V
Les suites d.'uö0 Pleuresie
I
ADJUDICATION
RAS LLES
ATING
ÜUI DE DENIS
Wervicq
Qheluwe
Warneton
La Chambre
Etat-Civil
Quéries par le Sirop
m m
Perdu
FARINE LACTÊE
La Panne
Repos dominical
PHARMACIEN DE SERVICE
Dircclion Générale
de la Bienfaisance
affirm e
Bécouverte Précieuse
nées 5 compter de 1914, une taxe de
(75 0/0) s^ante-quinze pour ceut ad-
ditionpaS a la taxe établic sur les
spp^acles cinématographiques par la
l„x du 3 septembre 1913.
Art. 2. Ces additionnels seront per
mits par les receveurs de contributions
cumiüativemènt avec les taxes de 1 li-
lat ou séparément.
Art. 3. Le présent réglement se
ra soumis k l'avis de la deputation pcl
manente et a 1'approbation du toi.
Centimes additionnels
Uil arrêté royal autorise le Conseil
communal de Wervicq 5 percevoir des
centimes additionnels au principal de
la taxe §ur les spectacles cinémato
graphiques, établie aii profit de l'Elat.
VV\
Restauration de l'Eglfée
Par arrêté royal, un subside de
872 45 fr- est accordé la fabrique
aéglise de Gheluwe, pour la restau
ration et l'agranctóssement de l'éghse.
Distinctions
dans 1'Arrondissement d'Ypres
M. F. Ackerman, instituteur primai
re communal Rousbrugge-Haringhc,
est décoré de la Croix Civique de lre
elasse en récompense des services ren-
dus pendant plus de 35 années.
Mme Cappoen, institutrice primaire
communale 5 Woesten, est décorée de
la médaille civique de lre classe, en
récompense des services qu'eile a
rendus 5 l'enseignement primaire et
gardicn dans le cours d'une carrière
de plus de 25 années,
Neus avons déja annoncé que Mgt
l'Evêque de Bruges avait nommé a la
cure de Warneton, M.l'abbé Jean Du-
quesnoy en remplacement du regretié
M. Salingue.
M. l'abbé Duquesnoy naquit a Me
nin, en 1861, il est done agé de 53
ans II fut vicaire a Ar dove (doyenne
de Roulers), de 1888 a 1900, puis a
Mouscron, de 1900 5 1909. II cut en
cette ville l'occasion de se familiarise»'
avec le caractère waflon des habi
tants, ce qui lui sera d'un heureux
appoint pour son nouveau pastorat a
Warneton, commune essentiellennnl
wallonne.
En 1909, il fut nommé curé k Snacs-
kerke. paroisse de 871 habitants,
La ville t-rès chrétienne de Warne
ton, qui n'a pas eu depuis 45 ans 1 oc
casion de célébrer l'installation d'r.n
curé, celle de M. l'abbé Salinguen'ay
ant pas eu lieu et la précedente ct...it
antérieure de vingt ans k l'arrivéedu
défunt curé, s'apprête k recevoir avcc
beaucoup d'éclat son nouveau pasteer.
M. l'abbé Duquesnoy est venu samc-
di, vers midi, prendre connaissance
de sa nouvelle paroisse et rendre vi
site au clergé, au président de la fa
brique d'église, M. L. Volbrechtau
bourgmestre, M. Godschalk; au prési
dent du Cercle catholique, M, L. G es
quière.
La Sainte-CéeÜe ehez l*s Facteurs
La fête organisée dimanche par
l'Orchestre Postal k Poccasion de la
Ste-Cécile et du deuxième anniversaire
de sa fondation, a obtenu tout le sue
cès que l'on espérait.
Etaient présents, dès 16 heures, au
local de la société, estaminet «Au So-
leildiverses délégations de postiers
des communes enVironnanlcsqui
avaient te,nu a honneur de participer
51a fête de leur collègües warneton-
nois Comines, Wervicq, Messines
Houthem et le Biziet étaient représen
lés.
Après une tournée en ville cliez les
membres honoraires cabaretiers, la so
ciété regagna son local, oü un magnifi-
que banquet, comprenant 65 couverts,
fut offert aux membres exécutants et
honoraires et aux différentes déléga
tions sus-nommées.
