté
bouche bée et ahuris devant ces questions
élémentaires et celui qui se serait livré a ce
petit exercice d'investigation, se serait attiré
sans coup férir ces quelques mots significatifs
«Jésuiteü SaleCalottinÜI Abas la calotte 11!»
J.
WS
Quacd il se joue a deux.le jeu du cartel
est aisé, mais il se complique dès que les
partenalres sont plus nombreux et qu'il faut
évaluer leur importance respective.
Les anticléricaux de Bruxelles et de Gand
en on fait la dure expérience et ce ne fut pas
sans tapage qu'on fit 'a répartition des siè-
gesencore n'est-il pas certain quelle soit
terminéo. Mais la ville oü, par excellence,
on peut apprécier le gachis provoqué par Ie
cartel est Anvers les indiscrétions de Mare
Grégoire nous out largement édifiéè ce sujet.
L'administration communale de cette ville
est devenue une véritable pétaudière, les
abus les plus flagrants y sont notoires, les
fautes par ignorance, incompetence ou indo
lence sont habituelle8 et, grSce au cartel,
tout cela est toléré et admis. On re dit rien
paree qu'on n'ose rien dire.
Ah c'est en vérité une bien belle chose
que le cartel, aussi congoit-on que certains
libéraux, qui ont encore 'quelque souci de
leur dignité, n'y souscrivent pas avec en
thousiasme, mais bon gré mal gré, ils y
adhèrent quand même et leurs protestations
ne peuvent les absoudre de cettejcorcp'icité.
Un confrère dépeict l'eriibarias des libé
raux cartellistes et les ennuis que suscitent
certains, plus gourmands que les autres.
Les libéraux anversois sont en désaccord-
Le parti liberal en corgoit b9aucoup d'in-
quiétude paisqu'en 1907, c'est a grand'peine
que la coalition des forces anticléricales
rouges et bleues, put dépas?er la majorité
absolue indispensable.
La Chronique d'ailleurs en convient et
precise.
En 1907, on émit 65.369 votes valables.
La majorité absolue éfait de 32 685
Le colonel Bertrang qui obtint le maxi-
mum de voix eut 33,542, soit 857 de plus que
la majorité absolue le candidat de moins
favorisé M.Goetschalck eut 33,094 voix soit
un surplus de 409 voix seulement. t
A ce compto la il s'agit de jouer jeu serré
et de ne pas iaire de bêtises.
Or, il y a a Anvers un groupement lihéral,
le parti démocratique qui veut user de son
influence, a la vérité assez considérable,
pour abuser de la situation. II sait combien
on a besoin de lui pour atteindre la majori
té absolue aussi a-t-il mis le couteau sur la j
gorge et exigé trois places au conseil et un
siège d echevin.
Onaprotesté devant des exigences aussi
démesurés en offrant deux sièges et rien de
plus.
Mais le parti démocratique ne peut s'en -
contenter et a déclaré qu'il réservait sa li-
berté d'action quitte a voter par preference. 1
Ces votes seraient évidemment dirigés
contre les doctrinaires qui écoperaient.
C'est de cette manière que le parti démo- 1
cratique de Gand est parvenu a faire dispa. 1
raltre, il y a quatre an3, les libéraux que le i
Laatste Nieuws appelle les fransquillocs.
Les libéraux unis anversois sont done
dans une impasse d'oü'üs ne pourront sortir
qu'en faisant la concession demandée.
En matière d'élections communates, il
importe, en efïet, de savoir que la majorité j
absolue doit-être obtenu a l'aide de listes I
competes.
Or Bi les membres de la Ligue démocrati
que émettaient un millier de votes de préfé-
rence qui„ne compterait done pas pour
la majorité absolue et qui empêchetait les
cartellistes d'atteindre le chiffre requis—il y
aurait lieu d'appliquer la répartition pro-
portionnelle et les catholiques auraient un
certain nombre de siège3.
