I smomuE rPMo/SE Téléphone 52 Téléplione 52 Samedi 15 Mars 1913 le N° 10 centimes 48' Année - N° 4777 Étrennes pontificates flauvais Beiges C'était une défaite certaine nission générale Ligue de la Défense Nationale. w a Ypres Un dernier écho I de la Kattefeest Bonne nouvelle Le style Louis XV a Dickebusch On s'abonne rue au Beurre, 36, A Ypres, Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 C. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. et I A tous les bureaux de poste du royaume. Les annonces coütent i5 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal 3o centimes la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémentttires eüüteut 10 francs les cent exemplaires. 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Quand enton- nent-ils avec nous la Brabanconne Jamais. Ils réservent pour elle l'insulte de leurs sifflets. Leur chant, c'était hier la Marseillaise Mais la Marseillaise n'était pas encore assez révolutionnaire a leur gré. Aussi lui ont-ils substitué cette ignoble Internationale qui conseille aux 1 soldats de réseryer leurs balles pour les officiers. Notre histoire de souffrances et d'héroïs- mes, devrait inspirer a tout coeur beige, le plus ardent amour pour la patrie, le plus vif désir de sauvegarder cette indépendan- ce que nos ancêtres défendaient déji com santé majorité. Malgré ses traditions hos- i tre les aigles rapaces de César et qu'a tra- tiles au militarisme, malgré les perils que, l dans un pays comme le nótre, l'encaserne- ment fait courir a la foi et a la moralité de la jeunesse, les catholiques lui donne- j ront un vote unanime. Bien que foncière- ment ennemis du gouvernement, bien qu'ai- gris par une continuité de défaites sans vers les siècles, tant de fois ils tentèrent vainement de reconquérir. Or, pour les so cialistes, elle n'existe pas, cette histoire. Nos héros obscurs 011 célèbres, les cham pions de nos droits et de nos libertés aux- quels les villes beiges ont a l'envi élevé des monuments ou des statues, nos socia listes les ignorent ou les méprisent. Ni la exemple dans notre histoire politique, des /- 1 j n ji 1 v f vue de De Coninck et de Breydel sur la députés liberaux joindront patriotiquement leurs voix a celles des catholiques. Toute autre est l'attitude des socialistes. Ce projet militaire qui apparait comme une mesure de salut public, ils le repoussent unanimement. Pour justifier leur vote, les prétextes ne leur manqueront certes pas. Grand'Place de Bruges, ni celle de van Ar- tevelde au Marché du Vendredi a Gand. Sablon a Bruxelles, ne fera vibrer la moin- fierté et d'admi ration dans Courtrai a élevé de Groe- fournir une bonne armée, Pour cela, la pré- paration patriotique est indispensable, celle qui donnera a nos futurs défenseurs l'amour de notre sol et de son passé, de notre dynastie et de nos institutionsqui leur inspirera la haine et le dégoüt de l'interna- tionalisme rouge. C'est la une tache noble entre toutes, et c'est la plus nécessaire, peut-être, de l'heure présente. -VW Pour se conformer aux prescriptions dio- césaines qui imposeut de faire donner une Mission tous leB sept aas, 1« Clergó des qua- fre paroisses de la ville, a invité les PP. Ré- demptoristes a venir, comme en 1906, prê- cher une mission générale a partir du Di- manche des Rameaux. Lrs exercices de la Mission ont été annon cés a tous les paroissiens, par des circulai- res-invitations remises 4;domicile. Nous rappelons a nos lecteurs qui n'auraient pas une connaissance suffisacte de la langue Flamande, que des sermons Francaisseront prêchés a l'église St-Martin, C'est l'ex-sénateur Picard, toujours socia- liste, qui écrit cela dans un journal libéral de Bruxelles 1 Combien mauvais, dit 1 ancien sénateur t jes jours de semaine, après le salut de 5 h., socialiste, devraient être les renseignements je Digjacche des Rameaux et le Saint arrivant aux dirigeants du Parti ouvrier sur jour de Piques, durant la messe de 11 h 1/2. les possibilités de réaliser en Belgique une j dre corde de l'ame de ces sans-patrie. un monument aux vainqueurs Mais quiconque connait ces gens-la, sait ninghC; Hasselt aux nobles vaincus de la bien que leur opposition est toute de prin cipe. En vain remanierait-on le projet dans le sens de leurs idéés, ils le