Téléphone 52
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Samedi 13 Janvier 1912
le N° 10 centimes
47 Année fS° 4716
Étrenncs Pontificales
Un grand Devoir
Zoetenaye
Standiana
I.es Mission na ires
et Ia Science
1 ie #5 pr\ pp, Pt pp pr* pr. pr> p£
Pensées Diverses
La Sincérité du Journal
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Liste précédente 200 00
Onbekend 2 00
Voor Pius X ter eere van den
H. Jozef 2.00
Eerw. lieer Ryckeboer, pastor
op St Niklaais, te Yper 20.00
M. Th. Benoiet en Zusters, Dra-
noutre 3.00
Eerw. Heer George, rustend
paster, Boesinghe 30.00
Onbekend ooi eene groote gunst
te bekomen 100.00
pP_ pp gs pi 'pi pi pt p* pl
Quand on jette un coup d'oeil sur la France
couteraporaine, cette France qui fut si gran
de et si belle par sa (oi et ses oeuvres peut-
on ne pas être navré en constatant une si
triste déchéance 1
Peut on ne pas déplorer cette persécution
aoharnée contre 1'Eglise et ses ministres,
cette laïsication funeste des écolas et des
hüpitaux, cette spoliation des biens de tant
destitutions charitables et chrétiennes
Peut-on ne pas déplorer cette progression
constante des crimes et des délits, particu-
iièrement parmi la jeunesse, ces suicides,
ces divorces, ce dévergondage éhonté dans
les moeurs, cette licence scandaleuse accor-
dée au théatre, aux journaux, a tant de pu
blications malsaines, oü fleurit la plus
écoenrante immoralité
Tandis que les francs magons et les li-
bres-penseurs, voire même les anarchistes,
jouissent de toute liberté pour s'associer et
se réunir dans leurs loges secrètes, on a vu
fermer brutalement des établissements aussi
admirables que ceux des Frères des Ecoles
chétiennes, ceux des Salésiens, non moins
admirables, et ceux de tant de braves reli-
gieuses qui s'occupaient en paix de l'éduca-
tion de la jeucesse ou se vouaient généreu-
sement aux soinsdes malades et des intlrmes.
Et dire que cette déchristianisation syste'
matique de la France est accomplie par des
hommes qui, en toute occasion, ont a la bou-
cbe les mots de «liberté» et de «fraternité»
C'est l'éternelle duperiedes mots. La liberté,
les persécuteurs ne la veulent que pour eux-
mêmes et leurs amis leur fraternité consis-
te a traiter en ennemis et a écraser tous
ceux qui ne pensent pas comme eux.
Or, il n'y a pas d'effet sans c-iuse.
Qu'est-ce qui a mis la France dan3 la si
tuation déplorable oü elle se trouve, divisée,
inquiète, sans sécurité du lendemain 1
Les esprits les plus clairvoyants ion dit
et répété c'est la Presse, la presse ma$on-
nique et fibre penseuse c'est elle qui a
perverti l'opinion publique, chassé Dieu des
ócolcs et préparé le triomphe du matérialis
me.
Les catholiques, hélas 1 ne se sont guère
servi8 de cette arme redoutable qu'est la
Presse. Leurs rares journaux, un contre dix,
11e pouvait lutter efficacement coDtre le flat
toujours envahissant de3 feuilles hostiles
1'Eglise et aux institutions catholiques.
