O' mw w a* L'Incendie de la Concorde Nouvelles Moeurs I n joli Discours A l'Abime I!s reculent.. A quoi servent les Fermes- Chapel les Repos dominical PHARMACIEN DE SERVICE Vélodrome d'Ypres Les Pilules Pink on! guéri cel enfant. se A quelque chose malheur est boo, dit le proyerbe. Et de fait, les malheurs sontgé- précieux enseigne- néralement fertiles en fait sur le dos des je'suites chez lesqucls gobergea au Congo. Mais ce jeüne peut durer longtemps, et Vandervelde doit se rendre compte lui-même que son anticléricalisme aigu ne lui porte ments.Ils entretiennent la vigilance et pous- Pas bonheur. La Chronique pourrait lui rap sent au progrès. Ce sera encore, nous nous plaiions a le croire, le fruit du tout petit malheur survenu, dimanche dernier, au loo&l de la société La Concorde au cours de la charmante fête de l'Arbre de Noël qu'on y avait organisée, pour la plus grande joie des mioches, et aussi des parents, voire de ceux qui n'ont pas d'enfants... mais les ai ment tout de même. Nous avons, a Ypres, un corps de pom piers modèle, excellement commandé, exercé et outille'mais cela ne suffit pas. Le petit extincteur que M. Paul B... avait eu la precaution d'apporter pour la circon- stance a remplacé avantageusement, a lui seul, tout notre corps de pompiers, arrêtant instantanément le commencement d'incendie et prévenant la panique fatal9. En présence de ce beau résultat, on se demande s'il n'y aurait pas lieu de multiplier les merveilleux extincteurs dans nos monu ments artistiques, aux archives, au musée, a la bibliothèque, etc., surtout aux étages. II y a la de plus précieux objets a protéger que ceux qui garnissaient l'arbre de Noël de la Concerde. Cette le<jon vaut bien une paire de draps de lit, sans doute Voici ce qui se lit dans la chronique bru- xelloise du Carillon d'Ostende II s'est'produit ces jours derniers des cho see inouïes, lantastiques, étsurdissantes. Tout d'abord ce fut M.le ministre Berryer, recueillant, a la Chambre, les trés bien de M. Lorand, en matière de politique commu nale, après que M. Renkin se fut vu, en ma tière coloniale, approuve' par les trés bien de M. Frederic Delvaux. M. Levie, qui est une sirene ministe'rielle dont l'e'loquence laisse sous le charme, même ceux qui ne partagent pas ses opinions,\a, de son coté, hérité de maints compliments venant de l'adversaire. Mais ce qui est réellement vertigineux, e'est le petit discours du bourgmestre de St- Gilles, buvant a la prochaine rentre'e au con- seil communal, grace a la R. P. ge'néralisée, des conseillers catboliques auxquels le ré cent cartel a donné des loisirs. Jen suis resté baba, et je le confesse a ma bonte, ma trés grande honte. Je m'étais fait une si fScheuse opinion des politiciens en général et de certains autres en particulier, que jamais je n'aurais cru qu'd pouvait se trouver a la tête d'une de nos 2Óo3 commu nes un bourgmestre assez inde'pendant de caractère pour former des voeux en faveur de la rentree en son conseil des adversaires que, la veille, il avait laissé traiter par la presse de ion parti d'une si invraisemblable quan- tité de noms d'oiseaux, que les lecteurs des papiers électoraux avaient [évidemment dü prendre les candidats catholiques pour des oies qu'on voulait faire de'gringoler du Capi- tole. Et voila qu'on va les y remener triompha- lernent. Et plus loin II faut, cn effet, reconnaftre que le minis tère de Broqueville fait l'impossible pour se rendre populaire. A tour de röle,les ministres assistent a tous les banquets quelconques et y prononcent des toasts pleins d'esprit, com- me celui de M. Carton de Wiart en I'hon- neur de la Presse, et celui de M. Van de Vyvere a la louange des labricants de cuirs. D'autre part, c'est une vraie pluie de de corations qui s'abat sur des centaines de poi" trines on relève les traitements de tous les agents de l'Etat on achéte des canons et des mitrailleuses on active les travaux publics en cours et on en decide d'autres C'est trés bien, mais moi, elles m'inquiètent un peu, toutes ces dépenses Nos moeurs politiques changeraient-elles 1 Nous croyons qu'oui. Les longues années de gouvernement clerical ont amené avec elles une lente evolution et la civilisation fait son entree dans la politique. C'est une entrée tardive