wmmmmmmmm dk m m 2^ m m m a m w* wï m m m m m Parisi... aneries Pensées diverses Conseil Communal bp Un Début Nominations ccclésiastlques Repos dominical Rien qui nous rende risibles comme nos marottes et nos petites passions. Adieu 1 intelligence quand une machine de l'espèce nous possède. Voyez plutot les'Fracgais, nés malins parait-il. G'est inouï comme le Prussien qu'ils portent sur le nez sait leur jouer de mauyais tours. L'autre jour, un journaliste de la Ville- Lumière, en parcourant notre Guide des chemins de fer, y faisait, a la page 705, une trouvaille qu'il s'empressait de livrer a tous les vents de la publicité, a la plus grande confusion des germanophiles qui peuplent la Belgique. II avait constate que dane nos gares on payait les consommations cinq centimes plus cher ou moins cher, suivant qu'on les commandait en francais ou en flamand II en concluait que nous voulions de la sorte pousser a l'emploi de la langue... alle mande» et combattre Busage du francais Et pour ne pas avoir l'air d'inventer, il y allait de citations Bock beige 0.30 fr. belgische bock 0.25. Bière indigène autre 0 25 ander- landisch bier 0.20. Bordeaux, le verre» 0 30; «Bordeaux, het glas 0.25. Faut-il que son Prussien familier lui ait troublé la vue pour que 1'ander inlandsch bier devienne de 1' anderlandisch bier I Maiscette bévue-la n'est rien a cöté des autres. II n'a pas va que le tarif des consomma tions détaillé en francais était celui des buffets-restaurants, tandisque la liste donnée en flamand se rapporte aux buvettes. II ne s'est pas rendu compte de la diffe rence d'installations, nécessitant pour les consommations qui se chiffrent par quelques sous seulement une légère différence de prix, en vue de désencombrer les tables du buffet-restaurant, celui-ci étant fréquenté plutöt par !es voyageurs étrangers prenant des repas pluB ou moins sommaires, a raison des parcours plus longs qu'ils effectuent. II n'a pas su comprendre non plus que les consommations étant les mêmes daDs les buffets et daas les buvettes, c'eüt été une répétition parfaitement inutile que de don- ner leurs tarifs respectifs dans les deux principales langues nationales. Notre germanophobe ne s'est pas même apergu qu'en donnant ces indications en frangais et en |flamand seulement, nous étions galants a l'excès pour le peuple le plus galant du monde», et trop peu pour nos voisins de l'Est, attendu que Baliemand est une de nos trois langues nationales. Mais allez-moi done voir juste ayec une verrue pareille sur le nez Du bist... verrückt mein kind. La devotion envers les morts n'est pas seulement l'expression d'un dogme et la manifestation d'une croyance. c'est un charme de la vie, une consolation du cocur, et de tous les retranchements que le pro testantisme a fait subir a l'intégritó de la doctrine et du culte catholique, le plus étonnant et le plus inconcevable est sans contredit celui qui, en supprimant la prière et le sacrifice pour les fidèles trópassés, brise ce commerce sacré qui nous unit encore, après leur mort, k ceux que nous avons aimés pendant leur vie. On dirait que la religion réformée a voulu montrer par cette froide réforme qu'elle n'est pas la religion qu'invoque notre cosur. Qu'y a t-il eneffet, de plus suave au coeur que ce culte pi, ux qui nous rattache a la mémoire et aux souffrances des morts Croire a l'efflcacité de la p, ière et des bonnes oeuvies pour le soulagement de ceux qu'on a perdus; croire, quand on les pléure, que ces laimes, versées pour eux, peuvent encore leur être secoura- bles croire enfin que, même dans ce monde invisible qu'ils babitent, notre amour peut encore les visiter par ses bienfaits quelle aimable croyance 1 Et, dans cette croyance, quelle consolation pour eux qui out vu la mort entrer sous leur toit et frapper tout prés de leur coeurCe mélange de la religion etde la douleur, deja prière et de