Téléphone 53 Téléplione 52 Samedi 3 Fcvrier 1912 le fN° 10 centimes 47 Année ft0 4719 Étrennes Pontificates C/JOSES A DIRE La Vie ehère - Le Remède wi ft: ft ft. ft. ft ft, ft ft Pourquoi pasi ft. ft. ft. ft. ft ft ft ft. ft ft Leurs Écoles Pensées Biverses Le Gouverneur general des Philippines en Belgique On s'abonne rue au Beurre, 36, A Ypres, Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 c. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. et a tous les bureaux de poste du royatime, Les annonces coütent 15 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal So centimes la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémentfcires coüteüt 10 francs les cent exemplaires. Pour les annonces de France et de Belgique (exceptè les deux Flandres) s'adresser 1 VAg&SGt IIwas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse. Liste préeédente 472 50 M. l'ubbé Rilger, directeur de l'Orphe- linat des Gallons, Ypres 25.00 M. Fabbé Feys, curé émérite, Ypres 5.00 J. Herman, Ypres 1.00 Messieurs les Vieaires d'Ypres 40.00 Anonyme 2.00 Quel est Fhoimne qui ose ilescen- clre dans' les profoiideurs de sa con-, science pour y Lrouver des averlisse- ments qui l'engagent a bvi'ser des iilö- les qui font l'enivremeuL de sa conrle vie Quel hömme voudrait dématquer soil propre néant en se 1 apetissanjt aux yeux de ses sembl.ables Faible et glorieux a la fois, le mortel s'aveu- gle aux vanités et il appelle a son ai de de seduisAntes images qui puissent lui yoiler. sia deslinée. L'ho'mme esl: fa settle eréa'.ure qui ne prenne ,pAS la créalioin au série,ux. 11 essaye iele plaisanler agréablement sur la ine et sur la mori, croyant par la, i'ajre preuve d'indépeudance. Les' animiaux sont des creatures plus gra ves, qui cliAnteiit a la joje, orient a la douleur, imais uc faussent jamais leurs insTncts. lis simt susceplibles d'ft- nioii p et de baine, mats ids' 11c coir. 1 a is- sent point 1'ironic, cette révolte de la faiblessq, qui espère sc venger par un pen d'esprit. Les auiniAux n'ont point, coinmc les hommes, l'impudence des;e donner au Spectacle 'chose Iriste quand on l'approfondit Siiiiuler les clou- leurs vrales pour se faire applaudir d'une foule frivole exprimer la ga> lé pour l'obliger an rive It faut done que l'acteur aime, soupire, se passioli ne pour, elle, la spectrale assemblee Quelle plus grande preuve de la misère tie l'homme Se faire prêler une aiiie étrangére pour essay er de s'émouyoir par le coeur d7 au trui Ceci est faux, murmnre lAj conscience; et Fjiuagiiia- fion répondi Geci est la' yérité. Le sen timent jetle spn yoije sur sa! raisoii,' et Fépiiélbère se liVrc a ses joies menteuses. *\"'y a-l-il pas assez d! emotions a •goüler dans la vie liéelle, qu'il taille reclierclier avec lant d'avidité les rétah lités troimpeuscs Les voiei tous, jeunes et vieux, au lever du ride'au, assis sur des' gradins. Le yieiltard vient montrer combi en soil coeur est paternel l'orpheliiie de la pièce Fintéresse il pleure et sou rit avec elle, cetle belle grande fille fardée dont le père meurt abandonné dans un taudis. G'est ici cpie F Mo lière, sortie pour un jour du couvent, vient chercher sou Roméo. Oli! eet ac teur, si bien tourné, aux lèvres dc co- rail, aux sourcils d'ébèue et dont' cha- que parole est 1111e mélodie, elle en raffole chaquc soirj Qui Fen empêehe- ra? Sa mère 11e fait pas autrement. Qui; et le lendemjain, quand le jeune ihomme sincere, Celui qui voudrait unie sa deslinée a la' sienne, se prjésent'erja! a elle, Fim'age de Facteur aux jambes1 si bien chaussées, au