mais heureuse. Le gouvernement catholique a mérité les éloges qu'on lui adresse et qu'on adresse a ses amis. Sans doute les affaires furent bien gérées, mais ce n'est pas cela qu'un adver- saire apprécie. Ce qui importe c'est qu'en les gérant il a respecté les opinions de tous, il s'en fait le gardien des intéréts de tous et surtout il a pour tous été aimable. peler certaines histoires de mangeurs de curés davant 1884... Mais n'est-Ce pas dans les rangs des hommes de la Maison du Peuple qu on remarque déja les premières récrimi- nations. La aussi le vent anarchiste commen ce a soufller et l'autorité des grands chefs commence a être battue en brèche. Le Peuple célèbre son 25e anniversaire a huisclos tant on craint l'explosion publique de mécontentements. L Exploité cloue, dans chacun de ses numéros, au pilon, tous les profiteurs de la Maison du Peuple. L'Employé, organe syndicaliste, proteste contre les politicailleurs qui mettent leurs petits intéréts au dessus de l'intérêt de classe. Et dans les rangs des gérants des Maisons du Peuple, Sipido lui même, qui s'en prit un jour au roi d'Angleterre, relève la tête, et quoiqu'attaché au service de l'Administrateur délégué, proteste au nom de tous les gérants contre la polémique engagée par son chef a propos de la fermeture des magasins a 7 h., et au cours de laquelle celui-ci s'est permis des commentaires désobligeants pour ses esclaves. Partout nous voyons 1'élément anarchiste prendre le dessus et Vandervelde, pour rester a la tête de ses gens, doit presser le pas, tenir a Roux et ailleurs des propos qui le font bien plus ressembler a un sans culotte en délire qu'a un hommed'Etat. Le Journal de Liège a bien raison de le constater, le socialisme mène tout droit a 1'anarchie. M. Henry Carton de Wiart a prononcé au déjeuner offert a Bruxelles a l'cccasion du XXV« anniversaire de l'Associaóon de la Presse beige, un discours qui fut longuement acclamé. II était si joli de forme, si heu- reusement venu qu'un confrère n'a pu résister alamanieprofessionnelle de le pren dre au vol. Le voici Le gouvernement catholique qui, depuis 27 ans, occupe le pouvoir, mérite-t-il notre confiance Non ne cessent de crier tous les jours ses adversaires mais les faitsj sont la qui leur donnent le démenti le/plus formel. En 1884, le total de nos importations et de nos exportations atteignait 2 milliards 763 millions. Aujourd'hui ce total dépassera les sept milliards, soit presqueffe triple du mouve ment du commerce au moment ou le parti catholique prenait le pouvoir. Pour un parti Vétrograde,]tce résultat est coquet et aucune fraction politique n'a été dans la mesure d'encourager une prospérité pareille. Ce n'est certes pas le gouvernement des sept macons qui pouvait pre'tendre a pareille gloire et 1 on se [souvient encore dans quej naufrage financier il sombra. Pour mate'rielles que soient ces'préoccupa- tions, il en jest qui font réfléchir et la ré- flexion'engendre la crainte du changement, tant qu'on est bien. e*. bh 'j* M MM*V&t&Vi W&.MM L'Union a gauche Le correspondent bruxellois de la Gazette de Liège fait la constatation suivante Combien de temps le ménage cartelliste vivra-t-il en bons termes f Combien de temps Vandervelde parviendra-t-il k maintenir l'union anticléricale t Pour le moment il l'a Mais c'est pour mieux sauter.dit le Peuple. Géne'reux et magnanimes, ils se paient le luxe de laisser le gouvernement catholique tranquille jusqu'a l'échéance prochaine. Sa démission devait être d'abord donne'e de sui te plus de re'pit, un cabinet d'affaires allait assurer provisoirement le gouvernement. Voila ce que l'on pouvait lire tous les jours avant la rentre'e des Chambres. La ren tre'e a lieu et aussitot devant la ferme attitude de la droite, la décision du ministère, les franches déclarations du président du conseil et l'échec du boycottage dans les sections, tout change. Le chambardement estremisa huitaine. Les catholiques ne pouvaient man- querd'cn faire la constatation. Aussitot le Peuple riposte C'est, au contraire, précisément paree que nous avons la conviction, la certitude que le pays est dégoüté du régime des cléricaux et que nous tenons comme hors de doute leur prochaine débacle, que nous n'avons pas jugé nécessaire de recourir aux