Avaient pris place 5 la table d'hon-
neur, M. Delaunoy, percepteur des Pos-
les, k Warneton, et président de l'Or-
chestre Postal M. Ernest B er ten, di
recteurM. Plilaire Bossuwe, coin
mandant des Sapeurs-Pompiers M.
Pierre de Simpel, nota ire, et autres no
tabilités de la ville.
Au dessert, M. Camerlyncksous-chef de
Gare a Comines, prit la parole pour
remercier M, Delaünoy de son aimable
invitation, puis tout en félicitant au nom
de Passemblée, M. E. Berten, le dévoué
directeur de l'Orchestrc Postal, il
rappelle que, grace a M. Alfred Cau-
che, facteur local, et secrétaire de la
société, celle-ci, quoique n'étant formée
que depuis un an, participa l'été der
nier aux différentes fêtes qui eurenl
lieu dans les environs Ypres, Comi
nes, Courtrai, Bas-Warneton, Messines,
et. au cours desquelles nös facteurs-mu
siciens se firent applaudir.
Après avoir répondu 5 ce toast, M
Delaunoy proposa un vivat en 1 hon
neur de M. A. Cauche, ce qui pro-
oqua des applaudissements répélés.
t L'Orchestre Postal exécuta ensuite
[Uelques morceaux de sou répertoire,
lont l'interprétation excellente valïït a
[on directeur, M. E. Berten, une ova
on de la part des membres honorai
rs. Les chansonettes suivirent et ce
e fut qu'assez tard dans la soirée que
:s sociétaires se séparèrent,,
Le budget des voies et moyens
turc k réduire le nomhre des débits
existants, elle paraït propre en tous
cas k faire obstacle k l'ouverlure de
nouveaux débits fantaisistes.
M WAUWERMANS (cath.) Nous
ferons de mauvaise besogne en tran-
chant par voie budgétaire une ques
tion cxlrêmemcnt complexe qni méri-
terait de faire l'objet d'un projet de
loi distinct.
M. de WOUTERS d'OPLINTER, rap
porteur, engage la Chambre 5 voter le
texte du ministre ct k repousser tous
les amendements.
M. LEVIE, ministre des finances.
Vcut-on exigor que le brasseur
paie la taxe d'ouverture cliaque fois
qu'il change de préposé? (Interrup
tions).
Cette taxe, on le sait, s élèvc jusqu'a
1.000 francs. C'est impossible
Depuis six mots, je suis entre en
négociations avec le comité de la 1* édé-
ration des brasseurs et lo comité de la
Fédération des cafeliers.
Si nous vuolons combattre l'alcoolisme,
commencons done par le commence
ment cherelions k diminuer le nom
bre des débits.
La loi de 1912 a suscité des appré-
cialions diverses. Les cafeliers se sont
d'abord plaints non sans raison main-
tenant ils se déclarent satisfaits, com
me les brasseurs, des dispositions que
je vous propose.
M. PEPIN. Les grands cafetiers.
M. LEVIE, ministres des finances.
Je me suis appliqué, depuis unan,
a trouver la formule. Elle a un carac
tère transaclionnel et vraiment appro-
priée au tempérament beige et a la
situation qui existe dans le pays
elle Vous laisse les mains li bres pour
l'avenir. (Interruptions.) Si vous vou-
lez désormais auguicnler les imposi
tions des cabarets, vous le pouvez en
toute liberté
M. VANDERVELDE (soc,) d accord
avec M, WAUWERMANS(cath.) propo
se de disjoindre les art. 10 5 15 du pro
jet en les renvoyant k une commission
M. COLAERT. Je voterai la dis-
jonetion paree que je considère le pro-
jel cpmme un des plus imparfails que
j'aie rencontré. La loi de 1912 se réfère
a des articles du Code Pénal qui
n'existent plus et j'ai fait une proposi
tion k eet égard.
M. LEVIE, ministre des finances.
Je m'oppose résolument a la dis
jonelion, car ce serait le gachis. (Trés
bien sur divers bancs.)
LeS articles suivants sont adoptés
sans f observations.
L'elisemble du budget des voix et
movtins est adopté par 87 voix contre
65 et 1 abstention.
