Téléphone 53 GMOWUSrPMIM T éléplione 52 m m m m m m m m m Samedi 1% Novembre 1911 Ie iV 10 centimes 46 Année N° 4709 Catholiques contre Cartellistes Une declaration libérale a retenir Conseil Communal On s'abonne rue au Beurre, 36, A Ypres, et A tous les bureaux de poste du Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 C. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. royaume. Les annonces coütent 15 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal 3o centime* la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémenttóres coütent 10 francs les cent exemplaires. Pour les annonces de France et de Belgique (exceptè les deux Flandres) s'adres ser IV Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse. La première bataille parlementaire a été une ircontestable victoire pour notre parti. Ce n'est pas que, de part ou d'autre, on ait dit des choses bien neuves c'est fplutöt A cause de l'impression générale qui se dé- gageait de ia séance. M. de Broqueville a fait la declaration que Ton connaissait déja par ka communi qués desjoumnux. Cette declaration nou3 reporte au discours du Tróne de Tan dernier, avant le dépot de la loi scolaire. Le programme de notre parti est aujourd'hui ce qu'il était alors. Nous l'avons appréclé en son temps nous n'y reviendrons plus. L'&a dernier, l'opposition soutenait que le ministère était disqualifié paries élections de 1910. Aujourd'hui.elle soutieat qu'il lest par les élections communales. Nous avons dit aussi ce qu'il fallait penser de cette pré- tention, qui tendrait a faire des élections communales le régulateur de notre vie pu- blique nous n'y insisterons pas. Ajoutons seulement que le ministère de l'intérieur se prépare a publier une statistique qui prouve le progrès du parti catholique sur le terrain communal, depuis 1007. Ce qui a donné a la séance de mercredi sa physionomie caractéristique.c'est d'une part l'uiiion et l'entrain de la droite, c'est.d'auti e part, i'amusant désarroi de 1'oppoBition tout enticre et l'abdication de la gauche modérée ea faveur des socialistes. La droite a unanimement et énergique- ment approuvé les declarations concordan- tes de MM. de Broqueville, Woeste et Schollaert Ie bloc cattolique n'a plus de fissure. Nous en sommes profondément heu- reux. Aussi l'entrain de nos amis était réconfor- tant et ce qui ne 1'était pas moins, c'était la stupéfaetion de l'opposition. Depuis quatre mois, ces bons cartellistes se sont entre-dit, entre-redit, commenté et développé sur tous les tons que le parti catholique était battu, que le cartel était vainqueur. lis ont fini par le croire, comme dans ces académies d'ad* miration mutuelle dont chaque membre se croit un aigle paree que ses collègues le lui disent et répètent, a charge de revanche. A la séance de mercredi les premiers interrupteurs n'ont pas manqué de dire aux membres de la droite vous avez l'air de battus 1 Ca, c'était le thème préparé a l'avacoe.On n'en usa pas longtemps.Durant son discours, M. Hymans dut reconnaltre, au contraire, que la droite avait trop d'en- train, et il en fut courroucé et il le manifeata et, dès ce moment, il pataugea. Mais cette même séance a une signification plus importante encore. M. Woeste a pu dire, aux applaudisse- ments de l'opposition tout entière, que M. Vandervelde était devenu le chef incontesté des trois gauches. M. Schollaert a pu con- stater que,si la gauche socialiste n'avait r;en abandonné de son programme,la gauche mo dérée, el ie, et eu particulier M. Iiymans, avait accordó a un parti révolutionnaire le suffrage universel pur et simple dont il comptait se servir pour détruire nos institu tions rationales. La est le danger de demain et nous atti- rons sur lui l'attention de tous les hommes d'ordre que la liaine sectaire n'aveugle pas. Enfin, un incident comique a achevé la déroute de l'opposition. °E sait que le mi- uistre de la guerre et le gouvernement ont été violemment attaqués par toute la presse de gauche a raison de ce qu'elle appelait 1 in- suffisance de notre état militaire. En sa qualité de fils de colonel, M. Mon- ville se devaitde traduire en interpellations ces critiques des journaux. II déposa dono une demande d'interpellation et en même temps 53 questions adressées au ministre de la guerre. Celui-ci annontja son intention de répondre le plus tot pot sible et dès le mardi, tout a la fois aux questions et a l'interpella- tion. Ceci ne taisait pas l'affaire du pauvre in- terpellateur qui dut avouer piteusement qu'il ne saurait faire son interpellation avant d'avoir ótudié la réponse a see ques tions. Monsieur le général, j'ai grande envie de vous condamner, mais il faut d'abord que vous m'indiquiez