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Qui dira'tout d'abord les sommes conside rables que sa générosité versa dans le sein des pauvres. Accueillant comme il était, sa porte était toujours ouverte aux déshérités de la terre pas un qu'il ne consolat, pas un qu'il n'aidat, pas un auquel il ne prodiguat, en mêmeTemps tque des aumönes, des con- seils de^père. Générosité discrete, Messieurs, et d'autant plus'méritoire; il faisait tout sans bruit, et sa modestie se fut effarouchée de l'écho que ses largesses auraient pu exciter au sein de ses ouailles Mais tous ceux dont il soulagea)la misère,et Dieu qui jamais n ou blie les bonnes actions, savent quels trésors ont "passé de ses mains dans les mains des pauvres. Et queMire de tout "ce qu'il a réalisé au point de vuejde la restauralion de l'Eglise. Avant lui, vous le savez, Messieurs, l'Egli se Warnêton é'ait dans un état peu compati ble avec la dignité de la maison de Dieu. Le Révérend curé Salinghe, nommé curé de cette paroisse'n'eut pasjsitot apercu cette la cune que sa résolution fut prise il s attache- rait a l'oeuvre de la restauration. II faudrait presque^dire a l'oeuvre^de la réadification du sanctuaire.Pendant de longues années, ce fut pourjlui un labour incessant: il était 1 ame de toute cette entrepr.se. Rien ne le rebutait,:"ni les (fatigues a sur- monter ni les difficultés a aplanir, ni les dé- penses.si considérables cependant, a couvrir; il voulait a tout prix donner a Dieu une demeure digne de'lui. ,Et voyez a présent le résultat de ses efforts l'Eglise complètement restaurée, avec une compétence et un art que chacun s'accorde a reconnaitre l'Eglise de- venue unj monumentjqu'on admire la mai son de Dieuj'redevenuey temple digne de ce norn. Oui, cette ^oeuvre gcomptera, parmi toutes les oeuvres |si méritantes de notre re- gretté pasteur,"comme un^des plus beaux fleurons de sa "couronne sacerdotale, cette oeuvre restera]et rappellera filèlement a no tre souvenir son coeur et son ame d apötre. Mais il est une autre oeuvre encore, une oeuvre fruit de ses travaux, de ses prières et de ses peines qui dépasse en grandeur la restauration du sactuaire. Et, en effet, Messieurs, ne doit on pas re connaitre que dans'une large uuauit, Mon- sreur Salirighe, a restauré la paroisse elle- même Voyez done ce qu'il ce fait Quand le désarroi, jadis,"et le manque de concorde sévissaient a Warneton, n'est ce pas lui qui a pacifié. Quand l'enseigneraent réclamait des sacri fices incessants et des dévouements toujours renouvelé3 n'est-ce pas lui qui a déployé U" zèle, une fermeté, une abnégation a toute épreuve et oouronnés dun plein succès. Quand les oeuvres pour adolescents récla- maient la sollicitude éclairée de vrais amis de la jeunesse, n'e»t-ce pas lui qui a créé le patronage Quant la nécessité des oeuvres ouvrières commergiit a se faire sentir, n'est-ce pas lui qui a été le promoteur des retraites a Gand?? Quant les conditions actuelles de la socié- té, postulaient pour les membres de la bour geoisie un ensugnement religieux^et apolo- gétique plus développé et plus substantial, n'est-ca pas lui qui a fondé la sodalité Quand au sein des families des circonstan stances difflciles ou embrouillées venaient jeter le trouble, n'est-ce pes lui qui a été le conseiller prudent, sage et discret, dont l'autorité incontestée se doublait du prestige d'un absolu désintéressement? En vérifé, Messieurs, cette liste d'oeuvres, tout ij incomplete qu'elle soit, ne montre-t- elle pas le Révérend Monsieur Salinghe, tou jours sur la brèche, paraut k toutes les-né- cessités, veillant a tous les besoins VI ai modèle du pasteur qui se dépense sans compter pour le bien de son troupeau Oh, certes il a |fait plus que reBtaurer l église il a vraimeut restauré, comme je le disais, la paroisse elle-même. Et c'eit