La Chambre vote ensuite le bud
get du Congo, le contingent de Parmée
et le budget dés dotations.
Séance du Mercredi 24 Déceubre
La discussion des articles du budget
des voies et moyens donne lieu a diver
ses observations.
M. VANDAMME1 (lib.) demande l'a-
bolition des droits de navigation.
M. TIBBAUT (lib.) demande une exo-
néraiion d'impöt pour les litres du cré
dit communal, paree que les principaux
obligalaires sont les petitcs communes.
Adopté.
M. E. GOETIIALS (cath.) prend la
parole sur l'art. 12 qui tend a modifier
la loi du 12 décembre 1912 sur les dé
bits de boissons.
II sernble que M. Ie ministre aiteu
peur des conséquences de la loi et il
a lancé une circulaire qui lui donne
une interpretation généreuse et bien-
faisante pour la brasserie, rnais qui al-
lere si profondément le sens de la loi
que plus personne ne s'y retrouve.
Vint ensuite la circulaire du 31 mai
dernier, créant des catégorics de com-
metlants et de préposés. Les cabare
tiers sentirent leurs intéréts lésés et ré-
clamèreht. C'est en vue de contenter
les deux parties que M. Levie propose
de légifërer. Je pense qu'il y aurait
moyen de satisfaire tout le monde.
II convient que nous ènrayious la
créalion de nouveaux débits de bois
sons alcooliques. La loi de 1912 ne pa
rad pas de nature a atteindre ce but.
Le projet de revision ne l'atteint pas
davanlage. Bien plus, il encourage la
Almanach Hachette voor 1914
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Ecole de Bienfaisance de l'Etat
a Ypres
Le Directeur de l'Ecole susdite
procèdera publiquement le 19 Jan
vier 1914, a onze heures du matin, k
l'ouverture des soumissions pour
l'adjudication des engrais chimiques
nécessaires k l'Ecole de Bienfaisan
ce de l'Etat k Ypres pendant l'année
1914-
L'adjudication aura lieu aux clau
ses et conditions du cahier des char
ges, dont on peut se procurer des
exemplaires, ainsi que la liste des
articles 5 adjuger et des formules
de soumissions, au greffe du dit Eta
blissement.
Les soumissions seront revues
dans une boite fermée èt clef, du 12
au 16 Janvier inclus, de 10 a 12 et de
14 a 16 heures.
Seront acceptées aussi, les sou
missions envoyéesau susdit fonction-
naire, au moyen de lettres recom-
mandées, pourvu qu'elles aient été
déposés k la poste le 16 Janvier 1914
au plus tard.
guênssent ia TOU/>
w
MPORTANTE maison de vins de
jBourgogne, recherche représen
tant a la commission bien introduit
dans la clientèle bourgeoise.
Ecrire au Journal S. B. A.
Chien Fox-terrier, tache noire,
ronde sur le dos, museau blanc et
noir. Rapporter au Saumon rue
du Séminaire, Ypres. Moyennant ré
compense.
Bour vo> garnilures de lable,
Corbeilles, Gerbes, Bouquets
Couronnes en fleurs naturelles
P. Casier-V'an Mslander
Quai, 43 et rue de Menin, 8.
ENVOI GRATUIT
M. Fernand DEN Y
Tont le monde prend des
Pastilles Keaunff a YPREb.
A reprendre affaire unique et de
grand rapport, par cause double
emploi. S'adresser C. Pieters, Luna
fare, la Panne.
GUER.IT
Le flacon
Séance du Lundi 22 Décembre
La séance estouvert - k 2 heures, bous la
présidence de M. Schollaert.
La Chatubre aborde i'examen du budDet
4^8 voies et moye, s.
M. Bertrand (soc signale le déficit des
chemius de fer. II i'évalue a 18 millious. Le
budget colonial est en déficit aussi. La loi
seolaire va aussi absorber der ressources II
laudra encore parer aux conséquences d s
luis sur les habitations ouvrières et sur les
pensions de vit-illesse.
L'orateur reprochu au gouvernementd'a-
voir lel-vé les sal-ires de ses employés avj nt
les elections de 1912.