en quoi vous êtes coupable. On comprend si la droite a ri de l'inter- pellateur. Dans les couloirs, ou disait que M.j Mon- ville devait se faire documenter par uu général retraité et que celui-ci demandait buit jours pour fabriquer la réponse au discours du ministre de la guerre. II y a "quelques jours Ylndépendance, a propos des réformes militaires, faisait la declaration suivante, trés nette et retenir. Les gauches seront unies pour assurer dans des conditions sérieuses notre orga- nisation militaire,comme elles le sont pour nous dormer ces deux autres éléments de la vitalité nationale[linstruction obliga' toire, IMPRÉGNÉE DU SEUL ESPRIT SCIENTIFIQUE, et l'égalité politique sacs restrictions. Comprenez-vous L'instruction que les gauches unies par le cartel veulent imposer a la nation, ce n'est pas settlement une instruction qui donne les élémeBtsde différentes branches scientifiques et qui en dehors deces éléments d'aritbmé- tique, de géographie, etc. etc., se tient nentrebien au contraire l'instruction qu'ils veulent obligatoire, ils la veulent aussi imprégnée d'un certain esprit,d'une certaine mentalité en quoi elle cesse déja d'être neu- tre et cette mentalité, cet esprit que les gauches réunies veulent faire règner dans l'instruction telle qu'ils rêvent de l'imposer a tous par la force de la loi, doit être la seule mentalité, le seul esprit scientifique, c.-a-d., la mentalité et l'esprit dont est enclue toute préoccupation et toute influen ce de religion, de dogme ou de morale reli- gieuseet sur tout de Foi cbrétienne. Quel cynisme done de venir nous dire que l'école qu'ils veulent nous imposer sera neutreet que les pères de families chrétiens pourront en toute confiance y envoyer leurs enfants Les enfants qui se seront laissé imprégner par leurs uiaitres,dans ces écoles du seul esprit scientifique (comme ils I'appel- lent) seront des enfants pour qui la Foi chrétienne et ses enseignements *ne compte- ront plus pourrien. Etc'est a de telles écoles etAdetels monstres que des parents chrétiens soucieux avanl tout d'élever leurs enfants dans la Foi et les sentiments chrétiens pourraientsans folie et sans crime confier leurs enfants Nous po3ons la question a ceux des libé- raux qui ont conservé la Foi, se sont ils contentés, s'ils sont pères de familie, d'im- prégner leurs enfants du seul esprit scien tifique Si oui ils ont dü constater que le résultat a été que leurs enfants n'ont plus la Foi. Si non, de quel droit veulent-ils impo ser aux autres pères de familie, et nommé- ment aux pères de familie pauvres un enseignoment dont en conscience ils nont pas vonlu pour leurs proprei enfants. 'Jh*4h* Séance publique du 18 Novembre 1011, a 5 heures du Boir. Sont présents: MM. Colaert, bourgmestre-président Fraeijs de Veubeke et Vanden Boogaerde, echevins Fiers, Yanderghote, D'Huvettere, Bouquet, Sobry, Iweins d'Esckhoutte, Lemahieu, Biebuyck, Begerem, Baus et Seys, conseil- lersBoudry, faisant fonetions de secrétaire communal. Administration communaleInstallation de deux conseillers communaux.M. le Président doone lecture d'un arrêté de la Deputation peimanente validaDtles élections communales du 15 Octobre dernier. Une erreur dans les calculs modifie quelque peu les cliiffres et établit comme suit les chifïres de la majorité absolue 2503 votes pour la ire série et 2497 votes pour la série, ce qui n'influe pas sur le résultat de 1'élection. Sur l'invitation de M. le Bourgmestre, les deux conseillers élus, MM. Baus etSeys, prêtent le serment en flfl.mand. M. le Jjiourg- mestre les declare iustallés et, après avoir donné lecture du procés-verbal, il félicito les nouveaux élus. Le succes des élections prouve, dit-il, que ces conseillers jouissent >le la sympathie du public et qu'ils ont les qualitÓ3 voulues pour faire de bons conseil lers. M. Baus a déja fait ses preuves et M. Seys, qui est plus jeune, donnera cer- tainement des marques de ses bonnes apti tudes. (Appl. prolongés.) M. le Secrétaire donne ensuite lecture du procés-verbal de la séance précédente qui est approuvé. En comité secret, le conseil a émis un avis favorable sur la mainlevée d'une hypothèque sollicitée par les Hospices. Afin de déférer au désir exprimé par un jour par le dernier numéro. Culte fabrique d'église St-Martin mo difications aux travaux de restauration de Vancienne abbaye de St Martin. M. Ie Président doano lecture d'une délibération par laquelle la fabrique d'Eglise de St-Martin propose les modifications suivantes aux plans primitifs Construction d'une tourelle desti- née A dissimuler une déviation existant dans le mur Est de l'aile du XIII* en cours de restauration. Remplacement de la brique par de