Téléphone 52
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Samedi 9 Décembre 1911
le N° 10 centimes
46 Année
JN° 4711
Pourquoi Tfcole catholique?
Illusion
s# <j* w m m
L'horreur du Drapeau
Immaculée Conception
Pensées Diverses
Conseil Communal
On s'abonne rue au Beurre} 36, k Ypres, et k tons les bureaux de
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HavasBruxelles, rue d'Argent, 34, et i Paris, 8, Place de la Bourse,
L'école athée, par négat'On ou par prété-
rition, est une monstruosité.
Si l'homme est capable de savoir quelque
chose, c'est d'abord et avant tout qu'il y a un
Dieu, car c'est la certitude première et essen-
tielle de laquelle tout dépend dans Ja vie
indiTiduelle et sociale.
Aussi le genre humain tout entier, a part
une poignée de négateurs qu'on a le droit
d'accuser de démence, affirme, atteste, pro.
clame Dieu.
Supprimez-le par la pensee, il n'y a plus
d'obligation, plus de sanction et la moralité
s'évanouit.
Supprimez-le par hypothese, il n'y a plus
de titre a aucun droit, plus de valeur dans
aucun contrat et la société croule sur ses
bases.
Le crime des crimes, l'entreprise satanique
par excellence, c'est l'école sans Dieu qui
fauche toute morale, arrache les enfants a la
poursuite de leur fin dernière et précipite
fatalement l'humanité dans un abime de
maux.
Qui ne voit pas que Dieu est le fondement
de tout, et qu'en l'écartant on établit l'uni-
verselle anarchie, est le pire des aveugles.
Nous /ouloos done, d'une volonlé absolue,
implacable, l'école avec Dieu, l'école confes-
sionnelle, l'école catholique. On ne nous en
Quest ce qu'une école catholique Quels
caractères doit-elle présenter pour satisfaire
■os consciences 1
II faut d'abord qu'on y donne aux enfants
I'enseignement religieux, tel qu'il est approu-
vé par les autorités de l'Eglise a laquelle ils
appartiennent. II faut en outre que les
enfants y baignent dans une atmosphère
religieuse.
II ne peut nous suffire, que l'instituteur se
borne ne pas attaquer de front ni sournoi-
sement les dogmes chrétiens il est nécessaire
qu'il conforme son enseignement a ces dog-
mes, donnant a la religion la place qui lui
revient dans sea nombreux points de contact
avec la science.
Nous exigeons du maitre qu'animé de j
l'esprit catholique et véritablement apötre il
imprègne toutes ses lemons de la foi catholi
que, de la mentalité catholique.
On va crier a l'intolérence, a la theocratie,
4 l'arrogance sacerdotale. Oh les vieux et
stupides clichés
C'est bien de cela qu'il s'agitII s'agit tout
simplement pour les parents chrétiens d ac-
complir logiquement leur devoir, le plus strict
et le plus rigoureux de leurs devoirs.
En efl'et, du jour oü ils ont présenté leur
enfant au baptème, ils ont pris le solennel
engagement devant Dieu, a la face de l Eglise,
(l'élever eet enfant, ou de le faire élever selon
toutes les exigences du baptêmc, done dans
la foi tout ce que l'Eglise enseigne, dans
l'obéissance a tout ce qu'elle prescrit, et, par
une conséquence inéluctable, dans la connais-
sance de ces vérités et de ces commande-
ments. Tout baptise a droit a l'instruction
catholique intégrale. Les parents ne peuvent
sans forfaire a l'honneur décliner la plus
sacrée obligation qui leur incombe.
Ici on essaye d'échapper par la tangente
®n demandant que l'instruction religieuse
Emigre de 1 ecole pour se réfugier a 1 eglise,
stl'on consent, en bons princes, a nous octroyer
ce partage la science profane, part de 1 ins-
tituteur la science religieuse, lot du prêtre.
Nous ne serons jamais dupes de ces hypo
crites combioaisons par lesquelles on prétend
nous évincer de notre droit. La raisoa de ce
refug est palpable.