Tandis que les catholiques créaient des
oeuvres, les autres fondaient des journaux
destinés a ruiuer ces oeuvres, et, a la longue
les journaux ont réussi. Quand done les
catholiques comprendrent-ils que la preBse
est l'oeuvredes oeuvres, que sans elle, leurs
écoles, leurs höpitaux, leurs orpbelinats,
toutes leurs institutions charitables sont
comme balies sur le sable, saus stabilité,
sans garanties pour le lendemain 1
Nous voyonsdes catholiques laisser, après
leur mort des sommes considérables a toutes
sortes d'oeuvres trés méritoires, sans doute,
mais, en réalité, moins nécessaires que 1 oeu
vre de la Presse. Vit-on jamais un catholique
laisser la grosse somme pour fonder un
journal et pour en assurer l'existence. Quel
bien cepeudant peut faire un journal fran
chement voué a la réfutation de l'erreur et a
la diffusion de la vérité
Le poignard leplusaigu, le poison le
plus subtil, a dit Louis Veuillot, c'est la
plume dans des mains sales. Avec cela, on
gdte un peuple, on gÊte un siècle. On voit
que Veuillot fut bon prophéte.
S'inspirant de cette pensée du grand polè-
miste, le R. P. Coubé faisait remarquer que,
ce que disait Louis Veuillot de la mauvaise
presse, de la presse inföme, impie et ordu-
rière' a sa contre-partie dans l'ceuvre salu-
taira de la presse vouée a la defense des
intéréts sacrés de la religion et de la patrie.
Quel est done le devoir, le grand devoir
des catholiques a l'heure présente
Ce devoir est double, dit le R. P. Coubé
Contre la mauvaise presse, il est néces
saire de s'anner d'une sévérité impitoyable
pour ne conniver d'aucune facon, ni par
lecture, ni par abonnement, avec l'abomina-
ble besogne que fond des journaux unique
ment soucieux d'ódifier leur fortune sur le
mensonge, le scandale et l'impiété.
Pour les bons journaux, au contraire,
le devoir des catholiques est de leur donner
une aide efficaee, aussi bien par la contribu
tion personnelle que par la lecture et une
active propagaude.
Mgr Gibier, évêque de Versailles, ajou-
tait a ces recommandations adressées aux
laïques Les prêtres, eux aussi, n'ont pas
seulement le droit, mais le devoir des répan-
dre la bonue presse. O'est une erreur de
croire que Paction du prêlre se concentre et
s'achève dans son église. Sa mission étant
d'insinuer l'Evangile dans toutes les fibres
de la société, d'accréditer sur la terre le
vrai et le bien, de donner Dieu, au monde,
il est souvent oblige de prendre des initiati
ves qui le font sortir de son presbytère et de
son église. Ii est le Sel de la terre Si le
sel reste d ns la salière, il peut orner la table
et y tenir une place honorable, mais il man
que sa destination, qui est de saupoudrer
les aliments.
Le prêtre est aussi la lumière du
monde mais si le flambeau est mis dans
le boisseau, il cesse d'óclairer, il n'a plus sa
raison d'être.
Toutes les entreprises qui ont pour but
d'évangéliser, conviennent au prêlre. Or,
Léon XIII, quand il était archevêque de
Pérouse, disait Je considère le journal
catholique comme une mission perpétuel-
le clans mon diocese, Et Pie X a dit un
jour, lorsqu'il était évêque, qu'il vendrait
son anneau pastoral plutot que de laisser
périr, faute dargent, un journal catholi
que.
La conclusion de ces lignes est qu'aucun
catholique ne devrait se désintéresser de
l'ceuvre de la Presse. Répandre les bons
journaux, s'est répandre la boune semetce
qui donnera de bons fruits. Le pain intel
lectual n'est pas moins nécessaire que le
pain materiel, et il faut que, comme celui-ci,
ce pain soit sain, qu'il ne contienne pas de
matière nocive. Distribuons-le largement,
selon nos moyens. Souvenons uous de ce
grand devoir, surtout au moment du renou-
vellement des abonnements. Et s'il faut,
pour cela, nous y imposer quelque sacrifice,
n'hésitons pas, puisqu'il s'agit du bien des
ames et du bien de la patrie.
St$, 'ilP sit
d'un congé définitif, avec certificat de mau
vaise conduite.
lis avaient fiai tout de même par se douter
un tantiaet de la na'iveté de leur inlassable
espoir...
