Téléphone $s GMROHQUE ÏPROiSE y - - **siï Samedi 15 Novembre 1913 Se N° 10 centimes 48e Année N° 4810 Téléplioae 52 Rythme des Vagues Li bres Propos Le pro jet scolaire et 1'opinion Instituteurs religieux Le Sénat La Chambre F K" m O11 s'aboniie rue au Beurre, 36, Ypres, et A tons les bureaux de post© du royatssn©, Les annonces coütent 15 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal So ©sotkésa la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémentlBires ooümst 10 francs les cent exempfaires. Pour les annonces de France et de Belgique (exceptè les deux Flandres) s'adressef k i'AgmSG Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse. Le Journal d'YpreS parait une fois par semaine. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 c. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. J'étais assis devant la mei' sur le galet Sous urfciel clair, les flots d'un azur violet, Après s'être gonllés ea aceourant du large, Comme un homme accsblé d'un fardeau s'en decharge Se brisaient devant moi, rythmés et successifs J'observais ces paquets de merlourds et massifs Qui marquaient d'un hourra leurs chutes rtsgulières, Et puis se retiraient en rMant sur les pierres. Et ce bruit m'enivraitet, pour écouter mieux Je me voilai la face et je fermai les yeux. Alors, cn entendant les lames sui' la grisve Bouillonner et courir, ct toujours, et sans trève S'éerouler en faisant ce fracas cadence, Moi, l'humble observatcur du rythme, j'ai pensé Qu'il doit être, en effet, une chose sacrée, Puisque Celui qui sait, qui commande et qui crée, N'a tiré du néant cos moyens musieaux. Ces falaises am rocs creusés pour les échos, Ces sonores cailloux, ces stridents coquillages, Ineessammcnt heurtés et rouléssurles plages Par la vague, pendant tant de milliers d'hivers, Que pour quel'Océan nous récilêt des vers. Franqois COPPÉE. La Chambre de Passage Qu'y a-t-il eu entre l'être du depart etjl'être du retour réintégrant'définilivement sa cité Paysages contemplésjprofüs entrevus, rela tions banales ou sérieuses, sensations éphé- mères ou profondes, qui sait Des figuresj'nouvelles se sont interposées, des sentiments nouveaux sont survenus. Amitié, sympathie, n'importe Quelque chose est né, quelque chose d'infiniment menu, d'infiniment pue'ril sans doute, mais quelque chose a germé dans un repli secret de lame, de lime impénéirableetbizarrequ', dés l'heure du retour au foyer, en un tres- saillement de surprise, découvre tout au fond d'elle-même la furtive nostalgie de ce qui fut; I Ime insaississable, insondable. pour la- quelle le moindre hier quelconque peut se transformer et devenir l'attrait myste'rieux et toujours troublant du Passé... Ainsi, il est des cbambres d'auberges ou Ton pénètre en sachant que la veiile, le matin même, l'heure précédente quelqu'un habitait la, usait de ces meubles, regardait le cie.1 par cette fenêtre. A peine y a-t-il eu, depuis le départdu dernier occupant, le temps, néces saire pour changer les draps, renouvcler l'air, déplacer les poussières. On divine cela, et d'abord on rcgarde au- tour de soi avec me'fiance. Tout est en ordre, net, sans empteinte. Les objets semblent ne se souvenir de rien Le fauteuil confortable, le bureau, le lit bien fait, les ornements sans originalilé, le luxe sans visage propre de la chambre accueillante s'offrent a la fatigue et a la songerie dujvoyageur. 