ernes mm rmotsi EXTRAIT •5' m m w 95 *5 m Pensées Diverges Cercle Sym; honique Yprofs Chronique B ligieuse I e Concert gala du Muziekkring Ecole d'Equitation CËuvre des Dames de Ia Providence CHRONIQUE LA SEMAINE Le projet militaire La réforme léléphonique i HC 3? M Suppression du droit de licence A la Mémoire de S, A, B. la Comtesse de Flandre l'immaculóe conception avre la maternité virginale de Marie, croyait se tirer triom- phalement d'affaire en répliquant Soit Nous ne nous sommes trompés que d'ut e génération l'Immaculée Conception, c'est la virginitédeSte-Anne Comme on le voit, ceux qui posent en adversalres de l'ignorance et ont la préten- tion d eclairer le peuple étalent souvent une ignorance sans égale qui ferait rougir le der nier enfant de nos villages. Plaignons-les Faisons-mieux en cette fête de rimmaculéefConception, demandons aja Toute-puissance suppléante d'intercé- der ,'pour tous les ennemis de son Fils et d'ópargner tous ceux qui bJasphèment ce qu'ils [ignorent tout eu confondant leur faux enseignement et en continuant de main- tenir sous son pied virginal la tête du ser pent infernal de toutes les hérésies. Elle est Vierge Elle est immaculée. C'est par sa pureté originelle qu'Elle a brisé la tête du serpent maudit et remporté sur lui une immortelle victoire. Vierge et immaculée Elle rendj chaste rhomnae qui L'étudie et qui L'invoque. Et par la même. Elle le rend fort et invincible. La chasteté est créatrice d'énergie. Ecou- tez la profonde parole par laquelle l'Esprit- Saint a loué Judith Fecisti viriliter et con- fortatum est cor tuum, eo quod castitatem amaveris. ...O vous done qui voulez être des hom mes d'énergie et de caractère pour être des hommes d'action, vous qui avez horreur dune vie stérile et voulez servir les saintes causes de la vérité et du droit, de la patrie et de 1'Eglise, soyez chastes. Gardez la chasteté Elle est de vos ainés l'espoir et le trés or, Portez-la devant vous comme un calice d'or. Mais pour être chastes, levez les yeux vers l'idéal que vous offre la Vierge. ...Lorsque le jeune Athénien passait de vant la frise du Parthenon ou devant les mt rveilleuse# statues de Phidias, il se for- mait a son insu dans son esprit un idéaljde beauté esthétique qui épurail et élevait son goüt. II devenait artiste a cette maette école du grand art. De même lorsque le chrétien passé devant ce chef-d'oeuvre du grand ar tiste, la Vierge Mère, son cceur s'attendrit et s'enflamme pour la beauté de l'innocence. Le pécheur lui-mênse est ému: et du fond de l'ablme oü il se débat, ce n'est pas seulement vers Marie qu'il fait montrer eet éloge mé- lancolique Totapulchra es: Vous êfes toutebeile. C'est vers la vertu qui donne a Marie son charme et sa gloire Vous êtes toute belle, 6 pureté, vous êtes vraiment ia Belle Vertu par excellence. Et a cette vue son cceur se calme, son imagination se peuple de chastes images il devient pur a cette mu- tte école de la pureté. Devenu pur, il est redevenu homme, il va pouvoir être soldatle champ de bataille est ouvert devant lui. S.Coubé •*- Nos volontés sont des velléités nous vou- drions, mais nous ne voulons pas. Balmès. r*. Diderot, un_impie célèbre, faisait étudier le eatéchisme ét sa fille. Un de ses amis ne put s'empêcher d'exprimer sa surprise. Diderot lui dit Si je savais quelquo chore de mieux pour faire de Marie une fille respectueuse, une femme dévouée, une mère tendre et digne, je le lui enseiguerais mais je ne connais rien au monde que le catéchisme qui contienne tout cela. Puisse-t-elle, pour sou bonbeur et pour le rótre, croire, aimer et pratiquer ce qu'il enseigne 1 La vie est une pièce qu'on dirait composée par des fous et jouée par des acteurs ivres. Shakespeare Une politesse est un échange de deux dé- rangements. Les plaisirs du monde con sistent a aller s'ennuyer chez des gens qu'on ennuie. de Freycinet. iPi. L'esprit du Progrès Felix quipotuil rtrum cognosure causas Heureux celui qui a pu pécétrer les cau ses secretes des choses Les Yprois se sont pcut-être un instant demandés, comment il s'est fait que le Te Deum füt chanté le