l'amour, a je ne eais quoi d'exquis et d'attendrissant tout ensemble: la foi,l'espe'rance et la charité ne se rencontrent jamais mieux pour hono- rer Dieu en consolant les hommes et pour mettre dans le soulagement des morts la consolation des vivants. R. CP. Félix. La réalisation des plus beaux programmes aspect primitif. Le devis est de 6.000 fr.ce de re'forme sociale ne nous suffirait pas qui fait avec le prix d'achat de 3.O0O fr. 1 ame humaine est inassouvissab'e et ne peut une dépense totale de 9.000 fr se reposer que dans Celui qui est sa vérita ble fin. C'est l'immortel gémissement de St-Augustin Irrequietum esEcor nostrum, Domine, donee requiescat in te Jules Faure. II y a cinquante aus, on auioit trouvé que cette maison ne vaut pas 1( 00 fr. Au- Jourd'hui, on raisonne autrement. On estime avec raison qu'il imporfe de conserver sur Dieu ne frappe que par amour et II n'óte que pour donner. II faut L'adorer et se taire. S0 SI sA M sal Séance publique du S3 octobre 1911. Sent présents MM, Colaert bourgraestre présidentFraeys de Veubeke et Vanden place ce dernier vestige des raaisonsde bois. j rent ce beau discours. élections je vous remercie en particulier, membres de la Jeune Garde catholique,pour votre propagande active ef fécondo, et vous invite a aimer e plus en plu k p.irti catho lique et a lui prêter votre assistance. L'ave- nir nous est ainsi assuré Des applaudissements nourris soulignè- 1'examinerons vous pouver vous fi - entièrement. Je voudrais, pour les Lip0118 annees de ma vie, faire le bien pour to 68 vivre en paix. avec tout le monde. US 6t Des acclamations enthousiastes saW* beau discours. saiuentC6 Quand il sera nécessaire d eiargir la rue du Canon, il faudra 'e faire de l'autre cöté. j II y a, du reste, un autre motif pour élargir j plutot la rue du coté droit. La maison de bois touche aux remparts, et il faudrait f entamer ceux-ci, en cas d'élargissement la rue de ce cöté. Tout incite done pour proposer cette res= tauration, Le crédit proposé est de 6.000 ir. mais on n'arrivera peut-êfra pas a ce de j cbiffre. Au casoü des planches de la fagade boogaerde, échevins Fiers, Vanderghote, "1 Solvent être remplacées, oa le fera avec du 0 mor D'Huvettere. Bououet. Sohrv. I vieux chêne. Approuvé. j jeunesse catl oliq Discours de M. Colaert. L honorable bourgmestra, M. Colaert, se ie a ensuite sous un tonnerre d'acclama- tions, et s' xprima a peu prés comme suit I La première parole que je veux vous adresser rst une patole de remerclmenfc, de cordial remerclmeut, au nom des él us et aussi au nom de tout le Conseil communal. D'Huvettere, Bouquet, Sobry, Lemahieu, Biebuyck, Begerem, conseillersBoudry, faisant fonctions de secrétaire communal. La séance est ouverte a cinq heures. M. Iweins d'Eeckhoutte, absent, s'est excusé. Lecture est donnée du procés-verbal de ia séance précédente qui est approuvé. En Comité secret de cette séance, le Conseil a proposé M.Laheyne, juge de paix, et M. Poupaert, médecin, comme membres du bureau adrainistratif de l'école moyenne en remplacement de M. Boedt, décédé. Le Conseil a accepté la démission de M. Sinaeve, comme sous-instituteur a l'école primaire adoptée, et a nommé en son rem placement M. Reynaert. M. Sobry demande si I'eau pourra bientöt être distribuée comme antérieurement. M. le Président a donné des ordres pour ramener pas a pas a la situation ordinaire Lecture est donnée par M. Ie Président d'une lettre de M. le Ministre des chemins de kr annongant des amélioratio! 