11 accepte, déballe les objets immédiatement nécessaires a sa vie. II ne restera pas longtamps dans cette cham bre de passage, que lui importe si d'autres y sont passé puisque rien d'eux ne demeure. II s'installe, se repose, résigné a lasile banal ou il abritera les heures vides du voyage. Pour se distraire, il examine railleusement les rinceaux ambitieux de la tenture, la pen dule sentimentale et les vases peints de fleurs trop fraiches qui décorent la cheminée. II per<joit le ridicule naif, l'effort de plaire a tous, la pauvreté de ces ornements. II s en moque. II les méprise... Bientot, il s'en ira plus loin, et il oubliera la chambre d'auberge aussi vitc qu'il cn sera oublié... Ce n est rien, une chambre d'auberge 1... Pourtant l'ame humaine est ainsi faite, que, lorsqu'il la quitte, cette chambre, pour n'y revenir jamais, ,1c voyageur sent quelque chose se déchirer dans son ame. Et, rentré chez lui, il advient qu'il se rappelle avec un peu de douleur cette piece vulgaire oü il a dormi ou d'autres dorment maintenant On fait parfois de beaux rêves dans la chambre d'auberge... II est temps de elore le débat, estime M. Pieard, ancien sénateur socialiste. M. Edmond Picard est d'avis qu'il est plus que temps de clore le débat scolaire. Voici comment il s'exprime a eet égard dans les colonnes d'un journal bruxellois Qu'on ait eu 1« projet de prolonger ce spectacle quand on espérait soulever le pays et aller, au besoin, jusqu'a la Re volution comme on le criait, sans échos, a la sortie des premiers meetings, c'est poli- tiquement normal. Mais aujourd'bui que rien ne bouge, si ce n'est l'équipe restreinte des agités aujour- d'hui que les premiers ténors out ckanfé leur grand air et que l'intérêt principal do la représentatiou a cesté avec leurs haran gues aujourd'bui qu'on peut dire tiès véridiquement comma vient de l'avouer Camilla Huysmsns.'i queUa classe ouvrière sa désiatéresse de l'affaire et sa réserve pour la bataille du Suffrage Universel qui, die, sera'aulrement [sérieuse aujourd'bui que les clameurs, les appels de gosior et de pied, les affichages [virulents et tous le» autres moyens et condiments usut ls apparaissent en ure tiès belle série do coups ratés; aujourd'hui. que derrière co tapage il n'y a pas plus d'cffectif que derrière lss' tambours de Marbot a[A.usterlitz, qui battaient lurieu- sement la caisse, cacbés par un[bois, pour faire c.oire al'existence d'un corps d'arméa important,'— il faut vraimeat une opiniö- treté plus qu'bumaine pour contiDuer le rfcCQue-méaage parlementaire. Pour avoir dit ces véiités, l'ancien séna teur socialiste a été malmecé récemment au Parlement et dat s certaine presse. Veut-on savoir quel cffet jont';produit surfjui ces remonstrances Voici On s'irrite,daLS le groupo libéra'o-socia- iiste qui mène l'avecture, de me voir dire ces réali'és (et plusieurs autres) et consdller i'acceptation, vaillejque.vaille, d'un régime destruction obligatoire qui, dans l'onscm- ble, est convenablefparce qu'il est en accord avec la situatiou mentale actuelle de la Bel gique, historiquement et, jusqu'ici, iné ita- blement panachéèvffen matière de religion, docroyants et d'indifférents. Mais n'est-il pas fiaternel de montrer combien les griefs invequés avec exaltation sont'ndiculement grossis et se révèlent tels dés que, sortant des blaguologies, on serre de prés les chiffres. C'est mon devoir:£d'es- sayer d'enrayer les haines.et je l'accomplis, assure que des milliers d'intelligences sont en accord avec moi paree qu'elles mesentent libre des partis pris qui grèvent les poli- ticiens enrégimentés. Et après avoir cité der chiffres précis qui font justice de la légend# des millions aux couverts M. Picard ajoute lis démontrent (ces chiffres) l'extrava- gance des anafhèmes et des objurgations a l'opinion publique, laquelle, au surplus, ne les éeoute pas, c'est désormais