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dk m m 2^ m m m a m
w* wï m m m m m
Parisi... aneries
Pensées diverses
Conseil Communal
bp
Un Début
Nominations ccclésiastlques
Repos dominical
Rien qui nous rende risibles comme nos
marottes et nos petites passions.
Adieu 1 intelligence quand une machine de
l'espèce nous possède.
Voyez plutot les'Fracgais, nés malins
parait-il.
G'est inouï comme le Prussien qu'ils
portent sur le nez sait leur jouer de mauyais
tours.
L'autre jour, un journaliste de la Ville-
Lumière, en parcourant notre Guide des
chemins de fer, y faisait, a la page 705, une
trouvaille qu'il s'empressait de livrer a tous
les vents de la publicité, a la plus grande
confusion des germanophiles qui peuplent
la Belgique.
II avait constate que dane nos gares on
payait les consommations cinq centimes
plus cher ou moins cher, suivant qu'on les
commandait en francais ou en flamand II
en concluait que nous voulions de la sorte
pousser a l'emploi de la langue... alle
mande» et combattre Busage du francais
Et pour ne pas avoir l'air d'inventer, il
y allait de citations
Bock beige 0.30 fr. belgische
bock 0.25.
Bière indigène autre 0 25 ander-
landisch bier 0.20.
Bordeaux, le verre» 0 30; «Bordeaux,
het glas 0.25.
Faut-il que son Prussien familier lui ait
troublé la vue pour que 1'ander inlandsch
bier devienne de 1' anderlandisch bier I
Maiscette bévue-la n'est rien a cöté des
autres.
II n'a pas va que le tarif des consomma
tions détaillé en francais était celui des
buffets-restaurants, tandisque la liste donnée
en flamand se rapporte aux buvettes.
II ne s'est pas rendu compte de la diffe
rence d'installations, nécessitant pour les
consommations qui se chiffrent par quelques
sous seulement une légère différence de
prix, en vue de désencombrer les tables du
buffet-restaurant, celui-ci étant fréquenté
plutöt par !es voyageurs étrangers prenant
des repas pluB ou moins sommaires, a raison
des parcours plus longs qu'ils effectuent.
II n'a pas su comprendre non plus que les
consommations étant les mêmes daDs les
buffets et daas les buvettes, c'eüt été une
répétition parfaitement inutile que de don-
ner leurs tarifs respectifs dans les deux
principales langues nationales.
Notre germanophobe ne s'est pas même
apergu qu'en donnant ces indications en
frangais et en |flamand seulement, nous
étions galants a l'excès pour le peuple
le plus galant du monde», et trop peu
pour nos voisins de l'Est, attendu que
Baliemand est une de nos trois langues
nationales. Mais allez-moi done voir juste
ayec une verrue pareille sur le nez
Du bist... verrückt mein kind.
La devotion envers les morts n'est pas
seulement l'expression d'un dogme et la
manifestation d'une croyance. c'est un
charme de la vie, une consolation du cocur,
et de tous les retranchements que le pro
testantisme a fait subir a l'intégritó de la
doctrine et du culte catholique, le plus
étonnant et le plus inconcevable est sans
contredit celui qui, en supprimant la prière
et le sacrifice pour les fidèles trópassés, brise
ce commerce sacré qui nous unit encore,
après leur mort, k ceux que nous avons
aimés pendant leur vie. On dirait que la
religion réformée a voulu montrer par cette
froide réforme qu'elle n'est pas la religion
qu'invoque notre cosur. Qu'y a t-il eneffet,
de plus suave au coeur que ce culte pi, ux
qui nous rattache a la mémoire et aux
souffrances des morts Croire a l'efflcacité
de la p, ière et des bonnes oeuvies pour le
soulagement de ceux qu'on a perdus; croire,
quand on les pléure, que ces laimes, versées
pour eux, peuvent encore leur être secoura-
bles croire enfin que, même dans ce monde
invisible qu'ils babitent, notre amour peut
encore les visiter par ses bienfaits quelle
aimable croyance 1 Et, dans cette croyance,
quelle consolation pour eux qui out vu la
mort entrer sous leur toit et frapper tout
prés de leur coeurCe mélange de la religion
etde la douleur, deja prière et de l'amour,
a je ne eais quoi d'exquis et d'attendrissant
tout ensemble: la foi,l'espe'rance et la charité
ne se rencontrent jamais mieux pour hono-
rer Dieu en consolant les hommes et pour
mettre dans le soulagement des morts la
consolation des vivants.