grands moyens en déguerpissement, avec la seule perspective de gagner quelques mois et d'a- vancer si peu l'heuie de délivrance. Nous ne nous dissimulons pas, avec notre ami Louis Bertrand, ce terme de répit, qu'il présente des inconvénients graves et des pé- rils sérieux. Le gouvernement va non-seulement user mais abuser de son reste pour pratiquer, ainsi que l'a dit Vandervelde, la corruption privée et publique. II appartient a l'opposition de veiller. La latte n'est pas suspendue il n'y a nul armistice conclu l'assaut continue. Sans doute, mais nous yeillerons a notre tour et saurons bien nous défendre. L'Association de la presse beige est de 1 école d'Hé'iogabale. Eile ne se contente pas de restaurer fastueusement ses invités. Au dessert, elle les étouffe sous les fleurs. Ces fleurs, dont vous m'avez donné trop large mesure, Monsieur le Président, je les accueille cependant sans déplaisir. Car elles me sont la preuve d'un sentiment charmant et que votre Association cultive avec succès. Je veux dire la confraternité. Dans toutes les professions,ou a peu prés, on parle de la confraternité. Mais chez vous, on la sent, on la voit. C est elle qui fait que vous vous reconnaissez de tous les points de I horizon. C'est elle qui, aux heures tristes, quand le malheur ou le deuil frappent dans vos rangs, vous groupe au secours de Tin- forfune. C'est elle aussi qui rend votre coalition si féconde lorsqu'il s'agit de quel que belle oeuvre humanitaire ou patriotique soutenir. C'est elle enfin qui, a certaines heures jubilaires et joyeuses comme celle-ci, abaisse toutes les barrières pour unir dans une même sympathie d'apparence paradox ale ceux dont le cerveau et le coeur luttent cependant pour des idéals si différents. C est a titre de confrère que vous avez bien vouiu me saluer ici, Monsieur le Prési dent, et je vous en remercie. M. Edmond Patris a bien voulu le rappe- Ier, j'ai beaucoup touché a la Presse. Tout d'aborl, j'ai connu les émotions du petit journal procréé, au cours d'une réunion de 1 quelques amis, dans une belle flambée d'enthousiasme. Le petit journal imprimé avec des têtes de clou sur du papier a chan- delles. Le petit journal parfois a court de copie et plus souvent a court d'argent. Le petit journal que le grand public s'obstine a ne pas acheter et que ses rédacteurs vont eux-mêmes réclamer aux kiosques dans le fol espoir d'en faire monter la vente. Le petit journal chancelant, mais que l'on aime de tout son coeur, comme on aime son enfant surtout lorsqu'il est chétif, précisément j paree qu'il est chétif et qu'il est menace. C'est ce qu'on appelle la pr^ sse périodique. j Puis j'ai touché a la grande presse. J'ai vécu l'obligation de fournir chapue jour régulièrement pendant des années, a des lecteurs inconnus et dont je demeurais sans doute ignoré, des opinions toutes fraiches surleschoses que je coanaissais et même sur celles que je ne connaissais guère. Cette fois, c'est ce qu'on appelle la presse quoti- dienne. Les années sont venues, et d'autres soucis et d'autres devoirs. Mainteuant, ce j n'est plus moi qui touche a la presse. C'est plutot la presse qui me touche. Et par la nous demeurons en contact... Quelqupfois, ce contact est délicieux, comme aujourd'hui par exemple. Et alors, on voudrait que cela durêt toujours. D'autres fois, la Presse y va d'une touche plus rude et presque violente. Mais quelle que soit sa I rudesse, je ne puis m'empêcher de l'aimer tout de même. Et quand il m'arrive au matin d'ouvrir un journal et d'y trouver une bonne attrapade dont je fais les frais, je me souviens de ce philosophe ou de eet hygiéniste qui pre'ten- dait qu'il n'y a rien de meilleur que d'avaler chaque matin un crapaud pour son petit déjeuner. II parait, en effet, que c'est excellent pour se faire l'estomac. j Et puis il faut bien se dire que les crapauds n'ont peut-être pas toujours tort. Après tout, ces polémiques, ces querelles, lorsqu'elles ne dégénèrent pas en me'chan- cetés personnelles, c'est la vie, c'est le progrès 1 C'est ainsi, par le Jibre conflit des idéés, par le jeu de Faction et de la réaction, que se traduit l'étiage de l'opinion publique et que s'établit en définitive l'équilibre d'un pays. II n'y a pas bien longtemps, c'était en Amérique