GHRomuEYmm tg m m m Pensees Diverses Une Méprise Réussie Le Monument Ferrer La reslauration de la Prévóté de St-Martin La Liberie d'Enseignement ftepos dominical PHARMACIEN DE SERVICE Cerele des Conférences Katholieke Ziekentroost GRAND CONCERT SYMPHONIQUE Mel" Ludovica MULDERS, Distinction La Musique a Tournai ■PimH ra toute ma vie. Vous n'ètes pas dröle, presque pas, vous 1 Elie plaisantait la petitehlame. Je pris un cachet d'antipyrine que je jetai dans un carafun d'eau, puis la regardant fixement dans les yeux, je lui dis Madame, frottez- vous le» gencives avec un peu de cette eau et servez moi une demie gueuze. Je conti nual a la fixer, roulant faire passer chez elle la volonté d'etre guérie. Je transportai pour ainsi dire nos volontés, comme un prestidigitateur change, devant les specta- teuri qui n'j voient rien, un verre d'eau et uae bouteille. Ma cliente fit ce que je lui demandais et descendit a la cave. Une minute après elle remontait. Eh bien, lui dis-je Jen'ai plus mal, dit-elle gaiement. Je u'iusistai pas. L'épreuve était can- cluante. Yous ayez remarqué, messieurs, la disproportion évidente entre le remède et le mal. L'eau antipyrinée ne peut évidemment faire cesser le mal de dents. C'est done ma suggestion et ma suggestion seule qui a opéré cette guérison. Et ainsi, Messieurs, de tous ces prétendus miracles que les curés veulent nou» faire avaler. Parfaitement, dit un voisin, c'est comme Lourdes, mon cher, tout <ja c'est des blagues. A Lourdes, mais a Lourdes eest Ia suggestion,ce n'est que 5a,reprit Gaudissart. A ce moment, un voyageur, assis sur la banquette du milieu, se leva douceuient, trés calme, s'accouda sur le dossier et plan- tar.it résolument see yeux dans les yeux du commis-voyageur, il lui dit tranquillement Etes vous déja allé k Lourdes, Mr 1 Non. Cela m etonne, yous en parlez si bien que je croyais... Eb bien, moi, Monsieur, 'y suis allé et je suis d'accord avec vous pour dire qu'il s'y opère de» choses uier- veilleuses, inexplicables. C'est a la sug gestion sans doute qu'une mere doit la guérison d'uu bébé contrefait, rachitique et pourrissant dans ses bras C'est a la suggestion qu'une carie u'03 obéit, s'arrête et que Pos repousse. C'est par la suggestion toujour® qu'une jambe B'al- longe, qu'u* cancer arrête ses ravages, qu'une plaie béante se referme, qu'un para- lytique se léve, qu'un bofteux .j at te ses béquilles C'est sous i'empire de la suggestion qu'un aveugle ouvre les yeux aux splendeurs du pèlerinage qu'un incroyant, un athée, vaiacu par le prodige qui l'a guéri, tombe aux pieds de la Vierge en s'écriant«Je crois 1 Allez-y, Monsieur, allez a Lourdes et consultez les francs-macons de la médecine. Je n'invente rien. öaudissart avait Pair malia du bouc au fond du puit». Monsieur le commis-voyageur, reprit le courageux interlocuteur, puisque vous étes si fort, que ne vous faites-vous done ■archand de pommes de terre vous nous ferez croire que ce sont des oranges. Mais découpez done ce journal que vous avez la et allez persuader a voire cliente que ce sont des billets de mille. Quand vos enfants vous demanderont du pain, faites leur done croire qu'ils ont l'estomac garni. Mais apropos, je la connais votre cliente. J'y étais le jour oü vous êtes venu si inopi- nément laguérir. Savez-vous ce qu elle m'a dit lorsque vous frttes sorti f J'ai bien dü laisser croire que j'étais guérie,il ne m'aurait pas laissée tranquille!» Dieu fait un journal de notre vie une main divine ecrit ce que nous avons fait et ce que nous avons manqué de faire, éerit nfttre histoire qui nous sera un jour repre sentee et sera représentée a tout l'univers. Songeons done a la faire belle. Bosuet. La vie ne peut être tout a fait heureuse parcequ'elle n'est pas 1# Ciel, ni tout a fait malheureuse parcequ'elle y conduit. Poujoulat. Allez voir au cimetière ce qu'on aime quand on aime son corps. Cure d Ars. C'est pécher que d'ètre lache dans les perils de l'Eglise de Dieu. Le chrétien qui n'aura pas, suirant l'inspiration de sa conscience, de laquelle seule il relève en ces occasions, travaillé de tout son zèle i réta- blir la vérité méconnue, a délivrer la vérité captive, celui-la sera jugé avec Piufidèle et avec l'adultère. Voo mibi