Ainsi Taction de la Ligue démocratique
contrarierait le but poursuivi par les
cartellistes, qui est d'exclure les catholiques
et de les empêcher d'entrer au conseil.
Au point de vue cartelliste, cela ne se
peut, c'est ce qui rend la Ligue démocratique
si audacieu8e. paree qu'elle a pour ainsi dire
la certitude qu'on passera par oü elle veut.
Et elle pourrait bien avoir raison.
D'autant plus que la Ligue est indignée A
bon droit de ce que les Libéraux Unis ont
accordé aux socialistes tout ce qu'ils récla-
maientdepuis qu'un socialiste est devenu
échevin toutes les places dépendant de la
ville sont données aux socialistes.
Cela encore la Chronique Taffirme et le
reconnaït.
Ainsi la situation des libéraux n'est pas
claire du tout et les sccialistes se réjouis-
sent de ce gAchis dont ils espèrent tirer
profit.
Tout fioira cependant par s'arringer, car
au r ier moment, par autorité supérieure
on baclera un accord.
Déja on a offert A la Ligue démocratique
une compensation en nommant un de ses
membres au corseil des hospices cü une place
est vacante et saus douto cela apaisera bien
des rancunes.
Néanmoins la situation reste précaire. La
Chroniquey revenant ce matin, montre
combien le souci des intéréts économiquea
préoccupepeu ceux qui veulent administrer
la grande métropole coramerciale.
Comme je vous Ie disais bier, quinze jours
nous séparent du délai flxé pour la présen-
tation des listes, et,- jusqu'aujourd'bui. on
ne'sait même pas officiellemsnt si le cartel
sefera. Admettonsque d'ici a huit jours
une decision intervienne. II reste une bonne
huitaine de jours pour convoquer les sec
tions de Tassociation libérale auxfinsde pté-
sentptionde cendidats.Puis les presentations
des sections devront être soumises au comité
central. L'assemblé" générale devant être
convequée peur élire les candidats définitifs.
Est ce que cela est sérieux et ne dirait-
on pas qu'on veut arriver a la liroite ex
tréme pour étouffer toutes les candidatures
nouvelles, rendre difficile le choix libre des
sections'et assurer la réélection des soitan's
paria petite porte.
Voila ce que Ton'dit.
II faut bien cependant qu'on se persuade
qu'iLappartient a TAssociation d'envoyer a
Tbótel de ville des hommes cape bles, ayant
l'autorité et le prestige suffisant pour re-
présenter la vi'le—ces hommes dont parlait
M. Franck.
Si TAssociation se laisse fourrer en maia
de vieux laissés pour compte, l'élection.
qu'on n'endoute pas réservera des surprises»
II suffit d'entendre ce qui se dit A la Bourse
pour être édifié. Cette fois, on ne se déter-
minera pas seulement par des considérarior s
d'ordre politique, mais aussi par Tintérêt de
notre commerce et de notre port.
Cependant no3 amis ont beau jeu il im
porte dés lors qu'ils veillentil suffit de si
peu de chose pour déjouer Rs calculs de nos
adversaires. Qu'ils travaillent avec énergie
et tenaoité, qu'ils présentent une liste com
pléte même avec la perspective de n'avoir
aucun élu. Cet effort qui aura affirmé leur
existence et leur vitalité ne sera pas perdu.
Le roinistre des sciences et des arts a
as-isté au banquet de cloture du congrès des
instituteurs chrétiens et y a prononcé un
discours comportant d'intéressantes déclara-
tions.
j O.o nous présente comme bostiles A
l'eu8oignement communal, a-t il dit J'ai été
co seiller communal d'uue ville libérale,
conneiller provincial d'une province libérale.
Me3 votes d'alors, coneemant i'enseignement
communal, répondent de mes sentiments
d'aujourd'hui.
j Ce que nous ne pouvions faire pour les
instituteurs, Tamendement des quatre mil
lions nous le permet. Mais a cöté des institu-
j teurs communaux il en est d'autres qui mé-
i'itent au même titre qu'on s'occupe d'eux.
