Supplément au Journal d'Ypres, du Samedi 7 Octobre 1911. ileeteurs Ouvriers Industriels Bourgeois wmmmm saBeaQBBBiaB es ês m m lis ont le droit de se cacher Motus Aveox libéraux %m< <-•*• Pei sées du jour Vos Billets, s'il vous plait La Modération des Libéraux BBI9 na n n n n n La Fète des Jeunes Gardes Aux Mères et Epouses! GS VOTEZ POUR MM. Colaert b'Huvettere Iweins d'Eeckhoulte Lemahieu Sohry Struye Vanden Booyaerde Vander Ghote Raus Seys VOJEZ TOUS SOUS LE l Brasserie V YPROISE i Bitre Sf éciale et Bière bock m ik m m m m m m m par 12 et 24 boutenies. Oui, c'est leur droit le moin8 con}esta" bje Et il f»ut vraiment a nos libéraux une iücóüsc/encc déroutante peur s'en ficher com me ils le font et pour afflcher la próten- tion d'aller siéger encore a 1 hotel de ville Yprois. lis n'entendent done point, par dessus la voix du corps électoral, celle de nos monu ments et de nos joyaux divers qui les pour- suit de ses haro indignés f Ils auraient le toupet de s'installer encore a l'ombre de ces monuments incomparables qu'ils ont laissé tomber en ruines de rede- venir les soi disant gardiens de ces richesses artistiques que les catholiques ont sauvées de la destruction lis rêvent d'aller con- sommer l'oeuvre de vandalisme irréparable qu'ils ont entamée jadis dénaolition de nos pluskeaux remparts approbation de demo lition de nos facades anciennes abandon sacrilege aux injures du temps et des élé- ments des merveilles d'art de notre patri- moiue communal Ils ne craignent done pas que, lejour oh ils réuBsiraient a s'emparer, par surprise... ou autrement, de notre hötel de ville, l'Art Yprois outragé ne secoue les rares ruines qui restent a réparer ou a consolider et ne lesenBevelisse sous leurs décombres Qu ils se caohent douc bien vite S'il est un point sur lequel cathoüques et libéraux semblaient d'accord depuis un an, c'est ceites sur l'importance des prochaines élections communak s comme première indi cation de la volonté du pays relativement k la solution de la question scolaire. Tous proclamaient a l'envi que cette ques tion constituerait nécessairement la plate- forme principale et a pt-u pr.ès unique des prochaines élections. Les grandes manifes tations de Bruxelles et de Louvain furent l'attestation publique de ce sentiment commun. Or, que voyons nous aujourd'hui Nos libéraux, au lieu de remuer ciel et terre pour faire tiiompher leur tbèse, au lieu d'adjurer le corps élecioral de se pro- noncer entre le projet Bcolaire catholique et l'intolérable régime actuel, se taisent Jrmais leur marotte de l'école nsutre ne fut moics agitée. Ils lont Timpossible pour ch&Dger de plateform9 sans en avoir 1 sir, pour détourner l'attention de cette question- la, pour empêcher même, si possible, qu'on ne fasse partir ce lièvre. Le contröle des finances et des con cessions (UI), voyez vous, il n'y a plus que cela qui importe. L'égalité des écolts devant le trésor public,la liberté du choix de l'école pour 2e père de familie ouvrier, tout cela ne compte plus on s'en soucie comme un poisson d une pomme 1 S'i! est une éloquence du silence, on con- viendra que le silence fait par nosadversai- res, l'heure du scratin, autour de la question «eolaire est d'une éloquence suprème. Dans l'état actuel du débat, la grande majorité des libéraux et socialistes eont partisans d'un ons; ignement officie!, laïc, neutre et obligatoire, avec la suppression des subsides aux écoles libres. Si cette for mule se trouvait réalisée demain, elle déchainerait dans tos campagnes une lutte Bcolaire d'une intensité qu'on ne semble pas »ufi samment redouter a gauche. La Chronique. Je le declare nettement, mon idéal c'est la loi de 1879. Masson, député libéral. La Religion n'est pas a sa place a l'école. Terwagnedéputé. C'est pour les libéraux uu impérieux devoir J'arracher la jeunesse a 1'enseignement eongréganiste. Nous espérons bien que 'exemple donré par M. Combes sera suivi Jan» foute l'Europe latine. Indépendance beige. Bravo I toutes les décisions du gouverue- ^ent de M.Combes sont