quia tacui s'écriait le prophete malheur a moi paree que je n'ai point parié Louis Veuillot, I - Oö est bien pres de tout croire quand on ae croit a rien. Chateaubriand. II s'agit de l'insertion, par inadvertauce, dans nos colonnes, de Tactiele intitule Un début paru dans notre dernier numéro. Comme nos lecteurs s en seront rendu compte de suite,eet article était évidemment destine au Progrès Par suite de quelleB circonstances il est venu échouer chez nous, Tauteur de la méprise s'est naturellement dispense de nous Tapprendre. Quoi qu'il en soit, le fait brutal est la. le bateau échoué a étó renfloué par nous, au lieu de l'être par le Progrès bien enten- du, sans le concours de notre Redaction. Le chiendent, c'est que leï petites mé- cbancetés que le factum renferme n'ayant pas vu le jour dans Torgané adverse auquel elles étaient destinées, nous ne pouvons décemment les relever. Après tout, ce sera toujours a temps lorsqué le Progiès aura revendiqué son bien. En attendant, bornons-nous ii rire, mais la de bon coeur, de Tamusante méprise. Car vraiment elle est réussie au point même de parattre invraisemblable. Et l'on serait presque tenté d'y voir ia plaisanterie, lé- gèrement macbiavélique, d'un pince-sans- rire féroce. Bene irovato,signor L'inauguration de ce monument vient d'avoir lieu a Bruxelles, Place Sainte Cathe rine et a obtenu un succes peu retentissant. Sous une pluie pe'nétrante, environ 3ooo personnes, femmes et enfants compris (car, depuis quelque temps eet éle'ment de la po pulation manifeste des opinions politiques trés proaoncées et tendancieuses) se dirigè- rent vers Tendroit de la cérémonie. En fait de personnalités politiques, Mon sieur Max et tous les membres du collége échevinal bruxellois, qui pourtant avaient permis la statufication du martyr de Monljuich, brillaient par leur absence. MM. Janson, Furnémont et Vande Walie, député libéral de Malines, représentaient dignement le cartel de tous les hommes de la pensée libreet émancipatrice Quelques représen- tants ferreristeB étrangers s'étaient joints au cortege. La cérémonie fut on ne peut plus banale. D'une voix chevrotante et couverte par les polkas et scottisch des musiciens in- lassables M. Hocquart, président du comité et pasteur de l'Eglise Protestante libérale (on se croirait en Angleterre) chanta Tinto- lérance cléricale, la grandeur de Tceuvre d emancipation universale, et le dévouement surhumain de Francisco Ferrer en faveur de Texpansion de la Libre-Pensée Et le voile tomba. Sur un socle trés élevé de granit d'Ecaus- sines, un homme en bronze, nu comme un ver, les mains tendues au-dessus de la tête, tenant un flambeau. Tel est le monument. {Uien Public, 7 nov.) C'est la ruée vers la lumière du génie de l'humanité 11! dit le Teuple. Telle fut la cérémonie. Mais, puisque le parti libéral s'honore de ce grand homme, puisque le cartel glorifie Toeuvre pédagogique du génie de l'humani té un examen même superficiel des tendan ces de TEcole moderne s'impose.Cet examen édifiera nos lecteurs au sujet de Tidéal sco- laire que la politique cartelliste veut intro duce et implanter en Belgique. Monsieur Frowein, président de la Fédé- ration nationaliste néerlandaise, a défini, dans le toast qu'il porta au banquet, Tidéal pédagogique de Ferrer de la facon suivante. Confier les enfants aux prêtres, c'est tuer leur intelligence. Je ne veux non plus le mo- nopole de l'Etat, car Tenseignement serait alors livré aux vicissitudes de la politique. L'école doit être rationaliste. II faut expli- quer aux enfants toutes les véritésleur enseigner l'histoire des religions pour les dé- tourner de la religion l'histoire des guerres pour lesdétourner de la guerre. II faut en seigner aux enfants a s'aimer tous,a travailler tous,d s'assurer a eux-mèmes la plus grande source de bonheur possible,ce qui n'est pas réalisabie, si lej'prêtre s'introduit dans les écoles. Ces paroles sont d'ailleurs confirmées par la correspondance de Ferrer qui fut publiée dans différents journaux. J Nous voulons détruire la société actuelle dé lond en comble, écrit il a Léopoldine Bonnald et dans une lettre publiée jadis par la Gazette de Cologne il écrivait Pour ne pas épouvanter les gens et ne pas donner