Belle Philis, on désespère,
Alors qu'on espère toujours.
Mais voici que le drapeau rouge, en mê-
lant ses plis a ceux du drapeau bleu, dans
les rues de la capitale, est venu ranimer un
peu les espérances défaillantes.
Quos perdere vult Jupiter dementat. Les
pauvres lis ne s'aperQoivent pas que c'est
précisément cette alliance monstrueuse qui
achèvera leur perte
Le peuple beige, loyaiiste et ami de la
paix avant tout, consentirait encore, a la
rigueur, a laisser l'escarpolette clérico-
libérale ramener en haut le parti libéral
mais du moment que la Marianne pseudo-
beige veut 8'asseoir auxeótés de la Doctrine,
il no saurait plus être question de soulever
ce paquet-la. C'est lui même qui maintient
triomphant dans les airs le gouvernement
catholique.
Mais laissons nos'adversaires dans leur
chère illusion laissons-les y jusques a
PSques pardon jusqu'a la Trinité
pp pp pp êf» êp pp pp' tP er*
la Maisen communale on va faire une par.
tie de boules ou de vogelpik a Lampernisse>
et on rentre joyeux et dispos, ayant digéré
sa bière en avalant des kilomètres
O fortunatos nimium
s# 'tfP ïff s# .sflp
ou a la Trinité
Ce refrain de la chanson de Malbor ough
m'est venu tout naturellement sur les lèvres
Bitot que je me suisavisé de chercher, dans
le calendrier de l'an nouveau, sous l'égide de
quel protecteur céleste se livrerait la grande
batailie éSectorale que le cartel libéro-
Bocialiste assure devoir être notre Waterloo.
Voici un quart de siècle qu'a chaque con
sultation nouvelle de la volonté nationale,
nos adversaires s'imaginent que le pays
rappellera au pouvoir ces sectaires néfastes
et ruineux que, Je 10 juin 1884, il gratiüai1
La publication des résultats officiels du
dernier recensement vieot de remettre en
vedette la commune de Zoetenaye, Ia moins
peuplée du pays, qui comptait 28 habitants
au 31 décembre 1900 24 seulement, dix
ans plus tard, et actuellement 26.
Perdue daus l'immensité désertique des
marais du Furnes-Ambacht, elle est redé-
couverte, de temps en temps, soit par de
vaillants agents du fisc ou des recenseurs
déoennaux, soit par d'intrépides globs-
trotters, tels les meilleu s jarrets du Cycle
Club yprois.
Faut il dire avec quelle pitié ironique en
parient ceux qui l'ont explorée avec quel
dédain la toisent les autres localités lillipu-
tiennes du pays, jusqu'a ces petits trous do
Herten, deNiverléeou de Frelonx qui ne
comptent eux mêmes pas cent habitants
La sotte vanité Combien se doutent que
Zoetenaye est bel et bien une des plus gran-
des communes du pays Avec les 206 hec
tares sur lesqueb règne son bourgrnestre,
c'est lui qui peut regarder de haut les plus
fiers maïeurs du pays, comme, par exemple,
celui de Saint Josse-ten-Noode, obligé de
parquer ses 31,865 administrés dans un
territoirede 113 hectares seulement.
Et ce n'est la qu'un de ses avantages ma-
tériels. Mais, dans l'ordre moral, quelle
supérierité sur la plupart des villes et villa
ges de Belgique A Zoetenaye, pas un pau-
vre a trouver, pas même un semblant de
pauvre, opulent rentier de la Bienfaisance
et des Hospices, comme on en trouve a
4 pres. Si bien que l'humble commune
éprouve le hesoin d'épancher sa charité par
delè les limites de son territoire, a la fagon
des milliardaires américaics, et se paye le
luxe d'entretenir deux indigents qui habitent
Eggewaerts-Cappelle.
Ni politique ni journaux rlans eet Eden
jamais de meetings ni de pomtnes cuites.