Mardi 26 Novembre dernier all heures du matin en la collégiale St Martin, alors que Son Altesse Royale la Comtesse de Flandre était décédée le matin même a 5 h. 55, en son palais a Bruxelies. La trés grande majorité, nous n'osons pas dire tous, car il faut en exceptor la re daction du Progrès s'est dit que la nouvelle du décès de la mère de notre Sou- verain bien-aimé n'était certainement pas encore parvenue en notre villa et que nous étions aiusi dans la joie, alors qu'ure partie l de la Belgique, plus tot informée que nous, était déja en deuil. Ce n'était pourtant pas la la vraie raison et nous p'aignons bien sincèremeut notre population Yproise de son peu de clairvoyan ce et de son manque total de comprehen sion Heureusement, au milieu de nos conci toyens dépourvus de tout bon sens, nous avons au moins un génie,pour qui rien n'est caché et qui a pu, grace a son talent de détective, auprès duquel celui de Scherlock Holmès n'est rien, déconvrir la cause réelle, pour laquelle le Te Deum n'a pas été contremandé. Grace a lui, nous savonsquesi le Te Deum a été chanté a Ypres le Mardi 26 Novembre a 11 heures du matin, a l'occa sion de la fête patronale de sa Majesté ie Rei, malgré le deuil cruel qui venait de l'atteindre, c'est paree que notre Bourgmes- tre, notre Collége Echevinal, faisant fi de j leurs sentiments patriotiques, de toutes les convenances, ont voulu parader dans les rues de la ville et dans l'église St Martin. Nous voila renseignés. C'est l'amour du panache qui a empêché M. le Bourgmestre d'annoncer aux autorités le décès de Son i Altesse Royale la Comtesse de Flandre et j d'avertir M. le Doyen d'Ypres que le Te Deum ne pourrait avoir lieu. Convaincu de la sincérité de la révé- lation faite par notre confrère etnedoutant j pas un instantde la véracité de ton in formation, nous nous proposions de déve- lopper dans notre prochain numéro, pour le plus grand bien de notre édilité communale, la maxime Vanitas vanitatum et omnia vanitas lorsque nous eümes Toccasion de soumettre a M. le Bourgmestre le reproche justement mérité et particulièrement fondé qui lui était adressé, et de l'avertir que «son attitude était vivement commentée en ville.» 'Nous en faisons l'aveu, nous pensions que M. le Bourgmestre, devant ce Boulèvement unanimede I'opioion publique, allait signer en notre présence l'envoi a Sa Majesté le Hoi de sa démission de premier magistrat de notre cité. 11 n'en fut rien et M. le Bourgmestre avec un sentiment de piété se contenta de hausser les épaules et de nous répondre avec son calme habitmel, que le Te Deum n'avait pas été décommandé, pour la raison, qu'il n'avait eu connaisBance de la mort de Son h commÈ l'an dernier, les applaudissements chaleureux des auditeurs. Le quatuor de Haydn fut un vrai régal musical et les connaisseurs n'ont eu que des éloges pour les executants. C'est avec infiniment de sentiment que le violoncelliste M. Ad. De Vlaemynck a joué la sublime composition de Saint Saens, le Cygne Cette execution a/prouvé aux assistants combien les ressources de son art sont étendues. Melle Gabrielle Bernard a charmé l'auditoire par l'attrait de sa voix a la fois foite et sym- patbique. Celui ci lui a chaleureusement manifesté son admiration et l'a rappelé sur la scène. En résumé cette soiree fut un succes pour le Muziekkring. >K Direction A VAN EGROO. Audition de musique classique Dimanche 8 Décembre a 4 1/2 h. PROGRAMME: i) Symphonie N° 104 en ré Haydn. a) Adagio-Al'egro b) Andante cMe- nuetto d) Allegro Spiritusso. 2) Concerto N° 24 pour piano et orchestre en do Mineur. Mozart. a) Allegro b) Larghetto c) Allegretto. 3) Ouverture de la Flüte enchantée. Mozart 4) Concertstiick op. 92 pour piano et orchestre. Schumann a) Introduction b) Allegro. 