R. CP. Félix.
La réalisation des plus beaux programmes aspect primitif. Le devis est de 6.000 fr.ce
de re'forme sociale ne nous suffirait pas qui fait avec le prix d'achat de 3.O0O fr.
1 ame humaine est inassouvissab'e et ne peut une dépense totale de 9.000 fr
se reposer que dans Celui qui est sa vérita
ble fin. C'est l'immortel gémissement de
St-Augustin Irrequietum esEcor nostrum,
Domine, donee requiescat in te
Jules Faure.
II y a cinquante aus, on auioit trouvé
que cette maison ne vaut pas 1( 00 fr. Au-
Jourd'hui, on raisonne autrement. On estime
avec raison qu'il imporfe de conserver sur
Dieu ne frappe que par amour et II n'óte
que pour donner. II faut L'adorer et se taire.
S0 SI sA M sal
Séance publique du S3 octobre 1911.
Sent présents MM, Colaert bourgraestre
présidentFraeys de Veubeke et Vanden
place ce dernier vestige des raaisonsde bois. j rent ce beau discours.
élections je vous remercie en particulier,
membres de la Jeune Garde catholique,pour
votre propagande active ef fécondo, et vous
invite a aimer e plus en plu k p.irti catho
lique et a lui prêter votre assistance. L'ave-
nir nous est ainsi assuré
Des applaudissements nourris soulignè-
1'examinerons vous pouver vous fi -
entièrement. Je voudrais, pour les Lip0118
annees de ma vie, faire le bien pour to 68
vivre en paix. avec tout le monde. US 6t
Des acclamations enthousiastes saW*
beau discours. saiuentC6
Quand il sera nécessaire d eiargir la rue
du Canon, il faudra 'e faire de l'autre cöté. j
II y a, du reste, un autre motif pour élargir j
plutot la rue du coté droit. La maison de
bois touche aux remparts, et il faudrait f
entamer ceux-ci, en cas d'élargissement
la rue de ce cöté.
Tout incite done pour proposer cette res=
tauration, Le crédit proposé est de 6.000
ir. mais on n'arrivera peut-êfra pas a ce
de j
cbiffre. Au casoü des planches de la fagade
boogaerde, échevins Fiers, Vanderghote, "1 Solvent être remplacées, oa le fera avec du 0 mor
D'Huvettere. Bououet. Sohrv. I vieux chêne. Approuvé. j jeunesse catl oliq
Discours de M. Colaert.
L honorable bourgmestra, M. Colaert, se
ie a ensuite sous un tonnerre d'acclama-
tions, et s' xprima a peu prés comme
suit
I La première parole que je veux vous
adresser rst une patole de remerclmenfc, de
cordial remerclmeut, au nom des él us et
aussi au nom de tout le Conseil communal.
D'Huvettere, Bouquet, Sobry, Lemahieu,
Biebuyck, Begerem, conseillersBoudry,
faisant fonctions de secrétaire communal.
La séance est ouverte a cinq heures. M.
Iweins d'Eeckhoutte, absent, s'est excusé.
Lecture est donnée du procés-verbal de ia
séance précédente qui est approuvé. En
Comité secret de cette séance, le Conseil a
proposé M.Laheyne, juge de paix, et M.
Poupaert, médecin, comme membres du
bureau adrainistratif de l'école moyenne en
remplacement de M. Boedt, décédé.