si joyeux coloris, Holler a encore devant ses yeux, et le malheureux se verra froidémënt écon- duit. Est-tee done la le fiance qui Ose s'offrir a nidi?... une voix saiis mélo die, une mine paie, 1111 vêlement terne, des paroles sourdes, nulle majesté dans la démarche, nulle grace dans les mou- vem'ents... pliysionomie hoimête, il est vrai, mais peu marquante, et si mo notone qu elle inspire l'enuui Hélasl la réalité semble bien fioi- de, quaiid 011 peul s'alier éblouir aux féeries de la scène, r- bien nue, bien pauvre, pour ceux dont l'esprit faible ne se söulient que par Feiiivrenieïrt des sens et qui se plaiscnt a cache,r ia mort sous de bril'anls oripcaux Ldnglenips avant l'heure, la, foule se presse aux partes du theatre. Le spectacle sera plein d attrait. Au pre mier acte, pendant, que le fiapcé! res pire fa joie, la fiaucée mourra de mi-, sèr.e au coin d'ipie que. Mais le Sep-] tutor du troisième jajete sera U'un.effet mervcilleux: 011 y chant era l'amo.ur et les joies de l'amour. Le beau fiancó paraitra brillant d or et de joyeuse hu meur. Oh! la belle lecon de conslance, jeunes speelatrices.Le quatrièmé ac te sera le plus applaudiun vieillard s'y doit suicider et chauler en roulades les dernières paroles d un moribbnd, avec accompagnemen t de violous et de Mtes. Odieuse pamdic Fliomme est done si vain, si léger, qu'il prend plaisir a voir ses larnies briller au so- leil, et a écouter ses doideurs mises en musique! Meurent saiis piété les pauvres qui Loiinbent saus lui advesser le sa!ut du gladiateur romain. Péris- se cc qui manque d'agrément pojur 1c regard! ,et yive Fingéiiieux cl 'éclatant décor, Stériles dépenses d'^mour que cel les qui se font pour Ic mensonge pluie de perles tlans la uier (pie ces larnies1 de jeunes filles devant la, s'cè-. 11e; soupirs de mal Ml es que ceux de ces vieil'ards spectateurs d'un dramc; meurtre de la vérilê par le mensonge, sous les yeux de la paison! N'est-ce pas toujours la dans.e jcFHioilbein, pjlus hideuse ici, Pjicce qu'elle est pleine dc mépris pour le monde a yenir Est- il permis d admirer l'adresse dans la IrOtiiperie? Qui done le premier a ap- pris aux homines a jouer la comédie? Celte l'ausselé qiron admire sur la scè ne et qui se glisse j usque dans iiptrci vie familière, 11'est-elle pas Ie fruit de la' révolte de l'ame, irritée de se voir logée dajns un corps de chair Pour se venger de la mésalliance, elle se joue du corps et en fait spin mannequinde la, Ie théatre. Amuse- mol, en parodiant la vie, dit-elle. Ef l'pn voit des' hammes gambadcr dans une arène, et se rcplover suf eux-mè- mes, aux applaudissements de creatu res mortelles Foule avjde de cOmé- dies, si ces sentinients que [,u prorligues 'a des fantönies de yérité, fu les repPr- tais' sur les martyrs de la soCiéi'é qui s'öuffrent inconnus dans l'impasse ides ténébreuses misères, cpjmbien tju! gurais mérité de tes frères et de üieu Manquent-elles, ici-bas, les in fortu nes a soulager? Les pauvres', les Ir,is les, les maiades. 11e composeiit-ils pas 1'humanité presque lout enlière A Fheure, oii les grands lustres; glis- sant leurs rayons sur les janipes de lasalle, font resplendir les toi!eüe:-ysu perbes; a Fheure oü les Iressaillemenjis du rire ^agitent le public a 1'aiKlitiou de mechanics saillies, aux niansardes des' nilaispns voisines, des enfants mi- sérablcs périssent, Aans secours, (aux froides étreintes de la pauvreté J 1 1!