M. de Jonghe d'Ardoye (cath Cri.i-
qu(-z-vous ces augmentations de salaire
M. Berirand. Oü le ministre trou** ra-
t-il les ressources nécessaires pour couveir
le déficit des cbemiüs de fer II faut qu i!
s'en exp'ique.
M. Franck (libcritique l'application
future des nouveaux imp6t>. Le droit sur
les actionnaires est exagéré. L'impot sur h s
evenus mobilières est légitime maïs li do;t
être modé et ne point frapper les petits.
L'orateur a crinqué les évaluatior s dn
"Udget. Léqutlibre de celui ci es instaide.
Mi'gré les p U8-values des anciens impotn
malgré le» nouveaux irnpö s, la situati n
nnancière est ïuquiétante. D autant plus q e
nous allons devoir faire face k des ctiarg s
nouvelles pensions de vieillesse, rétect on
les canaux, travaux mantimes d'Anvers. Et
ous avons 600 millions de dett- flottanti
L'état du marebé fiuancier nefait qu'aj »ü-
t r aux appréheusions. De nombreux p ys
offnraient des empruuts de plusieurs ceu-
taines de millions, II nous faut trouver 8 >0
millions 1
11 nous f-iudrait une polique finarciére si
cere, arrêter la progression de dénens s,
fsute de quoi notre crédit va a un veritable
tésastre. (Tiès bien a gauel e. La gauche,
cX'St, pour l'instant, une douzaine de dépu-
tés).
M. de Wouters d Oplinterrapporteur.
Pour la gauctre, la responsabilité de la siiu i-
lion fiuaucière i'cumbe au gouvernement.
C» st nier i'évidence même Le gouverne
ment beige, comme,le8 autres, snbit 1 in-
tluence de la cris- économique que le monde
traverse. Partout on constate un renc é-
nssement éuorme du piix de Ir vie. ïous
nos bu tgets en portent le pnids, pariicul è-
c> ment le bu 'get d-s chemi e de ter. L
pnx des maiériaux a haussé. L pnx de ïous
ns objets nécessaires a la vie éaalement.
Tous. nou» avons été d'accoi d pour estimer
lu-tifié is relèvement des salaires et des trai-
ments.
Quand aux fonds public», ils subissent.
lans tous bspays du monde, une dépiécia-
tion, conséquence de l'élévation de l'iniérêi
de i'araenti Qui devons accenbrait anjour-
ü'bui un intéiêt de 3 p. c. s'il avait a laire
des placements
On ne peut que féb'citer le gouve nement
ï'avoir eu ie counage d'accepier toutes les
(inuvelh 8 charges qui s'imposaient, malgré
les d fflcuiiés de la situat on tiuancière.
Au premier rang de Cf s charges se placent
les nouvelles charges militaires.
Le gouvernement a engagé des sommes
énormes des centeiues de millioiispour
t'outulage économique du pays. Faut-il
abaudonner cette politique
Quant aux pensions de vieilesse, elles nous
coütent 18 millions par an. Que vont elles
coüter dans l'aveuir
Faut-il renoncer aux réforme3 sociales
que nou» neus proposons de faire.
Quand on cr ée des dépenses nouvelles, il
taut créer des ressources nouvelle». M. Ber-
trand ne manque pas a'appiiquer ce prin
cipe a Schaei beek.Je lui demaude de ne pas
avoir deux poids et deux u.esures et de nous
reconnaitie uu droit dtfnt il use lui-même.
Nous attecdons encore que l'on nous cite
laftuteou la né^ligence qui établirait la
respousabilité du gouvernement dans la
situation fiuas cière.
M. Franck reprocbait tantöt au ministre
des finanCfS d'avoir exagéré les évaluations
budgétaires de 1913 Les résuha's de eet
exeicice montrent qu'au contraire ces éva-
luaiionl étaient trés modérées.
Provisoiia ment nous nous frouvons en
pié-e ce d'uu boni de 50d 000 francs Mais,
a raiso.i des innovations fi cdes, nous ne
pouvons donnar des pi écnuons certaines.
Le légime projeté de 1 autonomi du bud-
i-t des cbemins de ter aura d'excellei.ts
ré uitat» financi rs, es, érons le. Bien sou
vent on en a parlé ic< et tout Ie monde éL it
d'acrord p-ur sou natter la éalisation de ce
pn j t. Mais a cette époque lescbemins de
fer paesaiei t, a tort ou ét raLon, pour être la
vache a.iait du budget.