au gouvernement un prétexte pour fermer mes établissements, je les appelle Ecole mo derne et non Ecole d'anarchistes, car l'objet principal de ma propagande est de former dans mes écoles des anarchistes convaincus. Mon désir est la violence. Pour la minute, nous devons nous contenter d'inculquer dans le cerveau de la jeunesse Tidée du boulever- sement par la violence. Elle doit apprendre que, entre les agents de 1 autorité et contie le clergé, il n'y a qu'un seul moyen la bombe et le poison. Voila les lignes directrices du programme j pédagogique auquel viennent de se rallier LES LIBÉRAUX CARTELLISTES. L'immoralité de cette école fut notoire. El Imparcial journal ariticlérical espa- gnol écrivait a ce propos (t II y a, a Carca- gente, une école moderne du genre Ferrer et Morral, chargée d'armer le bras des énergu- mènes et dempoisonner l'ame des enfants La perversion de ces Instituts du crime est inou'ie j'ai vu les livres ou les enfants ap- prennent a lire, c'étaient des feuilles porno- graphiques, avec dis gravures eapables de faire rougir une Messaline le maitre appelle cela instruire en plaisant Ce fut cette oeuvre pédagogique qui fut glorifiée par les cartellistes. Telles sont done les sympathies anarchis tes et nihilistes des libéraux qui dans leur rage anticléricale et dans leur ambition de parvenir, ont trempé une fois de plus l'ori- peau bleu qui leur sert de bannière dans la couleur sang de boeuf de TAnarchie. Après leur adhésion piteuse a la Sociale, les voila partisans convaincus des théories nihilistes qu'a professées et pratique'es le doux Ferrer, ce génie de l'humanité. Testis. De même qu'en des patelins de moindre importance qu'Ypres les rentiers n'ont, pour se distraire, que cette unique ressource d'as- sister au de'part d'un train, de même chez nous» ils prennent 1'habitude, trés re'créative du reste, de suivre, pierre par pierre, les travaux en cours, et de discuter ceux-ci, soit en les approuvant, soit, plus souvent encore, en les débinant. L'un de ces rentiers, nous exprimait der- nièrement ses appréhensions au sujet de la déviation trés prononcée observée au mur Est de la prévöté de St-Martin et se déclarait nous ne savons tiop pourquoi systé- matiquement opposé au projet de tourelle a édifier pour parer a eet inconvénient. Le vent et la pluie étaient des raisons suffisantes a notre age pour ne pas nous attarder au pied du mur en question, et nous promines a notre interlocuteur de le rensei- gner par la voia du Journal d'Ypres,k la condition qu'il füt aussi accueillant pour notre prose que naguère pour cclle d'un jeune détractiTur de ces mêmes travaux. Afin qu'on ne put nous reprocher de traiter étourdiment cette question, nous jugeames opportun de voir d'abord les plans avant de les apprécier. Nous ne dissimulons pas que, dès un premier examen, noire opinion, peu favorable d'abord, se modifia du coup, II est évident qu'a moins dedémolir la plus grande partie du mur, il n'existe d'autre moyen de dissimuler cette déviation qu'en y accolant une tourelle. Des archéolo- gues trop puristes prétendront peut être que de telles fantaisies ne sont pas permises. Ils oublient certainement que nou3 ne nous trouvons pas ici en présence d'un monument mort, mais bien d'un monument qui aura des affections modernes. Au point de vue esthétique, nous n'he'si- tons pas a déclarer que cette tourelle est une véritable trouvaille, en ce sens qu'elle vien- dra, de la manière la plus heureuse, rompre la monotonie d'une dizaine de fenêtres et de l'immense développement de la toiture. Nous avions craint urr instant que la nou velle tourelle ne fit tort aux deux autres qui doivent flanquer le nouveau pignon. Sa hau teur ne devant pas dépasser la toiture, elle ne pourra, sous aucun angle, venir se profiler entre les deux premières. Une raison qui semble aussi devoir militer en faveur de sa construction, c'est que la grande salie de l'étage réclame un accès plus direct que l'unique entrée ménagée jusqu'ici a ce monument dans sa facade principale. La forme même de la tourelle est des mieux réussie. D'un certaine massivité, ainsi qu'il convient pour une construction du XIlle siècle, et avec une base en grés, elle devient polygonale au sommet.Des