$ 'ïl£. La question du renchérissement de la vie figure toujours au premier plan des preoc cupations générales. Et il ne semble pas qu'elle doive être résolue de sitöt, a consi- dérer les divergences d'opinion qui se révè leDt non seulement a l'endroit des remèdes a apporter au mal, mais encore au sujet de3 causes génératrices du mal. N'a-t-on pasentendu dans des assemblées sérieuses les Parlements le sont parfois soutenir, sous ce cbapitre, les thèses les plus contradictoires Tandisque les libéraux beiges attribuent. pour le moment, le ren chérissement des vivres a la soi-disant politi que protectiouniste du gouvernement catho- lique, les libéraux anglais l'attribuent a la politique libre-échangiste du gouvernement conservateur de George V Aprè3 tout, qu'importent les causes Il nest pas toujours indispensable de connaitre la cause d'un mal pour découvrir le remède. En Fespèce, il semble lien que les remèdes, tout comme les causes, soient multiples. Ce qui est certain, c'est qu'on cherche vo- iontiers midi a quatorze heures et qu'on négligé le remède trés cfficace que chacun a sous la main. Quoi de mieux indiqué, en effet, lorsque tout est clier, que de simplifier sa vie? Le sage sen fa»t une iègle sans attendre que les circonstances l'y invitent. Les au'res ne parviennent a s'y réïoudre jamais. Aussi ccmme elles sonnent faux dans la bouohe d'une foule de gens ets recrimina tions incessantes contre la cherté de la vie Apparemment,quand tout est hors prix,on serre un peu les cordons de la bourse on ï'ogne le budget des superfluités et des plaisirs... Ah bien oui Vit-on jamais pa- reille ruéevers tous leslieuxoü i'on s'amuse? Vit-on jamais plus délaissé le foyer, centre des joies les plus pures et les plus économi- ques Pour un vélodrome qui ferme,vingt autres lieux de plaisir s'ouvrent et font fortune, depuis Ie simple cabaret jm.qu'au cinéma et au rink, en passant par les cafés-concert, les theatres, les attractions toraines, etc etc. Et voyez done si les beuveries et les ripailles, les bals et les saturnale3 se ressen- tent de la cherté de la vie Voyez done si les mères les moins fortu- nées ne trouveut plus de quoi habiller leurs filles conforméinent aux caprices les plus déraisonnables et les plus ruineuxde la mode toujours chacgeante L'a vie simple, voila, a toute évidence, le remède spécilique de la vie ehère. La vie simple ne fu'.-elle simpllfiée que par la suppression ou la limitation de quel- ques unes de ces nuisances alcool, tabac, spectacles, suralimentation, surlibations, etc. mais c'est déja tout profit quand la vie est a bon compte. En temps de vie ehère, la vie simple s'im- pose impérieusement a tous aux riches, sous peine d'être tentés plus que jamais de rogner sur le budget de Ia charité et des oeuvres aux humbles,sous peine de perdre le bénéfice de leur condition moralement priviiégiée et d'encourir, eux aussi, les dan gers et les maledictions de la ïichesse mal employee, si relative soit-elle. Hélas prêcher Ia vie simple, de nos jours, c'est s'exposer au ridicule, plus encore que les Méva et autres apötres de la vie naturelle qui vendent leur recette dansles rues de nos grandes villes, vêtus a peu prè3 comme le Précurseur. Prêcher la vie simple, c'est comme le dit Jean, prêcher dans le dósert. Certes, dans les cloitres on simpli&erait volontier3 Mais comment réduire encore ce qui se trouve déja réduit sa plus simple expression Et en dehors des cloitres... Va t-en voir s'ils viennent, Jean j 1 De fait, c'est bien l'avis le plus general Simplifier sa vie, quand la vie est ehère, c'esj bon pour les moines et les anachorétisants. Les gens rnoins austères trouvent plus simple et plus pratique de faire la chasse