pourquoi, toute la population l'admiraitet le vénérait c'est pourquoi dans un élan de sympathie etj-de chrétienne condoléance, elle s'associe toute entière a ses funérai'lesc'est pourquoi Warneton tout entier sent la perte qui It frappe et déplore la mort de sen pasteur vénéré. Et maintenant, au moment de l'adieu, ver sons sur ce tombcau le tribut de nos regrets les plus 89ntis, le tribut dejnotre reconnais sance la plus profonde, le tribut de nos priè res les plus ferventes. Nous emporteronsfde vous, cher et vénéié pasteur, la souvenir d'une vie consacrée au devoir et au service de Dieu et du prochain, et ca souvenir nous sera sacré. II nous sera un soutien dans nos efforts, un réconfort dans nos difficultés, un Roulagement dans nos peines, un example dans Ia conduite de Dofre vie. Merci done, vénéié pasteur et adieu, ou p'utöt, au rovoir 14-baut I Enfin un jeune garcon de l'Ecole des Erères Maristes rappela au nom de 'i ses condisciples la sollicitude toute pa- Icrnelle que le défunt avail pour la jeunessp. Après la cérémonie la foule vivément impressionnée défila devanl la tombe ouverte de celui qui avail été le con seiller prudent, l'ami sincère el le' prê- tre tlévoué de tous ses paroissiens. Un milicien de la levée de 1914 est élève a l'école indusfrieUe du degré su périeiir a Gand (section de chimie, 2° an née). 1. Cet élèvé peut-il, comme les étu cliants a l'université, faire sou service militaire tout en suivant les cours de cette école indüstrielle supérieure? 2. Le peut-il pendant la 'deuxièmé an née d'études. Réponse Oui, s'il suil des cours du jour et s'il se trouve dans une des situations ci-,après i a) dans la 3é année des études supé rieures qu'il poursuit b) dans une des deux années des étu des supérieures entreprises c) dans la dernière année si ces étu des supérieures ne comportent que deux années. VW Séance du Mardi 9 Décembre M. Nerincx, vice-président, fait part a la Chambre du décès inopiné de M. Grafé, député libéralj)de Namur. Le défunt, qui avait succédé a M. Hambursin, ne faisait partie de la Chambre des représeutaDfs que depuis le 15 janvier 1913. M. le président, M. Carton de Wiart, mi- niBtre de la justice, M. Van Marcke ib Petit (cath.)Jet Bologne'{soa rendent hom mage a la mémoire de^leur collègue défunt. M. Debunne (soc.) continue son dis cours sur l iuterpellation relative a la loi du 12 décembre 1912 sur la tax d'ouvertu'e des débits de boissons alcooliques. II espère qu - le ministre des finances trouvera avant le vote du budget des voies et moyens, dont certaines disposi'ions traitent de la question, un texte qui fasse droit aux revendications des cabaretiers et des brasseurs. M. Berlo\ (soc.) combat l'intcrp-é'ation de la loi de 1912 par M. le ministre des finances et l'assimilation du cabaretier a uu gérant. La circulaire interprétitive~ a~ eu cette conséquence] inouï^. qu'un tel débitant louant un immeuble a un brasseur a con dition de prendre sa bière chez lui, doit payer une taxe d'ouvertu;e s'il ouvre un débit ailleurs. M. Colaert. Css débitants auraient tort de pay -r. M. Wauwermans. Non pa6 mais ils doivent réclamer. M. Berlo\. -- C'est ce que j'ai conseillé de faire. Si les propositions de M. le ministre sont votées, tout sera pour le mieux. Nous avons un débit de b össon pour 51 habitants C'est honteux M. Levieministre des finances. Le nombr-3 des débits a diminué de p'us de 10.000 dans ces derniers temps. M. Vandervelde. Mais il en reste en core 190,009. M. Levieministre des financ-s. II en reste même2 9,000. M. Berlo\. Nous devrions être fous d'accord pour réduire le nombre des débits. {Approbation sur divers blancs M. Levie, ministre des finances. Tiès bien Apiès quelques observations de MM. Daens et F. Goethals (cath.) la discussion est déclarée close. M. Galopin (soc développe son inter