5) Landerkennung Nouvelle patrie op. 3i pour chceurs et orchestre. Grieg naies alternaient avec les écussons de la la Belgique, voilés de crêpe. Au premier rang des autorités militaires, on remarquait le Major Daune,commandant la place d'Ypres, du 3° de ligne, et le Major Védrine, eommandanth'EcoIe d'Equitation. A leur suite les i Aiders et sous officiers du 3e de ligne, les instructeurs de TEcole d'E quitation, les^élèves suivant les cours, enfin bon nombre de soldats en garnison en notre ville. Dans les stal es avaient pris place M le Chanoine De Brouwer, doyen d'Ypres et la plupart des membres du clergé des différen- tes paroisses. L'aumóuitr militaire, Mr le Curé Rycke- boer, était assisfé a l'au'el par M. l'Abbé Tillieu, aumonier militaire de ia garnison de Courtrai et par Messieurs les Vicaires de Si-Nicolas. La messe fut cbantée en chant Grégorien. Pendant la Consecration les trompettes mi- litaires sonrèrent aux champs et immédia- tement après celle-ci, un Pie Jésusfut chanté avec emotion par la miutrise de la paroisse. Cette cérémonie funèbre bien touchai.te, témoigna des sentiments patriotiques et chrétiens de notre garnison, et de l'affection qu'elle portait a celle qui inculqua a son Royal Fils, comme celui-ci se plaisait a le faire remarquer aux membres de la législa- ture qui lui exprimaient les condoléances du Parlement, l'amour du sol natal et de la Patrie Beige. Altesse Ia ComtessëTle Flaüdre~qu'a 1 h~~et demie de l'après-midi, et encore cette nou velle venait-ePe de source officieuse, le télé- gramme officiel. Nous sommes restés copfus et "par esprit de confraternité nous n'avons pas osé lui avouer que le reproche et l'attitude vive Les membres du cercle symphonique ont l'honneur d'annoncer au public, qu'ils don- neront une'seconde'audition ïe LundTg"Dé. cembre a 8 heures du soir en la même salie. M Eglise de St-Martin. ment commenfée en ville étaient rapportés par le Progrès toujours trè3 sincèrement et trés exactement informé. i/Nous voudrions cependant beaucoup que notre confi ère nous fasse connaitre les rai- sons sur lesquelles il s'est appuvé pour écrire dans son dernier numéro qu'a Ypres, notre édilité communale a pa°sé outre au télé- gramme aDnon^ant la mort de la mère de notre Roi bieu aimé et que c'est l'amour du panache qui a prévalu. ^Nous attendons avec impatience la preuve de son allégation purement fantaisiste et nous souhaitODS a notre confrère de n'être plus victime a l'avenir de la maladie de dénigrement k priori, dont est, semble-t-il, foi'tement atteint un de ses correspondants. Le «Progrès» cssayera peut être de s'excuser prés de ses lecteurs, en citant le proverbe Italien Se non vero, bene trovato (Si cela n'est pas vrai, c'est du moins bien trouvé). Hélas, nous doutons trés fort que ceux-ci partsgent son opinion 5$ 5$ 'Jl -J$ .JS, Les soinsméticuleux apportés par le comité organisateur du concert-gala de Lundi der nier ont eu pour résuitat de donner la plus entière satisfaction a ceux qui y assistèrent et tous ceux qui ont contribué au succès de cette soirée ont droit a des éloges bien mérités. Et vraiment, il nous a été donné d'assister a un beau, trés beau concert. Sans passer en revue tous les numéros d'un programme composé de facon sélecte et en- tendue, disons de suite qu'il ont été tous, fort goütés et applaudis. La symphonie, dérigée pat M. Lucien Verhaegen a trés bien rendu l'ouverlure de 1 opéra Joseph, de Méhul. Elle a interpiêté ensuite avec talent et sentiment la sympho nie de Mendelssohn, une fantaisiesur Lakmé et autres morceaux. Judessc (Mors et Vita) de Gounod avait été remandé et les organisateurs ont eu raison d accèder au ilésir qui leur avait été exprimé, car 1 exécution de ce morceau a soulevé, Confrérie de N. D de Lourdes et Aposto- lat de la prière pour la conversion des pécheurs. Dimanche 8 Décembre, Fête de l'Immacu lée conception de la Ste-Vierge. Indulgence plénière. Lundi 9 DécembreMesse Solennelle a 8 heures a l'iniention des associés. M Gette semaine dix adjoints d'état-major viennent d'arriver en notre ville} pour suivre les cours de 1 école pendant une période de cinq mois, expirant fin avril. M HC Ca Chorale l'Orphéon Les Yprois ont si rarement l'occasion d entendre de^belle musique religietise que l'audition a la messe de Ste-CéciL donnée par 1Orpbéon constitue chaque année un petit événement local trés apprécié. C'est a la satisfaction générale que notre unique chorale iYproise