rejetteraient encore. Avant les intéréts de la patrie, ils lont passer ceux de leur misérable politi que de classes, due leur importe d'ailleurs la patrie Que signifie pour eux ce mot Ils n'ont même pas pour règle l'égo'iste Guerre des Pay sans, Bruxelles a ces com battant de i83o qui nous ont enfin conquis notre autonomie. Or, quand ils passent de- vant ces hymnes de pierre, les socialistes n'ont pour les héros qu'ils glorifient que dé dain et sarcasmes. Mais qu'il s'agisse d'ériger un coq gaulois lis n'ont mëme pas _P«u. -b— suf c£ „h de batail]e de Jemappes, qui adage latin: I bi patria, ubi bene. La pa- notre Be]gique un quart de siècle trie est la oü on est bien Car dans quel t nie étrangère et de misères indici- pays du monde la classe ouvnere sociahste s,agiss£ d-élever un monument jouit-elle d'autant de bien-être et de liberté qu'en Belgique 1 Regardons done les na tions voisines. Quelle est celle dont les socialistes beiges puissent sérieusement en- vier le régime Voudraient-ils être alle- mands et subir les multiples contraintes qui, chez nos voisins de l'Est, entravent l'exercice de la liberté Nos socialistes auraient-ils intérêt a être Francais Certes, la République jacobine possède le suffrage universel a 11 ans. Mais qu'a-t-il done fait, ce régime électoral, de- puis 60 ans qu'il fonctionne la-bas, pour le bien-être de la classe laborieuse De quelque cóté qu'on l'envisage, la situation de l'ouvrier beige est bien préférable a celle du francais. Les impöts, sur les ob- jets de consommation notamment, sont beaucoup plus lourds en France. La législa- tioa sociale y est moins avancée que chez nous. Les charges militaires y sont autre- ment lourdes que celles prévues par la nou velle loi beige. Et les socialistes ft^ais sont si peu satisfaits du ministère radical actuellement au pouvoir, qu'ils accueil- laient, la semaine dernière, par les cris de réaction canailles requins le projet de loi rétablissant le service de trois ans. Avec toutes ces raisons de préférer leur pays aux autres, les socialistes beiges refu- sent de contribuer aux mesures nécessaires a sa détense. L'instinct de leur sécurité ne leur manque pas moins que la reconnaissan ce de l'estomac. On aurait tort d'ailleurs de s'en étonner. Tout le passé de ces gens n'est-il pas la pour prouver qu'il n'y a pas en eux un grain dame beige Ce n'est pas seulement notre royauté qu'ils répudient, c'est tout notre heritage de gloire. Quand done les voyons-nous par- ticiper a une manifestation nationale Ja mais. Quand arborent-ils, comme les autres Beiges, le drapeau aux trois couleurs Ja- a Ferrer, l'assassin espagnol si justement condamné par les tribunaux de son pays. Alors les socialistes sont la toutes leurs fanfares éclatent, toutes leurs loques rouges claquent au vent. Et eet enthousiasme pour l'étranger le plus indigne, est une nouvelle insulte la patrie. Devant de tels faits, des devoirs impé- rieux s'imposent a nous, Pour que nous puissions efficacement nous défendre con- tre l'étranger, il ne suffit pas de lui oppo- ser des corps beiges, il faut encore des ümes beiges. Si les troupes que nous enverrons a l'ennemi n'ont pas une mentalité natio nale développée, il nous sera impossible de compter sur elles. L'histoire de cette hideuse Commune de Paris, que noS> socia listes ne cessent de magnifier, est la pour nous apprendre ce que nous avons a redou- ter chez nous. Notre armée ne sera vraiment forte que si nous la préservons de la contagion tant du socialisme en bas que de la franc-ma- ^onnerie en haut, aussi internationaux et aussi antipatriotes l'un que l'autre. Et ce socialisme, il ne faut évidemment pas at- tendre l'êge de l'entrée a l'armée pour le combattre dans l'esprit des soldats. C est l'enfance, c'est la jeunesse tout entiere, que nous devons imprégner de patriotisme et de nationalisme. Depuis trop longtemps nous permettons que, dans des écoles pu- bliques, l'instruction soit donnée par des instituteurs faisant notoirement profession de socialisme. Car comment croire que ces maitres-la sauront ou même voudront ins pirer aux enfants, l'amour de cette patrie que dédaigne et méprise leur parti On commence a s'occuper chez nous de la préparation militaire de la jeunesse. Ce mouvement est digne de tous les encoura gements. Mais il ne >ffit pas pour nous Grève Générale, surtout avec un objectif non pas économiqu», mais po'itique, pour qu'ils se soient résignés a en retirerla menace. 