Le Conseil a accepté la démission de M.
Sinaeve, comme sous-instituteur a l'école
primaire adoptée, et a nommé en son rem
placement M. Reynaert.
M. Sobry demande si I'eau pourra bientöt
être distribuée comme antérieurement.
M. le Président a donné des ordres pour
ramener pas a pas a la situation ordinaire
Lecture est donnée par M. Ie Président
d'une lettre de M. le Ministre des chemins
de kr annongant des amélioratio! 8 au servi
ce. Un projet est a l'étude pour améliorer
l'éclairage de la gare. Les abords des bati-
mentsde recettes et lés salies d'attente se
ront mieux éclairés.
Le cbauffage a la vapeur des voitures so
fera progressivement et a déjaété commencé
depuis le 15 octobre.
Les trains sont obfigés de dépasser, sen-
siblement la gare pour prendre Beau néces
saire a l'alimentation des machines ainsi que
pour dégager le quai central pour le mou
vement des voyageurs.
En réserve, il n'existe actuellement qu
moment que je croyais que la
ue d'Ypres s'éteigi ait
Bureau de bienfaisance Achat et dépot {eu concevaiö des craintes sérieuses et j'en
-j- n~iut i„ ius sérieusement nréofiflnnp. .Ta mp
de litres de rente Beige. M. le président;
Le Bureau de bienfaisance a pris une déii
bératioa par laquelle elle propose l'acbat de
20.000 fr, de titres de rente beige a déposer
au service des dépots a découvert de la Ban-
que nationale. Son fonds roulant estinsuffi
sant pour subveniv aux dépcuses courantes
La situation du Bureau de bienfaisance est
sérieusement préoccupé. Je me deman-
I dais s'il ne surgirait pas un nouvel élement
j d'aröente jeunesse, quand, passé quelques
semaines, j'eus le bonheur de voir cette
imposante manifestation de la jeunesse
catholique. Celle ci prouvait que les jounes
différente de celle des Hospices. Les ferma- P08ant-
gens catholiques s'étaient soudainement ré-
veillés ct s'étaient groupés ennombie im-
ges ne se pergoivent pas avec le même ré
gularité. II ne serait retiré de ce Jonds qu'au
fur et a mesure des bcsoins Approuvé.
Ecoles gar diennes Budjet 1912. Pour les
écoles payantes, le cbiffre des recettes est
égal a celui des dépenses 5995 fr. Pour les
écoles gratuites,18000 fr. en recettes et en
dépenses. Approuvé.
Ecole ménagère Budjet igi2. -- En
recettes et en dépenses; 5.270 ir., comme
anneés antérieures.
Musée Compte 1910. M. !e président
Les recettes s'élèvent a 2.257 fr. 21 et les
dépenses a 424 fr, 55 excédent1.832 fr.
66. Somme qui pourra être. utilisée pour
l'acbat de nouveauxobjets le jour quo nous
entrerons dans les nouveaux locaux.
M. Begerem Ou dans l'histoire...
M. Bouquet désire savoir oü en sont les
projsts de travauxdu tram Ypres-Bailleul f
qui ne semblent pas progresses.
M. Je piésident: Je surveil'e foujOurs
cette affaLe. Les études continuent, mais il
a fallu remplacer im employé malade. Nous
devrons insister a nouveau pour arriver a
une solution.
Eh bien quand un parti a la jeunesse
avec elle, il peut affronter l'avenir avec cou-
fiance et nourrir l'espoir de monter toujours
plush ut. Acclamations
A quoi nous devons attribuer cette
victoire 1 M. Biebuyck vient a l'instant de f
vous le dire. Si nous administrons bien
Chacun lc dit parlez d'Ypres aux étrangers j
etils vous répondrontII n'est guère éton
nant qu'Ypres reste catholique, la ville est
bien administrée. L?s membres du coEseil
communal se sont efforcés saus augmen-
ter les charges d'un centime de rendre
Ypres plus belle et plus saine d'améliorer
la voirie de procurer eau et lumière en
abondance, et de donner leur éclat primitif
a nos joyaux artistiques. C'est pour tout
cela que les électeurs ont voulu exprimer
leur reconnaissance.