Nous avons plaidé leur cause dans les
assem blées dont je vous parle nous n'avons
pas réussi, mais quelle est la cause juste qui
triomphs du premier coup L'idée fera son
chemin comtne il en a pour la soupe sco-
laire, oü nous avons üni par rameneranous
c-mx qui, en raison de leurs opinions démo-
cratiques, auraient dü être les premiers A
nous soutenir et qui nous avaient implaoa-
i blement combattus.
Le projet Schollaert est il oui ou non
retiré Je vais mettre les points sur les i
j et ceux-ia seuis qui vivent d'équivoq ie
pourront continuer a dire qu'il y a doute.
i Lu projet renfei me des principes et des
l moyens d'application. Les principes de-
1 meurent, tons les quatre, deboutenseigne-
ment obligatoire, amélioration du personnel
enseignant, amélioration des conditions pé-
dagogiques at professionnelles de Tinstruc-
tion primaire, nécessité d'assurer a tous le
bienfait de l'enseigaement sous la garantie
du libre choix de Técoie.
M. le baron de Broqueville, comme
moi, est évidemment d'avis qu'aucuu de ces
quatre principes n'est ni ne peut être retiré
Au banquet qui a clóturé le Congrès de
la <i Fédération des Instituteurs neutres
mardi,a TUniversité du Travail, a Charleroi,
la pièce de résistance a été peut être le
discour... révolutionnaire du citoyen
Destrée, note le Rapj el
Destrée a débuié en ces termes
Mesdames, Messieurs,
J'ai été t' uché de Taccueil enthousiaste
que vous avez fait a la Marseillaise. J'ai
compris ce que signifiait cet accueil et ce
qu'il n'a pas dit.
J'ai compris que c'était un hommage a la
France et une espérance pour la Belgique.
II a ensuite glorifié A outrance u l'esprit
révolutionnaire qui, a-t-il dit, anime les
syndicats socialistes.
1 Cet esprit de révolte, n'a-t-il pas craint
d'ajouter, est 1 Amende votre Fédération, il
fait sa puissance, je le sa'ue avec enthou
siasme
C'est sous p&reille impression que le
Banquet des neu'res s'est clêfuré.
Après cela, conclut le Rappel nous
croyors que ce fameux Congrès, ainsi que
nous i'avons dT déjA, servira de sa'utaire
avert'ssement aux parrnts soucienx de la
bonne education de leur3 enfants
r; u m ca
Dédiées aux carte!lisfes ces ligncs du
Vooruit du 2 soptembre 1911
Vous comprenez, camarades, que vous ne
pouvez exiger du capitalisme et de ses
défcns?ur8 qu'ils mènent la lutte a vos cötés
et ponr la même cause.
Nous menors le combat pour notre exis
tence contre la classe qui possède Dans
la lutte nous n'avons rien a perdre que nos
cbaines et nous avons a gageer un
monde
Les journaux capitali.stes anticatholiques
ii'osect relever ces menaces.
rn tr> if. if, if if, if, if if
J'ai eu Toccassion, Tautrejour, une fois de
plus, d'admirer le flair et la prévoyance de
mon Père communal, et j'éprouve le besoin
de le lui dire, au risque de passer pour un
plat flatteur, alorsque je veux lout simple-
ment lui rappeler ses devoirs de député, a
Toccasion d'un lour petit incident de voyage
oü s'est affirmé son esprit de prévoyance.
Adonc, M. le Bourgmestre avait quitté
Gand pour Ypres par le train de i5 h. 48
(direction de Cortemarck). mais en retard de
quelquedix minutes sur l'horaire flxé. En
allant par Cortemarck il pouvait arriver a
Ypres cinq minutes plus tot qu'en allant par
Courtrai. Mais avant d'arriver A Deinze
M. Colaert songea évidemment que si le
retard du train lui fesait rater la correspon
dence a Cortemarck, il ne pourrrit plus être
rendu a Ypres qu'A 20 h. 10 au plus tot,
alorsque par Courtrai il pouvait arriver sftre-
ment a 19 h. 6 et trés probablement encore A
18 h. 4
Mon prévoyant papa communal n'hésita
pas et. arrivé a Deinze, il changea de direc
tion, laissant plusieurs de ses concitoyens,
moins malins que Iui, continuer sur Corte
marck. et y rater la correspondance.