des mieux justifiées. nous reste a soubaiter que pareille politi- 1Ue puisse bientöt être appliquée chez nous. La Chronique. Le I II nous suffira d'imiter la France, en décrétant 1'instruction obligatoire, en la'ici- sant toutes les institutions qui ne le sont pas et devraieat 1'être, et en relevant des écoles les croix qui n'ont tien a y faire. Gazette de Charleroi. spectacle de la France doit nous être a ntaire et réeonfortant. Etoile beige. II faut mobiliser l'école contre l'Eglise, l'instituteur contre le prêtre. Vandervelde, député. Supposez que demain un gouvernement libéral supprime les subsides aux écoles libres celles-ci diminaeront sensiblement en nombre, et eumaiut endroit Je père de familie se verra enlever la possibility .prati que d'envoyer »on enfant a J'école eatholi- qne. Sa liberté est-elle lésée Incontesiable- ment, s'il juge l'instruction congréganiste a la formation intellectuelle de son enfant et c'est son droit. Petit bleu. De nos jours plus que jamais, c'est pour nous une obligation rigoureuse de n'élire aux fonctions politiques et civiles que des homsie3 siccèrement dévoués a la Religion et prêts a k défendre contre les attaques de ses ennemis. Ces hommes-la, soyez en sürs, ces hommes de foi et de conscience scront aussi les meilleurs gardiens de l'ordie et les protec tees les plus vigilant8 de vos intéréts temporels. Mgr Freppel (Mandement). ran Autrefois, a'la mort d'un homme de bien, on disait pour faire son éloge funèbre il fut bon époux, bon père.» Ce n'est plus avec ces seules vertus-lü qu'on pent gagner le Paradis aujourd'hui Taction politique est de venue un devoir peur tout catholique, et il faut qu'on puisse dire de luiII fut bon époux, bon père et boa citoyen. Mabille. rmi C'e3t pécher que d'être l&che dans les péiils de PEglise de Dieu. L. Veuillot. C'est en prononcant ces paroles que péné- treront au Conseil Communal (si, bien entendu, ils réussissent jamais a y pénétrer) les élus du Cartel. Les libéraux de tout plumage viennent d'engager la lutte et ont fixé la liste de leurs candidats aux élections du i5 Octobre et cela presque sur lordre des catholiques eux-tnêmes, (Faut il tout de même que le parti clérical soit en mauvaise posture 1) II ne s'agit pas de renverser la majorité catholique (ne serait-ce pas la un aveu de leur bonne gestion non, il est ex- clusivement question d'introduire dans le Conseil quelques contröleurs capables. Car comme Ta dit M. Glorie, il y a péril partout et pour tous. Telle est la situation. Mais pour nous, catholiques, il importe d'examiner la question de l'opportunité de l'introduction de contröleurs capables dans ie Conseil. Le Progrès nous apprend que le con seil communal est actuellement composé de la plus lamentable facon 1 2 ou 3 mata- ders 1 les hommes de paille du clergé, prennent toutes les décisions et sont aveug'é- ment approuvés par la presque totalité des autres conseillers qui remplissent en l'occu- rence le róle des moutons de Panurge. Pour en revenir a nos moutons (de Panurge, bien entendu) il suffit de jeter un coup d'ceil sur les compte rendus des discussions de nos édiles pour remarquer facilement que même parminos conseillers catholiques, il se trouve des hommes qui contrölent tout et ne se plient aux décisions proposées qu'après müre réflexion et discussion approfondie. Cette simple constatation sufflt a pulvé- riser les assertions de Thonorable président de l'A. L. C. Done l'introduction de contrö leurs capables n'est pas nécessaire üe plus cette introduction serait dsngereuse pour les intéréts; de la ville. Bien que ne revendiquant qu'une petite place au soleil et une toute petite voix au chapitre, les libéraux n'en pensent et n'en espèrent pas moins ariiver progr. ssivement a accaparer la majorité, sinon la totalité des sièges et pouvoir alors gouverner a leur guise sans le moindre contröle. Cette intrusion serait-elle favorable a la ville? Certes non. L'expérience d'antan et la triste situation de la ville, lors de la disparition des libéraux en Tan de