Aussi je remercie tous nos amis qu; ont
I uai 1 urs efforts a ceux d1 nos conseillers.
1 Je les remercie tous, mais je remercie en
i particulier M. Fraeijs de Veubeke qui, des
mains et des pieds comme un lion crie-
BoiHeul sera trés probablement comprise
dans les ligues a c.êer. Un changement a j
des wagons non tumeurs. II ne pourra être!11110 i0'u^0n- A l'avenir, il sera difficile
établi de fumeurs que si la mesure se d'obtenir de E0UVelles ^göes. La ligre
justifle par la suite par le norabre de voya- P i!'>u! s;ra nrobablemei
geurs.
M. le Président fait observer a ce sujet
que l'administration avait fait la demande
principalement pour les secondes et qu'au-
cune réponse n'est donnée a ce sujet.
M. Bouquet. Le matériel sera-t-il óga-
lement amélioró Le trains du matin laisser t
beaucoup a désirer.
M. le Président. Nous allons cocstam-
ment nous plaindre...
Finances communales Comptes 1910
dépot. Ce compte, clöturant par un excc
dent de 99.150 fr. 94 estdéposé. II est fixé
jour au samedi 4 novembre, a 3 heures,pour 5
les sections reünies pour l'examen du com - j
te.
Administration communale Rapport
1910 dépöt. Dépot est fait de ce docu
ment.
Propriétés communalesVente d'une
t-oncomme deux Bons, fik-je, a com
be üu, ayant a sfs cfVés sou dévoué et infati-
gable secrétaire M. ABiebuyck que je ne
puisassez reiner cm;. [Appl. unanimes).
Jusqu'ici les libéraux se vantaient de
été apporté au tracé du cöté de Locre.
M. D'Huvettere: Pendant ia période
electorale, ffèus avons entendu pe.rtout que j
notre Admiuisiiation communale est un j
modèle d'impa',tia'it§.' (Rires.)
M. le présidentC'est vous qui l'avez dit., s
M. D'Huvettere Je constate avec regret j
que depuis quelques mois des situations diffé-
rentes sont créées pour les deux cantons j
d'Ypres. I^es différents cadrans de ia tour du
e bèffroi n'indiquenl pas Ia memo heure. II y
aurait lieu d'unifier.
M. Fraeijs de Veubeke II existe ua dé-
faut dans l'ebgrenage.
M. le président annonce encore que l'ad-
r judication des travauxdu boulevard Malou
a eu lieu et que sous peu on mettra la main
a l'oeavre.
La séance publique est levée a 6 heures.
i nous avoir fait rétrograder d'un millier de
par celle de terrain. M. le président Le
Collége demande au Conseil d'approuver la
vente d'une parcelle de terrain située der- 1 A Ia Jeune Garde Catholique
rière une maison de la rue des Boudeurs,
pour permettre l'agrandissement de la cou-
rette de cette maison. Ce terrain touche aux
remparts et l'aquéreur s'enrage h construire
un mur contre le rempart, de manière a le
consolider. II n'en résultera aucun inconvé-
nieut au point de vue esthétique- Nous de-
mandons 50 francs. Approuvé.
Propriétés communales Echange de
terrain avec l'Etatconvention.M. le aux sons d'une vibrante Brabangonne et aux
présidentII s'agit de la construction de la acclamations enthousiastes de 1'assistaLce.
nouvelle gendarmerie. La convention con
cluée antérieurement reste debout; il ne s'agit
que d'ajouter certaines clauses, notamment j
de la fourniture gratuite des eaux. L'ensem-
ble des biens repris s'é'ève a la somme de
12 500 fr. et l'ócba- ge serait sans soulte.