Grand ami de la pêche A la ligne, M.
Colaert avait su sacrifier un petit poisson
(de cinq minutes problématiques) pour en
attraper un gros (d'une hcure ou deux).
Mais ceci dit, tout a sa louange, je m'em-
presse d'ajouter que, s'il gagna deux heures
de temps, il perdit un superbe occassiort de
se doenmenter pour les besoins de ses fonc-
lions legislatives.
Tandisqu'il esquivait les désagréables con-
céquences du retard de son train, il ne se
doutait pas que le dit retard entrainerait de
la besogne supplémentaire pourle personnel
des gares du parcours, notamment A Corte
marck, oü le télégraphiste est déjA surmené
au point d'être parfois littéralement aftolé et
découragé, faute de pouvoir faire face, quoi-
quetrès habile, A une tAche écrasante car il
y a la de la besogne pour trois, et on Ten-
dosse toute entière A un seul 1
Notre gouvernement catholique s'est dis-
tingué, de l'aveu de tous, par sa grande 1
sollicitude pour l'amélioration de la situation
des employés subalternes de tous ses services.
Si la rémunération des fonctionnaires de
tout grade est jugée suffisante pour le j
moment, ce n'est pas une raison pour la
rogner d'une fagon indirecte, en exigeant
d'un seul le service normal de deux ou trois.
Si M. le Député voulait bien appeler 1A-
dessus Tattention du ministre compétent, il
s'attirerait la reconnaissance d'un grand
nombre et montrerait, une fois de plus, qu'il
n'entend pas jouir en égoïste des avantages
que les dieux du Ciel et de la terre lui ont
octroyés pour le bien de tous. F
cdcjfciciucicaeaciu
Cest une chose triste a dire, mais le
dévouement des libéraux A leur parti s'arrête
géoéralement A 1 endroit oü la poche com
mence on l a bien vu a propos du Denier
des écoles. n Cette souscription s'ouvrait
pourtant dans des circonstances oü Ton
pouvait espérer qu'elle rapporterait une forte
somme. Qu'a-i-elle produit en réilité Pas
seulement la moitié de ce que produit annuel-
lement le Denier de S tint Pierre dans lc seul
diocèse de Bruges.
J'en concius que, parmi les libéraux, les
libéralités individuelles étant extrêmement
rares, c'est aux administrations pubiiques
qu'il appartient de suppléer le plus possible
A la ladrerie des individus.
La Chronique
Ei nous concluons, nous, que tant de
lani de libéralis
enfin, explique les cartels les plus insensés
ladrerie et tant d'aplomb, tani de libéralisme vivant. II garantit au cirque tr'
Une grande dame libre-petseuse disait a
Bruoker J'admets le dogme et la morale
catholiques, rcais non le cnlte. Toutes ces
pratiques extérieures ce significnt rien, et
la religion aurait g -gné en s'en passant
L'écrivain qui était d'une exquis politesse,
se leva, lui posa familièieroent la main sur
Tépaule et lui dit Oh 1 ma grosse dondon,
que tu es béte 1 Insolent, s'écrie la
dame, pour qui me prenez vous Et
Brucher répondit, en reprenant son ton
habituel d'homme bien élevé Madame,
pardonnez-moi, mais en vous entendant
tout a Theure faire fi du culte extérieur reli-
gieux qui n'est autre chose que la formule
de la politesse envers Dieu, j'avais cru que
vous faisiez ^également ti de la politesse
mondaine, qui n'est rien autre rhose que Ie
culte extérieur rendu A la créature daLs la
mesure qu; convient.