naturellement, un journal ouvrit une enquête parmi ses lecteurs au sujet de l'utilité de la presse. Ces sortes d'enquêtes sont trés commodes. Elles permettent au journaliste de se reposer et de faire faire sa besogne pour rien par des amateurs désireux de se lire. Ainsi tout le monde est content. Parmi les réponses que recut le journal américain, il y en eut une signée par un homme politique trés connu. Celui-ci pro- clamait J'estime qu'un pays pourrait beaucoup plus facilement se passer de gou vernement qu'il ne pourrait se passer de journaux Vous me permettrez de trouver que cette réponse allait un peu loin et vous n'attendrez pas de moi que je l'approuve sans réserves... Tout de même, s'il fallait tout d'un coup, dans notre civilisation d'aujourd'hui, suppii- mcr tous los journaux, dites-rmoi quel arret dans la circulation vitale <de la société? Un pays sans journaux... Ah qu'il y ferait ennuyeux et mort. Et comme la routine, lesabus et le rondecuirisme le plus épais se mettraient aussitot a fermenter et a cham- pignonner 1 Ecartons ce cauchemar, Messieurs, et em- pressons nous de boire a la santé de la Presse a sa santc' physique et a sa santé morale. D'habitude, dans les banquets, c'est ce toast qui cloture, un peu piteusement, la série de tous les speechs. Que ce soit aujourd'hui notre première pensée et notre premier geste. Je vous convie a boire aux destinées de la Presse beige qui est, dans son ensemble et ses variétés, si représentative de l'esprit beige avec ses grandes qualités et ses petits défauts. Oui, il exprime bien la mentalité de ce pays de bon sens tranquille et de traditions robustes qui ne se frappe pas volontiers et répugne malgré quelques tentatives au puf- fisme et aux boursouflures. Oui, elle demeure de franche allure, férue d'indépendance, vouée au bien public, fécon de en talents originaux, et de plus en plus soucieuse des besoins moraux, artistiques et littéraires de la Nation. Oui, elleapparaitsurnotre horizon, comme un foyer en pleine incandescense d'in- tellectualité et d'éducation populaires. Messieurs, que ce foyer soit toujours plus ardent et sa flamme plus claire et plus pure. Qu'il rayonne avec une puissance toujours nouvelle pour le bien moral et matériel de la Patrie. Vive l'Association de la Presse beige S# S# S# 2# '£0 5'?f «S® BURGERSTAND VAN yper Verklaringen van den 2; tot den 29 nec. i9ü ^Geboorten Dauchy Jeanne, Aardestraat. Miebiels Maurice, Kanonstraat Velghe Henri, Bukkersslraat Cal (eeuw Albert. St Jacobstraat Velghe Jeanne, Bukkersslraat Gouwy Eliane, Kalfvaart. Devos Maurice, Zonnebekesteeuwe" Delahaye Emile, Jules Capronslraa't Beerlandt Mane, Poperinghesteenweg Coquel Jeanne, Zonnebekesteenweg Dehern André, St Nicolaasstnat Dslahaye Eslher, Dixmudesteen'weg. Huweljjk Verbille Amand, landwerker te St Jan Segers Leonie, en Kestelyn Eugenie k'arX, werkster te Yper, wed' Dumon Charles. Sterfgevallen Libberecht Valeer, 19 j z. b Neerstraat. Catry Angele, 34 ninckstraat. J- ongehuwd, z. b. ongehuwd, Wen- Hoste Sidonie, 44j.,z. b. ongehuwd, Pope ringhesteenweg. 1 Demoor Pierre, 69 j., z. b. wed- Vanexera Mane, Boterstraat. C'est un Congolais, un noir qui va répon- dre. Ce noir, Paul Ganda, est agé d'environ 23 ans. II avait 7 ans quand il fut amecé en Belgique. 11 y a vécu 14 ans, a regu une education trés soigcée, parle couramment le francais. II vient de rentrer du Congo oü il a achevé un terme do 2 ans, dans le district de l'Equateur. Mardi soir, il devait donner une conférence dans un cercle privé a Louvain. Nous lui demandions le sujet qu'il allait traiter. Je vais répondre a la question Les noirs sont-ils civilisables Qu'entendez-vous par noir civilisé C'est un noir qui comprend et accepte la manière de vivre des Européens. Pensez-vous done que les Congolais puissent se civiliser Certainement.puisque les poirs d'Amé- rique, originaires d'Afrique, se sont civili- sés. Mais il faudra évidemment plusieurs generations et les enlever a leurs milieux Faudra-t-il done amencr en Europe tous les Congolais Non pas mais que font les mission- naires au Congo Ne retirent-ils pas les enfants du milieu iniigèue pour les mettre dans un village chrétien plus civilisé? Dc progrès en progrès ils arriveroat a la civili sation. Ne suffirait-il