indéniable, malgró tout le gingembre qu'on lui fourre dans... les oreilles. Ou sont les millions jetés^en 'gjUóN aux prêtres, par le Projat, ainsi que le pro- clament les tonltu.rants orateurs, les écu mants journalistes et les ruttlantes affiches Oh 1 quel bonheur de ne plus être séua- teur I Ja serais forcé, pour ne pas trabir Ie parti de dire absolument la contraire de ce queje viéns dVxposeren hömmo politique dému8elé. AW Pages a relire Nous signalions l'autre jour le décret im- périal par lequel Napoléon donnait pour base a l'erseignement de toutea les écoles de l'Uciversi'é les próceptes de la religion catholique. Un autre article du même décret n'est pas moins intér ssant. Les frères des écoles chrétiannes seront brevetés et encouragés par le grand-mattre, qui visera leurs statute antéricur», lts ad- mettra au serment, leur prescrira un habit particulier, et fera surveiller leurs écoles. (Décret impéiial du 17 maïs 1808,art.l09).» Le grand empereur en effet professait que les meilleurs instituteurs sont les prêtres et les religioux On n'a vu ju^qu'ici, de bons enseigne- ments que dans les corps ecclésiastiques. Je préfère voir les enfants d'un village entre les mains d'un homme qui ne sait que son caté- ckisme et dont je connais les principes que d'un quart de savant qui n'a point de base pour sa morale et point d'idée fixe. La reli~ gion est la vaccine de 1'imagination, eile la préserve de toutes les croyai ces daDgereu- scb etabsurdes. Un frère ignorantin suffit puur dire a l homme du peuple Cette viö est ua passage». ...Si vous otezla foi au peuple,vous n'avez que des vcleurs du grand cbemin. Vous ne pouvepas dire au peuple qu'il y a une autre lumière que celle de la reli gion celle de la raison naturelle. Au lieu que vous avez de petite coqs de village qui viennent on na sait d'oü, qui font ici un petit certificat faux et perdent la génération. Vous n'aurez pas de solidité dans l'Etat, si vous ne donnez pas de morale au peuple et point de morale sans religion (Compte rendu stéuographié des séances du Conseil d'Etat, en 1804 et en 1805. Séance fenue a Saint- Cloud, 30 Messidor an XIII 19 juillet 1805). On lira aTec intérêf, au sujet des Petits Fières ca qu'en dit H. Baudrillart, mem- bre de l'Institut dans son livre sur la fa milie et l'éducation en France dans leurs rappDrts avec l'Etat et la société (Paris, Didier et Cie, 1874, p. 360) Dès 1709, le fondat6ur des Fières des écoles chrétiennes, J. B. de la Salie, ouvrit dans Fétablissement de la paroisse de Saint- Sulpice une école du dimanche,|en faveur des jeunes ouvriers, qui fut suivie par deux cents jeunes gens. Le programme de l'eci i- gnement était le même que dans les écoles d'aduites du même institut aujourd'bui, y compris la géométria et le dessin Cette idéé de renseigaement professional, avec un caractère ici plus spécial en général, avait frappé, dè3 ia fin du premier [empire, le cé lèbre fiére Philippe, destiaé a exercer si longtemps une grande action comme supé rieur des Frères. De 1813 a 1815, il s'appli- quait a Auray, dans le Morbiban, a prépa- rer les jeunes gens pour les chantiers de construction et pour le cabotage a eet effet, il leur enseignait les éléments de la géo- métrie et quelques autres sciences relatives a leurs professions. Le gouvernement de juillet leur demanda d'ouvrir a Paris des Ecoles. En 1838, Victor Cousia réclamait préci- sément comme un titre de gloire pour le gouvernement de juillet, le fait d'avoir cou vert de sa protection les Frères de la doc trine chrétienne C'est, disait-il, le gouvernement de juillet qui, dans uue loi destinée a devenir la charte