arcatures gothiques y forment une lanterne d'un effet trés riche. La flèche qui surmonte cette lan terne diffère nécessairement de celles des tourelies d'angle, beaucoup plus légères. En aucun cas, on ne peut laisser subsister une déviation aussi choquante quand on execute d«s travaux d'une telle importance. La construction d'une tourelle est le plus ingénieux palliatif, et aucune hésitation n'est permise quand on dispose du coup d'un élément de beauté aussi appréciable. On nous assure également que les projets ainsi modifie's comportent aussi des cre'neaux en pierre. C'est de toute logique quand on se rend compte de Temploi abondant de la pierre dans toute cette facade. L'harmonie de Tensemble i'exige absolument. Dans la pensée de nos adversaires, la seule école que l'Etat puisse connaitre, c'est l'école officielle, soigneusement laïque et neutre, anticléricale, s'il se peut, mais avec prudence, sans trop de scandale et en ménageant les derniers scrupules des gens qui ne sont pas encore habitués a J'anticléricalisme aigu. Plus tard, on fcra un pas de plus. Mais ce n'est pas assez de l'école officielle neutre. Le programme de la Libre-pensée maconne cornporte aussi le monopole de Tenseigne ment en (aveur de l'Etat. La liberté qu'on nous laisse est provisoire. II est décrété en loges qu'on nous la retirera dès que l'on pourra. En attendant, la pressc libérale vulgarise la doctrine du monopole, et le droit exclusif de l'Etat en matière d'enseignement, que des sophistes présentent aussi comme corrélatif au droit de Tenfant. Cette doctrine, comme toute lumière nous vient de France. La doulce France prétendait autrefois nous convertir au culte de la liberté. Elle s'applique maintenant a nous montrer combien nous la comprenions mal en entendant le mot de liberté dans son sens naturel. Le régime de la liberté, au sens des jacobins, consiste a faire endurer a des milliers d'hommes exactement le con traire de ce qu'ils veulent. C'est done au nom de la liberté que la République francaise a fait main basse sur les églises, les sémi- naires, les palais épiscopaux et les couvents, et qu'elle a exilé des milliers de citoyens dont le seul tort était leur grand ideal reli- gieux. C'est au nom de la liberté aussi qu'on refusera bientöt aux simples laïques le droit d'enseigner déja retire' aux religieux. Ces idéés marchent rapidement en France La presse s'emploie a leur diffusion avec un zèle qui procédé évidemment d'un mot d'ordre. Voici comment TAction du i3 aoüt 1911 plaide la cause du monopole, par la plume de M. Debierre, sénateur du Nord L'église, affirme t-il, n'est pas faite pour enseigner les confessions n'ont point qualité pour donner l'éducation aux enfants d'un pays moderne et républicain. Le jour ofi l'état s'est dessaisi du droit éminent d'enseignement en (aveur de socié- tés privées, il n'a pu le faire qu'en vertu d'un veritable démenbrement de la puis sance publique. II est temps qu'il reviennea une conception plus juridique de ses droits et de ces devoirs. 11 est temps qu'il se rap- pelle qu'il importe peu a la socièté de savoir ce que chacun de ses membres pense de la vie dans TAu-dela, de la Résurrection, de l'Enfer et du Paradis, de la création de l'homme selon la légende mosaïque. Ce qui lui importe, c'est que chaque ciloyen ait recu une éducation morale et civique suffi santes pour remplir sans s'égarer ses devoirs sociaux. La déclaration est nette ni l'Eglise ni aucune confession religieuse n'ont qualité pour éduquer les petits républicains. II im- poite qu'on les élève en dehors de toute croyance, en dehors de Tidée de Dieu, de la retribution du bien et du mal, de la sanc tion morale, de la dignité humaine. Toute éducation qui s'inspire de ces croyances périmées n'est ni morale ni civique. Le citoyen d'ua pays moderne et républicain n'est apte a remplir ses devoirs sans s'égarer que s'il est athée ou sceptique, s'il estime n'avoir a rendre compte a personne de ses actes, s'il croit fermement qu'il ne se distin gue pas essentiellement des singes, ses ancê- tres, et que la jouissance intense de la yie ast le but suprème de son existence. Les esprits réfléchis trouveront ces rai sons bien paradoxales. qu'importent les raisons