Téléphone 53 Téléplione 52 BH Samedi 20 Janvier 1912 le N" 10 centimes 47 Année IS0 4717 Étrenncs Pontificates Chronique de la Férocité féminine On s'abonne rue au Beurre, 36, Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine. k Ypres, et k tous les bureaux de poste du royaume. Les annonces coütent 15 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal 3o centimes la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémentftires coütent 10 francs les cent exemplaires. Pour les annonces de France et de Belgique (excepté les deux Flandres) s'adresser l'Afftmc ÏJavas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 e. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. Liste préeédente 357.00 Anonyme, Ypres 10.00 Anonyme, Ypres 4.00 Messieurs et MUes Baus, Ypres 100.00 if if 'if 'if "if 'if if if if. if.i L'Evolution Libérale Un article de M. Woeste Dans le dernier numéro de la Revue Générale M. Woeste rappelle les diverses étapes du parti liberal sur la voie du socia lisme. Le déaouemeut de cette évolution s'est, nos lecteurs ne Tignorent point, manifesté le 15 aoüt 1911, a l'cccasion du grand cortège de Bruxelles, 0(1 l'on vit les drapeatix rouges en grand nombre, mêlés a quelques dra- peaux bleus, marcher derrière Tharmenie de la Maison du Peuple Comment expliqtier le pbénomène politi que que ces lignes retracent se demande M. Woeste. Faut-il s'en réjouir Ou ne duit jamais se réjouir de voir les contagions mauvaises s'étendre dans le pays. Mais a que!le8 causes attribuer leurs progrès Vai- nement M. Hymans et ses acolytes clament- ils L'intérêt de la Belgique exige irnpé- rieusement iafin dela domination cléricale. La domination cléricale Je connais les dé- veloppements grandiloquents que l'on dor- 11e a cette implication. Mais je crois qu'elle laisse les populations froides. Ceux mêmes qui la repetent le font sans conviction. Le pays est paisible la liberie de chacun est ertière le clergé demeure en dehors de Taction politique active le commerce et Titidustrie déploient une activité merveilleu- se les dépenses sociales abondentles oeuvresde tous genres fleurissent/chacun sait qu'il en est aiusi, et, parmi ceux qui voient eela, beaucoup redouteraient notre chute et les hasards d'une nouvelle orientation poli tique. II faut done chercher ailleurs les cau ses du phénomène qui se dessine de plus en plus. Quelles sont-elles II y en a plusieurs. Deux surtout méritent d être signalées. Certains hommes politiques sont impatients de disposer du pouvoir ils s'eu défendentmais e'est une tentation si humaine qu'on ne les croit pas quand ils aftirment n'en pas vouloir subir les morsu- res. Et puis, la haine de la religion a fait Ca et la tache d'huile cette haine est aveu- gle elle est impérieuse elle ne s'arrête devantaucuu obstacle (1). Ellesévit comme une épidémie dans nombre d'Etats elle produitpartout les mêmes effets; la Belgique, en subissant les ravages, souffre d'un mal general. Ce mal est d'autant plus redoutable qu'il est difficile a combattre il vit de pré- ventions et de partis pris il n'entend pas raison ils se nourrit de déclamations il sea étourdit. Il produit sur ceux qu'il atteint cette influence que l'Ecriture dépeint en ces termes Ils ont des yeux pour ne pas voir et des oreilles pour ne pas enten dre. M. Woeste indiqus ensuite Tenjeu de la prochaine lutte electorale. Nous croyons opportuns de reproduire cette page et de la livrer aux meditations de ceux de nos amis que la tiédeur ou l'optimisme risqueraient d'envahir Et maintenant, le problème tel qu'il se dresse devant le corps élecloral est celui de savoir s'il en tend se livrer a Talliance socia liste-libérale dirigée, inspirée par des des seins de bouleversements radicaux. M. Hymans, écrivait il y a quelques mois: Le jour oil le parti libéral reprendra le pouvoir, il y aura d'immenses taches a remplir. II (t) L'élection du t5 Octobre, a dit M. Braun a'.ciand a un caractère essentiellement politique. Elle doit être anticatbolique et ar.tigouverne- mertale Flandre Libérale du 13 octobre devra porter'la'cognée partout, se frayer des chemins^dans la forêt des, privileges et des abus, et, de haut en bas, pénétrer la nation d'un esprit nouveau. (2) Eh bien, bonnes gens, qui aimez la paix, la sécurité de votre travail, la quiétude de vos habitudes vous qui avez la crainte in stinctive des exces vous tous qui estitnez dans un pays divisé d'opinions comme le nótre, la modération doit présider auxj rap ports des citoyens, voulez-vous jeter ces biens préceux aux quatre vents du ciel Entendrz vous ouvrir use^ère de troubles malfaisants dont Tissue ne peut être entre vue Je n'ignore pas qu'il e3t des hommes a courte