11 y a trois semaines encore, farouches et intransi- geants, ils la corsaient en fixant au 14 aviil la date fatidique de la mise en train. C'est une victoire du bon sens, ou, si vous préférez, du sens commun, du mid delmate, du sentiment salutaire de la moyen ne mesure, qui est une de nos vertus nationa ls capitales, victoire sur l'amour-proure ~.'0 comprimer après tant de rodomontades, uc vantard'ses, de prévisions clamant la certi tude du succès. II était devenu presque évident non seu lement qu'une notable partie de la classe laborieuse ne marcherait pas et qu'on parti- rait en guerre avec une armée insuffisamment mobilisée, mais que les patrons, a l'exemple de ceux de l'Angleterre, de Suède, de Hol- lande, de France, étaient carrément résolus a supporter l'orage et a risquer le paquet pour savoir, une bonne fois, si, comme je 1 écrivais il y a huit jours, cette fameuse Grève Générale est une machine formidable ou un monstre chinois. Cette résolution virile va, vraisemblable- ment, être amoindrie par un empapillotage de raisons destinées a a sauver la face II vaudrait mieux qu'elle füt acceptée par ses auteurs en sa belle et forte simplicité d'action civique, d'aveu, presque héroïque vu les cir- constances, qu'on avait été trop loin et qu'on aurait dégringolé vers une défaite qui, pour Luudi prochain, 17 Mars, a 8 heures du soir, en la Salle Iweins, M. Edmond Terlin- den, lieutenant au 2e régiment des Guides, donnera une conférence avec projections lumineuses et traitera de la Defense Na tionale. a i«, d HATTf rin nATinmni V Le 5 Mars dernier, il y a 25 ans qua M. le Sénateur Fraeijs de Veubeke remplit les fonctions d'administrateur-délégué de la succursale de la Banque de Courtraia Ypres. II fut eu effet nommé le 5 Mars 1888, en remplacement de M. Breydel, démission- j naire. A cette occasion les employés de la j succursale ont organisé une manifestation intime en l'honneur de Tadmiuistrateur ju- 1 bilaire. Ils lui ont offert une gerbe de fleurs j et l'un d'eux a, après avoir rappelé la sage j et habile administration de M. Fraeijs de j Veubeke, exprimé le souhait de le conserver j encore de longues années a la tête de la Banque qui devient de jour en jour plus flo- j rissante. I L'honorable Sénateur fut également con- gratulé a la reunion du Conseil d'Adminis- j tration a Courtrai, lundi dernier, par ses collègues qui lui offrirent en souvenir du longtemps, eüt terni le prestige du Parti et ;ubjig une magnifique ceuvra d'art. disqualifié ses chefs par un fiasco retentis sant. A quoi pourrait »ervir,alors qu'on s'était enfoncé jusqu'a l'os une grosse et méchante épiDgle dans le pouce, d'annoncer qu'en la retirant on n'entend pas se soulager soi-mê- me, mais uniquement faire plaisir a ceux qui regardent comment le maladroit blessé se tirera d'aflaire. Car il était devenu presque évident non seulement qu'une notable partie de la classe laborieuse ne marcherait pas et qu'on parti- rait en guerre avec une armée insuffisam ment mobilisée, mais que les patrons, a l'exemple deceux d'Angleterre, deSuède, de Hollande, de France, étaient carrément ré solus a supporter l'orage et risquer le paquet pour savoir, une bonne fois, si, comme je l'écrivais il y a huit jours, cette fameuse Grève Générale est une machine formidable ou un monstre chinois. II en est qui regretteront que l'expérien- ce ne se fasse pas, j Seules quelques commères, efhayées quand même, faisaient des provisions de j jambons et de chandelles en vue d'une famine 1 imaginaire et d'un chomage universel. Le j pays attendait avec calme, presque avee cu- riosité, les effets du déclanchement du 14 avril, prévisionné non plus comme un cata- j clysme, mais comme un spectacle d'un inté- i ret palpitant et exceptionnel. Edmond Picard. 