pas de mettre une école daus le village indigène Non, car au sortir de l'école, les en fants verraieet les vieux qui sont jaloux de voir civiliser les plus jeunes leur dire F.li bien! pourquoi ne faites-vous pa» comme nous, et comme nosancètres ont fait? Pour quoi voulez-vous devenir comme desblancs?» Ces reproches et l'exemple des vieux sont le plus grand obstacle a la civilisation des jeunes noirs. Le R. P. Van Ilenxthoven en fondant les Fermes-chapelles visait ce but former des chrétiens, les civiliser peu a peu, sans se cousse, 1 our n'en pas faire des déclassés, et cela en soustrayant les enfants k l'influence nefaste d'un milieu barbare. Paul Gauda a compris toute l'efficacité d'un pareil système de civilisation et d'évan gélisation. Certains blancs seraient-ils moins forts?... KTAT-CIVIL DE COMINES-BELGIQUE. Naissanees Léon Staes, Section de la Garotte. Joseph Hagliedooren, Gomines-Ten Brieion. - Désiró Lecluse, Gomines-Ten-Brielen. Décès Martial Roussel, 78ans, Gomines-Ten-Brielen. - Jéröme Verbille, 36 ans, rue d'Houthem. Dimanche 3i Décembrt ion A. WECKESSER, rue de Dixaaude, 68 Lundi 1 Janvier icjio Nouvel An) L. AER TSENS, marché au Beurre, 9. Si vous toussez, si vous êtes oppressé, si vous craehez diffieilement.si vos nuitssont mauvaises prenez la délieieuSe Pastile Pectorale Walthéry et vous serez tout de suite guérie. 1 fr. la holte Ti ra ge 05459- du vélo. N° gagnant N demande comme servante pour maison bourgeoise a Lil le, une jeune fille bien élevée sachant entretenir un ménage.. S'adresser a Madame Thuilliez, rue Van Dyck, 5S, Lille, en donnant références et prétentions. M. Fohet. M. A. Fohet, inspecteur da la répression des fraudes, demeurant 7, rue Gauthier, a Bóthune (Pas-de-Galais), nous a écrit A la suite d'une bronchite grave, notre tils, agé aujourd'hui de 12 ans, était resté trés affaibli et eonsidérablement déprimé. La suralimenta- tion, lc-s f'ortitiauts n'arrivaient pas a le remettre sur pieds. L'enfant n'avait plus de d'appétit, plus de forces et son caractère naturellement enjoué était devenu sombre, taciturne. Nous commen- cions concevoir a son sujet les plus sérieuses inquiétudes. On nous conseillade lui faire pren dre les Pilules Pink. Mon tils a pris les Pilules Pink pendant un mois, a raison d'une pilule après chaque repas, et il est mainteuant méta- morphosé, les couleurs lui sont revenues,ses for ces aussi et nous l'avons vu avec joie retrouver sa gaieté et sou bon appétit d'autrefbis. Chez les enfants dont l'organisme est déja affaibli par les exigences de la croissance, une bronchite, un simple rhume peuvent avoir les plus graves conséquences. On ne saurait trop recommander a cette époque de l'année l'usage des Pilules Pink aux entants de 10 a 14 ans. Leur LA PETITE MINERVA SANS SOU- PAPES, dont nous avons annoncé la créa- tion, sera pourvue d'un moteur Knight 12/18 H. P4 cylindres et elle sera identique aux autres types, comme rcatières premières, fa brication, tini, qualité et perfectionnements. Parses dimensions, sa légèreté, son prix, t les lrais minimes d'entretien et de consom- faire prendre quelques boites de Pilules Pink, mation qu'elle nécessite, elle constitue le type idéal de la voiture pratique et écouomi- que. La 12 18 H. P', en effet, convient a 1 homme d'affaires désireux avant tout de posséder un véhicule utilitaire ou au touriste dont le budget ne peut s'accomoder des voi- tures plus puissantes. Elle répond done a de multiples besoinset il n'yariend'étonnaut de voir dès maintenant toute la production 1912-13 prise par les agents de la grande fir- me anversoise, oü, décidemeut, coule le Pactole. c'est leur assurer un tempérament fort et leur pormettre de résister aux traitrises des intem- péries. On trouve les Pilules Pink dans toutes les pharmacies et au dépótpharmacie Derneville, 66, boulevard de Waterloo, Bruxelles 3 fr. 50 la boïte 17 fr. 50 les six boites, franco. Si la nourrilure vous repugne, si vous n'avez pas d'appétit, si vous avez la langue chargée et la tète lourde, prenez quelques Pilules antigla'- reuses Walthéry et vous retrouverez appéfi' vigeur et digestion parfaite. 1 fr. la boite. «finf Oil n«*S\rrr>£ka Po nowo n/» Pr rortoinao l-Q J i

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 2