aux gros salaires et aux postes bien rétribués, sans négliger les cumuls. t Aussi, que de competitions sitót qu'un emploi devient vacant, qu'il s'agisse des fonctions de secrétaire communal ou de celles de simple nettoyeur de vespasiennes Tant et si bien qu'il devient urgent de chercher remède a ce fléau-la également. Mais encore une fois, pourquoi chercher midi a quatorze heures Le meilleur remède est tout indiqué, et, en théorie du moins, libéraux et catholiques semblent assez bien d'accord sur le choix. J'ai nommé Fadjudication publique. Qu'il s'agisse d'un travail ou d'une fourni- ture quelconque, de retaper un b&timent communal ou de livrer Ie gaz declairage, on réclame Fadjudication publique. Pourquoi, dès lors, n'accorderait-on pas au plus bas soumissionnaire la rédaction des procès-veibaux et autres écritures a faire pour compte de la ville j Ce serait tout profit pour la caisse commu nale, car il y aurait certainement des rabais considerables sur le chiffre d'appointements indiqué par le cahier des charges. Qui sait? Des amateurs se trouveraient peut-être qui volontiers secréteraient gratis, ou même, comme les garcons de café, consentiraient a payer une redevance au patron. Tout profit moral aussi pour les adminis trateurs communaux, dont on ne pourrait plus, dès lors, suspecter l'impartialité. j Plus de népotisme ni de favoritisme a un litre quelconque Plus de pistonnages ni de marchandages secrets Plus de crainte non plus de soulever des colères et des rancunes Les concurrents évincés n'auront qu'a s'en prendre a eux-mêmes, etne pourront repro- cher a personne d'avoir méconnu leurs apti tudes ou leurs services. j Car, bien entendu, le cahier d s charges stipulera la taille, le poids, la couleur des chereuxet des poils, le nombre de dents, etc. comme aussi le degré de piété voulu pour faire bonne figure dans une procession, derrière l'édilité. De la sorte, tout étant bien prévu et stipu- lé, et les points mis sur les i, il n'y aura de mécompte pour personne. Et quand il faudra un secrétaire, on ne prendra pas un danseur de corde. Décidément, il ne sont pas encore murs pour le pouvoir nos amis les libéraux. Ils n'ont rien appris depuis 1879. Ils s'imaginent toujours que les écoles publiques sont leur chose, dont ils peuvent disposer comme ils l'entendent, même la oü ils ne sont pas les maitres. Contribuables et administrateurs catholiques peuvent bien apporter leur argent et leur peine pour empêcher la faillite de ces écoles, mais quant a se mêler de l'organisa- tion pédagogique, cela jamais Ecole publique, d'après eux, doit être synonyme d'école libérale, et aux libéraux seuls doit être réservé le droit de régenter l'enseignement dans leurs écoles. 1 Alorsque tout renchérit et que l'enseigne ment libre se voit forcé de majorer ses prix, le minerval de leurs écoles est tabou defense a tous d'en modifier le taux Alorsque l'enseignement libre fait droit spontanément aux justes revendications fla- mandes, leurs écoles doivent rester, même en plein pays flamand, de véritables écoles francaises C'est le cas notamment pour l'école de la rue St Jean, d'Ypres, en Westflandre une école payée des deniers des contribuables yprois, en majorité catholiques entourée de toute la sollicitude de nos administrateurs catholiques et gratifiée par eux, tout récem- ment, d'une institutrice supplémentaire, au traitement de 1100 francs I Et ces bons libéraux, restés figés, comme on le voit, dans leurs principes de 1879, se figurent na'ivement que, le 2 Juin prochain, on leur donnera carte blanche