3? Après Ptiques, M. Fraeijs de Veubeke re- cevra en une réunion intime tous les em ployés Yprois de la banque. La démolitiou du théatre Néerlandais, place Vandenpeereboom, m'a semblé un dernier souvenir de notre Kattefeest Par ses multiples attractions, cette foire fait la Joie des petits... et quelquefois des grands enfants Mais il faut bien le dire, la réalité vue des coulisses est moins gaie, et c'est sous ce dernier aspect que je tiens a la pré senter. Nous ne songeons pas assez aux souffrances de ceux qui nous procurent cer tains plaisirs. En échange d'une pièce de monnaie, nous nous croyons libérés. Cette vie nomade menée par les forains leur parait tres naturelle. Leur roulotte, plus ou moios confortable, plutöt moins que plus, est tout leur idéal. Leur misère physi que est quelquefois grande, mais que dire do la misère morale et de l'absence de toute instruction chez ces braves geus. Ce sont ces lacunes que l'oeuvre des fo rains essaie de combler. Les enfants vont l'école de 9 h. du matin il midi et de 2 h. 4 1/2 h. A cette école arrivent tous ceux qui sont en Sge d'apprendre... ou ceux qui ne le sont pas encore. Cette année une trentai- ne d'enfants l'ont fréquentée. II sont tous bien remuants celajjva saus dire,mais rarement méchants. On leur apprend le Pater ou l'A B C eiTre deuxcabrio- les et si on a le medieur de les quitter des yeux, ils vous quitteut aussi. Unedizaine d'eutre eux ont fait leur lr' communion, de grandes fiiles out renouvelé la leur etcinq petits enfants ont été baptises. Grace a l'oeuvre de S. Régis, la situation de plusieurs ménages a été régularisée. Voila le bilanj;moral de mars 1913. Pour en arriver la, il sufflt de ne pas s'en tenir au précepte strict de la eharité. Don ner de sa bourse, mais surtouf se donner soi même. Ét comme disait, je crois, l'aima- ble S. Franc jïs de/Sales, pour être bon, il faut l'être un peu trop. M 35 S3 Monsieur le Sénateur Fraeijs de Veubeke vient de recevoir de Monsieur le Ministre des Postes et Télégraphes la lettre suivante Waarde Heer Senator, Gij hebt gelieven dringende'pogingen aan te wenden tot het bekomen van verbeteringen in het afleveren der postpaketten in het post kantoor van Yper. Het verheugt mij U te zeggen dat ik mijn goedkeuring gegeven heb aan het voorstel van inrichting van trein n° 3igo tusschen Brugge en Thourout, onder voorwaarde dat trein, in de eerste dier statiën,met de noodige regelmatigheid kunne geschieden. Met dit doel heb ik mijn kollega van Spoorwegen verzocht den reisweg van ge zegden posttrein ter proef te willen verande ren. Het bestuur der Posterijen bereidt, in afwachting van nadere aanduidingen, de maatregelen tot uitvoering van gemelde her vorming. Aanvaard, waarde Heer Senator, de verze kering mijner toegenegene gevoelens. Paul SEGERS. Brussel, den 12 Maart 1913. Mijnheer Fraeijs de Veubeke, Senator, te Yper. W. >H La somnolence somptueuse des hotels pri- vés du XVIII' siècle fait le charme des quar- tiers anciens de certaines villes, et jusqu'ici l'imitation de l'architecture élégante de cette époque n'a pour ainsi dire été pratiquée que dans les villes, toujour» assoiffées de luxe, vrai ou faux. La campagne avait gardé, heu- reusement, cette rusticité dans ses construc tions qui en fait tout l'attrait, toute la poésie. Ce n'est plus un mystère pour personne que le modests cabaret de l'étang de Dicke busch, cü tant de générations se sont délec- tées de savoureuses tanches et anyuilles, est destiné a être reconstruit. Notre mégalomanie moderne ne s'accommode plus d'une auber- ge, il faut un hötel, presqu'un palace, du plus pur style Louis XV. Nous n'avons pas k envisager la question de dépense nos édiles, avec leur prudence coutumière, ne desserreront pas trop les cor dons de la bourse commune. Ce qui nous préoccupe uniquement, c'est une question de convenance, celle de savoir si une transplan tation de l'architecture urbaine est heureuse ou simplement rationnelle'è la campagne. Toute construction a ériger doit s'inspirer du site, du milieu ambiant. L'Yprois et le touriste étranger ne se rendent pas unique ment a l'étang de Dickebusch pour se régaler d'un bon repas de poisson. L'ichtyophage se double souvent d'un artiste,épris de la beauté du paysage qui se développe sous ses yeux. Et, vraiment, ce paysage est d'une douce quiétude la nappe argentée de l'étang temble s'étendre jusqu'au pied du mant Wv' «^L JOURNAL YPRES ©rgane Catholique de l'flrrondissement CL uc nurne au Pétlt i i« 11C. 1If r. nnr nn n acrn r#>tAntie. -

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1913 | | pagina 1