vuequi, lorsqu'on dépeint les dangers dela situation nouvelle qu'inaugureraient nos adversaires, répondent inperturbable- ment cela n'arrivera pas Pourtant, exa- minons les choses de sang-froid. Si la coalition Temporte, se posera imnaé- diatement la question du suffrage universel pur et simple a la province et a la commu ne. II n'y a pas apparence que la majorité du Sénat puisse changer et que, dès lors, cette dernière assemblée se raillie a une telle réforme. Les gaucbes réunies de la Chambre accepteront-elles eet échec On ne peut le supposer mais alors elles devront tenter de procéder a une revision constitutionnelle destinée a modifier la composition du Sénat. Une revision constitutionnelle Elle aurait moins de chances encore que le projet de loi dont l'écbec i'aurait provoquée. Et dès lors qui ne voit, que, sous la poussée des pas sions libérales et socialistes, une ère d'agi- tation, de trouble, de coups de force, de mesures violentes s'ouvrirait Admettons même que le suffrage univer sel pur et simp'e réduit a la province et k la commune parvienue a réussir. Sans délai, les gauches alliées chercheraient a étendre le même régime aux Cbambres législatives. Ici, d'emb'ée, une révision constitutionnelle devrait être poursnivie. Les circonstances ne seraient pas les mêmes qu'il y a vicgt ans, alors que tous les partis étaient d'avis de modifier Particle 47 de la Constitution. Les deux tiers requis ne seraient pas obtenus. Dans ces conditions, les deux choses Tune ou le ministère de gauche se résignerait ou il ne le ferait pas. S'il se résignait et qu'il démissionnait, pourquoi le corps électoral se lancerait-il dès maintenant dans une aventu- re destinée a Tinsuccès Si, au contraire, il ne se résignait pas et qu'il recourait a d'au- tres raoyens extralógaux, oü irions nous 1 Ainsi, lutte portant sur les fondements mêmes de notre organisation politique lutte entre les pouvoirs dont la bonne harmonie peut seule assurer lefonctionnement régulier et normal de notre régime constitutionnel tel serait le premier résultat de la victoire de la coalition socialiste libérale.sans qu'une issue pacifique et heureuse put être entrevue. Et combien M. Anseele avait raison de s'é- crier, le 5 octobre dernier, dans un banquet qui réunissait bleus et rouges Les diffi- 1 cultés augmenteront au lendemain du triomphe Ce n'est pas tout. Cette victoire aurait un autreefïet. J'ai rappelé ci-dessus que le programme de la gauche comprend en toute première ligne Taffrancbissement de Ten- seignemeut public de toute influence confes- sionnelle et la suppression de toutes les me sures tendant a soutenir les écoles catholiques Qu'est-ce cela C'est la résurrection de Thorrible guerre scolaire qui a sévi de 1879 a 1884, ou plutot c'en est Taggravation, car, sous l empire de cette loi, les libéraux affectaient d'ouvrir a Tinstruction religieuse le local de Técole publique, en dehors des beuies des classes et d'y maintenir les em- blèmes pienx désormais, ces ménagemeDts seraient mis de coté de même qu'aucune égalité compléte n'existerait, qu'aucune égalité même partiellc ne subsisterait entre 1 enseignement publicetl enseignement libre; (2) - Revue de Belgique en d'autres termes, les consciences religieu- ses seraient 'de nouveau méconnues, frois- sées, persécute'es dans leurs legitimes'exi- genees et la 'paix''des families foulóe aux pieds. Pour mieux réussir,'nos adversaires 1 annoucent des mesures contre les congrega tions religieuses, qui instruisent lesenfants, soulagentles malades.sont les actifs auxiliai- re3 du ministère sacerdotal et prient pour ceux qui ne prient pas. La guerre scolaire et la guerre religieuse viendraient done se joindre aux violences dont le Parlement serait menace, et peut-être la victime. Mais la guerre ne va'pas sans argent. II faudrait eu trouver. On connait les desseins des gauches a ce point de vue. Elles recom- mandent l'impot sur le revenu. Quel est le but de eet impot a leurs yeux C'est d'exiger des citoyeos des contributions plus fortes Elle recorrsmandentjjaussi des impots sur les successions plus lourds ou appliqués plus rigoureu8ement. Qu'est-ce que cela, si ce n'est un moyen de spolier les families Tel est le régime d'oppression et d iniqui- té que Ton propose au pays pour secouer la domination cléricale Actuellement les consciences ne sont pas troublées le tra vail est en honneur toutes les branches de l'activité humaiue pvospèrentla sécurité règne partout. I)é3ormais, une période de troubles surgissant dans tous les domaines s'ouvrirait;les times seraient inquiótées dans leurs attachements les p'ia* forts et les plus doux les intéréts souffriraientla paix sociale serait bannie II faut bien