c!e est pleine de charme, bien
veur qui ne se démentira pas. 6 Une f
Dans 1 impos ibilité de signaler ic->
numeros intéressants de ce proffran!l°US ,c
si variéque brillant ie eitoln; ,6
TOtto Bara Compagnie, qui 80Ill
musicaux extraordinaires, de vóritab!
artistes doublés de véritahlp*
,|t|u 'tables comiquei
Eugéme, une ecuyère de haute école
meilleur style les soeurs Kayser, qui ao
charmantes el cake walkent, A cheval av
e' train les clowns Dassi, d'invénti
nouvelle ot dróle, mérite dont on 1
senti;
Jil
es clowns Dassi,
te doi
Ti ïportance les Alphonso, de gymnagf
d'ano ioree et d' une souplesse impressiü,
na^tes; Jack Bartzeni et Miss Bartzeu
qui prés-: iitent un numéro de lions magtj
que, un régal énorme a ce menu de chof
Téclatant triomphe de )a soiree -- ,t i
dompteuse est exquise et le belluaire ai
perbe les dressages en liberté de M. Wiik
directeur, capables de rallier les eathoi
8iasmc-8 de tous les amateurs de chevau
J'en passé, et des meilleurs, et meilleure
dont Ia joiie Anita.
Un commis-vcyageur a un de ses collè- - Le8 bravos, toutlesrir, ciépitèrent sot
gues, excellent catholique Comment peut- la tente, et le plaisir du public fut pérenq
on croire que Jonas est resté trois jours dans toire. Comment louanger mieux le cirqL
Wilke et eous féliciter d'avoir au, enfin, u
vrai cirque dans i.os murs
Les démolitions de l'aile oriëntale s
poursuivent avec activité, et ce n'est qu'£
prés qu'elles seront terminées que les tri
vaux de reconstruction seront entamés. I
public qui suit avccun vif iotérêt los diffi
rentes phases de ces travaux, se plait A
reconnaitre un esprit d'ordra et de méthodt
Il n'est indifférent a aucun détailsi minim
füt il. C'est ainsi que, ces jours derniers, 1
découver te de c qu'on croyait être une las
de colonne au milieu des fondations de 1
fagade primitive fit émettre des hypothese
bien erronnées. L'existence de cette préten
duo colonne fit croire a une retombée d
voüte qui aurait nécessité un r- cul plus cot
sidérable de la fagade a reconstruire. Nou?
n'étions pas loin de partager également cel
avis. Renseignements pris auprès de Al,
Tarchitecte, il résnlte que ce qui avait élé
pris pour une base de colonne n'était qu'm
contre-fort. L'épaisseur des fondations se»
b!e prouver, du reste aussi, que c'était 'A
le ventre d'une baleine - Paree que,
répondit 1 autre, on connalt des individus
qui vivent plus longtemps dans la peau ü'uu
imbécile et d'une béte.
UUUUUüUUüy
Relevons dans le numéro de Dimanche
200.000 hommes mobilisés par
le cartel a. la manifestation de Bruxelles
alors qu'il est démontré par tous les calcu's
qu'il n'y en eut certainement pss 80.000
Et d'une
Une trentaine de mille manifestants
a Louvain alors que le Peuple lui même
en accuse 70.000
Et de deux
o La manifestation de Bruxelles se passé
sans incidents, celle de Louvain a suscité des
bag ar res et des'violencesUivtolérance clé-
ricale s'est donnée libre cours.
Et de trois
Mais vous ne dites done pas, malheureux, j
que s'il n'y'a pas eu d'incidents a Bruxelles;
c'est que les [catholiques vous ont laissé en l
paix avec les socialistes et la voyoucratie et
que s'il y a eu des bagarres et des violences
a Louvain c'est bien que vous et les votres
vous ne permettez pas que les catholiques
usent de leur liberté. j
Ou bien estimez vous qu'ils sont plus que -
bêtes en cherchant A se battre eux-mêmes
Expliquez A vos lccteurs pourquoi il y a
eu le 27 des violences, non seulement A Lou- I
vain, mais dans un grand nombre de villes et
de villages au retour des catholiques.