Dans le nouveau sy»ième,la dépense totale
des chemius de ter sera couverte par l'em-
pi uut.mais l'iü' ovation consistera da' s un
nouveau régmid'amortissement de la dette
Nou» avou-- traver sé la crise écoi omique
dans des conditions qui i ous perm' ttent d'a
voir foi dans lavenir. Trés bien a droite.)
M. Wauwermans (cath.) M. Franck
vient nou» dire comtn mt n'a-t-on pas em-
prunié quand ia r> nte se phQiit encore J
3 Et 10 minutes aprè», il nous reproche
ia perte subie par ctux qui out acheté du
3 h cette ép que
Vous auriez du faire des impöts, dit il.
E'suite... il critique ies impots que nous
avoDS taits.
M. Colaert. J'aurais voté volontiers
les dispositions proposées si elles avaient pu
être appbquées aux ouvriers un généralet no-
tamment aux ouvriers agricoles. Comme il
n'en est pas ainsi, j'ai cru devoir m'abstenir.
M. Liebaert Je me suis abstenu a rai-
son du profond désaccord qni existe sur le
montant de la dépense et fin de marquer
mon regret de ce que les auteurs de la propo
sition de dépense n aient pas indiqué ies
voies et moyens pour y faire face.
M. Raemdonck (cath.)Je me suis ab
stenu pour avoir 1 occasion de motiver mon
vote.
La pension des ouvriers, je voudrais la voir
réaliser par une loi générale, s'appliquar.t a
tous. et pas a une caiégorie d'ouvriers seule-
ment.
Au surplus, la discussion a prouvé que Ie
projet actuel n'est pas suffisamment étudié,
i otamment en ce qui concerne les voies et
moyens.
Je suis convaincu que cette loi devra être
revisée a bref délai. C'est le motif pour le-
quél je ne l'ai pas voiée.
M. Van Merris déclarent s''être abstenus
pour les mêm s motifs oue M Raemdonck.
Après un discours de M. Mechelynck
(jib sur la situation fi ïanoère, M Vander-
velde (soc parle d s moyens de combatre
l'alcoolisme le mal principale reside dans
le fait que nous avons 200 ooo cahamts.
Comment en réduire le nombre L'orat< ur
préconise le monopole de l'alcool au projet
de l'Etat.
M de Wouters d'Oplinter. (cath.) La taxe
d'ouverture a eu pour résultat de faire bais-
ser d'environ 5 p. c. le nombre des cabarets
en Belgique.
M. Vandervelde (soc II y a too.ooo ca
barets de plus qui vendant Je l'alcool.
M. Hoijois (cath lis en vendaient déja
auparavant.
M. de Wouters d'OplinterEn 1913,
plus de i3. cabarets ont été fermés. La pro
portion des fermetures est surtout importan
te dans le Hainaut et la province de Liége
Je crois done c'est par voie dVxtension et non
par voie d'autorité que nous atteindrons le
résultat espéré.
Séance du Mardi 23 décembre
Séance du ma'in.
La Chambre discute le projet d.' loi sur
les pensions de vieilksse aux ouvtiers mi
neurs. Elle est saisie d'un amendement de
MMabille (cath.).
Af. Hubert, ministre de l'industrie et du
travail, déclare se rallier a eet amendement
bien qu'tl en résultera une nouvelle charge
de 3 millions de francs pour le Trésor.
Séance de l xprès-midi.
Af. Buvl (lio fait uoe charge a fond con-
tre la politique financière du gouvernement.
La loi sur la pension des mineurs est votée
par 122 voix contre 8 et 23 abstentions.
Se sont abstenus MM.Colaert. De Coster,
de Jonghe d'Ardoye, d'Huart, Liebaert.
Maenhaut, Ma^s; Moyefsorn Nobels, Ote-
gat, .Pastur, Raemdonck, Reynaert, Ros-
setuv, Standaert. Tibbaut, T Kint, Van
Brussel, Van Cauwenbergb, Van Merris,
Van Reeth, Woeste et Bt haghel.