de l'éducation du peuple, a inscrit au pre. mier rang des objets de instruction primai re, non seulement la morale, mais l'instruc. tion religieuse. C'est le gouvernement de juillet qui, dans cette même loi de 1833 malgié une vivre opposition, a fait intervenir de plein droit la puissance religieuse dans la surveillance des écoles populaires. La cham bre n'a point oublié ces importantes discus, sions, et je m honorerai toujours d'avoir été a cette époque son interprète et celui du gou vernement. Enfin, il mest permis d'entrer dans ce détail, quand des préjugés qui cha- que jour s'affaiblissent, proscrivaient les frères de la doctrine chrétienne, en dépit de la liberté d'enseignement, c'est encore le gouvernement de juillet qui les a défendus dans le cercle de la loi et je suis fier aussi d'avoir, pour ma faible part, contribué a sauver d'une persécution aveugle ces bons religieuxdont les statuts ont été examinés et approuvés par le conseil d'Etat ct par le conseil de l'université del'empire, renfermés tout entiers dans leurs modestes fonctions, si dociles envers l'autorité, si charitables envers le peuple dont ils partagent la pauvreté et les humbles habitudes. (Discours prononcé a la Chambre des Paris. Séance du 26 décembre 1838). Eten 1904, Ferdinand Buissoa, lui-même, président et rapporteur de la commission des coi grégations a la Chambre frangaise, devait bies, dans son rapport rendre eet hommage aux Petits Frères Les Frères des ficoles chrétiennes, ont été p rndant trois quarts de siècle non seule ment aGseciés, mais incorporés a l'Univer- sité.Ils ont pris quelque chose de son esprit, qui n'est pas sans parenté avec celui ds lhomme admirablequi fut leur fondateur; ils ont suivi nos programmes et les om quel- quefois devancés. Dépendaut du ministère de l'instruction pubiique et non dos cultes, ils n'ont jamais donné prise au reproche d'in- subordination ou de révolte. (Chambre des députés. Annexe au procés-verbal de la séaresdu 11 févrisr 1904. N° 1500). vV* Séance d'ouverture du mardi 11 novembre. La séance est présidée par M. Piret, doyen d'age, assisté de MM. le due d'Ursel et Struye, les deux plus jeunes membres da l'assemblée. II est procédé a la vérificafioa des pou- voirs et a la prestation de serment da M. Ligy,élu sécateur provincial pour la Fiandre Oriëntale, en remplacement de feu M. le com te do Smet de Naeyer. M. le.baron de Favereau, le comte 't Kint deRoodenbeke, le comte Goblet d'Alviella, le baron d'Huart, Lafontaine, Raepsaet, le baron Orban do Xivry et Magnette sont respectivement élus président, lr et 2d vice- président et secrétaires. Après une courte allocution dans laquelle !e président remetcie l'assemblée pour l'hon- ntur qui lui est fait, M ie baron de Favereau prononce l'éloge fu. èbre du comte de Smet de Naeyer ii retrace la carrière du défunt ministre d'Etat et énumère les nombreux travaux et réformes auxquels son nom reste ra attaché. MM. B'rryer, au nom du gouvernement, J.Vandenpeerebooai, De Bast et Coppieters, au nom de chacus des trois partis représen- tés au Sénat, s'associent a eet hommage. M. Magnette, reprenant le voeu exprimé par M. le président du Sénat, demande que le Sénat soit saisi en temps utile des projets dont il a a délibérer. M. Berryer, ministre de l'intérieur. Un gouvernement n'est pas responsable du re tard qui se produiseut dans les discussions des assemVléas parlementaire» et il ne de- mande pas mieux que d'y porter remède. Mal; iln'aaucuue actioa sur l'opposition. M. Mansart n'oblient pas jla majorité absolue pour la place de 4e secrétaire. II y a lieu a un nouveau scrutin, mai» la Chambre n'est pai en uombre. La séance est done levée. Mercredi ia Novémbre M. Devèse est oblige de faire amende [ho norable c'est par la faute des deux secté. taires provisoires qui ont mal jreceasé les votes que M. le Président a déclaréihier qua la ChambreVétait pas enlnosabre. M. Schollaert prend place au fauteuil da la pré8idence et prononce l'allscution d'usa ge. II gign&le diverges réformes a introduira dans le règlement de la^Chambre. Lss inter pellations absorbent une [part trop impor tante de l'actirité parlementaire ch 1912-. 