Notre religion n'est pas une simple philo
sophic,un ensemble de spéculations sur Dieu
®t le monde, un exposédoctrinal dont il serait
loisibicde prendre quelques lemons, n'importe
quand, n'importe ousans se soucier de les
traduire en actes et de les vivre. Notre reli
gion est essentiellement une vie et, partant,
1 éducation religieuse est essentiellement la
formation, la culture, le développement de
cette vie surnaturellc et divine. C'est tous les
jours done, a toute heure, dans tout ce qu'il
voit et entend que doit se former l'fime catho-
lique du petit baptise. Ce n'est pas par une
lumière intermittente et fugitive qu'il doit être
éclairé, mais par une lumière forte et conti
nue, qui, non contente de se répandre dans
son esprit, réchauffe son cceur et enflamme
sa volonté. La religion n'est pas seulement le
phare illuminateur de l'intelligence, elle est
le soleil de la vie, et voila pourquoi elle doit
pénétrer de ses rayons vivifiants toute l'édu-
cation.
Ajoutez a cela qu'une fois exilée de l'école,
dépouillée du prestige de l'autorité scolaire,
destituée du crédit que lui concilie le maïtre,
la doctrine chrétienne, n'étant plus partie
intégrante de la classe, risque de ne plus
apparaitre dans l'esprit des enfants que
comme un accessoire gans importance, indi-
gne de retenir leur attention et dont on peut
impune'ment faire litière.
Libre a nos adversaires de se récrier sur
nos prétentions et de ks taxer de fanatisme.
II n'est pas en leur pouvoir d'abolir les
devoirs redoutables des parents et les droits
imprescriptibles des enfants chrétiens.
Cette petite plante humaine, bien cullivée,
doit se couronner un jour d'une fleur d'im
mortelle beauté, la béatitude céleste. L'enfant
a autant droit k la culture chrétienne qu'au
paradis. La lui refuser, le laisser s'étioler
dans ratmnsnhère pmnnlttinnrf»/)» to tv-M.»rn-
lité, c'est empêcher la fleur d'éclore. Crimi-
nels fauteurs de l'école athée, autant que
vous le pouvez, par vous, l'enfant est voué a
réternelle perdition.
La Loge le sait et y travaille avec acharne-
ment. Les caiholiquesle savent aussi et lutte-
ront avec une indomptable énergie.
mystique, la Reine du ciel et de la terre, les
Edens d'ici-bas n'ont pas assez de fleurs ni
d'assez belles pour fleurir comme il convient
cette Mère admirable.
Et Ton comprend que le mois des pre
mières fleurs ait été choisi pour être consacré
tout entier la glorification de la Mère de
Dieu et des hommes. Etl'on comprend aussi
que le seul mois de Mai ne sufflsant pas a la
piéte' des Enfants de Marie, ils aient éprouvé
le besoin d'y adjoindre eet autre mois des
roses quest Octobre, ce mois infiniment
religieux et, au sens de tous les esthetes, le
plus poétique, oü la nature se pare, pour
mourir, d'indéfinissables attraits, oü la piété,
de son c6té, supplée a la pénurie des roses
des jardins par d'abondantes guirlandes des
roses, plus parfumées encore, du tres saint
rosaire.
Mais pourquoi done faut-il que l'on ait
fixé au triste mois de décembre et en plein
Avent une fête mariale aussi importante que
celle de l'Immaculée Conception Cette fête
oü l'on célèbre la pureté incomparable de la
Vierge-Mère, la prérogative inseparable de
sa dignité la plus auguste, il semble que c'est
au coeur du printemps seu'ement qu'elle püt
trouver sa place.
Ainsi raisonnent assurément les êmes in-
nocentes, fraiches fleurs elles-mêmes, tou-
jours sgréables, a leur insu, a la Vierge trés
pure.
terni peu ou prou, flétri peut-etre 1 innocence
première, le dévöt de Marie éprouve le besoin
de recourir au creuset purificateur de la
cre'ature, jadis si parfaite et si glorieuse, au
profit de laquelle allait couler un tel sang.