le reconnaitre. Déja aujourd' hui le régime parlementaire traversa en Belgique une crise sérieuse. La Chambre des Représentants est devenue souvent une arène de déclamations, d'injures et de dis cussions incobérentes les délibérations sé- rieuses ont fait place a des conférences sans lien entre elles, bien plus tbéoriques que pratiques les débats serrés et féconds sur les textes de lois sont devenus Texception chacun y parle de tout a propos de tout. Si bien que Ton se demande souvent comment un tel régime peut subsister; sa force résulte 1 surtout de la difficulté de trouver un autre régime a mettre a sa place. Mais au moins les baees denos institutions sont maintenues; les libertés politiques n'ont pas re£,u d'at- teintel'autorité du Roi est demeurée in tacte Tinfluence de l'Eglise, protégée par la liberté des cultes, s'exerce librement sur ceux qui Tacceptent volontaireraent. Or, tout cela serait menacé par le plan de démo- 1 lition que Ton médite. Et c'est ainsi que 1 l'entendent les socialistes. lis ne s'en cachent j pas. Us nous disent sur tous les tons le socialisme est évolutionniste, mais surtout révolutionnaire rien n'est plus vraiou 1 plutöt, s'il est évolutionniste, c'est pour ré- volutionner la société de haut en bas.il s'agit de faire peser la force du nombre, représen- tée par les coteries, sur les forces vives de la nation plus de hiërarchie sociale plus d'élite un Etat tout puissant, geul riche et absorbant toutes les energies individuel ies Je sais ce que les libéraux répondent: nous résisterons, disent-ils, a la pressiou des socialistes Mais on peut juger de leur fermeté, dans Tavenir, d'après leur condes- cendance dans les circonstances actuelles. Au surplus, quand toutes les barrières auront été abaissées, quand aucun engage ment n'aura été refusé, comment une re sistance venant d'une fraction des coalisés serait-elle possible L'enjeu de la prochaine lutte électorale est done nettement fixéc'est sur Texistence du bloc libéralo-socialiste et sur son pro- gramme qu'il faut concentrer Tattention des électeurs. Non pas que si nous échouions, tout serait perdu nous ne serions pas désarmés, et nous redoublerions d'efforts pour faire sonner l'heure d'une prompte revanche. Mais, en attendant, de grands maux fondraient sur le pays, et bien des intéréts légitimes souffriraient. A une des élections précédentes, un magistrat distin- gué, libéral d education et d'opinions, point chrétien même, m'aborda en me disant Croiriez-vous que j'ai voté pour la liste catholique Je lui répondis Je- n'en suis pas étonné. Mais si de tels votes se recommandaient déja dans le passé, combien ne s'imposent ils pas da vantage aujourd'bui! La Belgique restera t-elle monarchique, libre et paisible, soucieuse de protéger et de maintenir l'barmonie entre les classes sociales C'est dans ces termes que se pose le problème électoral aux yeux des esprits clairvoyants. Pour ceux qui ne sont pas indifférents au maintien de l'ordre et de la liberté, la solution donner a ce problème ne peut être douteuse. ClI. WOESTE. if if if if 0*., if 0* if if 0*'1 I.e Travail dans les Convents t Voila Targument que Tadversaire s'effor- cera d'exploiter aux elections prochaines, comme il fut utilisé le 15 octobre. j Le travail dans les couvents fera même l'objet de conférences en vue des élections prochaines, a en croire les feuilles anticléri- cales. j i Ainsi s'exécute le plan d'eusemble dressé dans les Loges et qui consiste a guerroyer exclusivement contre la religion, les reli- gieux, lesprêtres, les missionnaires grêce a ce procédé Tattention publique est détour- née des quêgtions ess'ehtielies qui divisenT les gaucbes. j Le secretariat général des Unions profes- sionnelles chi'étiennes annonce que les r syudicats cbrétiens se teront un devoir de soumettre respectueusement a l'autorité j ecclésiastique supérieure toutes les proposi- tions de nature a empêcher que le travail dans les couvents n'entraiae des diminutions de salaires pour n'importe quelle categorie d'ouvrière8 Mais on aurait bien tort, écrit ce secreta riat, de se laisser émouvoir par les déclara- tions des anticatholiques Le secretariat des Unions chrótienne suggère aux couvents de «se mettre d'accord pour refuser de continuer ii travailler(pour des fabricants, des commeroants) dans des conditions inacceptables pour leurs ouvriè- res II 8'efforcera, ajoute-t-il, d'obtenir que les supérieures de couvents se réunis- sent pour examiner les moyens pratiques d'arriver a-pareille entente. Une chose est certaine, quoi qu'en disent nos adversaires, c'est que les syndicate chré tiens, préoccupés de Tétat des choses qui vient d'être exposé, se feront un devoir de