8 au servi ce. Un projet est a l'étude pour améliorer l'éclairage de la gare. Les abords des bati- mentsde recettes et lés salies d'attente se ront mieux éclairés. Le cbauffage a la vapeur des voitures so fera progressivement et a déjaété commencé depuis le 15 octobre. Les trains sont obfigés de dépasser, sen- siblement la gare pour prendre Beau néces saire a l'alimentation des machines ainsi que pour dégager le quai central pour le mou vement des voyageurs. En réserve, il n'existe actuellement qu moment que je croyais que la ue d'Ypres s'éteigi ait Bureau de bienfaisance Achat et dépot {eu concevaiö des craintes sérieuses et j'en -j- n~iut i„ ius sérieusement nréofiflnnp. .Ta mp de litres de rente Beige. M. le président; Le Bureau de bienfaisance a pris une déii bératioa par laquelle elle propose l'acbat de 20.000 fr, de titres de rente beige a déposer au service des dépots a découvert de la Ban- que nationale. Son fonds roulant estinsuffi sant pour subveniv aux dépcuses courantes La situation du Bureau de bienfaisance est sérieusement préoccupé. Je me deman- I dais s'il ne surgirait pas un nouvel élement j d'aröente jeunesse, quand, passé quelques semaines, j'eus le bonheur de voir cette imposante manifestation de la jeunesse catholique. Celle ci prouvait que les jounes différente de celle des Hospices. Les ferma- P08ant- gens catholiques s'étaient soudainement ré- veillés ct s'étaient groupés ennombie im- ges ne se pergoivent pas avec le même ré gularité. II ne serait retiré de ce Jonds qu'au fur et a mesure des bcsoins Approuvé. Ecoles gar diennes Budjet 1912. Pour les écoles payantes, le cbiffre des recettes est égal a celui des dépenses 5995 fr. Pour les écoles gratuites,18000 fr. en recettes et en dépenses. Approuvé. Ecole ménagère Budjet igi2. -- En recettes et en dépenses; 5.270 ir., comme anneés antérieures. Musée Compte 1910. M. !e président Les recettes s'élèvent a 2.257 fr. 21 et les dépenses a 424 fr, 55 excédent1.832 fr. 66. Somme qui pourra être. utilisée pour l'acbat de nouveauxobjets le jour quo nous entrerons dans les nouveaux locaux. M. Begerem Ou dans l'histoire... M. Bouquet désire savoir oü en sont les projsts de travauxdu tram Ypres-Bailleul f qui ne semblent pas progresses. M. Je piésident: Je surveil'e foujOurs cette affaLe. Les études continuent, mais il a fallu remplacer im employé malade. Nous devrons insister a nouveau pour arriver a une solution. Eh bien quand un parti a la jeunesse avec elle, il peut affronter l'avenir avec cou- fiance et nourrir l'espoir de monter toujours plush ut. Acclamations A quoi nous devons attribuer cette victoire 1 M. Biebuyck vient a l'instant de f vous le dire. Si nous administrons bien Chacun lc dit parlez d'Ypres aux étrangers j etils vous répondrontII n'est guère éton nant qu'Ypres reste catholique, la ville est bien administrée. L?s membres du coEseil communal se sont efforcés saus augmen- ter les charges d'un centime de rendre Ypres plus belle et plus saine d'améliorer la voirie de procurer eau et lumière en abondance, et de donner leur éclat primitif a nos joyaux artistiques. C'est pour tout cela que les électeurs ont voulu exprimer leur reconnaissance. Aussi je remercie tous nos amis qu; ont I uai 1 urs efforts a ceux d1 nos conseillers. 1 Je les remercie tous, mais je remercie en i particulier M. Fraeijs de Veubeke qui, des mains et des pieds comme un lion crie- BoiHeul sera trés probablement comprise dans les ligues a c.êer. Un changement a j des wagons non tumeurs. II ne pourra être!11110 i0'u^0n- A l'avenir, il sera difficile établi de fumeurs que si la mesure se d'obtenir de E0UVelles ^göes. La ligre justifle par la suite par le norabre de voya- P i!'