a donné Dimanche dernier, a la eathédrale de St-Martin, une excellente inti rprétation de trois motets a quatre voix offrant toutes les qualités requi- ses au chant d eglise. Le Quotiescumque de notre concitoyen M. Louis Vanhoutte, organiste de la eathédrale est d un compositeur artiste et croyant s inspirant des régies de la Musique Sacrée. Le grave Panis Angelicus de Baini, sans accompagnement et le sublime Ave Verum d Oscar Depuydt, oeuvres des plus belles et des plus pieui es, ont recu une interprétation digne de la sublimité du cujte liturgique. Nos sincères felicitations a la Saciété cho rale «1 Orpbéon et son directeur de baut talent, M. Albert Van Egroo. Le R. P. Hoffmann, qui prêcha, Di- manche 'dernier, le Sermon de Charité, en l'église St-Martin, n'était pas unin- Öoinnu de nol,Ye population Yproise. On avail conserve un trop excellent souve nir des predications du carême qu'il idonna en 1'Eglise Sl-Nicolas, pour que 1 invitation, faite par l'ceuvre des Da mes de la Providence, reste sans suc cès prés 'de nous. Aussi c'est devant un ajuditoire ausisi distingue que nombreux, que le R. P. Hdffmjann dévêlöppa' Dimanche/ .avec lè talent et 'l'éloquence qui lui sont propres, les principes 'de la vertu, que fe Christ placait au dessus de toutes la Charité. Après avoir mjontré combien le Divin Rédempteur se plaisait, pendant sa vie publique, a répéter cette maxime: Ai- me'z-vous les uns les autres:après aVöir exposé la facon avec laquelle le Grand Consolateur avait pratiqué, du- rant sb-n pnssage sur la t'erre, la charité envers ses apöfres, ses disciples, ses amis et ses ennemis', le R. P. Hoffmann insis'ta pour que les: Chrétiens, a la suite de leur Dieü, ohservent sa perpéluelle r:ecom'manda'tion et considè'rent leur pro chain, quelle que söit l'a' classe a la quelle il appartient, comme 1111 frère, étant tous enfanls de la même Eglise. II félicita les Dames de la Providen ce du zèle qu elies m'etlaienl a secou- rir les niisères' humaines et a soulager les idêshéritéis de la fortune. It leur rap- pela la parole d,u, Christ Ce que vous ferez au nioinclre des miens, c'est a 'mloi-niêine que vous le ferez et il encouragea les personnes' eharitables a venir généreusem'ent en aide a cette oeuvre, qui rend tant de services et donsole tant d'infortunes en notre ville. Nous espéfons: que la parole du dé- vöué prédicateur aura été' entend ue de nos concitoyens et nous ne doutons pas' qu'ils auront réservé bon accueif a cel les qui leur ont demandé Foboie du pauvre. 'J# 'tA Le Journal de Bruxelies donue sur la réforme militaire, ces nouveaux détails Outre la marine qu'il s'agit d'organiser M. Segers assume la charge considerable des po8tes et télégraphes, accrue encore du prochain service des cbèques; postaux dont le budget des voies et moyens prévoit la création. Ajoutons que les >télégraphes comportent aussi le"service des téléphones, dont la ré forme, souhaitons-le vivement, sera promp- tement réalisée par le nouveau titulaire. 'M >K M Un Glas Des journaux accusent sans rire la presse catholique d'insulter les députés libéraux en signalant les faiblesses irrémédiables de leur parti. Nous leur signalons cette interview d'un député socialiste autrement dur pour les amis et alliés D ailleut's, contioua mon député, pour- quoi Je gouvernement ne nous accorderait-il pas le S. U. Electoralement il n'y risque rien,.. ni nous non plus, II gardera ses posi tions, et nous les notres. 11 n'y a que les libéraux qui écoperont dans cette affaire, et les libéraux ne nous intéressent guère. lis j sont destinés a disparaicre, comme la Tur- I quie sera demain rayée de la carte de j l'Europe. Les é'éments avancés viendront chez nous, et les modé:és iront au parti conservateur catholique...' C'est fatal 1 I Ce n'est pas dans un journal catholique 1 que nous trouvons cette prédiction mais dans le litéral «„Carillon d Ostende. Ce carillon sonne un glas... 1 MM. Maenhaut, Boval, Goethals, de Jonghe d'Ardoye, Pastur, Mathieu, députés catholiques, viennent de déposer un amen dement au budget des voirs et moyens sup- primant le droit de