la pierre d'Euville aux créneaux surmon'ant ee même mur. Le conseil de fabrique admet ces plans et devis dressés par M. l'Ingénieur, sa part, a titie de forfait, devant rester de 20 000fr., chiffre maximum de son intervention dans lesfrais de restauration. M. Coomans ostime que, verification faite du tracé du mur, il est difficile d'opérer !a fusion du parement ancien avec le mur a construire. Ii existe deux moyens d'y remé- dier En ólevant des contreforts rigides ou en adossant une tourelle avec escaüer don- nant accès a la salie de l'étage et aux com- bles. Le système de contreforts paraissant défectueux, il reste le système de la tourelle qui, par Bon allure monumentale, consti- tuerait un réel élément de beauté. Ladé- pense est évaluée A fr. 7000. M. le Président donne lecture d'un rap port ou il énonce les différents motifs pour lesquels il s'oppose a ces modifications. La tourelle nuirait a l'aspect général du monu ment. Ce ne serait plus une restauration mais biea une construction nouvelle dont la dépense n'est nullement justifiée. 110.31 vrai qu'il existe de róelles difficultés de raccorder la partie nouvelle a l'ancienne. Mais pourquöi notre ingénieur n'a-t-il pas averti de cette difficultó en dressant ses plans Si, a ce moment, on avait dü sen tenir a édifier le nouveau pignon dans l'ali- gnement de la facade érigóe par Jansénius, on aurait eu une salie moins longue mais encore de proportions trés belles et ample- ment suffisantes. Est il exact qua ce raceordement serait impossible On peut en douter. Interpellé A ce sujet par nous,M. l'Ingénieur a été moins affirmatif qu'au début. Personaellement, je pourrais difficilement me pronoccer, mais des hommes compétents m'ont affirmé que de fort8 ancrages pourraient trés bien être établis comme aux Halles, lorsqu'au XVIIe siècle ondécida devouterle rez-de-chaus6ée. Nous sommes persuades que, grace A des montants en cbêne comme ceux qui sé- parent, dans la salie Pauwels, les différents pannaaux, on pourrait conserver les murs gouttereaux. On éviterait ainsi une erreur historique et archéologique. Sans doute la fusion ne peut être obtenue que si on exige un aplomb absolu, Mais celui-ci est-il nécessaire Le mur ne peut-il pas suivre la déviation jusqu'au pignon Nord Cette paroi présenterait ainsi un aspect même plus original. Qui songerait k redresser la forte déviation du cóté Ouest des Halles et a corriger des malfagons dont le temps seul est responsible Qu'oa n'invoque surtout pas que cette tourelle serait un réel élément de beauté. Nous n'avons a nous préoccuper que du cóté archéologique. Le remplacement des briques par de la pierre d'Euville pour les créneaux est une modification imjustifiable. II n'y a pas la i moiudre trace d'ornemencs riches. II n'est même pas certain qu'il en eüt jamais existé. La partie supérieure a-t-elle été démolie j paree que les matériaux auraient subi l'in- jure du temps? A-t-elle, dès le début, été exécutée plus simplemsnt Nul ne peut le dire. On ne peut traiter cette partie comme la facade extérieure des Halles, mais il y a lieu plutót de suivre ce qui a été fait a l'intérieur. f lei, tout l'étage est en briques; le couronne j mentdoit être également en briques. La brique est plus résistante que la rcche d'Kuviito. Ella convient a. toutes les orne- mentations et se patine au bout de quelques 1 années. Que ceux qui en doutent vemllent examiner la cour des Halles. En matériaux riches, cette cour eüt perdu en valeur ar- chéologique. Le coüt total de ces modifications s'élève k fr. 12,000. C'est juste le montant de l'éco- nomie réalisée a la suite de l'adjudication. Cette dépense devrait être supportée par la j ville seule. La fabrique d'églisa s'en tient au chiffre maximum de 20.000 fr. Comme ces modifications proposées ne se rapportent pas au service du culte, dous n'obtiendrons plus l'intcrventiou du ministère de la justice, et nous aurions probablement a supporter seuls toute la dépense. Cette somme pourra.du reste, être utilisée pour les frais d'ameublement. Le Collége, j par deux voix contre une, propose le rejet 1 de ces modifications. j M. Baus demande comment il se fait que les plans primitifs prévoyaient des maté riaux riches et que, dans le devis, ceux-ci sont changés en briques. M. le Président. Nous avons voulu réaliser des économies paree que l'irgénieur faisait observer qu'ondépasserait les 180.000 francs. En enteDdant qu'on s'en tiendrait a cette somme, M. Coomans chercha a dimi nuer certains postes. Cette dépense nouvelle est injustifiée au point de vue financier. On a mis en avant que cette tourelle créerait un dégagement pour la grande salie. Pendant sept siècles, ce besoin ne s'est