Elles ne sont la que pour colo- rer aux yeux des badauds, sous le vernis des grands mots, la these essentielle arracher les ames a l'Eglise. "Voila le mot d'ordre des loges en France, en Belgique, et partout oü la maconnerie étend son influence satanique. Et voili le péril sur lequel il importe que nous catholiques nou» ouvrions les yeux. Le péril est lointain, dira-t-on. 11 est conjuré par notre Constitution. Ne soyons pas con- fiante a l'excès. Si les loges s'emparent du pouvoir, elles sauront bien tourner l'obsta- cle, et le renverser après. .Noublions pas que la liberté de nos écoles est Tenjeu de la lutte actuelle, et avec la liberté de nos éco les, Tavenir religieux et la sécurité même de la société. On n'en veut a nos écoles aue par haine de l'Eglise. En ces derniers temps, on a collé partout des rondelies encadrant de couleurs beiges cette devise Sauvons l'école nationale Quel est done le péril qui menace l'école nationale Cetto alarme n'est qu'une feinte, dissimulant 5 les projets autrement réels. C'est a nous de dire Sauvons l'école catha- lique I Et sachons défendre notre liberté F. V. H. Dimanche 12 Novembre A. DONCK, rue de Lille, i3. Successenr V. Van Windek«Ms. M. Jöergensen, dounera une conférence sur f St Francois d Assise et son action Mardi prochain 14 Novembre a 8 1 2 heu- res du soir en la Salie Iweins. M. Jüergensen est Tauteur de la Vie de St Francois d'Assise et des Pélerinages Franciscains. Entrée 1 franc par personne. A Toccassion du 25me anniversaire de la fondatiou de la sociélé mutualliste, les mem bres honoraires et actils, se réuniront enun banquet au Volkshuis le Dimanche 10 Dé- cembre prochain. Ce même jour il y aura a la Collégiale de Saint Martin une messe d'actions de grécee. Salie Iweins organisé par la Société Müziekkmng sous la direction de M. Lucien VERHAEGHEN, Violoniste avec le bienveillant concours de Cantatrice ler Prix avec la plus grande distinction du Conservatoire Royal de Bruxelles et Prix de Sa Majesté la Reine des Beiges LE LUNDI 20 NOVEMBRE, a 7 1/2 li. précises du soir. Prix des Places Premières fr. 2.00 Secondes fr. 1.00 N. B. Le plan de la salie sera a'la dispo sition du public le Dimanche 19 Novembre 1911, de 11 h. du matin a 1 h. de l'après- midi, a la Salie Iweins. Nous apprenonB que notre concitoyen M. Hartecl-Willems a obtenu un diplome d'honneur pour la fabrication des Biscuits d'Ypres, a TExposition d'alimentation, bras serie, vins et liqueurs a Anvers. La Société de Musique de Touruai dou nera une deuxième audition de La Pas sion le Dimanche26Novembre,a 2 heures, en la Salie de la Hallo aux Draps, Grand' Place. Place numéroté 7 fr. et non numéroté 3 fr.—Le Concert sera terminé 5 heures. *2 «5 ië *5 *5 Si vous toussez, si vous êtes oppressé, si vous cracbez difflcilement, si vos nuits sont mauvai- ses, prenez ladólieieusa Pastille pectorale Wal- théry et vous serez (out de suite guéri. i Fr. la boite partout. BURGERSTAND VAN YPER. Verklaringen van den 3 tot den ta Nov. 1911. Geboorten Verleure Jeanne, Patteelslraat. Jacques Albert, Heere Janstraat. Begerem Marie, Cartonstraat. Desramaulls Marie, Rijselstraat. Alleman Gabrielle, Bakkerstraat. Bories Henri, Lange Thouroutstraat. Pynoo Helena, Klaverstraat. Duflou Germaine, Kanonslraat. Vasseur Alfred, Meenenstraat. Delfosse Oscar, Pennestraat. HuweRjken Bruneel Arthur,metserdiener te Ooslvleteren, Dezeure Marie, kantenwerksler, gehuisves te Yper. DuprezOmer, handelsbediende, A Denonu Noëlle, z. b. te Yper. Maas Alphons, rekenplichtige le Marcq Baroeul (Vrankrijk) Chrisliaen Marie, i. h- Yper. Sterfgevallen Rosseel Pierre, 75 j,, echlgt Vandermee|'5C'1 Pauline, Neerstad. n. Iiieryck Stephanie, C3j ,z. h. wed. ('ri prez Gustave, echtgle Samyn Isidore, nruRg' steenweg. Bernard Georgette. 5 weken, Esplanade- Maricaux Pierre, 6-4j., z. b. ongehuwd, L Thouroutstraat. Hof Emile, f j.. Neerstraat. Vantbornhout Henri, 7 maanden, Popering steenweg. d, Desmpdt Pierre, 81 j., z. b. ongehu G. deSluersstraat. .,1 Meersseman Jean, 85 j., z. b. ongel) Rijselstraat .„„.a Rosez Stephanie, 81 j., z. b. ongeb Wenninckslraat. Lacante Albert, 5 maanden, Patteelslraa l_l 1, iPBgW ■■fljy" 1 j''jm

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 2