Af. Nobels (cath s'est abstenu paree qu'il
est impossible, éiant donné les siatisuques
incomplères qui ont servi de base a la pro
position de loi, de piëvoir les conséquences
financières du projet.
fonddlion. (lc itonv^qiiy
II convient h mon-sens
non le débitant, mais le débit. Tout
nouveau débit devrait être frappé. Si
1'adoption de pareille formule réclamée
par les brasseurs ne paratt pas de 11a-
M. Pierre Bonte, riemeurant
d SainteB"'
Flandre o'ci entale), rue otu Moulin 1
clarö ce qui suilou'
- J ai
mois
Ypres. - Dé larations du '9 au 26 Décpmbre
19;3. Naissauces Gouwy Marthe. cliaussée
d- Diikebu<ch. Sloss« Roger, rue Car on
WuyieriS Rr'g«r, rue du Canon DebOUX
M'iórai, rue Eitren He-rd. Bras Cécile, rue au
B ur e Knoekaert Roger rue St Jacques.
V^nwindrkeris Mar ie, rue de Lille
Mariage: Vamlermierscll «éry, chauff*ur au
ciiemin de far et Üegrave Sidouie, saus profes
sion. a Yp'es:
Décès; Dobbels Eugénie, 51 ans, re igieuse.
rue Gu»lave de Stuers -outekiet Charles, 57
ans. herbager, époux Defever Marie, rue d"
Lille. Verniest Charles, 88 ans, sans profes
sion, Veuf Ramskindt Julienne, rue de Lille. -
Wilkin Louise. 36 ans,' modiste, veuve Coflyn
Georges, tue de Lille. Herreman Edouaid.
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Dimanche 28 Déc igi3
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ai snuffen de pleurésie pendant qu#e8
l. C«ib—ci li a jamais éló bien guéne Ts<""
ombr
ouleu
Hts
3S«e,
s dan
les U
P'ise dans u étau" l'ai"
te que j'en ai gardé de noinbreux"0'
J'avais contitiu-ii.-mont des doulMnis i
Je
et
- r--ua'is ma nnlirl110
sans qu il me fü possinle de les faire cértrf v'
vais la poit' ine omme prise dans u dia,,
un iiuiooreu
J'avais continuellement des douleursJa'i"«lï'poi*
trine et dans les reins, des pomts de cóidrf^8
trissons. Je toussais saus cesse, et les «l«,röS
étaient pour ainsi dire muró.-sda.,s ma
fois j'avais peine a avoir uu peu d^rr^fa^8
le pouls et les rempes qm bntiaient fi,rieU»0-
mentmon sommeil éian agi je trai soira's
énoimément. Je passais des nun's entièr'if08
dormir en uu mot, j'étai- parfaiiHmHt)t lia
ble pour mon bonbeur, j'ewtendis un ion,la|r0
l'éloge de la merveilleuse force curativ» 1,11
Suop de l'Abbayej'acheiai un flacon cliez10
pbar macien Cailliau. rue Haute Bru^e 1®"
niédiiiemern j'eus la conviction que ce nli'l'10
a I la 11 me guérir. Aprè- que j'eus pris le -c»lö,|U
d'uu deuxième flacon, j'óiait partauement
LesglaireS se d0i,.cl,0 ent en grosses miSi1®8
m-s crises de tuux et angoisses de poitrim J'8"
parurent, bt en .e mo i.ent je me - oita c)®®0
un charme. Si j'avais eu le bon esprit de o.owbat"
tre, dès Ie dé'.u ma pleurésievpar le Suo|J0
l'A' bay-. j'aurais évité toutes les suites „ra^08
et j'aurais économisé beaucoup d'argeut. remè4e infftllliWe
Le SIROP DE L'ABBAYE, Covert San/» c"qn0"
comro 1'aNihm la pleurésie, I i. fiu«nza, la Ironcbit0. ia p0ljmon8. L'« Sirop
luehe et tout, s les aff etions de la poitrineje I» e°'?e n ,)révieut la phtisie.
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0t de 109) grammes, rr.
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1'" Uisibilité In allibilité. - Exigel,a raa,^«„
ANri-N^vHALGIQUE JOS. GAÜTHIER, >m1*r
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