pas fait sentir, j'espèro bien que ce besoin I n'existera pas plus maintenant. Je demanderaï plus tard un crédit pour j rendre, au moyen de certains produits, le monument ininflammable et pour l'assécher. En attendant, ne faisons pas de restaura- j tions dans le genre de celle de l'hótel Gruuthuse a Bruges. M. Baus. Une grande partie du mur j devra être démobe. Les gelées ont produit j une grande fente. La commission des monu- 2 ments a-t-elle approuvé le crénelage M. le Président. Les plans n'cnt pas été soumis tout expres pour ce travail. Un motif encore pour ne pas faire de luxe, c'est que c'est un monument abbatial. M. Biebuyck ne croit pas qu'il y ait des oxemples de créDeaux en pierre blatche quand les autre3 sont en briques. M. Baus. Ne Bemble t-il pas que le pignon parsitra trop riche comparativement k la partie Est f M. le Président. Les détails du pignon ont été approuvés, mais quand la fabrique d égliss propose des modifications, nous avons le droit et même le devoir de les examiner. On passe ensuite au vote. Les conclusions du rapport de M. le Président sont adoptées par huit voix contre une et cinq abstentions. Culte procés-verbal d'adjudication de la restauration des retours du transept mé- ridional de l'église St-Martin. M. le Président. Das conseillers ont demandé que cet objet solt remis a une prochaine séance. M. le Président annonce qu'a partir de Lundi, l'eau sera donnée sous pression toute lajournée et qu'ainsi les mesures prises les 21 aoftt et 9 septembre sont rapportées. Finances communales Compte de la ville pour ipio. Ce compte est clöturé avec un excédenttotal de 99.150 94 francs. Propriétés comm unalesDemandes dachat de terrain. M. le président.M. Schmidt demande d'acquérir une partie de terrain située Boulevard de la Station et derrière son terrain. Sa di mande a été rejetée par la Deputation Permanente pour le motif que l'adjudication aurait avoir lieu publique- ment ot que le prix devrait être d'un tiers plus élevé. Ce rejet est assez étrange. line s'agit, en réalité, que d'uue petite parcelle et M. Schmidt est seul a pouvoir l'acquérir. Je Homande de pouvoir jrocéder a l'adjudica tion publique sur une miae-è-prix de 15 fr. le mètre carré. M. D'Huvettere. Le délai de quatre ans pendant lequel on s'eDgage ne pas perce- voir de contributions semble biee long. M. Ie Président. C'est peu en compa» raison des intéréts de la somme que nous devons toucher. Mais on peut difficilement obliger les gens a oatir plus tot qu'ils nè le désire.... II faut être large dans ces cas. Approuvé. Instruction publique Lis te des ayants- droit a l'instruction gratuite. Le nombre des gargons est de 463, celui des filles de 164. L'intervention du Bureau de Bienfai- sance eBt a raison de 8 francb par téte. Approuvé. Ecole de Musique Budjet pour 191a. recettes et en dépenses k fr. 8.300. Approu vé. Ecole Industrielle Budjet pour 1912. Le budjet qui s'élève en recettes et en dé penses a 10.720 frs. est légèrement modifié par suite de la distribution des prix, qui doit avoir lieu cette annóe. Approuvé. Hospices Civils Transfert de crédits. M. le Président donne lecture d'une délibé ration des Hospices. Le Conseil approuve ces transferts. Culte Budjet X912 de la Fabrique etégli- se Saint-Pierre. Les recettes s'élèvent a frs 12 052 34 et les dépenses A fr. 11.884,76. Excédant167,58 francs. Approuvé. Culte Budjet 1912 de la fabrique d'égli- se St. Jacques. En recettes et en dépenses A 14 741 fr. 93. Approuvé. Interpellation de M. Biebuyck sur la question du ga\. M. Biebuyck interpelle le Conseil sur l'application et la portée du contrat du gaz. II signale d'abord un certain laisser-aller de la part des conces- sionnaires du gaz. M. Biebuyck paBse ensuite A des considé- rations plus graves se rapportant a la pen- sée même du contrat liant la vilie envers les concessionnaires du gaz. Depuis quelques années, des industriels, des artisans, ont installé des moteurs a gaz pauvre. Plusieurs aussi se sont éclairés a la lumière électri- que et ont fourni eet éclairage A leurs voi- sins. Du jour ou ill ont traversé la rue, ils se sont trouvés en face de la société du gaz, qui leur a notifié qu'il ne leur était pas permis de traverser la rue, avec un cable électrique. L'école professionnelle de Saint-Joseph a établi un moteur du cöté du Cercle Catholi que, et a traversé la rue, après en avoir obtenu l'autorisation dn Collége échevinal, pour éclairer la salie que cet établissement possède de l'autre cöté de la rue- Des obser- [uk A F-a*eeer=i JOURNAL D'YPRES ©rgane Satholique de l'Arrondissement membrö tin r»nn<antl, ntt abopj© l'ordro clu

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 1