grace 1891, doit nous mettre en garde contre ce péril bleu. Les exemples d admi nistrations carteJistes néfastes ne se comptent plus. (Tout récemment on apprit que la Commission des Hospices de Tirlemont subsidiait annuellement une école d'Hor- ticulture libérale, supprimée en 1893.) Voila un exemplc entre mille. Cette sollicitude aux intéréts de la ville, qui est d'&illeurs habituelle au Cartel, est édifiante et le discours de M. Masschelein contre les derniers travaux publics montre a quel point les passions politiques peuvent faire reléguer a Tarrière plan les intéréts des administrés. Nul doute, que ces quelques constatations préviendront en faveurj des candidats catho liques tous les électeurs conscients et soucieux de tous leurs intéréts. Quant a Téternelle imputation de la corrup tion et malhonnêteté cléricales en matière électorale, il suffit de se rapporter a l'année 1891 pour sa voir a quoi s'en tenir a ce sujet. Notre si intéressant musée reste toujours visible aux libéraux de cette époque, même a ceux qui se sont volontairement exiles a Bruxelles, ou ailleurs. Dans le dernier numéro du Progrès une violente campagne est menée contre Tesprit de parti dont sont animés les catholi ques, esprit qui les a poussés a l'exécution de travaux publics néfastes et pitoyables. L'au- teur de eet article, qui n'est que le résumé du discours, prononcé par Masschelein a la réunion de l'Associatisn cantonale libérale d'Ypres, donne la nomenclature de ces diffé rents travaux. La voicila restauration des monuments de la ville, le dévasement des étangs de Zillebeke et de Dickebusch, la question du gaz (de scandaleuse mémoire,??) etc... etc... Toutes ces questions sont autant de prétextes a des plaintes amèrps et a des attaques injustifiées. Son auteur oserait-il contester publique- ment l'utilité de ces différents travaux, qui ont contribué puissamment k la prospérité, au confort et a Pembellissement de la ville Les innombrablcs visiteurs, qui vinrent admirer nos incomparables monuments, ne sont-ils pas le témoignage le plus éloquent en faveur de la sage gestion de notre conseil communal f Et si l'eau avait dü manquer pendant cette période de sécheresse persistan- te, q ie de polémiques que d'attaques La prévoyance de notre administration a conjuré la disette d'eau dont d'innombrables villes eurent a souffrir. I Faut-il tout de même que le désir de par- venir soit intense pour qu'il puisse parvcnir a troubler a ce point le jugement sain d'un homme raisonnable Faut-il que le dissentiment politique soit vif pour qu'il puisse percer alors que seuls les intéréts économiques de la ville sont en jeu et pour qu'on ose contester l'utilité des différents travaux qui ont fait en quelque sorte d'Ypres une ville modèle. (II suffit en effet de la comparer d'autres villes plus populeuses pour s'en convaincre.) Sans nul doute les Yprois témoigneront leur reconnaissance au conseil communal et sauvegarderont leurs intéréts en éloignant de l'Hötel de Ville ceuxqui, pour servir leurs intéréts et ceux de leur politique, foulent aux pieds les avantages de leurs admi nistrés II! Qu'on nous chante encore le refrain du fanatisme clérical llü Nous voila fixés. Une simple question Les candidats libéraux se contentent de récriminer et de battre en brêche la gestion des catholiques. Cela ne suffit pas Quel est done le coté positif de leur pro- gramme Quelle ligne de conduite suivront les can didats libéraux en mat'ère de restaurations, de travaux publics et d'ceuvres sociales R. S. V. P. Le succes de la fête des J. G. vient de trouver une plus ample confirmation dans le dépit du u Progrès Et ce malheureux dé- pit, que ne peuvent déguiser ni atténuer eer taines expressions gonflées de souverain mé pris, s'extériorise e.r périodes fulminantes et en qualificatifs éloquents. Tout en cédant a ce mouvement instinctif d'ailleurs suffisam- ment justifié, le Progrès a cherché aussi- tot a pallier le mal qui le rongeait en discré- ditant la cause qui l'avait provoqué. (C'est un petit jeu de