Telle est done la difformité et l'horreur du
pêché que Dieu a bien voulu pour Lui et
pour sa sainte Mère toutes les douleurs de la
Croix, et qu'elles ont été nécessaires pour en
abolir l'empire, mais qu'il n'a voulu subir la
tache du péché ni pour Lui ni pour Elle. Et
telle est la faveur que nous avons recue par
Marie et par Jésus, que cette tache indélébile
peut être effacée. Louis Veuillot.
Satan, qui a la pretention d'emprisonner
dans le mal tous les nouveau-nés, en leur
imprimant dès lors son cachet, n'a pu le faire
pour Marie et son Fils, parceque Allah (Dieu)
les en a préservés.
Nasser-ed-Din mahométan
L'an dernier, ils étaient 60.000, a Lourdes.
les hommes vaillants qui ainaent la sainte
Vierge et se glorifient de marcher sous sa
bannière.
Demain ils seront plus encore, car, plus
la société marche et plus elle se sépare nette-
ment en deux colonnes. Les groupes inter-
médiaires, les justes milieux, les vieux libé-
ralismes sont balayès par la logique et le
torrent des idéés, et leurs débris vont grossir
l'armée des bons ou celle des mauvais. II
faut aller a l'extrême droite de la vérité avec
l'Eucharistie. le Sacré-Coeur, la Vierge, le
la révolution et l'anarchie.
A la limite, et logiquement du moins, il
faut être chevalier du poignard ou chevalier
de Notre-Dame. 5. Coubé.
Illusion douca et cbère, de croire que nous
serons longtemps pleurés
I
f souffrance.
Ainsi seulement peut-il espérer voir agréer
encore par laVierge toute belle ses hommages
I d amour.
Et quel temps plus propice que ce saint
temps de 1'Avent oü le chrétien se prépare,
dans la mortification, a la digne célébration
j de l'avènement du File de Marie f Et pour-
r rions-nous mieux plaire i la mère du Ré.
i dempteur qu'en nous laissant guider par
t l'éclat de sa Conception immaculée pour
Le jour approche, oü nos parents, pre- aJler de nQtre 0rient pa'ien a la bourgade i
miers témoins de nos joies et de nos cha- saintCi témoin des mortifications et des abais- j
grins, ne seront plus et bient&tnos jeunes j sements du Dieu de la Crèche 1 j
amis,compagnons denos jeux.auront oublié. Fêtons donc nmmaculée en nous efforcant
Dans un Biècle qui songera a retrouver des d>imiter ja Co-Rédemptrice, Reine des Mar-
empreintes effacéesQui se dira, en par- E{ tandisqUe |es mondains se préparent j
courant tel chemin: C'est ici qu'il promenait j etg,entrajnent pour un Noël pa-jetl) landis-
ses rêves de bonheur avec l'espoir que son f. qU>jjs couronnent de roses leurs têtes appe-
souvenir demeurerait toujours vivant 1 j santies par toutes les ivresses, a la facon des
O mémoire de ceux qui l'ont connu,fragile ancieng (coronemus nos rosis antequam
mausoléa, vous aussi vous deviez vous 1 marcescan^t n0us chrétiens, fiers de notre
évanouir 1 Le dernier écho de sa vie était beau nQn^ fielsde ceiui d'Enfants de Marie,
destiné a s'éteindre dans le nuitisme de j effor(~ons nous d'exceller entre tous les chré-
l'oubli. Ses paroles ont couru, emportées ti g qui sont les fleurs du iardin de Dieu,
par les brises, et son nom, que parfoisil i a}nsi' 'exceiie la rose parmi les fleurs de nos née, dussent-elles subir tous les outrages
grava dans l'écorce d'un arbre, grandit JrêS des mtempenes. Mais lembleme national
durantbien peud'années; lebücheron arri- Anous les épines de la souffrance A nous restera précieusement serré, le )our oü la
va un jour avec sa cognée, et abattit sans j la^onne volonté a toute éprcuveet la fécondité
pitié ce souvenir d'une existence obscure. j intar;ssgble du zèle charitable, malgré toutes
L'attrait de la vie présente est pour tous J lgs amputations douloureuses et les sacrifices
d'une puissance irrésistible ainsi l'a voulu j loujours renouvelés 1
la nature, notre mère. Prés de la fleur qui Ains- piairons.nous a l'Immaculée ainsi
pouvons-nous espérer être conduits un jour
par Elle jusqu'aux pieds de laj Crèche de son
Enfant, transformée en trCne glorieux du
Roi des rois.