1913 elles ont occupé 40 léances [sur 160. II fsudrait aussi piéciser ca qu'os entend par une question, car les questions se nstil- tiplient d'une ftgen tfffayante; leur nembre a atteint 2.487 en cette armé», dépassant 4a 725 lo chifï e de l'année précédente. Enfia, en diminuant le nombre de nos séancas,taais ea proloogeant leur durée, il y aurait »oyeu de fournir un travail au moins égal et taut aussi productif. Quoi qu'il en soit da Ja nécessité de ces réiormes. il convient da reconnaitre que l'année parlementaire écou léo a été féconde en résultats 74 projets de loi ont été votés, parmi Lsquels il en est d'une po; tée considerable. La présente a- asion sera nécessairemeat courte, puisqu'au mois de raai la moitié das membres de la Chambre sera sujstt# réélectiou. Efforgons nous Jd'employer le plus utilement possible le temps dont nous disposons. M. !e Président donne connaissarce k la Chambre des 9 interpellations annoscées. La fixation de l'ordre du jour doana lieu a un écha-ge de vues assez long. En fin de compte il est arrété comme suitea lr ordre, le projet scolaire, ensuite le projet de loi sur les habitationsjouvrières, celui rela- tif a la pension des mineurs et la limitation de la journée de travail des machiniste» d'extraction. WV AAV Mardi 11 Novembre L'ouverture de la session ordinaire se fait sous la présidence de M. Mullendorfï, doyen d'age. On procédé d'abord 4 la constitution du bureau défiuitifMM. Schollaert, Nerinck, j Harmignie, Bor'ooux, Huyshauwer et de Kerchove d'Exaerde sont respectivement élus président, lr et 2« vice-président et se crétaire. Reunion du Conseil Communal du Samedi 8 Novembre La séance publique s'ouvre a 17 h. io.sous la présidence de M. Golaert, bourgmestre. PrésentsMM. Fraeys de Veubeke et Vanden Boogaerde, échevins D'Huvettere, Bouquet, Ivveins d'Eeckhoutte, Lemahieu, Biebuyck, Baus, Seys, Struye, conseillers Vidor, secrétaire. Excuse'sMM. Fiers et Sobry. Le procés-verbal de la dernière séance «»t lu et approuvé. Communications. M. le Président don ne lecture de la lettre de M. le Ministre des Chemins de fer annoncant offidellement que depuis le 11 octobre dernier, les deux trains militaires supplémentaires des samedi et di- manche sont accessibles a tous les voya ge urs. M. le Président proteste contre l'articla d'un journal local paru la semaine dernièr# et faisant allusion a une prétendue profana tion de cadavre au cimetière communal. Après enquête faite,il résulte que cette vagu« accusation est fausse et constitue une diffa- mation. ORDRE du Jour. Ecole moyenne (compte 1912) recettes, 41 486 fr. 45 dé- penses, 41.229 fr. 86 c. excédent 256 fr. 5g. Approuvé. Ecole primaire payante (budget 1914) recetteset dépenses, 5,825 fr."Approuvé. Ecole moyenne (budget 1914) recettes et dépenses, 40.283 fr. 5o. Approuvé. Ecoles primaires gratuites (budget 1914) recettes, 38,325 fr. dépensesécole com munal* de gar$ons, 14.875 fr. école com- «MCTMAnoro-jw.m.a^i. -. -^sgfeyc*^'}«yBaalw-j!»a<iaJ JOURNA Orgasme Satholique de l'Arrondissement

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