pellation a M. le ministre des chemins de fer au sujetdela révocation de M, Renier, pié- sident de la Fédération des associations des machinistes et chauffeurs de Belg'que. M. Vande Vyvere, ministre des chemins de fer, explique que Renier a été frappé a cause de ses nombreuses excitations a l'in- discipline. Les avertissements ne lui ont pas manqué, mais Renier voulait les palmes du martyre il a persévéré, pour arracher sa révocation. Séance du Mercredi 10 Déceit bre Suite de la discussion des articles du pro jet de la loi scolaire. Une discussion trés confuse B'élait pro- duite vtndredi dernier, au suj t de l'ar'icl - 7 qui règle les congés. MM. Feron (lib Allard (soc.), Poullet, ministre des sciences et des arts et Meche lynck (lib prennent encore la parole pour interprêter le mot saisonoi rs L'art. 7 est adopté par 91 voix contre 76 et 1 abstention. L'article 8 détermine de quelle fagm l in- specteur cantonal de renseigLement primaire sera renseigné si l'enfant fiéquente une école ét la quelle. Des amendements sont proposes par la section centrale, par M. Massoa et M. Me- cheiynck. M. Augusteyns (lib.) demande que l'Etat prenne h sa charge la création d'écoles spé- ciales pour les enfanls dont les parents n'ont pas de domicile fixe, par exenaple pour les bateliers et les fo ains. II considère que l'Etat doit ex'ger des garanties en ce qui concernel'instiuction a domicile. M. Mechelynck demande que les cartes postales envoyer aux parents pour leur rappeler leurs obligations portent que toute pression est interdite. M. Woeste, rapporteur, adhere a cette proposition et propose l'adjonction a l'art. 8 du paragraphe suivant L'avertissement et les cartes mention- nent que la loi accorde aux pères de familie une liberté ent.ère dans le choix de l'école et qu'eBt interdite toute pression ayant pour conséquence de leur imposer le choix d'une école contraire k leur volonté. L'article 8 est adopté avec l'amende- ment de M. Woeste. Les autres amen- dements sont rejetés. L'art. 9 est adoplé sans observation. L'art. 10 règle le controlea exer- cer par l'inspecteur cantonal par rap port a la fréquentation scolaire. MM. ROYER et iMASSON proposent de sanctionner d'une pénalité les ren- seignements inexaels donnés a l'inspcc- tcur cantonal par les chefs d'écoieou leur refus de donner des renseignements. M. ASOLT. Les 'instituteurs libres ne nous donnent aucune garantie. M. POULLET, ministre des scien ces el des arts. je me réjouis de ce que les auteurs de l'amendemcnt n'aient pas motivé celui-ci dans les termes de M. Wou, qui n'a pas confiance dans les instituteurs libres. II a tort. M. ASOU. J'ai dit que nous n'a- vions de sanction que vis-a-vis des in- slitüteurs ol'ficiels. M. POULLET, ministre des sciences et clcs arts. J'avais compris que vous mettrez les instituteurs libres en suspicion. Rs ne le méritent pas. Dans l'avenir, comme dans le passé, les re- gislres d'absences scront tenus avec soin. La tenue des registres, au point de vue de la fréquentation scolaire, avait déja de l'importance dans le passé, car le montant des subsides dépend de la moyenne des présences. Or, on n'a ja mais constaté d'abus plus graves dans les écoles adoptables que dans les éco- les communales.; La garantie et la sanction sont les me ines vis-a-vis de toutes les écoles, ct rési- dent spécialement dans le retrait des subsides. Nous pouvons done ctre ras- surés sur la vigilance des communes et des écoles. Les instituteurs ont inté- rêt a bien assurer la fréquentation sco laire ce sont les meilleurs collabora teurs du gouvernement. L'article est adopté et I'amendement Rover est rejeté par 90 voix contre 56 et 2 abstentions. L'art 11 prévoit comme sanction de l'obligation scolaire l'avertissement et, en cas de récidive, dans les 12 mois, 1'affiche et l'amende. MM. ASOU (lib.) et DEVEZE (lib.) eritiquent ces sanctions qu'iLs considè- rent comme insuffisantes. L'afficnage sera inopérant. M. PONCELET. A la campagne, l'affichage sera une peine irC» dure. M. WOESTE. Le projet envisage la mission du juge de paix en cette ma- tière comme étant essentiellement pa- ternelle, et il faut lui maintenir ce ca- ractère. Le juge sera éventuellement appelé a entendre les motifs de con science invoqués par le père de familie. II est manifeste qu'il aura simplemenl a'se rendre compte de la sincérité de ces motifs, sans plus. C'est la le vé- ritable caractère du projet. M. LEMONNIER. C'est ainsi qu'on éludera la loi. M. WOESTE. Je suppose que dans une commune il n'y alt qu'une école et que cette école ne réponde pas a ce qu'exige la conscience d'un père de familie. Prétendez-vous que ce père devra être condamné Rien ne démontre que des sanctions plus sévères s'imposent. Je suis déli- bérément hostile a la suspension des droits électoraux. La loi sur l'instruclion obligatoire sera acceptée par les populations com me la loi sur le vote et, dès lors, des sanctions trop rigoureuses ne sont pas nécessaires. R est bon aussi deremarquer que l'opposition annonce que si elle devient majorité, elle instituera ce qu elle ap pel! e l'enseignement neutre. Dès lors, qui ne voit que si les parents résis- taient ce jour-la a l'obligation d'envoyer leurs enfants dans les écoles officiel ies ,nos adversaires feraient dans le corps électoral des coups sombres a leur profit. (Interr. a gauche et a Tex- trême gauche.) M. LR PRESIDENT. - II n'y a plus d'orateurs inscrits sur l'art 11. La dis cussion £st done close. On procédera demain au vote, M. DEVEZE1., (lib.) s'oppose a la clo ture. Huwelijksaankondigingen Qery Vander- meerscb, vuurstoker aan den ijzerweg, goh. te Yper en Sidonie üegrave, z. b., geh, te Yper. Marcel Debergh bakkersgast, geh. te Kortrjjk, voorheen te Yper en Euphrasia Vanderbeune, huishoudster geh te Kortrijk. ouvert de 12 h. a 10 h. du soir. Dimanche 14 Déc.. igi3 J. DEHOUCK, 16, rue de Dixmude. Administration des Ponts et f.haussées Ingénieur en chef Directeur des Ponts et Chaussées, fait savoir que la circulation des chevaux, bestiaux et voitures sera interdite sur le pont tournant d'Ypres, sur le canal de la Lys k l'Ypedée et sous le chemin d'Ypres par Locre a la frontière frangaise, pendant deux jours, du 17 au 18 Décembre, afin de per- mettre le renouvellement des plan- chers du dit pont. La circulation des chevaux, bes tiaux et voitures sera également in terdite sur le pont tournant d'Ypres sur le canal de la Lys a l'Yperlée et sous la route d'Ypres par Neuve- Eglise k la frontière frangaise, pen dant un jour, le 19 Décembre, afin de permettre le renouvellement du ■dit pont. Bruges, le 6 Décembre \gi3, (Sé) A. 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Vousqui soufïrez de 1'iDflunnza, meitez-vous bien dans l'idée que votre mal est grave, paree qu'il atteint tous les anpareils de ('économie et les mine. L'influenza (mot qui signifli: influence) a une influence néfaste sur tousles organes du corpsle système nerveux, le coeur, l'appareil digestif, et surtout les poumons. En négligeant 1 ir fluenza, vous vous exr osez a contracier une maladia des reinsou du coeur, et vous préparcz le terrain A l'asthme et a la pbtisie.Les coDséquences de l'influenza sont bien plus terribles que la maladie elle-même Ge n'est qu'en employant uu remède êner- gique que vous pourrez éviter les redoutables co uplications de cette grave maladie int'ectieuse. Ge reraè le énergique existe, c'est le Sirop de l'Abbaye, (Couvent Sancta Paulo, lonique et pectoral. Il surnrend le-microbes infectieux en pleine virulence et les ex[ u'se des voix respiratoires et du tube digestif. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1913 | | pagina 3