passe passé dans lequel excel lent certaines petites feuilles) et voila le rédacteur du Moniteur de l'Association libé rale cantonale d'Ypres s'attelant a la t&che pusillanime d'amoindrir la manifestation du 24 septembre. Plein d'une digne suffisance, il réduit le nombre et la qualité l des manifestants d'un coup d'ceil exercé. II évalue les nombreux drapeaux qui ne furent pas arboés, et, ces préliminaires posées, le voila stigma- tisant avec émotion les sourdes menées des vicaires et cures "qui, brebis galleuses dans le troupeau du Seigneur, déshonorent leur diguité sacerdotale en l'exposant tous les sinistres compromis de la politique. II chante sur tous les toits les pressions exercées sur ces pauvres électeurs et jeunes gens qui, force's par leurs curés ou chêtelains, s'en vin- rent a Ypres, alléchés par la gratuité du voyage et du diner. Que le pavoisement de la ville n'ait pas répondu aux voeux des organisateurs, nous sommes les premiers a Tadmettre mais les torrentielles ondées dont nous fftmes gratifies le matin,]et le temps incertain, qui persista toute l'après-midi, ne furent-ils pas cause suffisante de cette regrettable abstention La population yproise a-t-elle voulu par la prou- ver son indifférence vis-a-vis du parti catholi que tout entier Le concours sympathique de la population a suffisamment prouvé Tinanité de cette assertion. Et si, a Tinstar du Progrès nous nous reportons a la mani festation cartelliste du i5 Aöul ne remar- quons-nous pas que le pavoisement des mai- sons a laissé a désirer a Bruxelles Bon nombre de journaux s'en plaignirent, notam- ment le Peuple qui, au lendenaain de la grande journée, publiait la lamentation sui- vante La démonstration d'hier a fait cou- ler un fleuve d'or a Bruxelles. Vous vous imaginez peut-être que les commergants de la capitale se sont empressés de donner a la ville un aspect de fête, en arborant des dra peaux C'est sur vous que nous comptons, comme auxiliaires dans la lutte électorale. Vous n'avez pas de bulletin de vote, non, mais vous êtes toutes puissantes sur le coeur de votre mari et de vos fils les électeurs Vous saurez défendre avec héroïsme votre Religion, v-:tre foyer, l'ame de vos enfants que Tanticléricalisme maponnique tente de vous ar- racher pour ia pervertir et la perdre. Si 300 millions de sujets de Tempire Britrnnique ont obtenu Ie droit de pratiqusr librement leur religion, a qui le doivent-ils A la femme irlan- daise. C'était en 1828, k Tólectionde Clare, en Irlande, raconte un de nos amis Pour la première fois, en dépit de la législation anglaise, leur inter- disant l'entrée du ParlemeDt, les catholiques se décidèrent a la lutte. O' Connel1, le futur libérateur, se trouvait sur les rangs. En face de lui, le plus riche proprié- taire protestant du comtó, candidat du gouver nement, soutenu par la toute-puissanee de Tor Parmi les électeurs se trouvait un pauvre tenancier, emprisonné pour arriéré de bail, depuis six mois. Le candidat protestant, son propriótaire, le visita dans sa prison, lui promettant )la liberté en échange de son vote. Etouffant les oris de sa conscience, devant Timage soudainement évo- quée de sa femme et de ses enfants mourant de faim, il promit... Le lendcmain, chancelant et lionteux, entre deux policiers,on le vit qui s'en allaitau serutin Levant la main au Ciel, il jura de voter libre ment, sans presion aucune pour... Un reinous subit se produisit dans la foule, et les yeux brü lants de fièvre et large ouverts, sous Tempire d'une émotion intense, surgit une femme la sienne. - John, s'écria-t-elle, Remember your soul and liberty... |Souvenez-vous de votre'ame et de votre liberté Suivi de son peuple entier, il forga les barriè res du Parlement, et obiint la liberté de l'église catholique. Femmes, d'ici aux élections prochaines, faites- vous les apötres du bien et quaud, au matin des élections, les vötresVeu iront déposer dans les urnes leur bulletin de vote, répótez-leur le cri sublime de la pauvre Irlandaise Souvenez- vous de votre Ame, souvenez-vous