>u! s;ra nrobablemei geurs. M. le Président fait observer a ce sujet que l'administration avait fait la demande principalement pour les secondes et qu'au- cune réponse n'est donnée a ce sujet. M. Bouquet. Le matériel sera-t-il óga- lement amélioró Le trains du matin laisser t beaucoup a désirer. M. le Président. Nous allons cocstam- ment nous plaindre... Finances communales Comptes 1910 dépot. Ce compte, clöturant par un excc dent de 99.150 fr. 94 estdéposé. II est fixé jour au samedi 4 novembre, a 3 heures,pour 5 les sections reünies pour l'examen du com - j te. Administration communale Rapport 1910 dépöt. Dépot est fait de ce docu ment. Propriétés communalesVente d'une t-oncomme deux Bons, fik-je, a com be üu, ayant a sfs cfVés sou dévoué et infati- gable secrétaire M. ABiebuyck que je ne puisassez reiner cm;. [Appl. unanimes). Jusqu'ici les libéraux se vantaient de été apporté au tracé du cöté de Locre. M. D'Huvettere: Pendant ia période electorale, ffèus avons entendu pe.rtout que j notre Admiuisiiation communale est un j modèle d'impa',tia'it§.' (Rires.) M. le présidentC'est vous qui l'avez dit., s M. D'Huvettere Je constate avec regret j que depuis quelques mois des situations diffé- rentes sont créées pour les deux cantons j d'Ypres. I^es différents cadrans de ia tour du e bèffroi n'indiquenl pas Ia memo heure. II y aurait lieu d'unifier. M. Fraeijs de Veubeke II existe ua dé- faut dans l'ebgrenage. M. le président annonce encore que l'ad- r judication des travauxdu boulevard Malou a eu lieu et que sous peu on mettra la main a l'oeavre. La séance publique est levée a 6 heures. i nous avoir fait rétrograder d'un millier de par celle de terrain. M. le président Le Collége demande au Conseil d'approuver la vente d'une parcelle de terrain située der- 1 A Ia Jeune Garde Catholique rière une maison de la rue des Boudeurs, pour permettre l'agrandissement de la cou- rette de cette maison. Ce terrain touche aux remparts et l'aquéreur s'enrage h construire un mur contre le rempart, de manière a le consolider. II n'en résultera aucun inconvé- nieut au point de vue esthétique- Nous de- mandons 50 francs. Approuvé. Propriétés communales Echange de terrain avec l'Etatconvention.M. le aux sons d'une vibrante Brabangonne et aux présidentII s'agit de la construction de la acclamations enthousiastes de 1'assistaLce. nouvelle gendarmerie. La convention con cluée antérieurement reste debout; il ne s'agit que d'ajouter certaines clauses, notamment j de la fourniture gratuite des eaux. L'ensem- ble des biens repris s'é'ève a la somme de 12 500 fr. et l'ócba- ge serait sans soulte. Nous ne toucherons que tres trés peu aux remparts. J'ai dit un jour Je n'en enlève- rai que la largeur de ma langue. On m'a mal compris, et on m'a fait dire Je n'en i enlèverai pas même la largeur de ma lan gue. Samedi dernier, la Jeune Garde Catholi que d'Ypres était en fêta prés de 300 membres se trouvaient réunis dans la vaste salie du Volksbuis. Une réeeption des plus chaleureuses était réssrvée aux membres du Conseil communal afin de rendre un hommage tout spécial aux nouveaux élus. Ceux ci firent leur entree Discours de M. Biebuyck Le Président d'bonneur,M.l'avo?at Albert f Biebuyck, prit le premier la parole et s'ex- I prima a peu prés en ces termes Vous avez ouvert cette séance, ainsi qu'il convient, par notre chant national, f pour lecevoir et saluer les élus Je vous en félicite et vous en remercie. s' La victoire catholique, comme vous le voix aux dernièits ékciioas legislatives. Mais celfi tenait moins a Ypros nrnmo qu'a certains villages euviro nants, oü 1'on n'avait pas srfikamment travaillé. Mais celü est passé: l'élection communale du 15 octo- I bre 1911 a prouvé qu'Ypcs et l'arrondisse- ment som c&'holiques. Et si, au printemps j prochain, nous devons avöi; de nou- I velles élections légistatives, nou ne rega- I enerons pas seulemeut les voix perdues.mais Incus aliens, c'est sür et certain, conquérir le troisième siège. AcclamationsCombien M. Nolf ne doit-il pas craindre pour son siège aux élections pour la Ciambrc quand il sa trouve battu a plate conture par M. Seys aux élections communales (Tonnerre d'applaudissements). M. Seys I Certains craignaient pour lui, et je dois vous l'avouer, j'ai craisit aussi un instant. S'il en avait été ainsi qu'il ne ffit pas élu, quel coup terrible n'allais-je pas recevoir Non pas que je craigne M. Nolf; non, paree que lui aussi allait devoir