pour recom- meneer leur besogne d'antan I 'sSf s# hf s# isft £3| s# SflP Le bien-être est un app&t pour nous faire désirer le mieux-être et nous conduit a notre perte. Pirme\. La tempérance met du feu dans l'Stre, de la viande dans la marmite, du pain dans l'armoire, de l'argent dans la bourse, du crédit dans le pays, de la force dans le corps, de l'esprit dans la tête et du contentement dans la familie. Franklin. Maigre cuisine n'a pas besoin de médecine Prov. pop. L'homme sobre prolonge sa vie. Ecclés. ft ft. ft ft ft ft. ft ft ft ft Les missionnaires d« Scheut out repris, aux lies Phi'ippiaes, a l'ile Lucon en parti culier, Ia tache que les religieux espagnols durent abandoaner, après la guerre de 1898. Les résultats qu'ils y ont obtenus sont remarquables. M. Dean C. Worche3ter, écrivait il y a quelque temps ii Mgr Dougherty, évêque de Nue va Segovia Vous savez sans doute que moi-même, je ne suis pas catholique et n'ai aucun intérêt spécial dans les travaux des missionnaires. Mais je m'intéresse profondément a toute mesure pratique qui tend a améliorer le sort des tribus non chrétiennes de ces pro- vinces. Je désire surtout vous dire que du com mencement a la fin de mon voyage, j8 n'ai entendu que des éloges les plus bienveil- lants et les plus enthousiastes, au sujet des travaux accompüs par ces prêtres, su sujet du tact et de la bienveillance avec lesquels ils traitent tous ceux que lehasard met ea contact avec eux. Je conslate qu'ils n'exploitentpas le pays. Tout ce quils en retirent, et c'est bien peu, ils 1'appliquent au bien des régions d'ou ce peu leur est venu. En outre je constate que les prêtres rencontrés par moi sont tous sacs exception des hommes de travail et de sa crifice, qui prennent vivement a coeur les intéréts du peuple au milieu duquel ils vi- vent. Je leur suis surtout reconnaissant pour leur empressement a secourir les maiades et les blessés. En cela, je considère qu'ils font ceuvre gouvernementale. S. Exc. M. William Pack, qui a rempla- cé M. Taft en qualité de gouverneur géné- ral des lies Philippines, vient, au cours d'un voyage en Europe, de sójourner, cinq jours en Belgique. Fils de pasteur protestant, ce haut fonctionnaire, qui ne professe pas la religion catholique, a consacré tout letemps de son séjour aux Missionnaires de Scheut, li s'est rendu, d'abord, a la maisondeLou- vain. De la, accompagné d'un missionnaire, il a pareouru la Belgique. M. le gouverneur Pack a fait une visite personnelle aux pa rents de tous les missionnaires beiges rési- dant aux Philippines, et les a félicités, au nom du gouvernement américain, d'avoir donné a la oause dela civilisation des fils aus si vaillants et aussi dévoués. Son excellence s'est montrée enchantée de la cordiale reception qui lui, fut faite a la maison du Noviciat des Cbanoinesses Missionnaires de St Augustin a Ron- Iers, de ses deux visites l'avant veille et la veille de son depart de Belgique. Le gouverneur, se confondit en louanges, de la supérieure Générale, et des soeurs en Mis sion, «Dame Louise dit il, est une grande femme, paree qu'elle a une grande ame» I.e Ministre de FIa3truction publique, Mr Gilbert, son ami, avait déclaré que les seeurs Beiges, ont les meilleures écoles des Hes. La dernière journèe du Gouverneur Géné- ral des Philippines, fut coasacrée a la Mai- son-Mère de Scheut (Anderlecht) oü il fut regu par le R. P. Mortier, Supérieur Géné- ral, entouré de tous les religieux. JOURNAL ©rgane Gaiholique TPRES de TArrondissement V i.' r*i

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