Les ciDq él cteurs de lendroit si'élisent eux
mêmes etcomplètent Jeur conseil communal
en sadjoignant deux amis communs du
village voisin.
Zoetenaye détient surtout l'enviable re
cord de la dignité et de la tranquillité pu-
bliques. La point de caboulots ni de salles
de danse; point de tapage nocturne, de rixes
ni de saturnales.
Quand c'est la kermesse a Zoetenaye,
le 2' dimaDche de juin, on va prendre un
verre ou deux a l'unique cabaret de l'endroit,
Le Moniteur des Standistes yprois ne
pourra manquer, a la suite de 1' Etoile
Beige», d'allumer un cierge en l'honneur
du gouvernement catholique, en actions de
graces pour les étrennes dont viennent d'être
gratifiés tous les amis du noble sport du tir.
Voici notamment ce qu'imprime l'ergane
libéral bruxellois
Jusqu'ici les communes ne pouvaient
s'adresser, pour la création d ua stand, qu'k
des officiers du génie, a peu prés les seuls
ingénieurs possédant a la fois des connais-
sances suffisantes en balistique et en con
struction. Mais les officiers du génie sont
généralement trés occupés, depuis quelques
années surtoutils ont a pourvoir au ca-
Bernement de la gendarmerie, a la construe-
tion des forts d'Anvers, h, d'autres besognes
ressortissant a leur emploi. Aussi les com
munes devaieut-elles attendrejort longtemps
parfois, les plans de leurs stauds, oun'arri-
auteurs, dar.B 1'intervalle, avaient changé
de grade, de destination et de residence.
Un arrêté royal vient de combler une véri-
table lacune en instituaot.sous la présidence
du général Wouters, une commission per
manente des stands de tir qui aura désor-
mais a connaitre de toutes les questions de
l'espèce.
P' t*P PP, PP, PP PP PP.
Les attaques injustes et odieuses dont les
missionnaires ont été récemment l'objet
auront certainement produit un résultat tout
opposé a celui qu'escomptait le député qui
se les est permises, sous le couvert de l'irn-
munité parlementaire, après avoir mis
juda'iquement a profit l'hospitalité de ceux
qu'il voulait vilipender.
La grandiose manifestation anversoise n'a
fait qu'ouvrir une imposante série de repa
rations publiques que tiennent a organiser
tous les principaux centres du pays. La
presse, de son cöté,et non pas exclusivement
la presse catholique, tient a apporter sa
part a la manifestation réparatrice. Elle
tient, au risque de forcer la modestie des
admirables victimes d'attaques injustes, a
montrer sous leur vrai jour les héros obscurs
qui, dans tous les recoins les plus ignorés
du globe, se vouent, corps et ame, a la civi
lisation et a la science.
Bornons nous, pour aujourd'hui, a signa
ler que, daus une plaquette de trente pages,
M. Ouasco a fixé sous ce titre Les Mis
sionnaires et la Science les noms et les
eeuvres des évangélistes coutemporaius.
Qu'il s'agisse d'Astronomie et de Météo
rologie, d'Etudes géographiques, de Gram-
maire comparée, d'Histoire religieuse ou
profane, les Missionnaires s'affirment par-
tout explorateurs hardis, pionniers infati-
gabies, mythologue8 sagaces, apologistes
éclairés. Modestes, ils écrivent des livres que
les catholiques sont seuls a ne pas lire, mais
que leurs ennemis s'appliquent a démarquer.