Nous ne toucherons que tres trés peu aux
remparts. J'ai dit un jour Je n'en enlève-
rai que la largeur de ma langue. On m'a
mal compris, et on m'a fait dire Je n'en i
enlèverai pas même la largeur de ma lan
gue.
Samedi dernier, la Jeune Garde Catholi
que d'Ypres était en fêta prés de 300
membres se trouvaient réunis dans la vaste
salie du Volksbuis.
Une réeeption des plus chaleureuses était
réssrvée aux membres du Conseil communal
afin de rendre un hommage tout spécial aux
nouveaux élus. Ceux ci firent leur entree
Discours de M. Biebuyck
Le Président d'bonneur,M.l'avo?at Albert f
Biebuyck, prit le premier la parole et s'ex- I
prima a peu prés en ces termes
Vous avez ouvert cette séance, ainsi
qu'il convient, par notre chant national, f
pour lecevoir et saluer les élus Je vous en
félicite et vous en remercie. s'
La victoire catholique, comme vous le
voix aux dernièits ékciioas legislatives.
Mais celfi tenait moins a Ypros nrnmo qu'a
certains villages euviro nants, oü 1'on
n'avait pas srfikamment travaillé. Mais celü
est passé: l'élection communale du 15 octo-
I bre 1911 a prouvé qu'Ypcs et l'arrondisse-
ment som c&'holiques. Et si, au printemps
j prochain, nous devons avöi; de nou-
I velles élections légistatives, nou ne rega-
I enerons pas seulemeut les voix perdues.mais
Incus aliens, c'est sür et certain, conquérir
le troisième siège. AcclamationsCombien
M. Nolf ne doit-il pas craindre pour son
siège aux élections pour la Ciambrc quand
il sa trouve battu a plate conture par M.
Seys aux élections communales (Tonnerre
d'applaudissements).
M. Seys I Certains craignaient pour lui,
et je dois vous l'avouer, j'ai craisit aussi un
instant. S'il en avait été ainsi qu'il ne ffit
pas élu, quel coup terrible n'allais-je pas
recevoir Non pas que je craigne M. Nolf;
non, paree que lui aussi allait devoir recon-
naitre que nous administrons bien et sacs
partialité. Je sais que pour cela il est assez
sincère pour le reconnattre, comme, du
reste, il l'a reconnu. Dependant quelle p°rte
si M. Seys n'avait pas été élu I Pour vous
principalement, jeunes gens catholiques,
qui auriez perdu peut être courage. Mais
non Quelle défaite pour vous, M. Nolf, qui
êtes chevalier de l'ordre de Léopold, honoré
d'une croix de Mutualité qui siégez de
puis onze ars déja k la Chambre, vous
l'homme populaire, qui rêviez d'entrer un
jour au Conseil communal I A 30O pas der
rière M.Seys, agé de 27 ans (Acclamations
prolongées
Et maintenant, jeunesse catholique,
sous l'égide de votre Président victorieux,en
avant! Je ne dois pas vous demander de
bien vous comporter, mais je vous demande
de rester toute votre vie attachée au parti
Au fur et a mesure qu'il avance dans la
vie, l'homme qui réfléchit se préoccupé
davantage chaque jour de ce redoutable
inconnu, oü tout est mystère pour eux qui
ne croient pas, et oü, pour le chrétien, le
mystérieux problème se pose en ces termes
récompense ou ch&timent. II se préoccupé
de ne pas se présenter les mains vides devant
le juge de sa vie. Victor Jacobs.