Toi que n'osa frapper le premier anatlième,
Toi qui naquis dans l'ombrc et nous fis voir le jour,
Plus reine par ton eoeur que par ton diadème,
Mfcre avec l'innocence et Vierge avec l'amour,
Je t'implore lk-haut comme ici-bas je t'aime,
Car tu conquis ta place au céleste séjour,
Car le sang de ton Fils fut ton divin baptême
Et tu pleuras assez pour règr.er ton tonr.
Marquis H. de Rochefort.
La Saint Albert a, cette année encore, fait
ressortir ce qui manque, non pas a notre
patriotisme et a notre loyalisme, mais a
l'expres8ion de nos sentiments d'attachement
a la Patrie et au Tröne.
Qu'un mastroquet organise dans 'son ca-
baret un concours de vogelpik ou de whist,
les couleurs de la patrie flotteront fièrement
a sa facade durant toute la mémorable jour-
- née, dussent-elle8 subir tous les outrages
se flatrit, le bouten a peine éclos s'élève,
confiant,Bur sa tige. II 68t dans les créatures
comme une aspiration aveugle qui leur fait
cbérir la vie plus que l'individu.Sur le champ
de batail'e, le guerrier s'élance éperdüment
a la victoire, oublieux du jeune.compagnon
d'armes qui périt a ses cotés.
L'action ardente emporte tous les êtres,
les poussant pêle-mêle 1 abime insondable.
C'est a vous, morts 1 de ne point acca-
bler les vivants du fardeau de votre cher
souvenir. Vous fütes, et alors on vous aima.
Vous n'ête8 plus, et les bras se refusent a
étreindre de l'ombre. Vous ne serez plus que
poëfle 1 Confondus daas la poussière des
générations passées, vous ne vivrez plus
qu'au coeur de ceux qui cbérissent les créa
tures paramour de la divinité.
5# s#. i# .s#.
11 faut des fleurs a l'enfant pour fêter sa
Et quand cette mère est la Rose
mere.
Marie parut, suivant l'expression de Bos-
suet, comme un Christ commence' pour
être tout a la fois la source et l'image de celui
qu'attendait la terre gémissante et qu'allait
contempler le Ciel étonné; de Celui qui, pour
sauver les hommes, conseniait leur être
semblable en tout, sauf le péché, et a porter
en tout le poids de leurs misères, mais non
pas la racine honteuse de ces misères accep
tant la peine du péché, en rejetantlasouillure.
C'est pourquoi Marie fut préservée de la
tache originelle et con^ue immaculée, afin de
pouvoir donner un sang assez pur pour laver
le monde, et d'etre l'exemplaire de cette
nation fête son Souverain et oü les défen-
seurs de la patrie s'empresBent chez ce
cabaretier pour" y trinquer en l'honneur du
Roi
Mieux que cela: telle facade restera vierge
de l'embleme national, le jour oü l'on fête
le Roi des Beiges, qui s'égayera des trois
couleurs du royaume'de Belgique le jour oü
l'on commémore, avec une obstination qui
dófie les siècles, une victoire du drapeau au
lion noir
Nous le répétons, ni le patriotisma ni le
loyalisme ne sont a suspecter icimais il
fuut bien dire qu'ils gagneraient s'affirmer
davantage et mieux
Loin de nous lapense'e d'ajouter encore,
en y mêlant la politique, a ce qu'une .telle
mentalité a de deplorable. Hatons-nous de
dire, au contraire, que nos adversaires poli-
tiquesles libéraux tout au moins,
assistent nombreux a nos Te Daum et frater-
nisent cordialement avec nous pour fêter le
prémier citoyen de Belgique.