Et qui fera le compte des inventions, des
perfectionnements, des cultures, des accli-
matations l'actif des religieux perdus dans
les provinces de la Chine, dans les forêts de
la Papouasie, dans les vallées qu'arrosent
les grands fleuves de l'Amérique méridionale,
dans la brousse des regions africaines oü
vivent les nolrs cannibales des tribus déshé-
ritées f Sait on qu'ils ont domestiqué
l'éléphant d'Afrique, apprivoisé les paradi
siers de la Nouvelle-Guiuée, ensemencé des
terres aussi vastes que la France, introduit
des essences de plantes inconnues, amélioré
par des croisements des variétés insoupcon-
nées d'espèces animales, tout en déchiffrant
des papyrus ou des stéles, en arrachant leur
secret aux ruines,en relevant remplacement
de civilisations disparues, en redressaut
d'innombrablea erreurs de dates ou de méri-
diens t
(Dédié au citoyen Vandervelde)
Savez-vous que c'est parmi des moines,
au Mont Cassin, que j'ai trouve les penseurs
les plus fibres, les meilieurs patriotes. et les
esprits les plus éclairés de ce pays. J'ai eu lè,
sous les yeux, un bien curieux spectacle des
moines persécutés pour leur manière élevée
de penser et de sentir. Je me promets un vif
plaisir le jour oü je pourrai causer dc tout
cela avec vous. Renan correspondance
L'athéisme ent l'église des sots.
Voltaire.
Voici une remarque eurieuse tous les
coquins, tousles communards et tous les pé-
troleurs, tous les ivrognes, tous les maurais
sujets, tous les gens de sac et. de corde ^ont
ennemis des curés. Le fair nnti ce
D'autre part, les braves gens, les gens de
bien, les personnes charitables, les gens hon-
nêtes, estimables, délicats, sont presque tous
sympathiques aux curés et respectueux k leur
endroif. Taine.
PP. pp. pp. pp. pr» pr*
Sous ce titre, le Progrês met en sus
picion la sincérité avec laquelle nous avions
écrit récemment les lignes suivantes
«Nous avons fait ressortir.a la suite de l'in-
terpellation de M. A. Biebuyck, combien
était avantageuse pour la ville la nouvelle
concession du Gaz.
Cette constatation ne fait naturellement
pas l'afïaire du moniteur de feu le Group»
yprois, qui se voit force* de lacher le dernier
grief auquel il se raccrochait encore déses*
pérément, pour donner un semblant de fon
dement a son hostilité par trop intéressée.
Inutile maintenant de polémiquer da van
tage sur cette question. Le corps électoral
yprois a prononce' la-dessus l'arrêt définitif.
Non seulement le Groupe yprois n'a plus oté
montrer le bout du nez, a l'heure du scrutin,
malgré sa belle jactance de jadis mais la
population yproise a proclamé, en appel, a
la formidable majorité de 700 voix, qu'ella
approuvait hautement toute la gestion de nos
amis. L'afïaire est jugée.
Et l'organe bleu d'ajouter, sans justifier
son accusation Quelle superbe jactance
pour masquer le mensonge et la déloyauté
Laissons-lui ses gros mots et ses injures,
et relevons seulement son épatante logique.
Le Journal, dit-il, se permet d'écrire cela
a l'instant même oü la ville d'Ostende obtient
75 de reduction sur nos prix
Le pauvre logicien ne s'apercoit même pas
du pavé qu'il lance au cadavre du Groupe
yprois. La conclusion logique de son obser
vation, en effet, c'est que ledit Groupe a
essayé de carotter les Yprois. de la belle fa$on;
car non seulement ses prix e'taicnt de 75
trop élevés, de l'aveu même de son organe,
mais il n'offrait pas, comme la Centrale, des
avantages qui compensaient l'élévation des
prix et qui n'ont pas permis l'hésitation dans
le choix. Qu'eut-ce été si ce Groupe ne s'était
pas inspire' de son amour pour Ypres 1
Ecoutons encore le Moniteur du Groupe
Les Yprois sont contents dit le Journal,
mais voila qu'ils cherchent a se procurer
l'éclairage électrique pour supprimer le gaz
défectueux.
Eh, mais c'est justement pourquoi nous
avons surtout déclaré avantageuse la conces-
JOURNAL
YPRES
Organe Catholique
de rHrrondissement
vaiant jinn a réftliaor Ma plana, dont les