savez, a ete eclatante Avant les élections, catholique. Je vous demande d'augmenter
1 0 i.Pre3lde;,t üe 1 Association conserva- f encore votre nombre et d'ótonner les libé-
Approuve, moins i'abstention de M. Bie- tnce souhaitait qu'Ypres lüt l'exemple de la 1 raux. Je vous demande de vous preparer a
bu^ck' P^nd/e 6ntière' et YpreS 8 réP°Bdu «tte f renaplir les vides qui peuvent se faire dans
Propriétés communales: Restaura-"ente. les rangs etje vous prie, entretemps, d'écou-
tion de la Maison de bois». M. le Victoireplusbnllaute n'a jamais été con- ter nos conseils, de même que iadis nous
présidentCette maison est dans l'état ie nue en cette ville; le résultat superbe de 1897 1 écoutions les conseils des regrettés MM
plus précaire. Les restaurations que nous est encore uepasse, et les libéraux sa trouvé- Spillebout, Struye et Surmont°de Volsber-
proposons s'imposent pour qu'elle ne tonabe rent tenement battus qu'ils ne placardèrent ghe.
pas en ruine. Des estbètes, pas ceux de
la ville, ils sont trés raisonnables estime-
ront peut être qu'il est préférable de ne pas
y toucher. En agissant ainsi, latalement
dans quelques années, tout tombera com-
plètement en ruine. Nous consoliderons
meme pas un mot de remercimen* a Un™ I o-
a leurs s Si nous, nous pouvons vous assis!er
electeurs. Cestquelavilleest bien adminis- 5 oi- c assi&.ei,
ij auuiinis- adressez vous a nous, nous ferons tous eos
tree, que les candidats catholiaues étaient l.ff 1,
Uil9Ufc;B eiaieüt i efforts pour vous vemr en aide mais si nous
des plus mentants et quo tou'es les forrec! uuus
r lorces nele pouvons pas, ne nous critiquez pas, la
catholiques se sont umes Dour a lntfo
T p i ia ïune. critique est facile, et il est souvent difficile
Je remercie tous ceux qui d'une manié. r 0-
h u une manie de taire mieux. Si vous avez parfois un avis
F'——-,j 1 ae iaire mieux. bi vous avez parfois un avis
l'inténeur, tout en laiesanta 1 exterieur son 1 re quelconque, ont contnbue au succès des exprimer, venez nous en faire part, neus
Le chant du combat retentit avec entho,-
siasme et la fanfare de St Pierre exécut'a
quelques jolis morceaux. Mais bientót sortait
de chaque bouche Seys Seys et
M.Seys se leva - O quelle joie, quel en
thousiasme a l'apparition du sympathique
président de la Jeune Garde Catholique
M. Seys, qui n'était pas préparé prendre
la parole, remercia toute l'assistance p0Ur
les léinoignages de sympathie et tous les
électeurs qui, en lui accordant leurs voix, lu;
avaient manifesté leur confiance. II croyait
devoir attribuer son élection a son titre de
président de la Jeune Garde CatholiqUe
et il promit non seulement de faire prospérer
la Jeune Garde Catholique d'Ypres, mais
aussi d'instituer des sociétés analogues ail-
leurs et de les grouper dans l'arrondissement,
pour accroïtre les forces du parti catholique!
Toute l'assistance entonna le chant
flamand «Zij zullen haar niet hebben 1...
et, après que'ques morceaux de musi-
que et une allocution enthousiaste de
M. Fraeijs de Veubeke,onse sépara heureux
et content
Nous apprenons que pour ses débuts au
conseil communal, M. Valère Seys, la jeune
President de la vaiilante Jeune Garde catho
lique, se propose de prouver sa vaillance en
tombant 1 Hercuie de notre administration.
II interpellera sur son toupet (nous par
ions au flguré),chapitre spécial de l'Hygiène
publique.
Comme Mons. Colaert se vante aussi
d avoir tout au moins du poil aux dents, le
duel entre le bouillant Yprois et le madré
Popennghois ne pourra manquer d'être pas-
eionnant.