Et nous jetons volontiers le manteau des
enfants de Noé sur les incartades de ces mi-
litaires désaltérés qui, le soir de la Saint
Albert, oubliaient de crier Vive le Roi
pour y aller seulement, on rue, de vigoureux:
i bas la calotte 1
Nous tenons', seulement a signakr, a la
décharge relative des catholiques, un fait
qui prouve bien qu'il n'y a ici en cause
qu'une incurable apathie pour les déaon-
atrations. Combien de nos. amis negligent
d'arborer non seulement a la fête du Roi,
mais même lorsaue le Roi des rois passé
solenneliement devant leur demeure Sans
doute, on les voit alors agrémenter leurs
fenêtres de luminairemais n'exigez pas
deux qu'ils sortent leur drapeau; on ne peut
pas être démenstratif ce point-l&...
Disons encore k leur décharge' que, s'ils
sont revêcbes au pavoisement comme le
premier militariste libéral vènu, ils jrachè-
tent royalement cette drapeauphobie qu'ils
manifestent deux fois par au, enpriantpu-
bliquement pour le Roi et pour la Patrie,non
seulement les jours de Te Deum mais au
moins tous les dimanches de l'année.
Si nous étions le Roi, c'est pour eux seuls
que nous réserverions nos décorations.
Séancepublique du 2 décembre 1911,
cinq heures du soir. Sont présents MM.
Colaert, bourgmestre, présidentFraeys
de Veubeke et Vandenboogaerde, échevins;
SóbYy, Ywëibs d Eeckhoütto,
buyck, Begerem, Baus et Seys, conseillers
Boudry, faisant fonctions de secrétaire com
munal.
Lecture est donnée du procés-verbal de la
séance précédente qui est approuvé. En
Comité secret, le Conseil.'a 'nommó définiti-
vernent en qualité d'employés k l'Admini-
stration communale MM. Cocleet Spotbeen,
nommés a titre provisoire.De même, M. Van
Cappel, nommé.-a titre' provisoire pour le
service dumarché, estnommédéfinitivement.
M. le Bourgmestre fait observer, au sujet
des installations de lumière électrique faites
parjde3 particuliers qui ont, a eet eflet,
traversé la voie publique,"que rAdministra-
tion n' a aucuue autorisation a donner du
moment qu'il s'agit de lal voiriej de l'Etat.
Certainespersonnes ontjfait erreur en adres
sant une demande a la ville.
Communication. M. le Président donne
lecture d'uue lettre en flaaaand parj laquelle
rAdministration communale de Boesingh#
annonce qu'elle est allée eu appel auprès du
Rei centre la decision prise par la deputa
tion permanente relativement a l'établisse-
ment du standee tir.
Ce sera,"tout.auplus,|un arrêt dequelques
semaines. II est vraiment extraordinaire
qu'on>ccumule^comme'.a plaisir toutes les
difficultés autour de cette question. Certaine
pressejen'profite'pourjattaquerjavec plaisir
['Administration et, en particulier, le bourg
mestre.
M. le Président annonce que ladéputation
permanente est revenue sur Ia décision qu'elle
a prise précédemment au s ujet de la de-
mande de racbat faite par M. Wyllemaa,
d'un passage donnant accès au dépöt com
munal.
Après avoir improuvó cette demande, elle
a pris une nouvelle décision a la date du 27
octobre 1911. Cette décision notifiée le 17
novembre a été transmise a rAdministra
tion des Hospices, propriétaire de ce pas
sage.
Chemins de fer vicinaux majoration de
capitauxa) ligne Ypres, Neuve-Eglise,
Steenwerck, Warnetonb) Ligne Ypres-
Gheluwe. M. le Président donne lecture
de la délibération proposée. La ville est
actiounaire a concurrence de 176.000 iranc#
dans la formation du capital global. Elle
portera sa part a 185.000 francs, soit un
supplément de 9.009 francs de sa partici
pation dans ce capital.
Une délibération analogue est prise pour
la ligne Ypres-Qheluwe. Le capital de
50.000 fr. Beraitporté a 64.000 francs, la
participation de la ville étant ainsi aug-
i^iijl iÉ» TIM
Satholique
de I'Hrrondissement
itttpoacia j'dtunia UI1C UUITC.
xs.,;o 1
1*
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