licence et proposant de remplacer par un droit spécial sur l'alcool a la sortie de la distillerie, droit spécial qui servira a remplacer les 7 milliong environ que rapporte le droit de licence et qui sont versés dans le fonds communal. HC M i e crédit des commercants La Cbambre était saisie avant la dissolu tion de divers projefs relatifs au crédit des petits cemmergants un projet de M. Hen- derickx, ayant pour objet la prolongation de délai de prescription un projet de M. du Bus de Warnaffe, établissant des inté éts. de plein droit au profit des créances des commer q mts et d'autres projtts ayant le même but et différent seulement'sur des points de détail. Le gouvernement a sairi des différents projets le nouvel organisme que ;e ministro de la Justice a créé. Le conseil de legisla tion a fusionné lee divers projets en un seul, que le gouvernement a öéposé le 12 novem bre 1912. Ce projet a été renvoyé k une commission spéciale composée de MM. Mabille, Destrée, du Bus de Warnaffe, Gillès de Pélichy' Henderickx, Mechelynck et Wauwermans.' Cette commission s'est déjè réunie k deux reprises mais ses travanx ne sont pas ter minés. Jeuii 5 Décembre dernier, un service s°leEnel fut célébré en l'église St Nicolas a j ^pres, par M. le curé Ryckeboer, aumonier J de la garnison d'Ypres, pour le repos de 1 ame de Son Altesse Royale, la i Comtesse de Flandre, mère de notre Souve- rain. i Légüse avait regu pour la circonstance une décoration funèbre toute spéciale. De longues tentures noires recouvraient totale- ment le choeur au milieu duquel avait été 1 esse le catafalque, entouré d'un brillant luminaire. Aux colonnes de la nef principale, des trophées de drapeaux aux couleurs natio- Le chiffre de la levée sera fixé annuelle- mentmais il ne pourra être abaissé en- de8sous d'un certain poureentage des ins crits qui sera déterminé dans la loi orga- nique. Les éliminations faire parmi les inherits s'opéreront par un mécanisme d'exemptions qui ne laissera pas place au favoritisme. La série des motifs d'exemption sera déter- minée d'une fagon trés précise dans la loi, ainsi que l'ordre dans lequel ils doivent être appliqués. On exemptera d'abord les sou- hens de familie, puis les fils de veuve, puis j jeunes gens dont plusieurs hères ont déja servi, ceux qui ont eu le plus de frères au service passant avant les autres; les inscrits appartenant a, des families pauvres ou be- sogneux auront, en matière d'exemptions, un privilège a l'égard des hls de families auées. Les con8eils de milice seront présidés par un magistrat de première instance. BURGERSTAND 1.' Ceboorten Duplacie Marie, Wiel- Ijestraat Lahousse Frangois, Pateelstraal Monssoone Jules, Basculestraat - Cardinael Marguerite Tegelstraat. - Desmedt Roger Surmont de Volsberghestraat Morel Lucfenl S°°reö Alice' Grimminckstr. De Jonckheere Robert, Lange Thouroutslr. Huwelijken Vanhaverbeke Julien, handels- vn '6" n® Korl,rilk en Rosseel Julie z. b. te ïp. r. Bruyer Jean, steenzager en Libberecht Germaine, kantwerkster te Yper. - s osse terte°Yper.emailleeidere" Kools Jeanilfi- Sterfgevalien Crabbe Rosalie 86 jaar z b can Rosalie" 7P7r1^ c?.Li n' J.^ar» z- b. weduwe van Ver- straete P"irre, Poperinghesteenweg. Vermeersch Marie, 2 jaar. Aalmoezenierstr. Delbem Henri, 79 jaar, weduwaar v. Pauwels berapbine, Rijselstraat. Monteyne Julie, 82 i?ar' z' ongeb., Poperinghesteenweg. steenweg!' ie' 62 J'z' b' p^' ^Peringhe- Si Ia nourriture vous rópugue, si vous n'avez pas d'appétit, si vous avez la langue chargée et la tête lourde, prenez quelques Pilules antiglai- reuies Waltbéry et vous retrouverez apnétit vigueur et digestion parfaite. 1 fr. la boïte. Par ordonnance rendue le 6 Dé cembre courant,par M. le Juge-Com- ^Dla faillite René ALLE MAN de Poperinghe, les créances admis au passif de la dite faillite sont convoquées a l'assemblée con- cordataire fixée au Vendredi 13 Decembre 1912, k 3 heures de rele- vee (15 heures) en la salie d'audien- ce du tribunal de première instance d Ypres. Le curateur, J. COUROUBLE.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1912 | | pagina 2