M. Seys signalera, parait-il, que tout un
quartier trés peuplé de la ville (Kalfvaart,
rue de la Plume, etc.) est visité une seule
fois par semaine par la charette du service
de la propreté publiqua I La conséquence
se devine les habitants de ce quartier, sou-
cieux de ne pas mourir de la peste dans
leurs demeures, se débarrassent de leurs
détritus en les répandant, en catimini, le
long des propriétés voisiües,même a front de
rue.
Ce qui ajoutera un attrait supplementaire
a la partie de jju-jitsu promise, ce sera cette
revélation, mévitable, que le propriélaire
principalement gratifié des immondices de
cenfaines de ménages n'est autre que Bun
des plus anciens et des plus fidèles soutiens
c.e notre kaléïdoscopique maïeur, celui-la
même qui, depuis un quart de siècle, n'a
cesse de louer et de défendre publiquement
son incomparable gestion et qui, dansle nu
méro du Journal d'Ypres du 14 Octobre
dernier (suppb, col. Ibis, par. 8) sertissait
encore cette perle on assure a notre
proprette cité une place d'honneur parmi les
villes les plus salubres du pays.
M. Seys ne pourra manquer de ramasser
cette perle, Elle prouve, de la part de la
victime de Bincurie de M. Colaert, une foi a
toute épreuve en la sagesse administrative
de son idole.
Mais ne faut-il pas que les paroles du
Maxtrese vérifient il poussera des perles
Bur mes dépotoirs
Mgr l'évêque de Bruges a nommé
Curé a Couckelaere, M. Lootens, cure a
Dranoutre.
Curé a Dranoutre, M. Delacauv/, vicaire a
Heyst.
Curé a Lampernisse, M. Lootens, vicaire
a Oostvleteren.
Curé a Heule-Watermolen, M. De Simpel,
vicaire a Neuve Eglise.
Vicaire a OostvleterenM. Tanghe, sur
veillant au College St-Vincent a Ypres.
PHARMACIEN DE SERVICE
Dimanche 5 Novembre
I. DEHOUCK, 16, rue de Dixmude.
BURGERSTAND VAN YPER
Verklaringen van den 27 Oct, tot den3Nov.i9il.
Geboorten
Godderis Frédéric, Kaai (West)
Buseyne Simonne, Klaverstraat.
Hoorelbeke Henri, Hondstraat.
Garreyn Camille, Komensteenweg.
Laconte Adopho, Neerstraat.
Somers Etienne, Lombaardstraat.
Huweljjk
Bracked Pierre, dag'.ooner, eD Vandenbe; gho
Marie, kanten werkster, beiden van Yper.
Sterfgevallen
Gourtequisse Górardine, 7 j., Hoornwerk.
ClaeysIElodie, 7J j., kantenwerkster,ecblgte.
Delbecque Edouard, Gevangenisstraat.
Gooren Gustaaf, 13 j., kaisijlegger, ecbtgt Le-
sage Celine, Grimminckstraat,
Hlieck Henri, 70;., z. b., ongehuwd, Lang0
Thouroutstraat.
Gadeyne Aiphonsine, 70j.,z. b., ongelmwu-
Wonninckstraat.
Laconte Florimond, 66 j., herbergier,
Joseph Marie, Rfjselstraat.
Gourouble Paul,26j„ kandidaat in wijsbeg-01
ten enl dteren,ongehuwd,Lange Thouroutsij
Godderis Leon, 78 j., z. b., wedr. DeriO®1
Sophie, Zillebeke,straat.
Vanmalderen Berthe,5.j.,ZonnebekesteerV'j^
ÉTAT-GIVIL DE COMINES-BELGIQUE
Naissances j
Rachel Demey.Gomines-ten-Briolen. Al"
Gryson, Comines-Ten-Brielen.
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"1VUMV1VU VAl* WUICUU UO uiouiaiöUUCC übt j
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w tvubo vcuc viü ttiiaüüüü au paru
r»oo on rm'nö "Hoq P.QfVipJpcj nic ponv rlo 111 GUIS DSS UD lïlOt dö rPTYl Prr.Tm on f o .-.«« I