recon- naitre que nous administrons bien et sacs partialité. Je sais que pour cela il est assez sincère pour le reconnattre, comme, du reste, il l'a reconnu. Dependant quelle p°rte si M. Seys n'avait pas été élu I Pour vous principalement, jeunes gens catholiques, qui auriez perdu peut être courage. Mais non Quelle défaite pour vous, M. Nolf, qui êtes chevalier de l'ordre de Léopold, honoré d'une croix de Mutualité qui siégez de puis onze ars déja k la Chambre, vous l'homme populaire, qui rêviez d'entrer un jour au Conseil communal I A 30O pas der rière M.Seys, agé de 27 ans (Acclamations prolongées Et maintenant, jeunesse catholique, sous l'égide de votre Président victorieux,en avant! Je ne dois pas vous demander de bien vous comporter, mais je vous demande de rester toute votre vie attachée au parti Au fur et a mesure qu'il avance dans la vie, l'homme qui réfléchit se préoccupé davantage chaque jour de ce redoutable inconnu, oü tout est mystère pour eux qui ne croient pas, et oü, pour le chrétien, le mystérieux problème se pose en ces termes récompense ou ch&timent. II se préoccupé de ne pas se présenter les mains vides devant le juge de sa vie. Victor Jacobs. savez, a ete eclatante Avant les élections, catholique. Je vous demande d'augmenter 1 0 i.Pre3lde;,t üe 1 Association conserva- f encore votre nombre et d'ótonner les libé- Approuve, moins i'abstention de M. Bie- tnce souhaitait qu'Ypres lüt l'exemple de la 1 raux. Je vous demande de vous preparer a bu^ck' P^nd/e 6ntière' et YpreS 8 réP°Bdu «tte f renaplir les vides qui peuvent se faire dans Propriétés communales: Restaura-"ente. les rangs etje vous prie, entretemps, d'écou- tion de la Maison de bois». M. le Victoireplusbnllaute n'a jamais été con- ter nos conseils, de même que iadis nous présidentCette maison est dans l'état ie nue en cette ville; le résultat superbe de 1897 1 écoutions les conseils des regrettés MM plus précaire. Les restaurations que nous est encore uepasse, et les libéraux sa trouvé- Spillebout, Struye et Surmont°de Volsber- proposons s'imposent pour qu'elle ne tonabe rent tenement battus qu'ils ne placardèrent ghe. pas en ruine. Des estbètes, pas ceux de la ville, ils sont trés raisonnables estime- ront peut être qu'il est préférable de ne pas y toucher. En agissant ainsi, latalement dans quelques années, tout tombera com- plètement en ruine. Nous consoliderons meme pas un mot de remercimen* a Un™ I o- a leurs s Si nous, nous pouvons vous assis!er electeurs. Cestquelavilleest bien adminis- 5 oi- c assi&.ei, ij auuiinis- adressez vous a nous, nous ferons tous eos tree, que les candidats catholiaues étaient l.ff 1, Uil9Ufc;B eiaieüt i efforts pour vous vemr en aide mais si nous des plus mentants et quo tou'es les forrec! uuus r lorces nele pouvons pas, ne nous critiquez pas, la catholiques se sont umes Dour a lntfo T p i ia ïune. critique est facile, et il est souvent difficile Je remercie tous ceux qui d'une manié. r 0- h u une manie de taire mieux. Si vous avez parfois un avis F'——-,j 1 ae iaire mieux. bi vous avez parfois un avis l'inténeur, tout en laiesanta 1 exterieur son 1 re quelconque, ont contnbue au succès des exprimer, venez nous en faire part, neus Le chant du combat retentit avec entho,- siasme et la fanfare de St Pierre exécut'a quelques jolis morceaux. Mais bientót sortait de chaque bouche Seys Seys et M.Seys se leva - O quelle joie, quel en thousiasme a l'apparition du sympathique président de la Jeune Garde Catholique M. Seys, qui n'était pas préparé prendre la parole, remercia toute l'assistance p0Ur les léinoignages de sympathie et tous les électeurs qui, en lui accordant leurs voix, lu; avaient manifesté leur confiance. II croyait devoir attribuer son élection a son titre de président de la Jeune Garde CatholiqUe et il promit non seulement de faire prospérer la Jeune Garde Catholique d'Ypres, mais aussi