VoilA bien sans doute Tceuvre de votre
voyoucratie. Verax.
if if if f-
*r. if*
Voici comment le journal des socialistes
répond au Progrès lorsqu'il s'agit de donner
la signification du cartel par un article du 3
Septembre 1911
Vous comprendrez, camarades, que vous
ne pouvez exiger du capitalisme et de ses
défenseurs qu'ils mènent la lutte a vos
cötés et pour la même cause. Nous menons
le combat pour notre existence CONTRE
LA CLASSE QUI POSSÈDE. Dans la
lutte nous n'avons rien A rperdre que nos
chaines et nous avons A gagner UN MON-
DE.
Partagez vous l'avis de votre allié, M.Nolf?
5^1 Sfllti isflÉ £f# SSP JEflP <^9 SflP
Nous lisons dans Ie Progrès de Dimanche
3 Septembre
Aux élections communales d'octobre la
liste des gaziers serait done constituée comme
suit MM. Butaye Arthur, avocat; Froidure
Robert, négociant, Lapiere Georges, indus
trial. Valcke Alfred, industriel et Vermeulen
Henri, brasseur.
Nous lisons dans un journal d'Anvers
Le vrai cirque, dans ea tente de toile,
avec son arèae de tan. Le cirque de no3 en-
farces, pittoresque, mouvementé, grouillant
qui sent le cheval, la foule, le bois, la cou
leur Une résurrection heureuse, et dont
le suceès, d'emblée, a été énorme a Anvers.
En vérité, hier, la tente,que le vent agitait
sur ses madriers, fut trop étroite pour con-
tenir le public qui l'avait prise d'assaut, et
que Ton ne maintint que malaisément, tant
il 8'empressait A bien voir... et A applaudir.
Car, dans ce cadre rustique, qui nous rajeu-
oit, nous rend des impressions lointaines
j qu'on retrouve avec raviïsement, le specta-
mur de fagade et non un mur de refetid
Inexactitude d<s plans de M. Coomansejl
done une fois de plus confirmée par lei
fouilles dc ces derniers jours.
Le Collége échevinal a pris récemme:
une trés sage mesure de précaution. Dif
rentes rondes seront effectuées chaque nu
par un agent de garde dans les différent
locaux des Halles et de THötel de ville. C'c
Tincendie de THötel de ville de Schaerbac
qui semble avoir dicté cette mesure prudent:
Cette besogne semble devoir être dévolc
plus tard au concierge de l'Hötel de Vit
quand un logement lui aura été réservé
la restauration du monument.
hjtehÉkfaÈs&As&sÊM
A Toccasion de cette neuvaine, la cofflp
gnie des chemins de fer vicinaux organise-1-'
trams suivants
Ypres- Dadizecli
Station 6.5o 8.11
Bascule 8.3o q ,3o
Station 9.40 I0.57
i3,37 15.09
Retour Dadizeele-Ypres
7.33
10 19
12.10
17.20
Wervicq-Dadizeele
6.04
8.41
10.53
12.55
t5.o5
16.29
Dadizeele-Wervicq
7.30
10.19
11.45
9.24
n.38
14.10
1.8.46
r 539
8 o3
W' if. if* if if. If,
Les derniers Billets de la Tombola
position de Bruxelles s enlèveot raP_!l
Si Ton ne s'en procure pas a
risque fort de ne pouvoir particip6^
ge flxé définitivement au lundi 6 D
Gros lot 500.000 frs.
de''1
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bref déUij
12, 12, 1U 12> 12. 12, 12, 12, 12, W>
Ttr n» car ntr cur rBT rfr or or tw
0 itAiin niii no r,/-> Ar'
f voo
J |11
14- '7
15.49
17.01
19.31
6.35
9.11
11.38
1.3.29
17.00
10.49
12.17
14.57
16.19
17.30
20.04