de i'Ame de vos enfants souvenez-vous votre liberté C'est bien les connaitre. A parties cafés des re'eva 1° front, et les yeux dans les yeux de a sa femme, il jura de'voter pour Daniel O'Con- envtrons des gares ou fiotta.ent des dra- j nellet fut 4C0nduU en prPison peaux rouges, bleus et tricolores, on devine Entrainés par l'exémple, avec un ensemble dans quelles intentions, a part aussi les quar- formidable, tous les électeurs votèrent pour O' tiers populaires, oü on y allait de tout coeur i Connell au pavoisement, c'était morne de couleur. L'enthousiasme quoi 1111 Quant au défilé des J. G. (le Progrès a tranché la question) il fut de genre burlesque un rassemblement de manifestants, dansant et chantant comme a une kermesse de village, debraillarés injuriant et invectivant d'honorables spectateurs qui bien entendu, 5 nt provoquaient pas 1! (L'honorable bour- geois qui criait trés dignement (Marché aux Vieux Habits). A bas la Calotte 1 derrière le dos des spectateurs, ne peut certes être incriminé de provocation Quant au röle du baton en manifestations analogues, nous prions bien respectueuse- rnent le. lédacteur du Progrès de relire bien attentivement Partiele paru au «Journal» le 10 septembre. Le rééditer nous mènerait trop loin. Si, dans le rang des J. G. C. il y en eüt qui vinrent a Ypres alléchés par le petit déplacement, que ceux qui nous en formu- lent le grief se souviennent des nombreuses manifestantes qui s'en furent manifester a Bruxelles le groupe de Lokeren comptait 52 dames et jeunes filles sur un total de 142 manifestants. Les enfants même en dessous de 7 ans étaient trés nombreux(«Petit Bleu»), ggEt, de tous ces manifestants coiifiants dans leur idéal et conscients de leur bon droit on en vit beaucoup, qui, la carte au chapeau et les emblêmes cartellistes a la boutonnière s'en furent manifester a Uccle, au bois de la Cambre, a Tavenue(tde Ter- vueren même a l'église de Sainte Gudule, oü un groupe de ces farouches sectaires fut trés j remarqué. Dansant et chantant comme a une ker- i messe de village telle fut Pattitude des J.G. L'auteur de Partiele oublie assurément que les wallons Bruxelles dansaient en chantant On rind les liards sur un air dégénéré en rythme de gavott? Ce fut jovial et rigolard l BURGERSTAND VAN YPER. Verklaringen van den 22 Sept. tot den 6 Oct, 1911 Geboorten Hahn Maurice, Beurzestraat. Garrein Henri, Hondstraat. Deconinck Maria, Minneplein. Fiers Elisabeth, Lange Meerschstraat. Sampers Ju lieu. Eigen HeerdStraat. Vandorpe Maurice, Poperinghe. 5 Huwelijken: a dit fort justement la Metropole Mulle Marcel, daglooner, wedr. Vandamme En un mat, rien que le fait d'avoir fait Marie, en Candeel Anna, kanlenwerksicr, Wwe ressusciter la manifestation dü i5 Aoüt pour t Segers Valere, beiden te Yper. Wolters Mau l'opposer a celle des J. G. est un résultat, dont le comité organisateur peut se montrer fier. Cette simple idéé prouve a quel point 'e rédacteur du Progrès s'est rendu compte de la force des J. G. Y. et que Par ticle en question n'est que l'expression d'un dépit mal déguisé. rice, kleermaker, en Coffyn Eudoxie, z. b., beiden te Yper. Beddeleern Léon, beenhou- l wer, en Durnez Irma, kleermaakster, bieden I te Yppr. Sterfgavallen Devos Karei, 89 j., z. b., weduwaar van Note I Atnelie, Rijselstraat. Deleu Cyriel, 10 m., i Dickebusch steenweg. Clarysse Eliane, 7 weken, Pennestraat. Thieuw Albert, S m., Rijselstraat. Termole Bertba, 30 jaar, z. b., F ongehuwd, Poperinghe steenweg. Ghys Henri, 43 jaar, barbier, echtgenoot van Ver- plancke Marie, Hallestraat. ETAT-CIVIL DE COMINES-BELGIQUE. Naissances Ivonne Vandelannoitte, rus du Gemeene. Décès Henri Dauchies, 76 ans, Gomines-Ton-Brielen. - ivonne Verfaille, 4 mois, Gomines-Ten Brie- len. Arthur Overfelt, 12 jours, rue Masson Joséphine Metsdach, veuve Gapon, 78 ans, rue t des Moulins. I rue de la Bouehe, '28 en bouteilles l remise k domicile r»i WO un •M i„ 1. f r i- rifift. klPfirmakpr An Tnff\rn ITnHnvio rv K

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 5