soumettre re3pectueusement a l'autorité ecclésiaslique supérieure toutes les'propo sitions de nature a empêcber que le travail daus les couvents n'entratae des diminutions de salaires pour n'importe quelle catégorie d'ouvrières. Nous sommes certains d'avance que l'au torité ecclésiastique réservera le meilleur accueil a ces propositions. L'Eglise n'a jamais fait que soutenir les petits et les dés- bérilés de ce monde. Loin de vouloir cou- courir a leur misère, ou seulement de la contempler d'un ceil impassible, elle s'est toujours empressée d'y venir en aide,partout oü la chose dépend d elle. Une l'ois de plus, nous la trouverons piête a défendre la cause de la main-d'eeuvre opprimée. if if if if if if if ¥t La Lanterne de la Madone II faut remarquer d'abord que uos adver saires, lorsqu'ils parlent du travail dans les couvents, B'abstiennent, neuf fois surdix.de donner les indications precises qui, seules, permettraieut un controle immédiat et sé- rieux. La peur du droit de réponse explique cette attitude, mais elle est peu courageuse de la part de publicistes qui se posent en champions intrépides des revendications ouvrières. L'organe officiel de la puissante Fédé- ration Typographique dont la neutrality otöcielle n'empêcbe pas les allures nette ment socialistes, publiait dans son numéro d'octobre dernier,des articles signés.relatant des griefs précis, concernant les établisse- ments tenus par les Frères de la Charité, a Manage et a Lummen. Ces articles valurent a leur auteur un droit de réponse, démontrant a tout homme de bonne foi que les accusations étaient fausses d'un bout a l'autre. Ce qu'il faut, conclut le secretariat des Unions professionnelles chrétiennes, c'est corriger Tabus, la, oü il existe, tout en pro testant énergiquement contre les accusations calomnieuses et les généralisations arbitrai- res. Une considération essentielle est a retenir par quiconque étudie ce problème Dans les orphelinats catholiques, un tres grand nombre d'enfants sont recueillis gra- tuitement, ou bien pour un prix dérisoire... II y a des communes qui payent 40, 30 et jusque 20 cent' par jour et par orpheline. Dans ces conditions, ces orphelinats se trou- vent devant la pénible alternative ou de refuser des enfants piongés dans la misère, ou de faire travailler les plus agés pour les plus jeunes jusqu'au jour oü cesderniers, a leur tour, travailleront pour ceux qui les suivent. La lanterne destinée a être placée sous la Vierge du beffroi et que la Ville a acbetée au prix de mö5 fr. a été exposée dernièrement a Thotel de ville, et ceux qui Ty ont admirée ont généralement approuvé l'acquisition. La lanterne est, en effet, trés artistique et monu mentale comme il convient, étant donné l'em- placement qu'elle doit occuper. Certes, le prix en est coquetmais c'est non seulement une oeuvre d'art, c'est encore d'excellente marchandise. Solide et massive, presque tout cuiyre, la lanterne saura, comme les Halles restau- rées, braver les siècles. Bref, the right lantern in the right position- Nous ne lui trouvons même qu'un seul défaut, c'est d'être trop belle. Trop belle pour le moment du moins car si on s'avisait de la mettre en place, elle ferait injure, au lieu de faire hommage, a la Reine des Cieux, Notre Dame du Beffroi. II n'y avait pas lieu de dépenser dare dare x 165 fr. pour une lanterne de Madone,.si 011 n'a pas encore pu trouver le sou, depuis quatre lustres qu'on administre catholique- ment la ville, pour faire remettre une paire de bras k la Mère et un chef au divin Enfant qu'elle porte au bout de ses moignons. '01 rn. if. if. 'if 'if 'if. if 'if "if L'épingle a chapeau meurtrière sévit tou- jours. Dimanche dernier encore, au sortir de la grand'messe, une jeune etjolie bruxelloise a eu un oeil quasi crevé par l'épingle a chapeau dune autre élégante. De la un proces en dommages-intérêts dont le montant sélève a 10,000 fr. Comme on le voit, ni l'article 418 du code pénal, ni les art. i382 et x 383 du code civil ne sont capables de faire reculer la bar- barie féminine. Voici deux siècles déja que les épingles a chapeau s'en donnent de cr'ever des yeux témoin la condamnation a i5oo livres d'amende infligée,en 1728, par la Cour de Paris, a Mrae de Ballery, une élégante de Tépoque, dont l'épingle a chapeau avait crevé l'oeil droit de Narcisse Mordon. Et Ton nous serine chaque jour Thymne du progrès et de la civilisation II y aura, le 24 courant, un an tout juste que les pouvoirs publics ont commencé a s'émouvoir du fle'au toujours grandissant. La ville de Budapesth osa, la première en .-Yl D'YPRES ©rgane (üatholique de l'Arrondissement t

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1912 | | pagina 1