d'instituer des sociétés analogues ail- leurs et de les grouper dans l'arrondissement, pour accroïtre les forces du parti catholique! Toute l'assistance entonna le chant flamand «Zij zullen haar niet hebben 1... et, après que'ques morceaux de musi- que et une allocution enthousiaste de M. Fraeijs de Veubeke,onse sépara heureux et content Nous apprenons que pour ses débuts au conseil communal, M. Valère Seys, la jeune President de la vaiilante Jeune Garde catho lique, se propose de prouver sa vaillance en tombant 1 Hercuie de notre administration. II interpellera sur son toupet (nous par ions au flguré),chapitre spécial de l'Hygiène publique. Comme Mons. Colaert se vante aussi d avoir tout au moins du poil aux dents, le duel entre le bouillant Yprois et le madré Popennghois ne pourra manquer d'être pas- eionnant. M. Seys signalera, parait-il, que tout un quartier trés peuplé de la ville (Kalfvaart, rue de la Plume, etc.) est visité une seule fois par semaine par la charette du service de la propreté publiqua I La conséquence se devine les habitants de ce quartier, sou- cieux de ne pas mourir de la peste dans leurs demeures, se débarrassent de leurs détritus en les répandant, en catimini, le long des propriétés voisiües,même a front de rue. Ce qui ajoutera un attrait supplementaire a la partie de jju-jitsu promise, ce sera cette revélation, mévitable, que le propriélaire principalement gratifié des immondices de cenfaines de ménages n'est autre que Bun des plus anciens et des plus fidèles soutiens c.e notre kaléïdoscopique maïeur, celui-la même qui, depuis un quart de siècle, n'a cesse de louer et de défendre publiquement son incomparable gestion et qui, dansle nu méro du Journal d'Ypres du 14 Octobre dernier (suppb, col. Ibis, par. 8) sertissait encore cette perle on assure a notre proprette cité une place d'honneur parmi les villes les plus salubres du pays. M. Seys ne pourra manquer de ramasser cette perle, Elle prouve, de la part de la victime de Bincurie de M. Colaert, une foi a toute épreuve en la sagesse administrative de son idole. Mais ne faut-il pas que les paroles du Maxtrese vérifient il poussera des perles Bur mes dépotoirs Mgr l'évêque de Bruges a nommé Curé a Couckelaere, M. Lootens, cure a Dranoutre. Curé a Dranoutre, M. Delacauv/, vicaire a Heyst. Curé a Lampernisse, M. Lootens, vicaire a Oostvleteren. Curé a Heule-Watermolen, M. De Simpel, vicaire a Neuve Eglise. Vicaire a OostvleterenM. Tanghe, sur veillant au College St-Vincent a Ypres. PHARMACIEN DE SERVICE Dimanche 5 Novembre I. DEHOUCK, 16, rue de Dixmude. BURGERSTAND VAN YPER Verklaringen van den 27 Oct, tot den3Nov.i9il. Geboorten Godderis Frédéric, Kaai (West) Buseyne Simonne, Klaverstraat. Hoorelbeke Henri, Hondstraat. Garreyn Camille, Komensteenweg. Laconte Adopho, Neerstraat. Somers Etienne, Lombaardstraat. Huweljjk Bracked Pierre, dag'.ooner, eD Vandenbe; gho Marie, kanten werkster, beiden van Yper. Sterfgevallen Gourtequisse Górardine, 7 j., Hoornwerk. ClaeysIElodie, 7J j., kantenwerkster,ecblgte. Delbecque Edouard, Gevangenisstraat. Gooren Gustaaf, 13 j., kaisijlegger, ecbtgt Le- sage Celine, Grimminckstraat, Hlieck Henri, 70;., z. b., ongehuwd, Lang0 Thouroutstraat. Gadeyne Aiphonsine, 70j.,z. b., ongelmwu- Wonninckstraat. Laconte Florimond, 66 j., herbergier, Joseph Marie, Rfjselstraat. Gourouble Paul,26j„ kandidaat in wijsbeg-01 ten enl dteren,ongehuwd,Lange Thouroutsij Godderis Leon, 78 j., z. b., wedr. DeriO®1 Sophie, Zillebeke,straat. Vanmalderen Berthe,5.j.,ZonnebekesteerV'j^ ÉTAT-GIVIL DE COMINES-BELGIQUE Naissances j Rachel Demey.Gomines-ten-Briolen. Al" Gryson, Comines-Ten-Brielen. r*l "1VUMV1VU VAl* WUICUU UO uiouiaiöUUCC übt j l* w tvubo vcuc viü ttiiaüüüü au paru r»oo on rm'nö "Hoq P.QfVipJpcj nic ponv rlo 111 GUIS DSS UD lïlOt dö rPTYl Prr.Tm on f o .-.«« I

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 2